ABLONI, L'EXPORT DE LA SURCONSOMMATION
On ne "donne" pas nos vieux vêtements aux friperies, on s'en débarrasse. Nuance. Où finissent les fringues dont même les organismes qui les revendent ne veulent plus? 70 % d'entre elles sont mises en ballots et envoyées en Afrique. Là-bas, la friperie (nommée "abloni") cause des problèmes. Elle offre une rude concurrence au vêtement local, mais surtout, elle donne aux Africains l'impression qu'ils sont juste bons à porter nos vieux vêtements… Ironique de penser que ceux qui suent dans les ateliers de misère à fabriquer nos griffes préférées sont aussi ceux qui les portent après qu'on les a usées… On ne "donne" pas nos vêtements usagés aux Africains, on s'en débarrasse. Nuance. Un documentaire à Télé-Québec, le jeudi 8 décembre, 20 h.
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LES PREMIERS PAS DU CINÉMA
Enregistrement d'un film sonore dans les studios Pathé. À TV5. |
Aussi révolutionnaire fût-il, le cinéma muet avait un grand défaut: il n'avait pas le son. Pendant longtemps, les artisans du 7e art en ont fait une obsession. Avant de trouver le moyen d'intégrer une bande sonore aux films, on a tout essayé. Pendant la projection d'un film, une "machine à bruits", sorte de caisson à manivelles, pouvait être opérée par un bruiteur pour créer divers effets sonores (vent, train, vaisselle cassée)! Présenté en deux parties, ce documentaire truffé d'archives nous plonge d'abord dans cette quête du son au cinéma. Le deuxième épisode porte sur l'arrivée de la couleur au grand écran. À TV5, les jeudis 8 et 15 décembre, 19 h.
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LE CHANVRE, UNE PLANTE AUX MULTIPLES FACETTES
Le chanvre, la plante du 21e siècle. À Télé-Québec. |
Le chanvre est presque aussi facile à cultiver qu'une mauvaise herbe. On ne lui connaît pas de maladies et il pousse partout sans exiger d'engrais ou de pesticides. On le sème et on le récolte. Final bâton. Connu depuis des millénaires, le chanvre s'est retrouvé dans les pages de la Bible de Gutenberg, premier livre imprimé, et dans plusieurs médicaments. Quarante mille autres produits peuvent être fabriqués à partir de cet arbuste: des vêtements, du carburant, de l'isolant, de la nourriture. Mais on peut aussi le fumer. Et parce que certaines variétés de chanvre, comme la marijuana, peuvent provoquer le syndrome de Cheech et Chong, on l'a diabolisé. Or, le chanvre industriel, celui qu'on aimerait voir partout, n'a pas le moindre effet hallucinogène… À Télé-Québec, le mercredi 14 décembre, 21 h.
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LA VRAIE LÉGENDE DE LA TOUR EIFFEL
Le fabuleux destin de la tour Eiffel. À Historia. |
Gustave Eiffel n'a pas eu l'idée de la tour qui porte son nom. C'est un de ses collaborateurs qui, pour l'Exposition universelle de Paris en 1889, a pensé à cette tour de 300 mètres aux allures de pylône. Un chef-d'œuvre d'ingénierie n'ayant d'autre utilité que celle d'imposer le silence par sa grandeur. Eiffel, qui n'y voyait qu'une "attraction foraine", a fini par se laisser convaincre. Et à force de manigances politiques, il s'est vu confier la construction dangereuse de ce que beaucoup de Parisiens voyaient alors comme une horreur visuelle. Un docu-fiction qui reconstitue l'histoire du plus visité des monuments. À Historia, le samedi 10 septembre, 17 h.
Beaucoup d’émission télé très instructives en perspective cette semaine. Tout d’abord le documentaire à Télé-Québec sur les vêtements qui sont fabriqués par les africains et qui leur reviendront une fois trop usés, c’est désolant de voir cela. Un documentaire qui va nous faire mal et nous montrer encore jusqu’à quel point les riches sont riches et abusent des pauvres qui sont pauvres. Dommage.
Ensuite de beaux documentaires très intéressants. L’apprentissage de la parole du cinéma muet. J’adore tout ce qui touche le cinéma et son évolution.
Puis le chanvre, une plante aux milles et un atout. Et finalement la Tour eiffel, un autre sujet qui me fascine. De voir comment des décisions comme cette construction ont été prises. L’incertitude des gens face à cette imposante structure. Et dire que beaucoup de Parisiens voyaient alors comme une horreur visuelle. N’est-ce pas ironique maintenant de savoir que Paris est reconnue et visitée en grande partie à cause de cette structure. C’est preuve qu’on ne sait jamais ce que le futur nous réserve. Ce n’est pas parce que c’est nouveau et qu’on en a peur, que ce sera nécessairement mauvais.
NOTE : Il semble y avoir une petite erreur dans ce texte. Je suppose que ce documentaire sur la tour Eiffel sera présenté : À Historia, le samedi 10 DÉCEMBRE , 17 h au lieu de À Historia, le samedi 10 septembre, 17 h.
« Bergère Ô Tour Eiffel le troupeau de ponts bêle ce matin ! »
En effet, il est intéressant de savoir que le symbole internationnal de la France a été contesté par plusieurs. Une petition pour la faire ôter du paysage a même été signée par plusieurs célébrissimes personnages, dont Alexandre Dumas (père).
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« On ne donne pas nos vieux vêtement dans les friperies, on s’en débarrasse », dites-vous. Eh bien franchement, pour perdre mon temps à transporter un gros sac bien rempli et assez lourd à la boutique « Renaissance » sur la Plaza Saint-Hubert, il faut quand même que j’aie une bonne intention, sinon je me contenterais de porter ledit sac au coin de la rue en attendant que les éboueurs le ramassent ! Mais bon, j’écouterai le codumentaire, question de voir s’il n’y a pas meilleure solution.
Je ne savais pas du tout que le linge qui était offert aux friperies allaient pour les gens en Afrique. Je trouve ça triste, parce qu’ils travaillent comme des forcenés pour faire de beaux morceaux et on leur retourne quelques temps après quand il ne convient plus à notre garde-robe. Je pense que je vais écouter attentivement ce reportage présenté à Télé-Québec et j’ai comme la légère impression que je risque d’être un peu beaucoup scandalisée par ce que je vais y apprendre. C’est à voir…
Un reportage qui s’annonce rempli de vérité sur la triste réalité de nos vêtements usagés revendus aux Africains.
Lorsque l’on donne ses vêtements usagés aux friperies, on ne pense pas aux pays étrangers dans le besoin, on se débarrasse tout simplement du linge que l’on n’aime plus ou qui nous va plus. Quand j’y pense, j’en ai un peu honte de savoir que mon linge est revendu aux pauvres à travers le monde entier et qu’il n’est pas donné. Quand je pense que les gens ayant tisser nos propres vêtements pour une misère, se voient racheter se propre linge usagé, j’en ai vraiment honte.
Sans elle, Paris ne serait plus la meme. Comme un témoin, comme un repère, comme une lumière qui parfois enlumine 10 millions d’habitants, elle rayonne comme un flambeau qui ne s’éteindra jamais.
Paur-etre parce que je suis née à quelques pas de ce monument curieux, je lui témoigne une affection particulière et sans fin.
Lorsque je vais à Paris meme si j’y suis monté déjà des dizaines de fois, je ne me lasse pas d’y rejoindre les files de centaines de touristes pour une vue imprenable sur cette ville magique.
La seule chose que je n’arrive pas à faire c’est de monter au sommet,,, le vertige l’emporte alors sur la curiosité.
Le fer qui l’habite est comme un puissant aimant à qui nul ne peut résister.
L’introduction que vous faites sur le documentaire portant sur le chanvre semble prouver que le monde occidental et supposément évolué semble allergique à la pensée critique et à la réflexion. Si on veut garder la drogue illégale, pourquoi devrait-on interdire toutes les autres formes de chanvre sans effets hallucinogènes? J’ai souvent entendu parler de la qualité supérieure des vêtements fabriqués avec ce matériau. Mais à cause de l’esprit borné de certains dirigeants, nous devons nous passer de produits de qualité. Quelle hypocrisie!
J’aime lire cette chronique qui met la loupe sur certains reportages qui sinon passeraient inaperçus. Le chanvre m’intéresse pour le côté très mystérieux de l’affirmation : « Or, le chanvre industriel, celui qu’on aimerait voir partout, n’a pas le moindre effet hallucinogène… » Pourquoi aimerait-on le voir partout ?? Là,est ma question. Si on parlait de celui avec effet hallucinogène, je comprendrais ! Ceci dit, je donnais des graines de chanvre à mon canari pour qu’il chante ; cela fonctionnait partiellement, puisqu’il est devenu si accro qu’il boudait pour en avoir toujours plus …
Le phénomène (pourquoi légende ?) Tour Eiffel me fascine pour la place qu’occupe l’attitude dans la vie. Si cette tour n’avait pas eu le succès touristique qu’on lui connaît, il y aurait peut-être encore des pétitions pour la faire démolir ! Dommage que notre gigantesque boule vitrée (ancien pavillon des USA de l’Expo 67) sur la Terre des Hommes n’ait pas autant attiré l’attention, peut-être que son prix d’entrée payerait le toit du stade. Le secret aurait été de l’ériger dans le centre-ville … quoiqu’il en soit, j’inscris ces émissions à l’agenda, merci.
Et bien je trouve ça bien triste que nous envoyons nos vieux vêtements en Afrique pour qu’eux les portes du moins on peu dire que ça les aides mais la vrai question est : » Est ce que nous consommons trop ??? » Et la réponse est oui…. Il faudrait peut-être faire une petite réflexion sur ce qu’on utilise ou pas et avant d’acheter quelque chose il faudrait se demander est ce que j’en ai vraiment de besoin ?? Et je suis certaine que dans 90% des cas et bien la réponse est non….
Un peu tardif et surtout sans aucune corrélation avec l’actualité, le reportage sur le chanvre va enfin éclaircir les propriétés non hallucinogènes de cette plante. Car il faut bien avouer que seules les cordes en chanvre ont su survivre à la répression occidentale qui a été faite au cours des 50 dernières années. Pour avoir un avant-goût du reportage vous pouvez aller visiter le site: http://www.infochanvre.ca/ très intéressant et qui donne une panoplie d’informations sur l’utilité du chanvre. N’oublions pas qu’un nouvel intérêt pour le côté médicinal de la plante est de plus en plus exploré par la recherche pharmacologique, et que les récepteurs des cannabinoïdes que nous possédons dans notre cerveau et notre système immunitaire donnent des alternatives dans les traitements de la douleur et de l’inflammation.
De retour d’une mission de coopération au Burkina Faso, je suis à même de constater que le dumping de nos vieux vêtements ne nuit pas seulement à l’économie locale mais aussi à l’estime de soi des habitants. Une Burkinabè rencontrée là-bas me fait la confidence suivante: « tu sais, quand on achète des vêtements dans les friperies, on les porte le plus longtemps possible avant de les laver pour garder l’odeur des Nasara (des blancs). Quand on trouve un morceau qui a « l’odeur », on en est très fiers et on le fait sentir à tous nos amis. »
Je trouve très déplorable qu’en voulant aider aux africains… on nuit à leur développement économique. À première vue, c’est une belle cause environnementale de donner nos vêtements trop petits ou démodés… on réutilise et on aide des personnes pauvres à se vêtir. WOW belle cause sociale. Par contre, c’est triste de voir que nos vieux «stocks», usés, laids et fluos font concurrence aux entreprises africaines qui tentent de vendre leurs vêtements locaux.
Un autre point déplorable, les grosses entreprises installent leur usine dans les pays en voie de développement. WOW… on crée de l’emploi dans ces pays qui en on tant besoin. BELLE CAUSE SOCIALE, par ce fait même on exploite des milliers d’enfants qui travaillent dans des conditions pénibles et qui sont par le fait même sous-payés. En voulant les aider.. on nuit à leur développement académique si important pour le bon développement d’un pays… avoir un peuple instruit.
Dans l’aide apportée aux pays pauvres.. il y a toujours des points positifs, mais bien souvent une bonne action amène des conséquences désastreuses pour un peuple. Ayant une bonne conscience sociale, je me questionne sur la meilleure façon d’aider les pays du tiers monde. Que devons nous faire ??? Rien ??? Je ne crois pas.. nous devrions tous nous indignier devant les problèmes mondiaux qui nous touchons… même en tant que petits citoyens du Québec.
Dans le fond, si on veut bien aider les pays pauvres… on doit leur donner de l’argent. Mais encore là.. l’argent se rend-il vraiment lorsque nous donnons.. et comment il est utilisé ??
SVP JAI BESOIN QU’ON ME RASSURE…
Quelle belle programmation télévisuelle en fin! J`aime les documentaires et ceux-ci semblent être des plus intéressants.Surconsommation, chanvre, cinéma la Tour effeil. De tout pour tout le monde. Bravo de nous en informer. Quelques belles soirées en perspective en attendant Noël.
J’ignorais que de donner des vêtements, ne fut-ce qu’aux Québécois ou encore aux Africains pouvaient être aussi nuisible…Pour ma part, je fais souvent un saut au Village des Valeurs, et j’avoue me sentir coupable de « profiter » d’un tel service qui, je présume, ne m’était pas au départ destiné. Je me souviendrai toujours de ce reportage_était-ce à Enjeux ?_ où une dame fesait le rackett dans les friperies et autres Village des Valeurs pour revendre le tout à double prix au puces…Il y a de l’atgent a faire avec les pauvres, qu’on se le tienne pour dit.
On renvoie nos vêtements usés aux Africains et certaines âmes (bien intentionnées j’en suis certain) s’en offusquent… La véritable question est de savoir ce que les Africains eux-mêmes en pensent! Sont-ils insultés ou reconnaissants? Entre renvoyer mes vêtements à ceux qui les ont produits et les jeter aux poubelles, je préfère de loin la première option.
Et puis, je ne suis pas d’accord de dire qu’on les renvoie à ceux qui les produisent. Un rapide tour de ma garde-robe m’a plutôt permis de constater que mes vêtements proviennent en grande partie d’Asie du sud-est. On pourrait donc parler d’un « triangle » internationnal du vêtement. Produits en Asie, portés en Occident et finalement usés jusqu’à la corde en Afrique. Voilà une mondialisation à laquelle les grands capitalistes de ce monde n’avaient peut-être pas pensé…
Tout comme le panic érigé, le chanvre est une merveilleuse plante de culture alternative et très bien adapté pour notre pays nordique, mais il faut développer les débouchés et convaincre nos gouvernements de ses nombreux bienfaits.
Le chanvre à de multiples vertues, malheureusement encore trop méconnues de la majorité de la population.
On peut le cultiver pour en faire du textile, des matériaux de construction ( on peut même construire des maisons en chanvre! ) On peut aussi la cultiver pour ses graines, son huile …
» Le chanvre (Cannabis sativa) est une plante industrielle qui peut être utilisée dans le textile, les panneaux de particules pour la construction … Et de ses graines, on extrait une huile utile aussi bien en alimentation humaine que dans l’industrie. Cette culture fait l’objet d’essais de manière restreinte au Québec et les premiers résultats sont encourageants. »
http://www.lavoieagricole.ca/content/imprimer.cfm?newsid=2022&catid=19
» Le principal intérêt des graines de chanvre et de l’huile qu’on en tire, tient à leur teneur équilibrée en acides gras essentiels oméga-3 et oméga-6, un phénomène unique dans les aliments. » Pour en savoir plus:
http://www.passeportsante.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/Fiche.aspx?doc=chanvre_huile_graines_ps
» Certains patients atteints de cancer et sous chimiothérapie ont découvert que le chanvre soulageait les nausées mieux que les remèdes conventionnels et certaines personnes atteintes de sclérose en plaque sont reconnaissantes pour le soulagement que le chanvre leur procure aux muscles. »
http://www.chanvre-info.ch/info/fr/L-huile-de-graines-de-chanvre.html
Et
L’art de construire en chanvre (au Québec):
http://www.cabanabis.com
La culture du chanvre pourrait aussi nous permettre de préserver d’avantage nos forêts!
Je n’ai malheureusement jamais mis les pieds en Europe, mais je compte le faire un jour si je suis capable de payer mes prêts étudiants avant mes 80 ans. La première chose que je prévois aller voir est bien cette Tour Eiffel.
La Tour Eiffel exerce une véritable fascination pour les étrangers, et ce, même si elle avait créé des réactions plutôt contradictoires lors de son inauguration.
Une chance que le canal Historia est là sinon mes soirées seraient beaucoup plus ennuyantes et moins éducatives!
Historia nous présentera un reportage sur celle que l’on a tant aimé que décrié sur tous les toits . En effet , on a construit cette tour comme point d’attraction de l’Exposition Universelle de 1899 à Paris . On a confié le chantier à l’ingénieur Gustave Eiffel , celui-là même qui avait construit la structure métallique de la Statue de la Liberté .
On devait la démolir dès la fin de l’exposition , mais le gouvernement à décidé de la maintenir en place ce qui a donné lieu à de nombreux débats . Par exemple , on disait que les allemands s’en servaient en 1915 comme point de repère pour bombarder Paris avec un canon géant que l’on avait surnommé La grosse Bertha . Un escroc s’est même permis de la vendre plusieurs fois en se faisant passer pour un haut fonctionnaire qui se devait d’accepter un pot-de-vin pour favoriser le contrat visant à sa démolition pour la ferraille .
La célèbre tour a été utilisée par de nombreux suicidés et d’autres qui tentaient des expériences de parachutisme ou autres . Hitler a exigé de la voir arborrer le drapeau nazi en juin 1940 pour ensuite donner l’ordre de la dynamiter en août 1944 , ordre qui heureusement ne fut pas suivi par le général Von Choldiz .
Dire qu’aujourd’hui on ne peut imaginer Paris sans sa Tour Eiffel .
Quelle belle idée de nous parler des premiers pas du cinéma. Pour ma part, j’ai connu ce cinéma muet avec Charlie Chaplin, j’en ai vu des films en noir et blanc au cinéma, et j’ai vu la lente progression des films sans parole, aux films parlant, et du changement du noir et blanc vers la couleur. Tout un progrès ici, qui a été réalisé dans ce domaine du cinéma.
Je trouve que de présenter ce genre de documentaire, nous montre comme le tout a évolué, comme c’était difficile au début de faire des films de qualité et de réussir à faire comprendre l’histoire, quand on ne peut pas utiliser la parole. C’est magnifique le génie de ces gens qui ont créé ces histoires. Et l’imagination qu’ils ont du avoir pour développer ce cinéma pour qu’on ait ce produit aussi merveilleusement bien ficellé maintenant.
Voici une plante qui possède des attributs dont nous pourrions tous bénéficier. Le chanvre industriel nous permet de se doter d’une matière première écologique, apte à répondre à un mandat de développement durable.
Utilisé depuis des temps immémoriaux, le chanvre à permis à de nombreuses civilisations de croîtrent prospères, y compris celle des américains, jusqu’à la fin des années 1930. Pourquoi cette plante fibreuse est-elle disparu de nos champs? Simplement pour faire face au progrès (sic), permettre l’émergence des industries pétro-chimiques. (pour de plus amples informations, taper « chanvre industriel » sur votre moteur de recherche, ou aller sur le site « www.jackherer.com » dans la section « The emperor wear no clothes.)
Dans son application concrète, la transformation du chanvre pourra nous permettre d’alimenter en pâte à papier l’usine de Gaspésia et sauver nos forêts, ou encore de fournir la fibre textile pour alimenter les usines d’Huntingdon tout en diminuant notre dépandance au coton importé, ou encore produire de l’éthanol sans les pesticides et herbicides, nécessaire à la culture du maïs, qui empoisonnent nos terres et nos eaux.
Les multiples usages de cette plante nous permettra aussi de créer des usines de transformations locales et ainsi contribuer à diminuer l’exode rurale, tout en renouvelant l’apport économique et la fièrté de nos agriculteurs, redevenus acteurs principaux de cette nouvelle économie.
Si je peux vous demander un petit service, lorsque vous aurez faits votre petite recherche, lorsque vous aurez vu le reportage, faites comme moi et envoyez vos impressions et questionnements sur le sujet, au ministre du développement durable M. Thomas Mulcair. Qui sait, si l’intérêt est suscité par la population, peut-être sera t’il plus sensibiliser à la chose.
Ne craignez rien, nous produisons et importons déjà les produits du chanvre industriel, de l’Europe et de l’Asie. Nous sommes retardataires, c’est tout. Prenons-nous en main.
« On se débarasse de nos vieux vêtements ». En plus de recevoir des vêtements qui ne tiennent pas la route, ne dépensons-nous pas des montants inutiles en manutention pour envoyer ces vêtements désuets? Ne serait-il pas préférable d’utiliser cet argent pour le transport à d’autres fins? Ne peut-on pas permettre aux africains de décider eux-mêmes de la façon dont ils veulent utiliser nos dons?
En ce temps des Fêtes, nous cherchons la bonne conscience. Et nous croyons que le fait d’offrir ce qui traîne dans nos tiroirs, dans nos greniers, dans nos sous-sols est censé remplir de joie ceux qui le reçoivent. Ce qui n’a plus d’utilité pour nous en raison d’une usure trop grande risque de ne pas en avoir plus pour ceux qui le reçoivent. Il est important de donner mais encore faut-il le faire en sachant que les gens moins fortunés ont droit à un minimum d’attention.
En plus de nous débarasser de nos vieux vêtements, nous nous débarassons de notre nourriture et de nos vieilles guerres. L’Afrique semble être celle qui doive endurer nos déchets. On leur offre du blé modifié génétiquement et ils sont censés nous remercier pour toujours. On leur offre des armes et des conflits pour voler leur or et ils sont censés nous remercier de leur offrir quelque chose à faire de leur temps. On leur offre nos vêtements inutiles et ils sont censés nous remercier de porter des fringues qui n’ont aucune utilité.
Aller porter ses vieilles fringues aux friperies exige un déplacement plus exigeant que de les mettre aux poubelles. Mais que ce geste en vienne à servir des intérêts moins louables doit nous questionner. L’émission explique le cycle du traitement de ces vêtements ainsi que les conséquences sur le tissu social des pays destinataires des surplus.
Pourquoi ne pas innover avec des techniques de recyclage des tissus (on le fait bien pour le métal ou le papier) et les réintroduire dans le circuit de production. Les profits dégagés pourraient servir à favoriser le développement d’initiatives économiques de communautés africaines (par exemple : micro-crédit, travaux d’irrigation, agriculture communautaires, construction de centres sanitaires).
Cette activité devrait relever d’organismes possédant une expertise dans l’aide internationale.
Le vêtement ne peut se comparer aux autres biens de consommation mais peut se comparer à la nourriture…
Je peux m’acheter de la nourriture qui coûte très chère et ne pas manger mieux, je peux m’acheter des vêtements qui coûtent très cher et ne pas être mieux habillé. Y aura toujours une part de réalité et de subjectivité dans cette affirmation mais je crois qu’elle résistera à la critique !!!
Est-ce qu’on peut tomber dans la surconsommation quand on se procure des vêtements ? Bien entendu, on peut acheter 15 paires de chaussures, 4 manteaux d’hiver, 32 chemises, ETC. Mais mon point de vue est que je n’ai pas le choix de surconsommer en matière de vêtement parce que mon travail me l’exige… Je pourrais toujours changer d’emploi mais je ne le ferai pas uniquement parce que ça m’oblige à surconsommer des vêtements !!!
Moi je me fous de l’image que je projètte, mon employeur ne s’en fiche pas et je respecte ça alors je m’habille de façon à respecter des standards qui ne sont pas le miens. Par contre du côté de l’hygiène et des odeurs, ça je ne m’en fous pas !!! Oui je pourrais acheter moins mais je ne suis pas prêt à payer le prix !!! Voilà tout…
Bref, y a du vieux linge que je porterais encore et encore mais impossible de les porter au travail sans conséquences… Donc je m’achète du linge et encore du linge puis je donne ce que je ne peux pas continuer à porter…
Ce que je ne fais pas c’est de donner ce que ce je refuserais de me mettre moi-même sur le dos, le linge que je donne j’accepterais de le porter si on me le permettait…
Les vêtements que je donne sont la plupart du temps de beaux vêtements. Soit, ils ne me font plus, soit, je suis lasse de les porter. Je n’ai pas honte d’aller porter mon ballot au centre de redistribution. Si mes vêtements peuvent apporter un peu de réconfort à des gens moins chanceux que moi, ça me rend heureuse. On envoie les vêtements dont personne ne veut en Afrique ? Encore là, s’ils peuvent être utiles à quelqu’un, tant mieux ! Je ne crois pas que ça enlève des emplois aux Africains. Il y en a qui sont si pauvres qu’on a peine à l’imaginer. Ils n’achèteraient pas de vêtements de toute façon. Alors, qu’on leur procure un peu de décence, de chaleur, de réconfort, pourquoi pas ?
Les films muets avaient leur charme. Il fallait de la créativité pour faire passer le message, les émotions, etc…Je les regarde avec beaucoup d’admiration et…de nostalgie. Y’a tellement de conneries au cinéma que certains films auraient avantage à être muets…
Le chanvre, c’est mieux que le chancre..Héhé…c’est sûr. ;)
La grande dame de Paris m’impressionne toujours. Elle a de la classe et elle veille sur son peuple. Un documentaire à voir certainement. Y’a la pyramide du Louvre qui, elle, est affreusement horrible. Beurk!
Face aux reportages en pays étrangers et même face à ceux qui se font ici, prendre l’habitude de se questionner sur l’intention et le degré d’objectivité des reporters, déjà qu’un seul angle de la réalité y est généralement traité, est d’autant plus important que c’est souvent à partir de ces images et des commentaires qui les appuient qu’on se forge une opinion. Et si on nous imposait ainsi une opinion qui ne serait en fait qu’une vision très subjective d’une réalité beaucoup plus complexe, orientée par des croyances et des références culturelles inappropriées dans un nouveau contexte ?
Il y a quelques années, avant de me rendre à Moscou, les reportages ciblaient la misère du peuple russe. L’image d’une soupe populaire bondée revenait souvent pour illustrer ce point de vue. Et c’est sans compter l’idée répandue que les voyageurs prenaient de grands risques en choisissant cette destination. À Moscou, j’ai songé qu’un Soviétique en reportage à Montréal pourrait ramener dans ses bagages des images de l’Accueil Bonneau, d’itinérants couchés sur une bouche de métro, d’un mendiant désespéré sur le coin d’une rue, de policiers dispersant brutalement des émeutiers, d’un feu allumé dans une poubelle après un événement populaire et, pourquoi pas, d’un élève cerné qui dort sur son pupitre pour illustrer l’épuisement dans tout ce chaos des petits Québécois qui se présentent à l’école le ventre vide… et transmettre à ses compatriotes la vision orientée d’une ville plongée dans la misère.
Des amis mexicains étaient terriblement inquiets pour moi lors du Sommet du G7 à Québec, parce que leur télévision retransmettait sans cesse les images des forces spéciales mobilisées pour l’occasion et des agitateurs, opposants à la transnationalisation capitaliste, en action !
Combien d’Africains ont les moyens d’acheter local et se plaignent de cette aide providentielle, pensez-vous ? Combien d’organismes humanitaires ne prennent pas le temps de faire un tri ?
J’ai vu le documentaire sur ces friperies africaines et j’en ai retiré des leçons importantes que j’aimerais pouvoir vous partager. J’ai été heureuse que ce reportage ma fasse réaliser que ce que nous envoyons en Afrique ou même aux gens moins nantis de chez nous sont en fait des objets indésirables pour nous. Ce qui n’est pas bon pour nous n’a donc aucune raison d’être bon pour qui que ce soit d’autre. Et pourquoi devrait-il en être ainsi? Les Africains ont droit à leur fierté eux aussi. Ils ne veulent absolument pas acheter des vêtements déjà usés à la corde qui ne leur dureront pas longtemps, ils préfèrent bien plus acheter des vêtements peu usés qui sont plus neufs et qui vont leur durer bien plus longtemps. Il faut bien sûr comprendre que le documentaire ne nous présentais pas les Africains de Vision Mondiale qui crèvent de faim, mais plutôt des Africains moyen (selon moi).
Le documentaire nous a aussi informé du fait que comme les vêtements européens et américains sont portés par tout le monde, l’industrie du textile qui était pourtant florissante dans les années 70 est en train d’être tuée. Les femmes qui portaient autrefois le pagne portent aujourd’hui la robe occidentale.
Je crois donc qu’il est bien d’aider les personnes moins bien nanties, mais il faut faire attention de ne pas en faire trop. Ce que je veux dire par là est que nous ne devons par aucun moyen tuer une de leur industrie par nos gestes de bienfaisance. Oui nous devons les aider, mais nous devons surtout les aider à refaire leur propre économie.
Ne se retrouvent pas en Afrique seulement les vêtements que les organismes qui les vendent ne veulent pas. Je connais un organisme qui malgré que les gens viennent porter des vêtements pour garnir une charmante friperie, pour faire rouler celle-ci, pour être utilisés par la communauté, la directrice commence par trier les vêtements reçus pour remettre à ses proches africains ou pour les faire parvenir en Afrique.
Il n’y a donc pas seulement dans les pays éloignés lorsque l’on fait des dons que ceux-ci se retrouvent à être utilisés à autre chose que ce pour quoi on a donné.
Et si vous voulez dénoncer, naturellement, cela retombe sur les dénonciateurs… salissage de réputation, notes au dossier, provocations, avis disciplinaires, mise à pied non justifiée.
Et ne vous avisez pas de faire valoir vos droits pour retrouver les salaires perdus dont vous avez droit; tout sera mis en place pour vous donner tort.
Mais qu’est-ce que c’est que cette bouillie? Qu’y a-t-il d’avilissant à porter des vêtements encore bons, même s’ils ont déjà servis? Dans ma famille, on n’était pas riches et il est arrivé plus souvent qu’autrement que nos vêtements n’étaient pas neufs. Vous dire que ça m’enchantait serait exagéré. Mais je préférais 1000 fois porter un beau vêtement, un vêtement de qualité qu’un cousin fortuné m’avait refilé, que les pauvres fringues que mes parents avaient les moyens de nous payer. De la guenille, ouais.
Et puis, en ce temps là, je ne savais même pas qu’il était bon pour la planète de réutiliser les choses tant que faire se peut. C’est quoi le problème avec l’usagé? Je vais encore dans les friperies et j’y trouve souvent des pièces extraordinaires. Des choses très bien, des choses surprenantes! Tout n’est pas égal, mais le goût est aussi une affaire subjective, n’est-ce pas?
Alors là, je trouve qu’on charie pas mal. Si on peut plus recycler maintenant, sans passer pour condescendant, je trouve qu’on joue le jeu du système et que ça n’a rien à voir avec la dignité humaine et tout le respect que j’ai pour un peuple défavorisé.
La ré-utilisation des vêtements a toujours été un casse-tête. Il fut un temps où on nous proposais de tout remettre nos vieux vêtements à des organismes accrédités. Ceux-ci trieraient l’utile du non-utile et les fibres de cette dernière catégorie de vêtements seraient recyclées… et non pas envoyé en Afrique. Or voilà que l’on découvre maintenant que le recyclage de fibres est à peu près inexistant. À mon avis, la solution devrait plutôt résider dans ce procédé plutôt que de tenter de ré-utiliser des vêtements usés à la corde.
Personnellement, je mets toujours de côté les vêtements qui peuvent encore être portés. Et lors de mes voyages dans le Sud, (Cuba, Mexique, République dominicaine) j’apporte les vêtements d’été que je laisse aux habitants qui en ont bien de besoin. Au moins, je sais alors que ces vêtements servent une bonne cause!
Juste lire le petit récit que Steve Proulx a écrit sur la tour eiffel m’informe déja un peu et en écoutant historia ce samedi ma informer énormément à ce sujet.Y a beaucoup de chose que j’ai appris que je connaissais pas sur la tour eiffel.Excellent documentaire
La tour Eiffel porte ce nom car c’est le nom de la société Eiffel mais derrière ce nom ce sont les ingénieurs Koechlin et Nouguier qui conçurent la tour Eiffel. Au départ la tour est née du fait d’un concour du ministère du commerce qui consistait à ériger une tour de 300 mètres de haut par 125 mètres de largeur. Il y eu 700 projets soumis et c’est celui de la société Eiffel qui fût retenue. On ne retient de l’histoire que le nom de monsieur Eiffel mais c’est un peu comme si le nom du stade Olympique s’appelait stade Lavalin.
La tour qui devait être détruite après la fin de l’exposition universelle de Paris fût reconvertie dans le domaine militaire puis dans le civil avec l’ajout d’une antenne émettrice.
Personnellement j’aime bien la tour surtout lors de son centième anniversaire lorsqu’elle était totallement illuminée.
Aussitôt que j’entends le terme »cinéma muet », c’est à Charlie Chaplin que je pense. C’est à la lecture de sa biographie, lue il y a de nombreuses années qu’il est devenu mon idole. Par la suite, je me suis confortablement calé dans mon fauteuil préféré pour constater de visu, toute l’ampleur de son génie. Inspiré de son enfance pauvre des bas-fonds londoniens, il a crée le personnage de Charlot et son imagination créative s’est transposée en ce qui est devenu de la naissance du 7 ième Art. Lorsque l’on savoure »La Ruée vers l’Or » tourné au alentour de 1925, il est remarquable de constater de vrais effets spéciaux alors que, tenaillé par la faim, son comparse de fortune s’imagine le voir en immense poulet. Et Chaplin de s’impliquer dans tous les aspects du film à savoir scénario, musique, réalisation, production, distribution tout en y étant l’acteur principal. Adulé, il en fût la première star. Il fût l’Inspiration maîtresse dans ce divertissement, si apprécié de nos jours, en y installant les bases de références indéniables. Un documentaire de cet ordre nous rappelle tout le chemin parcouru depuis près d’un siècle.
Dans les différentes campagnes de »donnez généreusement », entre les sous et la nourriture non périssable, vient maintenant les vêtement, de plus en plus populaires… J’avoue que l’idée est bonne. Mais j’apprends qu’après un séjour en friperie de chez nous, les vêtements s’en vont faire un long voyage vers l’Afrique où ils sont en train »d’américaniser » les habitants en leur transmettant des valeurs purement occidentales-industrialisées… Et leur coutumes, habitudes et mode de vie? Qu’est-ce qu’on en fait dites-moi? Je crois que nos bonnes intentions devraient être revisées…
Et en dernier lieu, j’avoue qu’il m’arrive de faire des sacs de linge à donner… Mais bon, vont un peu de plus près. Tout d’abord, je ne mets pas dans le sac des trucs troués, usés à la corde ou par exemple des chaussures qui prennent l’eau. Je mets des pièces de vêtements qui ne me font plus ou que je n’ai pas porté depuis plus de un an. Ensuite, je fais le tour des amies, si il y a des trucs qui leur plairaient et je leur donne ou on se fait des soirées d’échange. Un collier ou un chadails que je ne porte plus pourra faire le bonheur d’une amie. On consomme souvent trop, et trop vite… Avec des sacs, je vais ensuite dans un organisme oeuvrant en réinsertion sociale… Et attention aux organismes qui se font du profits sur les gens dans le besoin en »vendant » les vêtements…
Dans le système de la récupération des vêtements, ce qui me dérange le plus est le fait que ce soit des entrepreneurs qui souvent en font le commerce, trouvant ainsi à s’enrichir sur le dos des plus pauvres. Quand ces vêtements passent directement des consommateurs aux utilisateurs, par coopératives ou pas organismes à buts non lucratifs interposés, je n’ai pas les mêmes réserves. Tant mieux si ces mêmes organismes pouvaient refaire des vêtements neufs à partir ce ces fibres, mais comme ces bonnes intentions ne trouveraient pas souvent, pour ne pas dire jamais, à se concrétiser, il vaut mieux que les vêtements trouvent quand même leur chemin vers d’autres utilisateurs.
Quant au cinéma, avant de devenir parlant, le beau documentaire qui en refait l’histoire nous montre à quel point il a été difficile d’en arriver au cinéma parlant. Il a fallu inventer toutes sortes de procédés, du disque accompagnateur des images aux tehniques permettant de photographier le son, avant que l’on ait un cinéma parlant digne de ce nom. Depuis lors, d’un art qu’il était au début, le cinéma est devenu un commerce et une industrie dont des multinationales se disputent les parts de marché. Il est bien loin le temps du Charlot poète qui savait qu’il n’était pas nécessaire de parler pour se faire comprendre.
Je suis parfaitement d’accord avec la réaction d’Yves Bolduc à propos des ablonis. C’est déjà assez dur de demander au cher nord-américain moyen de diminuer sa consommation, de réduire sa quantité déchets. Maintenant, on va le culpabiliser parce qu’il se débarasse de ses vieilles fringues au profit des moins nantis.
Si ce même consommateur est assez mouton pour se faire dire que son linge est démodé, s’il est fatigué de le porter, je ne vois aucun mal à ce que ses vêtements se retrouvent chez les défavorisés.
Ces gens-là n’ont pas les mêmes valeurs.
Nous avons tout mais malgré tout, nous sommes les champions avaleurs de Prozac et cie.
Ils n’ont rien et toutes les raisons d’être tristes? Non. Et c’est ce qu’on constate en voyageant un peu. Leur sourire exprime plus que celui qui veut vous montrer le résultat de son dernier blanchiement. Le sourire vrai d’une communauté qui goûte la vie.
Est-on en train de nous dire que le chanvre est banni parce qu’il y a des variétés suspectes ?
Je serai bien intéressée par ce reportage du moins pour m’assurer qu’on ne cherche pas à restreindre la production de cette plante à cause des effets de la marijuana . On se croirait au temps de l’inquisition et de la chasse aux sorcières. Ne vaudrait-il pas mieux se documenter pour s’assurer des riques réels et des façons d’identifier les variétés à risque ?A vouloir nous protéger, on risque de se restreindre et même de se priver de bien-être recherché. Il semble que nous ayons encorer de la difficulté à obtenir les informations complètes à temps . Les études et analyses sont parfois très longues à effectuer pour qu’on sache vraiment à quoi s’attendre. Les techniques sont en perpétuelle améliioration . De l’efficacité, de la rapidité on veut tout savoir , mais le temps est encore le facteur qui nous opresse.
Je me demande comment on peut répartir nos richesses si on ne peut même plus donner sans se sentir mal. Je ne pense pas que c’est le cas de tout l’Afrique qui est rendu assez riche pour cracher sur du linge qui pour nous n’est plus très bon. Je pense que de parler des Africains en général est une grosse erreur parce que plusieurs pays ont les moyens de se payer du linge au lieu d’aller quémander la charité d’Amérique. Je crois que ceux qui sont vraiment pauvres là-bas, veulent encore plus de vêtements. Je me demande si c’est vraiment les pires morceaux qui sont envoyer en Afrique. Moi, je suis sûr que les personnes qui s’occupent des ces friperies africaines se servent et ensuite offre la balance aux autres personnes dans le besoin. Ça je trouve ça déplorable et les pays qui envoient n’importe quoi dans les pays pauvres devraient aussi superviser, parfois sur place, pour s’assurer que tout le monde a accès à ces donnations. En souhaitant qu’un jour l’homme sera moins égoïste en commençant bien sûr pour moi-même !!
En parlant du chanvre commercial, je pense que c’est un secret bien gardé et taboo en même temps. J’aimerais bien savoir ce que serait devenu le cotton s’il se fumait!! En tout cas, c’est une industrie qui va avoir son heure de gloire quand nous chercherons des alternatives pour remplacer le pétrole.
Le chanvre en tant que tel n’est pas un agent à effets hallucinogènes et peut être utiliser à la fabriquation de divers produits. Les gens ne veulent cepandant pas trop l’exploiter à cause de la plante mal vue par les yeux du public. Mais pourquoi pas l’industrialiser ce nouveau matériaux ? Vrai, il ne coute pas cher, la plante ne demande pas trop de soin et avec tout ces produit, c’est une industrie très très rentable qui pourrait en voir le jour et ce 100% naturel. Renseignez-vous un peu plus sur le suget mercredi soir 21h à Télé-Québec.
On en est rendu qu’on doit maintenant choisir de quelle sorte de charité on se doit de faire pour ne pas vexer les moins bien nantis ! Mais dans quelle sorte de société vivons-nous ? Est-ce que donner un chèque de BS vexe les personnes qui le reçoive ? Non mais il faut arrêter de faire rire de nous ! Quand j’ai du linge potable que je ne mets plus , je le donne plutôt que de le jeter . Si ça peut servir à quelqu’un , tant mieux ! Si ce ne sont pas des gens d’ici qui en veulent , bien qu’on l’envoie en Afrique ou n’importe où ailleurs dans le monde . Si vraiment ces africains n’en veulent pas (ce qui me surprendrait car mes cochonneries je les jettent) bien qu’ils s’en servent pour faire de la récupération et qu’ils en tirent un profit . Qu’on ne vienne pas me faire pleurer avec leur fierté , quand on donne on le fait pour une bonne cause , pas pour se faire dire qu’on risque de vexer des égos . Quand on crève de faim , on mange ce qu’on nous donne , quand on gèle bien on s’habille avec tout ce qu’on peut . Va t-il falloir que je laisse de l’argent dans les poches de mes vieilles fringues pour que ces susceptibles puissent aller choisir leurs vêtement eux-mêmes dans le magasin général en paille du village ? Non mais je rêve ! Je donne des vêtements d’enfants à mes proches et aux personnes dans le besoin et tous l’apprécient , ils prennent ce qui fait leur affaire et ils disposent du reste comme ils veulent . Je n’ai jamais offusqué personne par mes dons . J’ose espérer que le peuple africain va me pardonner de vouloir les aider !!!!!
j aime le canada et j aime comment vous étes dans votre vie
un citoyen marocain qui s appélle jamal
L’article à propos des ablonis me laisse perplexe. De quelle façon les Africains vont-ils se départir de leur pauvreté si on continue à agir de la sorte envers eux ? Avec les organismes internationaux, les pubs de Vision Mondiale et les médias qui nous montrent toujours des femmes et des enfants affamés, on dirait qu’il existe une volonté de les laisser dans cette situation. Ils ont faim ? Vite, des denrées périssables ! Ils ont besoin de sous ? Vite, de l’argent dans la p’tite boîte au supermarché. Ils veulent se vêtir ? Envoyons-leur nos vieilles fringues. Et leur fierté dans tout ça, leur sentiment d’accomplissement ? Ce n’est pas leur rendre service que de les aider constamment. C’est plutôt les gouvernements africains qui devraient s’ouvrir les yeux et passer à l’action. Parce que des pauvres, il y en a aussi ici. Et à mon avis, vaut mieux aider ceux qui sont près de nous en premier.