TSUNAMI
Le 26 décembre 2004, un tsunami filant à 700 km/h ravageait les côtes de l'océan Indien, emportant quelque 300 000 vies en Indonésie, au Sri Lanka, en Inde et en Thaïlande. Un des pires cataclysmes de l'humanité. Mais aussi l'un des plus documentés. En fait, jamais une catastrophe naturelle n'aura été croquée par autant de cinéastes amateurs. Armés de leurs caméscopes, ils ont filmé l'arrivée de la vague et chaque étape de son parcours destructeur. Grâce à ces images, les scientifiques peuvent étudier la formation du tsunami. Et comprendre pourquoi il a fait tant de victimes. Un documentaire troublant à Télé-Québec, le lundi 26 décembre, 20 h. Le même jour, TQS présente une émission spéciale sur le même sujet: Les Vagues mortelles, à 20 h. RDI ira aussi d'un documentaire, La Vague qui a secoué le monde, à 10 h.
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NOMADE
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| Nomade, du Cirque Éloize. Bonjour l'envoûtement! À CBC. |
Il n'est jamais simple de restituer au petit écran la magie d'un spectacle de cirque. Ici, l'exercice est réussi. Ambiance gitane, festive. Des violoneux sur scène, d'autres qui tapent du pied. Hormis les acrobates, la poésie du Cirque Éloize se démarque nettement de celle du Cirque du Soleil. La version télévisée du spectacle Nomade, enregistré l'hiver dernier dans le cadre de Montréal en lumière, est un voyage au pays des rêves. À CBC, le jeudi 22 décembre, 20 h.
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INFOMAN 2005
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| L'année 2005 enterrée par Infoman. À Radio-Canada. |
Si Jean-René Dufort n'était pas Jean-René Dufort, il se serait probablement moqué de "l'affaire Jean-René Dufort". Le fera-t-il dans sa revue de l'année? Pour l'autodérision, pourquoi Infoman n'enquêterait-il pas sur cette histoire d'amour obsessif qui lui a fait perdre son job à CKOI? Il pourrait interroger ceux qui connaissent tous les potins de nos vedettes. Par exemple, la recherchiste en chef de l'émission Star Système. Coïncidence, c'est sa blonde… Petit monde. Sérieusement, je me contrebalance de savoir pour qui bat le cœur de Jean-René Dufort. C'est de la chair à tabloïds de supermarchés. J'exige toutefois de cet Infoman qu'il me dilate la rate juste avant la fin de l'année 2005. Question de santé mentale… À Radio-Canada, le samedi 31 décembre, 22 h.
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DALIDA
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| Sabrina Ferilli incarne Dalida. À TV5 (ou TVA) Photo: Bernard Barbereau |
Une situation inusitée: TVA a acquis les droits exclusifs du téléfilm Dalida, mais TV5 le diffusera avant… Racontant la vie houleuse de la grande diva venue d'Égypte, il met en vedette Sabrina Ferilli dans le rôle de la reine des années disco. Portrait bouleversant d'une artiste exceptionnelle, au destin tragique. Présenté en deux parties de 90 minutes à TV5, les mercredis 28 décembre et 4 janvier, 21 h 30. Pour les non-câblés, voyez-le à TVA, en quatre parties d'une heure, dès le 4 janvier, 21 h.
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L'ÉTÉ, C'EST PAS JUSTE NOËL
Le camping du Domaine de Rouville n'est pas seulement le plus vaste au Québec, c'est aussi là qu'on a inventé, en 1962, le Noël du campeur. Probablement la tradition la plus kétaine des dernières décennies, les adeptes trouvent néanmoins ce Noël vert plus familial et moins commercial que le traditionnel Noël blanc… Décryptage d'un phénomène. À Télé-Québec, le vendredi 23 décembre, 21 h.
En cette période des fêtes, les télédiffuseurs savent pertinament que les gens ne sont pas devant leur téléviseur, mais plutôt dans les magasins et en famille. Voilà pourquoi ils nous concoctent des émissions plus ou moins intéressante et aussi pourquoi TVA se fiche pas mal que TV5 présente sa série DALIDA durant la période des fêtes. La côte d’écoute du 28 décembre sera sûrement bien maigre.
Pour ce qui est du Tsunami, je suis bien contente qu’ils puissent étudier le phénomène grâce aux multiples heures télés qu’ils ont filmés, par contre, je me demande si tous ces gens qui ont été sur place pour filmer, avaient été là plutôt pour aider ces gens à la place est-ce qu’on aurait mieux servi la cause, je crois que oui. C’est comme une personne qui en filme une autre qui est sur le bord de faire quelque chose de dangeureux ou qu’on sent qu’il peut se faire mal, et qu’à la place de faire quelque chose pour elle, il continue à filmer, car il va pouvoir envoyer sa cassette à drôle de vidéo et peut-être gagner un prix….
Pour ce qui est du cirque Éloize, on a beau me dire que c’est aussi bon à la télé qu’en personne, je suis, personnellement incapable de regarder ce genre de chose à la télé, c’est d’un ennui mortel. L’effet grandiose, risqué, énervant, n’est pas là. Il faut le vivre en personne.
Et Jean-René Dufort, je n’ai rien contre INFOMAN, mais je m’ennuie encore des bons vieux bye-bye traditionnel. Oui on bitchait le lendemain du bye-bye, mais on était là à le regarder à chaqeu année. Tandis que maintenant, le 31, je ne la regarde plus la télé.
J’ai découvert Jean-René Dufort avec « La Fin du monde est à 7 heures » et depuis, je suis bien contente chaque fois qu’il apparaît dans le paysage télévisuel. (Pas à la radio, toutefois, car s’il est un poste qui m’insupporte, c’est bien CKOI fm : une nanoseconde d’écoute et j’ai envie de prendre du Ritalin !)
Quant à « L’affaire Jean-René Dufort » et la revue « Star Système », je n’éprouve aucun intérêt ! Tout ce genre de potinage est basé sur la compulsion au dénigrement. De se régaler des déboires de la vie des artistes n’a selon moi rien de très sain.
Si je veux connaître la nature humaine, je préfère me fier à La Rochefoucauld qu’au « Lundi »…
La médiatisation attise les esprits curieux et avides de sensations,,,
la misère, les cataclysmes, les accidents en direct émeuvent et touchent plus que les les écrits et les voix.
Jamais autant d’argent n’a été réuni pour une cause que pour les catastrophes liées au tsunami.
La violence des vagues emportant tout sur leur passage ont eu raison de nos porte-monnaie avec plus de vigueur que pour des images sur des villages criant famine.
La force de la nature, façe à laquelle nous sommes si impuissants nous toucherait-elle plus que la famine ?
moins spectaculaore au niveau des sensations qu’exerce l’image d’une déferlante ?
J,espère comprendre pendant ce reportage la puissance de ce phénomène.
L`émission Infoman est une émission qui m`informe, me divertit, me faire voir les deux côtés de la médaille. Je suis convaincue que derrière les images que l`on voit, il y a un ttravail fou fait par des gens qui ne comptent pas leurs heures de travail, des passionnés comme on dit. Pour notre plus grand bonheur.
Quand à savoir les dessous de l`histoire de Jean-René Dufort et de Normand Brathwaithe, je le dis haut et fort:C`est pas de nos affaires!
Alors vivement la revue de l`année avec Jean-René et son équipe qui se sont surpassés pour trouver la Vérité dans toutes les magouilles de la politique.
Le terrible tsunami qui a déraciné presque tout sur son passage et qui a pris la vie de bien des gens a fait beaucoup parlé de lui et tout le monde s’est mobilisé pour aider les sinistrés. Tout le monde était solidaire face à cette énorme catastrophe naturelle et on ne pouvait pas expliquer pourquoi s’était arrivé. Ça était une grande affaire et j’ai envie d’en apprendre encore plus sur ce terrible drame. Je pense que ce sera un bon reportage et que ça fermera bien le dossier en quelque sorte. J’espère qu’ils vont nous montrer à quoi ça ressemble maintenant. Mais même si le dossier est clos du côté des médias, jamais les gens ne pourront l’oublier.
Les gens semblent penser que les gens qui vivent dans les campings sont des kétaines du style du film Camping sauvage . J’espère que ce documentaire de TéléQuébec rendra justice à ces milliers de québécois qui investissent dans un mode de vie .
Il y a beaucoup de préjugés à notre égard . Les gens semblent penser que nous passons notre été à fabriquer des clotures en bouchons de bouteilles de bière ou en décorant nos arbres de canettes de bière entre deux parties de pétanque . Je dois dire que dans certains campings on voit ce genre de situation mais il ne faut pas généraliser .
Prenez la dernière fin de semaine de juillet . Il fait beau . Il fait chaud . C’est vrai que la population triple . La famille vient s’imprégner de ce Noël de style floridien , car les retraités investissent beaucoup dans les décorations . Allez dans ces magasins à un dollar qui sont situés près d’un camping et vous pourrez en juillet vous procurer des guirlandes , lumières ou autres décorations que vous trouverez seulement en novembre dans votre grande ville . La semaine d’ensuite vous pourrez vous procurer vos sorcières , fantomes etc pour l’Halloween du campeur qui suivra bientôt .
Même le curé de la paroisse participe et célèbre la messe de minuit .
J’ai été un peu déçu de la réaction de Jean-René, il aurait dû être égal à lui-même et ne pas entrer dans la danse. Que cela soit vrai ou non, pour son bien il aurait mieux fait de se taire au lieu d’en débattre sur la place public. J’aime bien le personnage, ce qu’il fait de sa vie privée ne me regarde pas et ne veut pas en connaître les tenants et aboutissants. Ce que je jeux par contre c’est qu’il continu sont bon travail et c’est ce qu’il fera certainement si les autres (journaliste, médias et j’en passe) lui laisse la chance de le faire. Pourtant il ne marche sur les plates bande de personne alors de quoi ont-ils peur ?
J’ai toujours adoré Infoman: sa façon unique de voir l’actualité et d’en rire m’a toujours fait sourire au plus haut point. Et son spécial de fin d’année devenu pour moi une véritable tradition n’y échappe pas. Autant il est intéressant de tout revoir ce qui s’est passé durant l’année, autant que de le faire avec de l’humour ravira tout le monde. Jean-René Dufort est un drôle de personnage, et soyons tous au rendez-vous pour bien se remémorer l’année!
Se rappeler du tsunami le 26 décembre a de quoi saisir le coeur. C’est un épisode d’une telle tristesse! Des gens qui vont être happés par les vagues filment jusqu’à la dernière seconde. Ils sont morts et nous, on regarde ce qui va les emporter. Frissons. Je ne suis pas certaine que ça me tente de me rappeler de ça le lendemain de Noël. Oui, je sais, c’est une question de date. Bon, d’accord, je ne fais pas preuve d’humanité, mais au moins, je suis honnête. Et puis, avec le Québec qui a manqué le train du Congrès sur les changements climatiques et les USA qui semblent si peu tirer de leçons de Katrina et des autres…Me sens moins coupable.
Infoman; Jean-René Dufort se montre parfois sous un jour intelligent, mais parfois, il frôle l’ado un peu attardé. Les histoires de harcèlement…ce qui est intéressant là-dedans, c’est que dans tous les milieux, ça peut se produire et que là, on est dans le domaine artistique. On nous a tant habitués à tout connaître de nos artistes…Ce n’est pas de nos affaires, vous avez raison, tant que ça n’affecte pas ce qui se passe en ondes. Pour le reste, ce n’est qu’une autre triste histoire…comme tant d’autres. J’ai quand même hâte à la revue de l’année 2005.
Le Noël des campeurs…Seigneur! J’ai de la misère à me sortir du Noël ordinaire…C’tu un film d’horreur ça ?
J’ai bien aimé le concept des petits sketches mis en scène par René-Richard Cyr au Gala des Masques. Une façon dynamique de familiariser le téléspectateur avec les rouages d’une production théâtrale. Chaque phase du processus de création décortiqué afin d’en mieux saisir les multiples étapes, de la rédaction d’un texte à son interprétation finale. Le ton burlesque a contribué à démystifier les arts de la scène tout en servant de liens pour la remise de trophées. L’idée étant de permettre à un plus large public de s’identifier au couple Brière-Lavallée personnifiant deux néophytes à qui les coulisses du théâtre étaient révélées. Est-ce que la formule a plu ? Les commentaires des internautes me le révéleront.
Dalida est devenue une légende. C’est peu dire. Le Président Mitterand l’adorait. Les hommes en général aussi pour qui elle représentait la quintessence de la féminité. Ses chansons que j’ai toujours trouvées ordinaires sont devenues des classiques. Son sex-appeal et sa longue chevelure de feu ondulante, inséparables de son tour de chant. Moi, elle me tombait sur les nerfs. J’ai toujours trouvé qu’elle chantait faux. Mais j’ai probablement tout faux moi-même. Ce téléfilm sur sa vie mouvementée et tragique saura captiver tous ceux et celles qui ont toujours eu un faible pour Gigi l’amorrosa.
Que faites-vous de la saga télévisée de l’avant et de l’après Jean Paul II? Benoit XVI qui lui a succédé ne fait pas le poids, on l’a dit et redit. Et cet autre départ à peine souligné de Sol avec cérémonie intime pour intimes seulement. Mais le top du top de 2005 c’est Nathalie Simard pour son audace et son aplomb.
L’arrivée d’André Boisclair a changé la donne de la politique future du Québec. La chute vertigineuse de Paul Martin et du scandale des commandites qui l’a précédé est une toute autre histoire. C.R.A.Z.Y. est sorti vainqueur et il est même sélectionné comme meilleur film en langue étrangère pour les prochains oscars. Ne parlons pas des conneries de Jean Charest et de sa gang.
2005! Bof! Une année comme les autres si on modifie les noms et lieux mentionnés. On se tanne à la longue des redites des médias, tous à la recherche du scoop de l’année. On se change les idées avec des potins si anodins soient-ils du moment que l’on sort du brouhaha journalistique. Il y a eu le grand gignol des élections municipales de Montréal et qui fait encore rire à qui mieux mieux.
Mais le bottom du bottom de 2005 c’est l’arrestation spectaculaire de la jeune femme Péladeau dans les circonstances que l’on sait, grâce à l’hélico de surveillance de la circulation pour TVA. C’est à peine si on a pu lire un entrefilet dans les pages de voir.ca, un hebdomadaire pourtant à l’affût constant (ce qui est une bonne chose et tout en son honneur). Il aurait été nécessaire que l’on pousse plus loin une enquête sur les agissements grotesques de la police de Montréal. Mais on a bâclé l’affaire devant la superpuissance de Québécor. Souvent on fait tout un plat avec des histoires moindres et à qui on donne une importance démesurée, question de garder l’audimat à l’écoute.
Bref, Jean-René Dufort et consoeur me semblent bien secondaires dans le contexte général. S’il fallait s’arrêter à chaque fois que quelqu’un pète de travers on n’avancerait jamais.
Des Fêtes relax à tous(es).
Ah, le tsunami, une catastrophe qui en a touché plusieurs et qui a brisé des miliers de familles… C’est profondément triste, et cela, je le concède. Par contre, ce qui est encore plus triste, c’est que lorsque des tragédies du genre se produisent dans des régions économiquement importantes, le monde réagit et devient tout-à-coup plein de bonne volonté et de solidarité. C’est louable, mais c’est démesuré! Lorsque la famine et la guerre s’évissent pendant des mois voire des années en Afrique, personne ne réagit. En Mogolie, quand des jeunes enfants vivent dans les égoûts et se voient obligés de vendre leurs frères et soeurs pour tenter de survivre, personne ne bronche. La Mongolie, l’Afrique, il n’y a pas d’argent à faire avec ça! L’Asie par contre… En plus, cette misère humaine ne fait même pas un bon spectacle pour la sacro-sainte télévision alors personne nous en informe! Là est le réel problème. Un seul poid, pourtant, deux mesures!
D’un autre côté, notre Jean-René Dufort national fait bien des bêtises, certes, mais c’est sa vie privée et, personnellement, j’en ai rien à cirer! Respecter la vie privée, c’est une vertu qui s’effrite de plus en plus comme dans l’affaire des Simard! Par contre, la rétrospective annuelle d’Infoman vaut la peine d’être écoutée ou, du moins, enregistrée si l’on est trop occupé avec nos convives! Je crois que ce regard sur l’année à travers les yeux de M. Dufort est une façon de permettre de dire publiquement ce qu’une large majorité pense tout bas!
Tsunami :
C’est vraiment une bonne idée que de nous offrir un reportage pour mieux comprendre pourquoi les tsunamis font autant de victimes car je trouve cela totalement incompréhensible! Une bonne façon aussi de commémorer ce l’endemain désastreux de Noël, survenu en Asie du Sud-est, il y a de cela déjà un an…
Nomade :
Aller voir le cirque Eloize en spectacle, c’est aussi se garantir une soirée dés plus réussie. Je peux dire que j’avais été agréablement surprise par les talentueuses prestations qu’avaient offerts tous ces trapézistes, gymnastes, jongleurs, équilibristes et perchistes, lors de leur passage à Ottawa. Leur chorégraphie étaient superbes à voir. Le spéctacle Nomade devrait nous offrir un spectacle haut en couleur et fort intéressant!.
L’an passé j’ai regardé le spécial fin d’année d’Infoman et je suis resté sur mon appétit.
Les sujets étaient abordés de façon soporifique et pas tellement drôle . Mais ce qui ma laissé
un goût amer c’est cette complaisance et le cabotinage de l’animateur avec une actrice du
scandale des commandites ( quoiqu’elle en dise ) qui alimentait la discussion à cette époque.
Sheila Copps à la télévision québécoise à ce moment là c’était insultant.
Je m’ennuie beaucoup des Bye Bye avec Dominique Michel et rien jusqu’à ce jour n’a réussi
a le remplacer et de loin ! Dommage !
J’ai vu le téléfilm Dalida au printemps dernier, lors d’un séjour en France. Présenté aussi en deux épisodes, celui-ci se révèle fort bouleversant autant pour les éternels fans de la chanteuse que pour ceux qui, comme moi, n’ont jamais été particulièrement touchés par son oeuvre mais souhaitent connaître davantage la légende qu’elle est devenue depuis sa mort.
L’actrice qui joue Dalida ne lui ressemble pas vraiment sur le plan physique. Pourtant, son talent et son charisme font qu’on y croit sans le moindre problème et qu’on a l’intime sentiment que Dalida, c’est bien elle. Le film évite de plus agréablement les gros clichés trop mièvres.
À voir donc…
Depuis le 26 décembre 2004, on peut dire que le mot tsunami a été utilisé plus d’une fois. Ce fut une catastrophe ce raz-de-marrée, à un point tel que les gens on maintenant peur de voyager…ou de laisser quelqu’un d’aimé partir! On craint toujours que quelque chose d’inattendu arrive! Peu importe, cette catastrophe a permis à une tonne de gens de connâitre un nouveau mot: TSUNAMI! Est-ce dans le dictionnaire? Peut-être dans la nouvelle édition…
Jean-René Dufort, journaliste humoristique ou humoriste journaliste ?
Il en est les deux à la fois. Néanmoins, il n’est jamais vulgaire. Il est certainnement appuyé
par une équipe responsable. Il est respecté de tous ceux qu’il rencontre lors de ses entrevues, en particulier les politiciens qui ont le sens de l’humour. Les fraudeurs et autres
personnages farfelus, ainsi que ceux qui ont quelque chose à se reprocher, l’ont en horreur.
Sa vie privée, elle me laisse indiférent. Mais, ces personnages ont-ils une vie privée ?
Les journalistes à potins recherchent les anecdotes croustillantes. Ça fait vendre des copies
et hausser les cotes d’écoute.
Que ceux et celles qui sont sans reproches se lèvent !
Pourtant les tsunamis existent depuis des siècles et personne ne peut les prévoir à l’avance à moins que leur épicentre soit vraiment éloigné des côtes . J’espère qu’avec le drame vécu en Indonésie et avec les outils audio-visuels qu’ils ont en leur possession que les scientifiques vont mieux comprendre le pourquoi d’un tel désastre et être mieux armé à l’avenir pour y faire face . J’ai hâte à ce reportage pour vraiment savoir où en sont rendus nos recherches sur ce type de cataclisme.
J’ai toujours trouvé ça un peu niais…un peu quétaine, disons-le ! Le Noël des campeurs, à mettre à votre agenda en été, tout comme la visite du village du Père Noël et ses glissades d’eau avec le vieux bonhomme Coca-Cola version bermudas et écran solaire sur le nez ! Non, mais franchement ! Noël autour d’un feu, chanter le p’tit renne au nez rouge à la guitare sèche et les briquets allumés ! Le cadeau idéal en ce pseudo-temps-des-Fêtes ? Une lotion contre les moustiques et le maudit virus du Nil ! Je n’avais pas beaucoup d’attrait en partant pour le camping, alors y fêter Noël encore moins ! Nous, les québécois, sommes très attachés aux traditions. Pour moi Noël, c’est le 25 décembre, ça se passe en famille au coin du feu, y’a les cadeaux d’un bord, la tourtière et la dinde de l’autre. C’est ça, la magie de Noël. Pis Noël, c’est blanc, c’est pas vert !
Il fut un temps où, pour presque tous les Québécois, la soirée du 31 décembre se déroulait dans le salon, assis bien au chaud à écouter la télévision. On lançait un « Bye-Bye » retentissant à l’année bientôt derrière nous, accompagnés des Dodo, André-Philippe Gagnon et autres Patrice L’Écuyer, responsables du spectacle de variétés le plus couru qui soit. On procédait même au décompte des dernières secondes annuelles en direct devant notre téléviseur. Depuis, on s’ennuie de rire de nos politiciens et de nos artistes, parodiés par nos comiques les plus généreux. Si le Théâtre du Rideau Vert tente ce mois-ci l’expérience de renouer avec la revue de fin d’année avec leur « 2005 revue et corrigée », c’est au clown journaliste Jean-René Dufort que revient la palme du meilleur baume sur nos coeurs.
En effet, pour la 4e ou 5e année consécutive, Dufort nous concocte un spécial d’une heure de son émission « Infoman », composé des meilleurs extraits de celle-ci ainsi que de plusieurs reportages loufoques et rigolos préparés spécialement pour l’occasion. Au menu, politiciens déroutés, faits insolites débusqués et audacieux périples aux quatre coins de la planète médiatique. L’homme aux mille surprises se défend bien de faire de l’information-spectacle. Vulgarisateur pertinent, observateur impertinent, l’Infoman n’a que faire des étiquettes, ce qui ne l’empêche pas ici et là de glisser des messages d’intérêt social à son public, que ce soit par l’entremise d’un humour juvénile ou d’une enquête scientifique mi-sérieuse, mi-songeuse.
On aurait tort de se priver d’un divertissement aussi intelligent que bon enfant. Une excellente façon de dire adieu à 2005 en riant un peu des événements et des personnalités qui l’ont marquée ou nous ont fait grincer des dents. Je me fiche bien de l’affaire CKOI, c’est Infoman que j’attends… Tous à bord de l’Info-coptère !
Le tsunami du 26 décembre 2004 a fait plus de vagues que les seules vagues que ses flots meurtriers ont roulé sur des plages de pays lointains. Si elles ont aussi atteint nos rives par moyens médiatiques interposés, c’est qu’elles y ont aussi fait des victimes américaines et européennes qui ont transformé ainsi un paradis de vacances en enfer. Je ne crois pas que les réactions de sympathie et d’aide auraient été absentes s’il n’y avait pas eu de touristes parmi les victimes, mais leur présence a certainement amplifié cette vague de choc jusqu’à nous. Ces bons sentiments envers les populations locales que le tsunsami a suscités ressemblent ainsi à de la charité, comme celle qui s’empare des citoyens nantis à l’approche des fêtes. D’ailleurs, l’aide pour la reconstruction se fait maintenant plus discrète ou plus rare pour les locaux qui vivent maintenant dans la précarité.
Sur une autre plage horaire, le reportage sur le camping du domaine de Rouville est des plus hilarant. Le degré de kitch dont il est la manifestation est à son comble, de quoi donner des airs intellectuels au climat dans lequel baignait le film Camping sauvage. Le camping de Rouville avec cette célébration de Noël en juillet devient le pire exemple de dérive culturelle. On s’y croirait dans un de ces campings que les québécois recrées quand ils sont en Floride pour y fêer Noël comme s’ils étaient au Québec, à cette seule différence que la date n’est pas la même. C’est à mourir de rire.
Pauvre Jean René, si quelqu’un attend impatiemment de pouvoir tourner 2005 c’est probablement lui. D’entrée je confirme mon penchant pour son humour grincant qui demande parfois d’entendre plus loin que les mots dits. Encore et toujours défiant face à son sujet, Infoman c’est pour moi le sérieux du ridicule. Mais l’homme avait il besoin de la mauvaise presse qu’il a recue depuis quelques semaines ?
Et bien on récolte de temps à autre ce que l’on sème. Jean René aura aussi réussi à me faire comprendre qu’à trop parler on se frappe plus souvent qu’autrement le nez au mur. Désolé mais celui-ci a perdu cette année une certaine crédibilité à mes yeux et à ceux de plusieurs. Non pas que les potins amoureux de uns et les accusations des autres m’intéresse mais quand on s’amuse à crier aux loups et a porter des accusation ou renvoyer la balle comme l’aura fait Jean René on se fait mordre les fesses. Mais ou est donc celui-ci depuis la sortie de Brathwaite afin de remettre les pendules à l’heure ? Celui ci est aujourd’hui plus muet qu’une carpe, le silence de l’agneau.
Yep, Jean René, quand on crie et on pointe faut aussi savoir se défendre quand on recoit la douche…mais il est vrai que qui ne dit mot….conscent. T’inquiète, le temps arrange tout, ca fait des années que notre Michèle nationale fait des frasques et elle est toujours la….sic
La vague médiatique qui déferle ces jours-ci à la télé concernant les tragiques événements qui ont frappé le sud-est asiatique en ce lendemain de Noël 2004, ne fera pas de morts. Plus de 200 000 presonnes ont connu une fin horrible quand le tsunami s’est abattu sur les plages ensoleillées de l’Inde se de l’Indonésie et il s’agit probablement du pire cataclysme de l’ère moderne. Celà justifie probablement cette couveture médiatique démesurée. Mais en même temps, au delà du drame dont ces régions mettront des dizaines d’années à se relever, je m’inquiète de la banalisation que ces images mille fois répétées peuvent créer.
C’est un peu comme ces images des avions percutant les tours de New-York. On les a tant vues qu’ils font désormais beaucoup plus partie du mythe que de la réalité. Elles se sont inscrites dans l’imaginaire des gens et participent désormais davantage de l’histoire que d’un présent pourtant pas si lointain.
L’hyper-médiatisation a ceci de perverse qu’elle relègue les faits et leurs conséquences au second plan derrière l’événement lui-même. Parce que ce qu’on retiendra de ces jours pénibles sera bien plus leur côté spectaculaire que leurs incidences bien réelles sur la vie de millions de personnes.
Et quand le spectacle sera terminé, quand un autre spectacle prendra l’affiche à l’échelle du monde, la misère de ces gens ne fera plus partie de nos vies. Ce sera loin derrière nous, on sera ailleurs, dans un autre drame, un autre spectacle.
Tout ça pour dire que même au moment où ces images déroulent intensivement sur nos écrans, il y a encore beaucoup à faire pour aider ces peuples dévastés. Et que sont devenues toutes ces promesses d’aide financière qu’on annonçait en grande pompe au lendemain du drame? Des milliards de dollars dorment toujours dans les caisses de l’ONU ou n’ont tout simplement pas été livrés. Comme quoi la mémoire est courte quand on ne fait que surfer d’un spectacle à l’autre.
oui le noel du campeur est tout ce qu,il y a de plus kétaine mais il faut avouer que c’est drole et effectivement c’est un party beaucoup moins commercial que ne peut l’être le vrai Noel. Les gens se cherchent des occassions de fêter et c’est pourquoi les soupers à thèmes sont de plus en plus populaires. Ca crée une ambiance et on s’amuse. Les terrains de camping fetent noel, mais ils fetent aussi l’halloween, la fin de la saison, le début etc… Pour moi le noel du campeur est une occasion de s’amuser, ça n’a rien à voir avec la vrai fête mais on s’amuse et ca fait changement des éternels feux de camp. Je pense simplement qu’on devrait décréter une date pour ce noel car il peut devenir un peu agacant de fêter ce Noel trois fins de semaines de suite dans des campings différents. Enfin j’ai hâte de voir si les décorations gonflables vont être au rendez-vous!
Le Tsunami est une catastrophe naturelle qui a ravagé beaucoup de vie et de richesse dans le pays de l’indonésie. Un de mes amis étais partis en voyage à cet endroit lorsque cela est arrivé. Il a vu la vague aui a détruit des maisons, tué des enfants… Il a eu l,adrénaline de grimper une montagne qui lui a sauvé la vie. Il a eu la frousse de sa vie. Il en a fallut de peu pour qu’il se fasse entraîner par la vague. Lorsqu’il m’a téléphoné pour me dire qu’il étais sain et sauf cela m’a grandement réconforté. Parce que lorsque j’ai regarder la télévision lors de la catatstrophe j’avais peur. Je peux imaginer la grande souffrance ressenti par ses gens. Grâce à l’aide des différents pays ils vont peut-être arriver à trouver un équilibre de vie. C’est une très bonne idée de faire ce reportage.
En ce qui concerne infoman il fait un très bon travail mais j’ai de la nostalgie car je m’ennui du bye bye avec Dominique Michel qui me faisait tant rire. Mais je trouve cela plaisant qu’il fasse des émissions pour divertir les gens lors du 31 décembre.
J’ai été particulièrement déçue de la revue de l’année faite par Infoman. Je ne sais pas quoi ajouter, sauf que c’était vraiment « poche ». Il y a pourtant eu de bons moments avec la Commission Gomery, mais ils ont mals été présentés… Les montages étaient étourdissants, trop courts. Bref une grande déception.
Je suis comme bien des Québécois : je rêve au retour de Dodo dans un « dernier » Bye Bye ou de toute autre formule qui pourrait nous permettre de défoncer l’année en famille.
Seule revue de fin d’année à croquer un peu de substance, Dufort semble être le seul héritier des Rock et Belles Oreilles, Bleus Poudre et cie qui nous décapent l’actualité pour nous faire grincer quelques sourires.
Chouchou de la vedette de l’année au Canada (le juge Gomery pour ceux qui ne le connaissent pas encore), l’Infoman nous a fait une belle revue bien remplie qui valait plusieurs Bye Bye plate du passé. Il a maintenant sa place en nous offrant de bons moments, surtout avec nos politiciens, qui soudain viennent nous faire un concentré de pitreries arrangés avec le gars des vues. Ça nous change de toujours voir leur tête triste à pleurer avec leur langue de bois qu’ils nous servent à l’année.
Gageons que l’an 2006 sera encore riche en petites séquences que nous reverrons avec plaisir pour nous reppeler que parfois il vaut mieux en rire.
Disons d’emblée que je ne suis pas une fan des émissions d’humour…mais il m’arrive de faire des exceptions et les bilans de fin d’année font partie de celles-ci.Tourner en dérision les événements de l’année qui ont fait couler l’emcre des journaux et qui ont alimenté les conversations de tous et chacun,demande un doigté particulier pour ne pas tomber dans le ridicule.Pas évident de se moquer de ce qui a représenté un drame pour plusieurs personnes…À mon avis -et c’est pourquoi je regrette la bonne époque des bye-bye – ce genre d’émission agit comme une catharsis salutaire avant de passer à autre chose.Pour évoluer,il
faut parfois faire son deuil de certains situations et pourquoi ne pas le faire avec humour?
J’ai donc écouté avec intérêt la satire d’Infoman et j’avoue que j’ai eu le fou rire (jaune) à quelques reprises.Le seul passage sur le scandale des commandites valait son pesant d’or…
Voir Gagliano fouiller son dossier à la recherche des passages demandés par l’avocat a été hautement divertissant.Apprendre que pour les membres de la Commission Gomery,écouter Infoman représentait un moment de détente est intéressant.
Alors félicitation à Jean-René Dufort d’avoir relevé le défi sans tomber dans le mauvais goût et souhaitons qu’il récidive l’an prochain!…