Tenez, dans une dépêche de l'AFP datée du 31 mars dernier, je suis tombé sur une bonne nouvelle. Le géant américain du produit chimique Dow Chemical aurait ouvert la porte à un éventuel nettoyage "humanitaire" du site de l'usine Union Carbide, à Bhopal. Une première.
Contexte. Dans la nuit du 2 au 3 décembre 1984, une fuite accidentelle de gaz toxique provenant de l'usine de pesticides Union Carbide à Bhopal (Inde) tuait au moins 3000 personnes et des dizaines de milliers d'autres au cours des années suivantes. Une hécatombe.
Dow Chemical (devenu propriétaire d'Union Carbide en 2001) a toujours sorti la même cassette dans ce dossier: Dow n'a rien à voir avec cette catastrophe, c'est au gouvernement indien (redevenu propriétaire de l'usine) de nettoyer les dégâts.
Les survivants de Bhopal ne voient pas la chose du même oeil. Pour son documentaire Ceux qui n'en meurent pas laissent toute espérance, le réalisateur Robert Cornellier est allé rencontrer certains d'entre eux. À Bhopal, il a tourné des images de l'usine où, encore aujourd'hui, des centaines de sacs de pesticides portant la mention "Poison" moisissent et contaminent la nappe phréatique de la ville, empoisonnant les gens du coin. Depuis 22 ans, les victimes demandent qu'on nettoie le gâchis.
Loin de moi l'idée d'entrer dans le débat à savoir si Dow Chemical est, oui ou non, responsable de Bhopal. Une chose est sûre toutefois: Bhopal est une tache sur l'image de bon citoyen corporatif de la multinationale.
Surtout que Dow paie déjà cher pour son image. L'entreprise a récemment donné 9,4 millions $ à l'organisme américain Habitat for Humanity. Et l'an dernier, le géant a étendu 5 millions $ pour aider l'Asie du Sud-Est à se relever du tsunami.
Je ne suis pas un expert en image, mais j'ai comme la vague impression que ce serait payant pour Dow Chemical d'aller donner un coup de balai à Bhopal. Qu'elle soit responsable ou non de la catastrophe n'a aucune importance; je parle d'image, d'apparences. J'imagine tout de suite les grands titres des journaux: "22 ans après Bhopal, Dow Chemical passe l'éponge" ou encore "Bhopal: Dow fournit le savon". Une pub qui vaut de l'or.
Et qui plus est, ça aiderait ceux qui crèvent à Bhopal chaque année des suites de la tragédie.
Mais en attendant que cette dépêche de l'AFP se concrétise, il ne nous reste que la révolte. Et à ce sujet, je vous suggère le documentaire Ceux qui n'en meurent pas laissent toute espérance qui porte sur les survivants de Bhopal, mais aussi sur ceux de Tchernobyl et de la catastrophe de l'Exxon Valdez. À Télé-Québec, le lundi 24 avril, 21h.
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TÉLÉ
L'oeuvre de Richard Desjardins décortiquée dans une série radiophonique en quatre épisodes narrés par Monique Giroux |
Il y a 20 ans, le réacteur numéro quatre de la centrale nucléaire de Tchernobyl explosait, crachant dans le ciel l'équivalent, en matières radioactives, de 200 Hiroshima. À l'époque, des enfants du Bélarus, victimes de la radioactivité, étaient venus se réfugier pendant six semaines dans des familles canadiennes. Des années plus tard, deux de ces familles d'accueil débarquent au Bélarus pour retrouver leurs jeunes protégés. Ces derniers sont devenus adultes et vivent toujours dans des zones contaminées. Rencontres émouvantes. Les Enfants de Tchernobyl, à RDI, le lundi 24 avril, 20h.
RADIO
L'oeuvre de Richard Desjardins décortiquée dans une série radiophonique en quatre épisodes narrés par Monique Giroux. Enquête sur l'artiste, sa jeunesse, ses premières créations. Des témoignages d'amis, d'admirateurs. À entendre, une version désopilante pour la France de la chanson Tu m'aimes-tu. Richard Desjardins, l'homme libre, à la Première Chaîne du 24 au 27 avril, 14h.
MAGAZINE
Le magazine LIRE consacre un numéro hors série au célèbre Petit Prince. |
Il y a 60 ans paraissait à Paris le célèbre conte d'Antoine de Saint-Exupéry, Le Petit Prince (il est paru trois ans plus tôt à New York). Depuis, chaque jour, 3500 exemplaires du livre sont achetés dans le monde. Pour souligner l'événement, le magazine LIRE consacre un numéro hors série au célèbre blondinet (et à son créateur). Des esquisses inédites de Saint-Exupéry, un dossier fouillé sur l'origine du livre, des anecdotes méconnues. De plus, neuf dessinateurs (dont Uderzo) interprètent Le Petit Prince à leur manière. Vraiment, un objet de collection.
WWW
Un espace de réflexion autour du livre La Révolte du pronétariat, de Joël de Rosnay. Le Web, les blogues, les sites collaboratifs, la baladodiffusion donnent au peuple les clés de la communication de masse. Information is power, dit-on. Imaginez la révolution lorsqu'on découvre que c'est le peuple qui, désormais, détient l'information. (www.pronetariat.com)
Quand on écoute les dirigeants d’entreprises et leurs porte-parole que sont les politiciens de droite, si tout était géré par l’entreprise privée plutôt que par le gouvernement, tout irait bien, ce serait le paradis sur terre. Pourtant, quand on regarde comment Bhopal et Exxon Valdez prolongent les procès pour protéger leur image, on se demande de quel paradis ces gens parlent et à qui il serait accessible. Il aurait probablement moins coûteux de compenser les victimes et leurs familles et nettoyer les dégâts qu’ils ont générés. Mais il est vrai qu’il faut tout faire pour faire croire qu’on est pur comme un ange plutôt que d’admettre ses responsabilités. Et c’est ce genre de société que nous proposent les tenants du tout à l’économie, tout au secteur privé?
D’abord, Bhopal. Terrible souvenir que celui de ces enfants devenus aveugles parce que leurs yeux ont brûlé à cause des produits chimiques. Honte à Dow Chemical. J’espère ne pas acheter de leurs produits. Ensuite, Tchernobyl: encore une autre horrible souvenir. Les populations y ont été laissées sans aide. Et ecnore aujourd’hui et pour combien de temps? Les enfants souffrent, développent des cancers et on laisse faire. Parce qu’on ne peut rien ? Pas sûre. Puis, Desjardins, le grand, l’immense poète. Pour que les enfants apprennent qu’ici aussi, au Québec on a des hommes et des femmes hors du commun, de véritables poètes. Parce que la poésie, c’est l’espoiur ou à tout le moins l’amorce d’une réflexion sensible.
Et finalement Le petit Prince, pour toutes ses leçons, pour sa beauté et sa pureté. Pour que le monde continue.
Tchernobyl . En plein temps de la guerre froide où l’URSS continuait de nier la chose quand un nuage radioactif se promenait au dessus de l’Europe et que tous les satellites espions braquaient leurs caméras sur cette petite ville d’Ukraine que personne ne connaissait en Occident .
On a même envoyé des soldats ramasser à mains nues des débris , sans hésiter une seconde à les sacrifier , mais c’était la vie dans un régime totalitaire qui voulait s’ouvrir à la transparence .
On a recensé une trentaine de morts , mais nous n’aurons jamais les chiffres officiels de tous ceux qui sont morts de cancer ou des nourissons atteint de malformation .
Ce documentaire à RDI me semble intéressant , car n’oublions pas que c’était Hiroshima multiplié par 200 .
Une autre catastrophe , Bhopal . Un autre nom qui nous était inconnu jusqu’à ce qu’un nuage de poison s’échappe en pleine nuit pour tuer des milliers de gens . Je pensais , naivement , que la Dow Chemical avait nettoyée le site même si elle niait toujours son implication . C’est terrible de savoir que des sacs de mort sont en train de pourrir sur place en continuant d’empoisonner les habitants du lieu qui sont propablement trop pauvres pour aller ailleurs . Un autre documentaire intéressant sur la non implication d’une multinationale .
« Le petit prince » est l’un des livres les plus fascinants qu’il m’ait été donné de lire. D’abord, à chaque lecture, on découvre quelque chose de nouveau. Ainsi, lorsque je l’ai lu pour la première fois, vers l’âge de 7 ans, j’y ai découvert un simple conte. Mais aujourd’hui, quand je le relis, je découvre une oeuvre à la portée sociologique et philosophique importante. Que ce soient les concepts de responsabilité, l’amitié, l’apprivoisement de l’autre, la mort, etc… cette petite plaquette vaut à elle seule bien des poèmes, des essais philosphiques ou de simples contes!
C’est grâce au « Petit Prince » que je me suis intéressé, plus tard à l’oeuvre de St-Exupéry. Malgré le fait que l’auteur soit décédé jeune, lors d’un écrasement d’avion, il aura eu le temps de nous laisser avec des récits d’aventure et/ou de réflexion, que ce soient « Vol de nuit », « Terre des Hommes », « Pilote de guerre » et le monumental et inachevé « Citadelle ».
Mais de tous ces livres, seul « Le petit prince » aura cette finesse, cette universalité qui fait que chacun y trouvera son compte, quelque soit l’âge, la race ou le sexe! Qu’on souligne ce 60e anniversaire n’est que juste retour des choses!
Voilà une force vive. Nos encêtres le disaient surement de cette manière. Ça me semble très vieux comme expression. Mais du coup très significatif de ce que l’on veut représenter lorsque vient l’image de celui-ci. Un libre penseur diront d’autres. Mais disons qu’il sait faire autres choses que des allignements de mots. Nous le remerçions pour ces actions. C’est peut-être la raison qui fait que certains s’essaient à tenter d’égratigner son image… peut-être trop parfaite aux yeux de certains.
La première fois où j’ai lu Le Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry j’avais environ 10 ans, par la suite je l’ai relu à 20 ans, à 30 ans, à 40 ans, et à chaque relecture j’ai découvert des sentiers nouveaux, des espaces inexplorés, des voyages de messagers comme si j’étais un aviateur en quête de plénitude en rencontrant tous ces personnages typiques de notre société. Je ne suis pas le seul à avoir parcouru cette aventure mythique puisque même aujourd’hui il se vend chaque jour,dans toutes les langues, environ 3,500 exemplaires du Petit Prince sur la planète Terre. Je vais me procurer le magazine « Lire » qui nous offre un numéro hors-série sur le petit bonhomme blond et le grand auteur-culte, non pas à titre de collectionneur, mais comme un coup de coeur.
Les grandes multinationales de ce monde devraient, en tout temps, avoir un plan pour fournir des mesures compensatoires lors de catastrophes comme celles de Bhopal. Ces entreprises font tellement de profits qu’il est ridicule de se réveiller 20 ou 22 ans après de telles tragédies.
On laisse en plan des populations entières, souffrant de maladies, de cancers, faisant leur deuil de cette vie paisible d’autrefois, alors que la compagnie se préoccupe plus de sa propre image à redorer que des jardins à regarnir ou à décontaminer…
Ces compagnies n’ont-elles pas pensé au fait qu’en aidant spontanément les populations, elles feraient instantanément remonter leur cote en Bourse ???
Ces compagnies sauvages ne me sont pas du tout sympathiques. Les leaders qui les dirigent devraient comprendre que les gens autour de leurs usines n’ont pas nécessairement les moyens de s’offrir un bunker en attendant que la tempête passe…
Dans ce cas, mieux vaut tard que jamais…
N’oublions pas ce qui est arrivé…
La prochaine fois, ça pourrait être près de chez nous.
L’oeuvre de Saint-Exupéry a 60 ans en 2006. Les revenus générés par son oeuvre sont partagés entre la « Succession Antoine de Saint-Exupéry », héritière des droits patrimoniaux et moraux de l’écrivain, et l’héritier de Consuelo, la veuve de Saint-Exupéry, José Martinez Fructuoso.
Cette oeuvre qui devrait appartenir à l’humanité continuera à fructifier jusqu’à la moitié du XXIe siècle. L’oeuvre de l’écrivain n’est pas près de tomber dans le domaine public. Aux 70 ans habituels après la mort de l’auteur s’ajoutent en effet six ans pour les années de guerre et 30 ans supplémentaires parce que Saint-Exupéry est « mort pour la France ».
Toujours des affaires de gros sous finalement…
Je me suis souvent demandée comment un être humain normalement doué pouvait gérer la somme d’information contenue sur les différents blogues, forums et autres sites internet. Je trouvais mes limites personnelles frustrantes et du domaine des carences personnelles, conséquence d’une pauvre gestion de mon attention, mais voilà que je découvre en consultant ce site, qu’en réalité, une des missions stratégiques premières des média traditionnels est précisément de capter cette ressource qu’est mon attention.
Selon un des commentaires émis par un intervenant sur le site de réflexion consacré à l’analyse de Joël de Rosnay sur la démocratisation des moyens de communications induit par le Web, nous serions dorénavant confrontés à un problème de gestion de l’attention. «Nous produisons mondialement, chaque année, du nouveau contenu qui représente l’équivalent de plusieurs dizaines de milliers de fois l’ensemble du contenu de la bibliothèque du Congrès des Etats-Unis. Cela correspond à une quantité d’information absolument astronomique et impossible à exploiter de manière exhaustive pour chaque citoyen de la planète. Si on se limite aux personnes connectées sur la toile, c’est encore plus spectaculaire.»
Si les médias écrits et les chaînes spécialisées, pour attirer l’attention du consommateur sollicité par le Web, s’arrachent notre attention en fragmentant toujours plus l’information en la spécialisant ou en fabriquant de la rareté, ces médias placent le consommateur devant un choix qui en fait la proie des entreprises de marketing. «Cette question de la rareté de l’attention humaine est un enjeu économique et stratégique capital à la fois pour des raisons de productivité et de succès business [.]».
La question n’est pas de déplorer la profusion d’information mais de savoir si la gérer pose un problème. Le Web en élargissant notre rapport au monde a fait de notre attention un objet de marketing âprement convoité.
Où sont donc ces artistes, défenseurs des blanchons ou tout autre être vivant menacé ?
Quoi, la publicité serait moins profitable si on s’occupait d’êtres humains ?
Quand je lis ces récits où la population est menacée et que personne ne semble y porter attention, je ne peux que faire référence à toutes les occasions où l’on vient nous solliciter pour la défense des animaux. Quoi , on est mieux vu à vouloir protéger des animaux en voix d’extinction que de vouloir aider nos semblables ?
Le sens des valeurs prend une tangente !
Si on avait un coup de main à donner, sera-t-il pour soutenir des êtres humains victimes de pollution ou pour déplacer un éléphant dans une autre région à cause d’un déluge ?
L’argent toujours l’argent. Et quand c’est pas l’argent c’est l’erreur humaine. Et quand c’est ni un ni l’autre c’est parfois la bêtise humaine, des raisons politiques ou autres.
Quand on y pense, tout ça parce que de l’eau, oui oui vous avez bien lu, de l’eau a pénétré dans une cuve et a provoqué une réaction chimique.
Et comme l’usine était déficitaire, les systèmes de sécurité ne fonctionnait pas cette nuit là.
Rien ne pourra jamais faire oublier la tragédie de Bhopal. Pas l’argent en tout cas !
Et dans les faits, il est bon de ne pas oublier, ça aidera peut-être à faire preuve d’une prudence élémentaire quand c’est le temps…
La première chaîne offre toujours une très bele programmation. Cette fois avec Richard Desjardins, c`est presqu`un cadeau.
L`homme se livrant habituellement peu, voilà une bonne occasion de mieux le connaître, parce que l`aimer. c`est déjà fait pour moi.
C`est un de nos grands poètes, auteur, compositeur,interprète.
Série à ne pas manquer.
J’ai croisé Le Petit Prince vendredi dernier. Il était dans la vitrine du magasin Presse Internationale rue Sainte-Catherine. Je suis rentrée à l’intérieur juste pour lui. Dire qu’il a 60 ans, pourtant il paraît toujours aussi jeune. Je ne suis pas une de ses fans indéniables. L’unique fois que je l’ai lu j’étais ado : lecture obligatoire, secondaire trois. Je me souviens que je le pensais « quétaine », à première vu il ne m’inspirait pas du tout, pourtant il paraissait « cute » le petit blondinet. J’avais été agréablement surprise par le vent de fraîcheur qu’il m’inspirait. Je le relierai sûrement un jour, en attendant le hors-série de LIRE traînera dans mon appartement jusqu’en juin (c’est la fête de ma mère, et elle c’est une vraie fan). Pour ceux qui l’adorent aussi et qui veulent le découvrir sous un nouveau jour, je vous conseille de l’acheter. Il se vend un peu plus de 12$ canadien. Votre curiosité sera satisfaite, et il est vraiment très intéressant de le voir renaître sous le crayon de neuf autres dessinateurs dont (Albert Uderzo (Astérix), Peter Sis (ancien dessinateur de presse au New York Times), Milo Manara (BD Le Déclic) et Hugo Pratt (BD Corto Maltese).
Le débat pour savoir si Dow Chemicals est responsable ou non des dégâts causés par une usine dont elle n’était pas propriétaire directement au moment de la catastrophe demeure le plus souvent superficiel. C’est ce qui se produit quand les arguments se cantonnent dans les replis juridiques des arguments, ce qui offre la plus belle des couvertures pour le nouveau propriétaire. Légalement, il n’est pas responsable, mais moralement, peut-il le prétendre vraiment. Le gouvernement indien n’est pas à l’abri lui non plus de reproches dans cette affaire. Non seulement ne fait-il pas tout ce qu’il faudrait pour limiter les dégâts, mais il est aussi coupable de ne pas avoir été assez vigilant pour imposer des normes de sécurité suffisantes aux industries qui sont implantées sur son territoire. En somme, cette catastrophe nous donne encore une fois la preuve que ce sont des multinationales dont les intérêts et les capitaux sont comme des vases communicants qui ont le dernier mot dans le gouvernement de cette planète.
Ce livre est un classique à lire et à relire et il reste une excellente idée de cadeau même pour vos amis qui disent ne pas aimer lire. Il suffit de lire la première page pour ne plus pouvoir arrêter. Certes, les enfants aiment entendre ce conte mais les adultes eux peuvent comprendre le véritable sens de cet ouvrage. Certaines phrases restent gravés à jamais dans ma mémoire. Ce sont des leçons de vie. Cette revue semble donc être une excellente idée pour les nombreux amateurs du petit prince qui veulent en savoir un peu plus sur ce mystérieux personnage.
Tout le monde ou presque connais Richard Desjardins…
Plusieurs s’arrête a son look…
Si pour l’instant d’un moment…vous fermez les yeux et écoutez seulement les paroles
de ses chansons…il a quelques choses a dire…on ne peux pas en dire autant sur tous
les chanteurs…malheureusement plusieurs on de la difficulté a fermer les yeux et par le faits même leurs traps pour critiquer…
Vous n’avez qu’a penser a Marc André de Star Académie…qui a repris la chanson
Tu m’aimes-tu??? de Richard…laquelle joue le plus a la radio ces temps ci???
Même chose pour les chansons de Lynda Lemay…quand es-ce qu’on l’entends…
trop de texte…Depuis quand dans la langue francaise on est pénalisé quand on a quelques
choses a dire…
J’espère que les Québecois vont se reveillés avant que nos richesses ne s’envolent
pour la France…
Et que dire des radio…un peu plus de français s.v.p.
Es-ce que quelqu’un va se lever ?.
La vie semble parfois désertique, asséchée qu’elle peut être par moment, de relations humaines significatives. Nous vivons dans un système de valeurs qui reconnaît davantage la performance et l’avoir, plus que l’être et les liens que nous créons. La comptabilité des réussites sociales et des relations interpersonnelles se fondent et se confondent. Mais pourtant, le petit prince nous rappelle qu’à travers un bouquet de roses, une seule est unique pour lui. Le renard lui, nous livre le secret d’un monde où l’essentiel est invisible pour les yeux. Il nous réconcilie avec la rupture ou le départ, dans l’apprivoisement de l’autre. Jamais plus, suite à la rencontre avec le petit prince, il regardera un champ de blé de la même manière. C’est ce qui le rassure, malgré la tristesse de la séparation.
Un petit prince à travers le regard qu’il pose sur le monde adulte, nous dit aussi que l’imaginaire a le potentiel de visualiser un mouton au-delà de la représentation que le ou la plus illustre des peintres pourraient créer. Nous avons tous et toutes notre propre mouton imaginaire à inventer, pour nous protéger des « baobabs » de performance individualiste qui menacent le vrai sens à donner à sa vie.
Mais comment se laisser apprivoiser et apprivoiser l’autre, si ce n’est que dans le lâcher prise sur nos résistances et nos préjugés ? Aller à la rencontre de l’inconnu, comme le fit le petit prince, pour découvrir et se lier à d’autres êtres uniques. Aller à la rencontre de l’autre, pour faire naître une étoile nouvelle dans son ciel.
Depuis 60 ans maintenant, le petit prince continu de briller dans des ciels d’humains qui font le voyage terrestre, avant de rejoindre un ciel éternel que chacun espère avec son imaginaire.
Ce soir, je pense à mon ciel d’étoiles, mes champs de blé et à mes roses uniques. Je pense aux personnes que j’aime et qui illuminent mon parcours de vie.
Merci Saint-Exupéry
Chercher le coupable, d’une telle catastrophe est une chose, trouver une solution en est une autre. Quand, une multinationale comme : «Union Carbide, devient propriétaire de Dow Chemical depuis 2001», en principe, il hérite de sa rentabilité, ainsi que de tous ses problèmes écologiques ou autres. Cela fait partie, de l’essence même, du contrat social. En principe, bien entendu! Mais, en réalité, que se passe-t-il donc depuis 5 ans? Font-ils des statistiques? De la comptabilité? Ou font-ils, semblant de ne rien savoir? Serait-ce possible?
Alors, je ne saisis pas plus, le pourquoi du comment de l’ambiguïté de la situation! L’image? Quelle image? Des dons de charité? Quelle charité? Oup, on se réveille là! Les fameux beaux : « 9,4millions $, pour l’organisme américain Habitat for Humanity. Et l’an dernier, le géant a étendu 5 millions $ pour aider l’Asie du Sud-Est à se relever du Tsunami.» Cela s’appelle : « bien paraître»! Mais, on se vante moins, que tous ces beaux millions, sont automatiquement déductibles d’impôts! Eh oui, la charité ça paie aussi! Sérieusement, le seul moyen de faire bouger, quoi que ce soit, c’est par la provocation pure et simple! C’est un excellent moyen!
J’ose espérer, que les documentaires feront le travail nécessaire. Au Québec, je ne doute pas un instant de la conscientisation! Mais voilà : «Télé-Québec», est-il diffusé jusqu’aux «States», afin de cibler, certaines personnes ressources? Pas facile, n’est ce pas?