J'en conviens, mon journal n'existerait pas sans la publicité. C'est d'ailleurs le cas pour à peu près tous les médias privés. Donc, être journaliste et dénoncer la pub, c'est un peu mordre la main qui nous nourrit.
Fort heureusement, ce n'est pas mon problème. Car j'aime la pub.
La pub me propose des produits et des services destinés à me rendre plus heureux. En me poussant constamment à réviser ma définition du bonheur, la pub me garde en alerte, me rend plus vivant…
Chaque jour, c'est avec un plaisir renouvelé que je gobe les quelque 3000 messages publicitaires qui me sont destinés. Du subtil panneau d'affichage le long de l'autoroute au moindre courriel non sollicité promouvant un moyen efficace d'augmenter le volume de mon appendice pénien.
J'aime toutes les formes de publicité. Mais j'avoue avoir un faible pour les camions publicitaires. Vous savez, ceux qui sillonnent les rues du centre-ville en traînant leurs messages illuminés et porteurs de sens? Ajouter de la pub à la densité du trafic urbain, quelle trouvaille!
Oui, j'aime la pub. Tellement que j'ai étudié en pub! À peine pubère, je caressais déjà le rêve que ma créativité serve de nobles visées: aider le peuple à choisir une meilleure assurance-vie, guider les femmes vers la crème des crèmes (celles avec micro-nutriments suractivés et boucliers antioxydants).
C'est à ce genre de cause que je désirais consacrer mon passage sur terre. Les choses ayant mal tourné, j'ai plutôt atterri en journalisme, condamné à traiter de sujets déprimants comme la politique ou les changements climatiques.
N'empêche, j'ai toujours la pub tatouée sur le coeur. Et les publicitaires sont mes héros. D'ailleurs, j'ai vu récemment la pub de Rogers qui revisite la chanson L'été, c'est fait pour jouer, de Passe-Partout. Brillant. Vendre des téléphones cellulaires en se servant du souvenir nostalgique d'une série télévisée financée par le ministère de l'Éducation, et dont l'objectif général était d'aider les enfants à s'affirmer en tant qu'individus à part entière… Il fallait y penser!
Or, par la plus heureuse des coïncidences, le nouveau docu-feuilleton Histoires de pub, qui démarre cette semaine à Radio-Canada, nous fait justement entrer dans les coulisses de l'agence responsable des publicités de Rogers, Marketel. La création publicitaire, vue de l'intérieur. Les tourments de ces créateurs, qui ne comptent pas leurs heures afin d'aider les entreprises les plus riches à communiquer plus efficacement. Le quotidien de ces glorieux, dont le génie sert à alimenter ce qui est devenu le principal système culturel de notre époque. Les voir à l'oeuvre, c'est un pur bonheur…
Histoires de pub, à Radio-Canada, dès le lundi 19 juin, 19h30.
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WWW
Jadis, lorsque je voulais m'informer sur le monde de la pub et des communications, je lisais Mickaël Carlier dans le site du magazine Infopresse. Puis, un jour, il est disparu. J'apprends aujourd'hui que le journaliste était en voyage en Afrique et en Asie du Sud-Est. Il en est revenu transformé. Plus sensibilisé que jamais aux enjeux sociaux et environnementaux, il a décidé de donner une orientation nouvelle à sa carrière. En alimentant le site Internet Novae, Carlier souhaite informer la population (et particulièrement les gens d'affaires) sur des sujets comme la responsabilité d'entreprise et le développement durable. Son but: "rapprocher l'écologie de l'économie". Inspirant. www.novae.ca
MAGAZINE
Le magazine britannique Bulb en est déjà à son 10e numéro. Sachez-le, ce n'est pas un magazine ordinaire, mais une coopérative sans but lucratif dont les profits sont réinvestis dans les objectifs sociaux visés par la publication. Bulb est bourré d'articles portant sur l'altermondialisme, l'environnement, la politique, la sous-culture, la gauche en général. Un magazine pour une jeune génération qui, comme bien des générations avant elle, souhaite refaire le monde sur de nouvelles bases. L'idéalisme est un passage obligé. Bulb Magazine www.bulbmag.com
TÉLÉ
Pour la 4e saison de la série Dossiers justice, un retour sur le procès opposant Sophie Chiasson et le roi déchu de la station radiophonique de Québec CHOI FM, Jeff Fillion. Ironiquement, ce dernier a toujours invité ceux qui se sentaient diffamés par ses propos à le poursuivre en justice. Il n'aura fallu qu'un seul procès pour le détrôner. Vie et mort d'un colosse aux pieds d'argile. Dossiers justice – Jeff Fillion K.O., à Canal D le lundi 19 juin, 20h.
Je crois que tu as bien choisi ta carrière de journalisme, la publicité c’est bien beau, mais selon moi, c’est bien mieux d’être journaliste et de dire les choses qu’on pense (dans la mesure du possible et de la censure).
Contrairement à toi, la pub m’horripile. Et en fait, je la trouve très peu efficace pour moi. Je ne suis pas vraiment influensable il faut le dire, par la pub. Je ne me fis jamais à ce qu’on dit et je me fous éperdument de ce que les autres pensent. Alors… j’évite les pubs tant que je peux. À la télé, je suis maniaque de la zappeuse. Je pitonne comme c’est pas possible. Et j’enregistre beaucoup d’émissions juste parce que ça va plus vite les écouter en enlevant les pubs. Dans les magazines, je saute vite les pages de pub, et sur internet, je suis pourvu d’un blocage de pages de pub qui apparaissent à tout moment. Pour les courriels, si je sais pas de qui ça vient, je ne l’ouvre pas.
Naturellement, je ne peux pas tout éviter. À la radio, j’en capte c’est sûr des pubs, même si je change souvent de poste. Et les pubs au cinéma, j’essaie d’aller aux toilettes pendant qu’elles passent. Et les panneaux publicitaires qui polluent la ville, je les vois, mais je suis bien contente, je ne retiens rien. C’est magnifique, je suis quelqu’un qui oublie facilement les pubs. Je retiens les jokes lorsqu’il y en a, mais la plupart du temps je ne peux pas me rappeler le produit annoncé, ou du moins, la marque du produit. Est-ce labatt ? coors ? GM? Mazda ? Pepsi ? coke ? Mcdo ou Burger King ? je ne me souviens plus. Et c’est merveilleux pour cela. Les seules pubs qui peuvent m’influencer ne fait, ce sont celles pour annoncer un film. Les bandes-annonces, elles, m’intéressent et je les cherche même. Tenez-vous le pour dit, chers publicitaires….
la publicité est un moyen extraordinaire de nous permette par exemple, de profiter gratuitement du journal Voir.
Par contre, lorsqu’elle est abusive; qu’elle repasse sans cesse pendant la même émission ça devient très déplaisant. Il en est de même lorsqu’elle tente de nous vendre un produit : « robineux »! ou d’atteindre l’innocence des enfants.
à mon avis, la publicité est un incontournable mais ne doit pas être désagréable…
Parfois, j`aime la pub qui passe, parfois elle m`énerve, souvent, même très souvent, je suis jalouse des petits génies qui s`avèrent être les créateurs de ce qui m`émerveille entre deux autres pubs.
Je pense aux pub de Bell avec Benoît Brière(vs les petits …..castors en poil raide…),les annonces avec des animaux, des bébés en couches culottes, les pubs du magasin Léon qui me font vraiment rire généralement, les anciennes pub de Mc Do.
J`avoue que ça doit être toute une job que d`avoir à trouver LA pub de l`année pour un produit, pas toujours évident.
Alors bravo à ces créateurs, jamais les pubs ne me laissent indifférente.
Même si l’été arrive, la série sur une agence de publicité sera intéressante à regarder. Peut-être verrons-nous quelles idées ont été rejetées. Qui sait? Peut-être que quelques-unes d’entre elles auraient été acceptées par nous, alors que leurs clients ont dit non?
De plus, il y aura sûrement de la publicité au cours de cette émission. Proviendront-elles seulement de l’agence Marketel, en vedette dans cette série? Celles des autres agences seront-elles acceptées? Le saurons-nous?
D’autres agences se soumettront-elles à l’oeil de la caméra? Les autres agences fonctionnent-elle de la même façon que Marketel? Si cette « première » série s’avère intéressante, peut-être serions-nous curieux de connaître les méthodes de travail des concurrentes.
Si on enregistre cette émission, allons-nous mettre les pubs au fast-forward?
Moi aussi j’aime la pub: elle me permet de prendre une pause lorsque j’écoute la télévision. J’en profite alors pour aller au toilette, aller me rafraichir, aller me faire un petit « snack ». Je l’aime aussi parce qu’elle me permet de me mettre à l’heure sur ce qui se passe autour de moi: les spectacles, les conférences, les invités, les événements, etc. Je l’aime aussi car elle me divertie lorsque je suis en pleine congestion dans le traffic. Je l’aime d’autant plus qu’elle me permet souvent de me créer des besoins et ainsi me diriger vers les magasins pour faire rouler l’économie. Que serait ma vie sans pub??
La publicité, quelle merveille d’inventivité cela peut être lorsque maniée par des concepteurs habiles! D’ailleurs, des cours de publicité devraient faire partie du programme scolaire depuis le secondaire, car la publicité est un exercice qui fait travailler les méninges. Même les moins doués y trouveraient leur compte. Mais la publicité n’est peut-être pas toujours aussi agréable que le laisse entendre Steve Proulx. En fait, c’est même devenu de moins en moins un plaisir…
Et pourquoi donc? En raison de ce que j’appelle le syndrome LNH. Je vous explique: quand je n’étais encore qu’un gamin, il n’y avait que six équipes dans la Ligue Nationale de Hockey. En conséquence, les joueurs étaient les meilleurs, la crème de la crème, quoi. À cette époque également, on ne comptait qu’une toute petite poignée de médias. Et les publicitaires étaient beaucoup moins nombreux là aussi. Vous me voyez venir?
Justement. De la même manière qu’au hockey la qualité du jeu a dramatiquement chuté depuis qu’il faut de 5 à 6 fois plus de joueurs pour approvisionner la surabondance d’équipes actuelles, le niveau général de la publicité a piqué du nez avec la prolifération des médias. Beaucoup de sous-doués sévissent à présent sur la glace, ou sur les ondes et ailleurs. Si ces « Histoires de pub » à Radio-Canada peuvent quelque peu aborder cet angle de la question, ce sera à coup sûr très intéressant à regarder. Mais, un must, de toute façon.
Peut-être quelqu’un peut-il m’éclairer… Il me semble que nous avons une loi interdisant la publicité visant les enfants de moins de douze ans. Pourtant, c’est à coups de castors séniles et de lapins stériles qu’on tente maintenant de nous vendre des cellulaires. Et à coups de dés ou de dollars monopoly que Loto Québec vend ses gratteux. Il y a certainement une multitude d’autres exemples, mais qu’en est-il des solutions? Quelqu’un, quelque part, peut-il m’éclairer?
La pub peut effectivement s’avérer fort amusante, stimulante. Je me souviens l’époque où j’assistais, bon an, mal an, au festival de la pub avec, si ma mémoire est bonne, ses lions d’or, d’argent et de bronze. On nous présentait alors les meilleurs pubs au monde et souvent, c’était tellement éloquent que la langue étrangère ne nous empêchait pas de bien saisir le propos.
Dans un film que j’ai visionné récemment, Le couperet, si ma mémoire est bonne, les pubs affichées deci-delà revêtent un caractère sexuel délicieusement suggestif. Les images nous apparaissent, superbes, l’espace d’un court instant. J’ai beaucoup apprécié.
J’ai également un faible pour les pubs à développement. Tu vois la pub, tu ne saisis pas, puis vient la suite avec la révélation.
La pub est un monde fascinant. Le problème réside essentiellement dans la répétition à outrance dont nous bombardent les médias. La pub est bonne, d’accord ! Mais quand tu la revois 12 fois à l’heure, cela ne peut faire autrement que de devenir quelque peu irritant.
Finalement le problème, ce n’est pas la pub en tant que telle, c’est la gestion que l’on en fait.
La preuve, un charmant trio publicitaire que j’ai adoré et que je vous propose :
http://video.google.com/videoplay?docid=-4612184350462585863
http://www.pooxi.com/player.php?video=pub-nestle-mousse-perroquet-maurice&pl=1#player
http://www.pooxi.com/player.php?video=pub-nestle-viennois-maurice-poisson&pl=1#player
Personnellement, il n’y a rien que je trouve plus désagréable que d’entendre une pub lorsque j’écoute un bon film à la télévision. Souvent, il me semble que le publicité est fade et qu’elle ne rèflète que les valeurs individualiste de notre société. Rarement la publicité est brillante. Faites vous plaisir car vous le méritez bien! Oui, il est certain que je mérite un produit qui ne m’est pas utile mais qui est bien beau! Il n’y a pas d’équilibre. La publicité est partout. À un tel point que l’on peut dire que l’on est envahit par celle ci.
La pub, c’est comme n’importe quoi : il ya le bon et le mauvais. Il faut vendre nos produits, c’est au coeur même de notre système économique. En même temps, il faut faire attention à la surdose, sinon on écoeure, puis on ne vend plus.
Côté qualité de la pub, là encore, on assiste aux extrêmes. D’un côté, on retrouve les annonces nulles, mal doublées, mal jouées, mal réalisées pour des produits saugrenus et inutiles. De l’autre, on a de jeunes créateurs québécois qui ont réellement essayé de trouver un moyen d’attirer leur clientèle, que ce soit par un concept, une musique… Au moins, on y voit de l’effort et on n’a pas l’impression qu’on nous prend pour une valise.
La pub, pourquoi pas? Au fond, la mauvaise nous fait d’autant plus apprécier la bonne!
Je crois que la publicité est un mal nécessaire. En effet, nous ne pourrions avoir d’émissions de télé de qualité sans les fameuses « pubs » et encore moins dévorer notre Voir. Bon, je l’avoue, certaines sont carrément rafraîchissantes, drôles et surtout elles font beaucoup parler. Vous n’avez qu’à vous rappeller du fameux AH!AH! de Familiprix. Combien de fois l’a-t-on entendue au bureau, à la maison, chez des amis? et ce, sans jamais sans lasser car tout le monde la rit.
Par contre, certaines autres sont carrément féministes, déplaisantes et surtout plates. Je sais bien, car j’ai un ami dans le domaine, qu’elles sont créées justement pour faire réagir et pour, surtout que les gens s’en souviennent.
Pour ma part, quand j’en ai marre, j’éteins radio et télé et j’en profite pour écouter les nouveautés proposés par notre Voir et je relaxe ou, j’en profite pour me taper un bon livre qui m’a également été recommandé par les chroniqueurs de Voir.
Donc, si vous en avez ras-le-pompon des « pubs » profitez-en pour vous détendre de la façon que vous aimez et vos frustrations s’en iront comme par magie ou presque (et ce n’est pas une publicité!).
Qu’elle soit géniale ou nulle la publicité a pour but de nous faire consommer. Cela marche si bien que notre consommation augmente en % d’année en année. Ce qui fait déjà de nous les occidentaux, mais surtout nous les nord américains, les plus gros consommateurs de la planète. Nous sommes les plus gros dans bien des choses: les plus gros pollueurs, la plus grande quantité d’obèse, les plus malades dus à la surconsommation etc.
La publicité est omniprésente dans nos vies. Nous la retrouvons partout, sur les bus, dans le métro, dans les écoles, dans les hôpitaux et via le petit écran dans nos maisons si ce n’est encadrée comme pub-rétro en décoration sur nos murs. La pub joue sur la sensibilité, l’envie, le rêve, les frustrations, les fantasmes, voir la violence pour captée notre imagination et subtilement l’orienté sur la voie de la consommation comme bonheur en boite. Elle pénètre notre conscience en utilisant le subliminal au point de faire de nous ses portes paroles, ses portes marques, ses panneaux publicitaires. Tout le génie finalement de »l’impersonnalisation ».
La pub c’est aussi l’entré en matière et le propagandiste des inégalités de par le monde. Les biens de consommations primés par la pub sont de plus en plus produits par les pauvres pour les riches. Le sud produit pour le riche Nord. Le pauvre s’échine pour survivre alors que l’occidental travail pour surconsommer. Donc la pub produit indirectement de l’iniquité.
Si le citoyen du nord perd son âme à travailler pour consommer et que celui du sud brise sa vie pour l’essentiel à qui profite donc la Pub? A cette portion de l’humanité de plus en plus exiguë (+ ou – 2%) qui par la convoitise siphonne toutes les richesses de la terre via les multinationales et l’actionnariat.
Donc le bonheur en boite est illusoire pour 98% de l’humanité.
J’aime la pub presqu’autant que M. Proulx l’aime. J’aime qu’on me prépare longtemps à l’avance avant le SuperBowl, qu’on me fasse languir à savoir quelles compagnies auront réussis les plus beaux exploits publicitaires. J’aime qu’on engage des réalisateurs de films pour bien me montrer que la publicité n’est pas un art de second ordre mais que des réalisateurs sérieux se prêtent au jeu et pas uniquement pour l’argent, je vous en prie. Et j’aime qu’on en fasse un festival. Avec des publicités qui ne viennent jamais d’ici. Ce serait trop banal. J’aime qu’on me fasse croire que la publicité possède de nobles visées et que partout à travers le monde, on s’acharne à le prouver. Le savon néo-zélandais, la station de radio thaïlandaise, le détergent papouais. Tous les pays unis vers une publicité élégante.
Mais comme M. Proulx, j’ai un faible non-dissimulé pour les panneaux publicitaires traînés par des camions à l’heure de pointe. Non seulement encourage-t-on la publicité, un acte rendu patriotique au XXIe siècle mais en plus, on dépense du pétrole sans réserve, démontrant ainsi que nous ne sommes pas racistes et que nous encourageons les gens de tous les coins de la planète, des producteurs de pétrole saoudiens aux enfants des usines taïwanaises. Tous les terriens unis pour une fois. Ça mérite une publicité Benneton.
La pub est pour moi une forme d’expression. Les créatifs essaient de vous communiquer l’envie, sinon le besoin, de consommer un produit. Elle est nécessaire quoi que certains en penseront. D’ailleurs, il y a un entreprise qui ne fait pas de pub? Vraiment? Pour vendre, se faire connaitre ou se démarquer la pub est là. Pour cela ils ne reculeront devant rien et c’est là que trop souvent la pub deviendra insupportable mais aussi parfois géniale!
En pub comme en tout il y a le meilleur et le pire. Il y a la pub qui vous informe et vous fait rire ou sourire, vous fait réfléchir ou vous accroche l’esprit. Celles qui disent plus que ce qu’elle vous montrent. De celle là, on en a certainement pas de trop.
Mais il y a aussi celle qui s’adresse à vous comme si vous étiez idiot ou sous-doué, débile léger ou profond. Celle qu’on vous entre dans le crâne à coup de répétitions « ad nauseam ». Il y a celle qui revient périodiquement sans qu’on y ait rien changé comme on repasse un vieux disque.
Chapeau aux créatifs qui s’adressent à l’esprit, informent, innovent et font du travail remarquable. Avec Histoires de pub, il sera certainement intéressant d’en connaître un peu plus et de l’intérieur, ce qui permettra d’avantage de l’apprécier!
J’aime la pub bien dosée! Je n’aime pas lorsqu’elle est trop présente.
Mais je trouve que c’est rare qu’elle est dosé à la télé. Je n’aime pas non plus lorsque l’on retrouve la même pub sur panneau, sur autobus, dans le métro, sur internet dans nos journaux électroniques, bref! On nous en met même dans les salles de bains derrière les portes de toilettes, y’a pas moyen d’avoir un peu de paix. La dernière chose que je veux quand j’écoute un film ou quand je suis sur le trône c’est de voir une pub! J’aime le concept d’une bonne pub originale et qui fait sourire tellement elle est intelligente. Je n’aime pas la pub fast-food, faites-vite et trop simpliste. Bref, c’est comme le cinéma un peu pour moi!
Qu’on aime ou qu’on aime pas, on a pas le choix, on est innondé de publicité de tout bords tout côtés. Et c’est justement là le problème de la publicité: il y en a trop. Je conviens que la publicité est un mal nécessaire, et dans beaucoup de cas, je dois avouer que la pub est vraiment intéressante, soit parce qu’elle nous divertis, soit parce qu’elle nous informe. Mais quelques fois, on s’en passerait.
Et on peut donner comme exemple le site web de Voir à certains égards, du moins sur certaines pages. Une sorte de publicité que je déteste particulièrement, c’est lorsque vous arrivez sur une page web, et que quelques secondes après votre arrivée (ou si vous déplacez votre souris à un endroit précis et ce sans cliquez), une publicité apparaît en sur-imposition sur ce qui est présenté, ce qui fait que si vous cliquez à peu près n’improte où, une nouvelle page s’ouvre avec encore plus de publicité pour le produit en question. Et le petit « x » (ou « close ») où l’on doit appuyer pour se débarrasser plus vite de cette nuisance est presqu’inévitablement situé à un endroit qui n’est pas évident.
ÇA, c’est le genre de pub, qui peut importe quelle soit drôle ou informative, que je déteste royallement, et qui me rends presque fou. En fait, la majorité des formes de publicités sur le web qui sont envahissantes, sont détestables au plus haut point.
Les publicitaires devraient vraiment faire attention sur les formes que prennent leur publicité. Parce que bien souvent la publicité mal utilsée ne fait la promotion d’un produit, mais nous le fait plutôt détester…
Moi aussi j’aime la pub.Chaque belle journée que le Bon Dieu amène me voit me
précipiter,dès le lever,vers ma tévé que j’allume prestement.
Tout de suite je m’en vais à Météo-Média m’enquérir de la température du jour.
Après cinq minutes de pub,je regarde dehors pour m’apercevoir qu’il mouille à scieaux.
Ce qui est tout à fait propice à ma sortie de cinquante kilomètres de jogging.
Grand merci à la pub qui m’a permis de connaître l’humeur du temps sans avoir attendu
les savantes prévisions de Météo-Média.
Et je zappe.
Malheureusement, que nous soyons d’accord ou non, la publicité est presque devenue
le moteur de l’économie capitaliste.
C’est aussi ce qui va détruire notre économie. C’est comme le crédit, c’est la fuite en
avant, et l’endètement.
Les messages les plus insignifiants sont les plus forts. Achetez maintenant et payez plus
tard. Premier versement dans 12 mois. Les vertus de l’épargne on en parle très peu, c’est la consommation tout azimuts. 0 comptant, 0% d’intérêt, 0 paiments….etc.
IL faut sauver le système, et un de ces jours ce sera la déflation, le recul et la stagnation.
Les chevaliers de la publicité devront s’orienter autrement.
Les 36 cordes sensibles des Québécois, on s’en reparlera!!!
Il y a une limite à étirer l’élastique de la PUB.
La pub permet de belles retombées économiques car elle crée des besoins. On ne se rend pas compte à quel point on se laisse influencer par les panneaux publicitaires. Mais trop c’est comme pas asser. Certains arrondissements de Montréal sont aux prises avec de la quasi pollution visuelle tellement il y en a. Les murs tapissés de publicités, les enseignes, etc etc. Mais ce qu’il y a de plus désolant c’est que trop souvent ces pubs se font déchirer et se retrouvent par terre et là on assiste à de la pollution tout court. Certains quartiers de Montréal font dures et c’est souvent à cause de ca.
La pub… elle est là, elles est toujours autour de nous, elle est onmiprésente. Son but étant de nous faire dépenser, nous la pointons du doigt, on l’accuse de tous les torts (c’est de la faute de la pub si je me suis acheter ceci). Elle nous montre des produits, attise notre désir et nous donne le goût, parfois, de se précipiter chez le commercant avant la fin de l’émission. Mais qu’on la trouve vicieuse, provocante, sournoise, la pub fini toujours par atteindre son but… celui de faire jaser… Parce que si ce n’est pas nous qui achetons le produit annoncé, il se peut fort bien que se soit notre ami ou notre collègue de travail à qui nous avons parlé de cette publicité.
Personnellement, j’aime bien la pub. Mais entendons-nous, j’aime le travail qui se cache dernière les produits annoncés. J’aime déceler les petits trucs qui accroche le regard, ceux qui font allumer le consommateur. Je n’achète pas tout ce que je vois!! Je lève tout simplement mon chapeaux à ceux qui en font la conception!
Disons-le d’emblée;je déteste la publicité même s’il m’arrive de trouver certains messages plus amusants que d’autres.Je pense que la publicité représente le plus beau miroir aux alouettes qui soit.Elle cherche à nous convaincre que le bonheur avec un gran B se trouve dans la consommation et que pour être heureux,il nous faut posséder absolument.Le pro-blème est que l’arrivée sur le marché de nouveaux produits sans cesse plus performants ou plus « design » ou plus utilitaires fait que le bonheur que nous avons ressenti à l’achat d’une « bebelle » quelconque n’est que provisoire puisque celle-ci n’est déjà plus à la mode à peine quelques mois après que l’on se le soit procuré.Le désenchantement s’installe et on se met à envier son voisin qui lui possède la dernière nouveauté et le cercle vicieux recom-mence;on se remet à faire des heures supplémentaires ou on augmente sa marge de crédit pour se procurer mieux.
C’est un marché de dupes qui profite à ceux qui veulent nous vendre l’idée que la posses-sion est synonyme de satisfaction garantie et qui ne cessent de créer de nouvelles tenta-tions auxquelles il est de plus en plus difficile de résister.La seule chose que la publicité omet de nous dire c’est qu’après,il faut payer la facture et pour la payer,il faut être solva-ble.Et c’est là que le bât blesse:nous vivons dans une société où le taux d’endettement des familles est catastrophique.Nous sommes une société qui vit à crédit et nous travaillons pour payer nos dettes de bonheur « instantané ».Nous voulons tout tout de suite sans prévoir les lendemains qui déchantent.
C’est le triomphe du consumérisme sur notre qualité de vie…
Ça me fait japper. Ils ont pas le droit, me dis-je. Forrest Gump entamait un marathon, puis voilà, il se fait couper par une jeune fille dynamique et virile harnachée dans sa volsk qui lui crie « tasse-toé mononcle! ». Forrest est déconcerté mais il se ressaisit: puisqu’il a fait tout ce chemin… Il recommence à courir. Assurément, il ne va pas loin. Un chien surgit, montre ses crocs. Son maître, conservant un équilibre précaire sur une poubelle, regarde dans une salle de bain d’où parviennent des cris de jouissance: une jeune fille se lave les cheveux: Oui, oui, oui papa! Le chien jappe. La jeune fille se retourne, le voyeur tombe de la poubelle qui chancelait. Fido, Fido crie-t-il. Forrest se retourne tandis qu’adossés dans un bar, sur un mur duquel un jeune homme fait un beau trophée de chasse, un bon ouvre bouteille dévissable, deux castors, à la sexualité ambigu, discutent. « Écrase! » dit l’un. « Je peux pas pis je m’en branle, dit l’autre, la vitesse tue; y le dise à tévé faque c’est vra… » Forrest sue. Comme sur le suaire, son visage s’imprime sur un t-shirt. Bonhomme sourire. Il faut chaud! Sur la toiture du bar, un fumoir illégal où des jeunes font le party: l’eau, la bière coule à flot. « Sort l’essoreuse à salade, y a une cochonne qui a échappé sa corona sur son chandail 36 E moulant. » Merde, Céssté était pas attaché; il est tombé du toit. Court, court Forrest. Il tombe. Une volsk le happe au passage, il revole sur Fido. Family prix. Attention Forrest : « Aie les castors, connaissez-vous le morse, tsé avec vos queues sur un tambour… » Toute cette horreur, ça me fait zapper!
Sérieusement, je reconnais l’inventivité de certaines, l’humour ou l’efficacité dramatique de quelques autres, mais il est temps de réévaluer leur diffusion. J’ai du plaisir à regarder une émission consacrée à la pub mais je me sens agressé lorsqu’elles interrompent un film ou qu’elles me cachent le ciel de leurs panneaux volumineux: quelle Toupin! Toupet!
Histoires de pub, dont j’ai eu l’occasion de voir un épisode cet hiver, permettra de démystifier ce milieu parfois mal compris. Les artisans de la publicité au Québec, certes, doivent répondre à des impératifs de ventes, tu fais de la pub pour que ton produit soit connu et acheté, mais en même temps, la plupart essait de concevoir des publicités qui sauront joindre efficacement et intelligemment les cibles visés. Et parfois, certaines publicités sont primés grâce à leur créativité, originalité sortant de l’ordinaire, on pense au festival de pub de Cannes.
Histoires de pub a été tourné durant un an dans une agence, Marketel, suivant ainsi au quotidien les angoisses et les belles trouvailles des concepteurs (les créatifs), les déboires et joies des gestionnaires de comptes ainsi que les hauts et les bas des clients, tout ça en condensé parce que dans la vraie vie, il arrive que des campagnes prennent plus de temps à être travaillés et retravaillés que les 30 minutes montrées à l’écran.
Ceci dit, cette série réalité est très bien faite et vous y découvrirez des gens plutôt rigolos, allumés, passionnés par leur métier. Plutôt stimulant comme boulot même s’il peut être souvent stressant.
Et non, vous n’y verrez pas de scènes croustillantes comme dans la défunte série Tabou, quoique…
Eh bien oui, la pub nous viens de partout, la télé, la radio, les journaux, dans le métro, au centre d’achat, ça va même jusqu’au super marché où on nous fait entendre entre deux « musique douce » les spéciaux de la semaine. La pub nous envahie en effet, mais cela à une raison pur et simple, c’est une source de revenu pour plusieurs buts récréatifs… ou non.
Pensons au grand prix de Montréal, aux chaines de télévision, aux journaux; si ce n’était de la pub il nous faudrait payer un prix dérisoire pour avoir accès à se divertissement. Tout comme le cinéma québécois; sans partenaire qui finance nos films je n’imagine pas trop ou notre cinéma serait rendu. Peut-être excellent quand même mais avec une moins grande visibilité. Alors il est tout à fait normal de faire une petite place pour aider à leur tour les entreprises en leur laissant un « spot » publicitaire au début d’une présentation au cinéma.
La seule place ou je trouve la pub agressante est à la télévision, on se fait constamment couper nos émissions. Je crois que le meilleur moyen, pour la télé, de ne pas saturer les gens serait de mettre les pubs condensées au début ou à la fin des émissions. Comme ça on pourrait choisir de les regarder ou de prendre une petite pause.
La publicité est utile : Grâce à elle je suis au courant que « Tide rend mes blancs plus blans » et que la Civic de Honda est une voiture très économique sur l’essence et aussi que le papier de toilette Charmin est doux robuste et nécessite une quantité moindre que la marque concurante la plus populaire pour effectuer la même tâche : Que de renseignements utiles et indispensables !
Les publicistes jouent de créativité et d’imagination pour créer les publicités les plus originales, les slogans les plus accrocheurs et les mélodies qui resteront le plus longtemps possible dans la tête des gens, et tout cela pourquoi ? Pour m’annoncer l’arrivée sur le marché d’une nouvelle marque de mouchoirs en papier ?!? Je n’ai pas besoin qu’on me rappeller constamment ce qu’est un mouchoir en papier ou du papier de toilette ; j’en utilise tous les jours !
Mais ne vous méprenez pas par mon cynisme, je ne suis pas contre toutes les formes de publicité. J’aime la publicité qui est utile, qui m’informe à propos d’un événement ou d’un nouveau produit, bref qui me communique une information utile que je n’aurais pas sue sans elle. Par contre, ce genre de publicité est très rare, perdu dans le flots de pub qui nous submerge et nous innonde quotidiennement !
Il faut bien se faire une raison ; la seule utilité de la pub (outre faire en sorte que les compagnies qui la paient fassent des profits faramineux en créant un besoin de consommation compulsive chez la populace) c’est d’être divertissante et de servir de sujet de conversation.
Franchement, si vous tentez de vous sauver de ces maudites pubs, elles finissent toujours par vous rattrapper. Que ce soit à la télévision alors que, lorsque vous faites autre chose pendant les pubs, le son plus élevé de ces dernières vous rattrappent quand même. Sur Internet, c’est également un fléau: on a qu’à regarder un peu pour découvrir toutes les astuces que les commerciaux mettent sur pied pour nous attrapper, comme les abeilles avec du miel: courriels confondants, pop-ups que l’on clique par accident et qui nous envoient promener vers la haute sphère du marketing… même les recherches par des moteurs tels que Yahoo et Google nous présentent des sites commerciaux. Et ça, c’est sans compter les initiatives telles que l’appropriation, par un commanditaire, d’une station de métro.
Mais on peut aussi se demander si tous ces efforts en vallent la peine. Arrive-t-il souvent que la publicité dont vous êtes victime vous influence? Personnellement, je ne constate que peu d’impacts sur mes habitudes. D’un autre côté, vous me direz qu’il faut bien financer nos médias. Mais l’un n’empêche pas l’autre. Parfois je me prends à rêver d’un monde, un peu comme c’est le cas avec la version française du National Geographic, où il n’y aura que quelques pubs, mais bien sélectionnées, pour leur intelligence, leur esthétisme, leur humour. À ce moment là, peut-être que les pubs nous intéresseront plus que ce qu’elles entourent!
Moi je ne suis pas un amant de la pub. Quand j’écoute la télévision et que c’est le moment d’une publicité , je « zap » et je revien quelques minutes plus tard. Si on enlève toute la publicité dans les grands journaux , on peut facilement réduire le nombre de page de 20 ou 25 certain. Les publicités d’automobiles neuves sont celles qui me dérangent le plus. Je met au défi n’importe qui de me trouver une pub d’auto neuve avec un vrai prix. C’est carrément impossible.
Vous savez monsieur Proulx , vos fameux camions publicitaires que vous aimez bien sont très dangereux. Souvent , la pub peut avoir des mots difficiles à lire de sorte que l’automobiliste se concentre plus sur le camion que sur la route. Si on est sur un feu rouge , on n’avance pas rendu au feu vert parce qu’on ne regarde pas en avant.
Les pubs sur les panneaux peuvent engendrées des accidents elles aussi. C’est rendu presque de la pornographie visuelle pour une annonce de lunette. Les petites grosses n’ont jamais de lunette à changer elles. Non , c’est seulement les « playmates » qui ont des problèmes de yeux. C’est comme ça partout dans le monde de la pub.
En conclusion , je pense que trop , c’est comme pas … non trop c’est trop. Moins de pub à l’avenir s.v.p.
Ah la publicité! Je vous comprends Monsieur Proulx. Je dois avouer que j’aurais aimé faire ce métier où tout doit convaincre soit par une image ou soit par la diffusion de quelques secondes de publicité afin de faire passer un message.
Ainsi la publicité peut viser un individu, une région, une nation ou bien encore la conscience planétaire. Ce qui est fascinant dans cet art, c’est que l’imagination n’a pas de limite. Ce sont des concepts qui doivent être créés afin d’aller chercher l’être influençable en nous.
Si Mc Donald’s servait une nourriture aussi bonne que leurs publicités, je crois qu’il y aurait déjà une franchise à bord de la navette spaciale. Malheureusement ce n’est pas le cas avec la mal bouffe qu’il nous offre.
Ça me rappelle une publicité qu’il on fait dans la région de l’Esrie où on voyait sur un panneau publicitaire une immense portion de frites et où on pouvait lire « Bonnes en Estrie ». Il y a du génie derrière ces trois mots et c’est pourquoi je suis un adepte de cette religion qui fait en sorte qu’en étant bombardé par des mots et des images, on puisse s’identifier à ce qui nous ressemble et à ce qui nous convient.
J’écoute souvent des publicités à la tv.
J’ai étudié en micro-édition, c’est un rêve de travailler à concevoir de la publicité.
Tellement de fois, je ris mais je ris vraiment en écoutant une bonne publicité.
Je critique, j’analyse.
J’attends qu’une émission se termine pour pouvoir écouter de la publicité.
De dire ce qu’il manque, ce qui accroche ou non.
Certaines sont vraiment poussées par les cheveux, d’autres ne devraient que passer une seule fois… mais quel plaisir!
Il se dépense des millions de dollars pour une publicité accrocheur!
Et que dire du sigle de Nike qui fût ahceté pour une centaine de dollars!
Les gard du M fluo de mc donalds sont multimilliardaires…Une bonne pub sait accrocher, est étudiée et est bonne à déguster! Il ne nous reste qu’à nous contôler!
Vive la pub, j’en mange
On s’en rend plus compte… Il y en a partout et tout le temps qu’on y porte plus attention…
Pourtant la pub nous invite à parcourire des nouvelles chose comme notre pays, des sites touristiques ou essayer des nouveaux gagets qui pourrait avoir des influences dans notre futur. Par example les jeunes qui voient à la télé une pub sur des nouveaux appareils photos et qu’il s’en achete un la pub pourrait lui avoir susiter le goût d’être un photographe! Comme ma mère ma toujours dit il faut essayer pour le savoir. Je pense que la pub est trop prise pour aquis, non c’est vrai combien de gens attend aux annonces publicitaires pour aller chercher leur chips…? Pourtant des milliers de personnes travaille sur les pub qui passe devant nos yeux a tout les jours!
L’univers de la publicité est certes un domaine fascinant où la diversité et la créativité sont au rendez-vous. D’ailleurs j’admire grandement les créateurs de publicités qui réussisent à créer un questionnement sur le produit qui est présenté par la pub, vous savez ces publicités qu’on voit avec des amis et qu’on se demande avant la fin de quel produit il s’agit? Ce sont à mon avis, artistiquement les meilleurs pubs. Cependant, avouons-le, ce sont également les pubs les plus «traître», si vous me le permettez, puisque ce sont elles qui nous vendent un produit, sans vraiment nous le présenter. C’est un peu une façon de détourner l’attention sur le vrai produit… C’est le côté un peu tordu de la publicité qui me dérange. Par tordu j’entends les études qui sont faites pour faire encrer des messages dans nos cerveaux, pour que les acheteurs les plus conpulsifs d’entre-nous courrent acheter un nouveau produit… Mais ce côté pervers du domaine est essentiel.. je l’avoue… il faut bien mousser les ventes…
Oui, monsieur! Je n’exagère pas! À chaque année, à Montréal, il existe un «FESTIVAL DE LA PUB»!!!
Ainsi, comme un film, de cinéma. On se rend alors, dans une salle, avec un gros : «Pop Corn, et une grosse ligueur», s’amuser, à voir tous courts publicités, du monde entier!
Et, cela dans toutes les langues, et sans sous-titre, bien entendu!
Alors, tu comprends ou pas, c’est donc leur problème! Mais, pour la plupart du temps, les images : «valent mille mots»! C’est vraiment le cas, de le dire!
Et, cela fonctionne très bien! On rit, on s’amuse, c’est vraiment incroyable à voir! Bref, cela vaut, son déplacement!
Mais, pour revenir à votre sujet : «la publicité, sous toutes ses formes»!
Tout d’abord, de la Pub. Demeure de la Pub! Que ce soit, dans les journaux, à la TV. Ou à la Radio. L’idée, de base est la même. Livrée, en quelques minutes, une marchandise, potable, rentable, et incitative!
Et, tous les moyens, sont bons pour y parvenir. Que ce soit par le ridicule (annonce de bière), par le pseudo-intellecto. (L’annonce de JETTA), ou encore, les enfants (couche pour bébés Pampers)!! Et, si la tendance, se maintient, je dirai, que l’on va continuer, de ridiculiser de plus en plus, le jeunes hommes, au profit de rehausser, l’image même de la femme!!! Cela a de la gueule quoi!
Et, les gars se foutent de toute manière! Pendant, que les filles, jeunes ou pas, ne sentent plus à l’aise!
Mais, on est très loin, d’une publicité, dite d’information!!!
C’est-à-dire, du style à donner des renseignements, utiles, profitables, et qui risqueraient de nous rende, un temps soi peu, plus confiant, dans l’art de consommer, à titre d’exemple!
Cela, il le laisse à des émissions! Voilà!
C’est donc, à suivre : «Histoires de Pub»!
J’ai comme la vague impression, que nous allons, tous faire, de très bonnes découvertes!
Il faut savoir en rire, qu’en pleurer n’est ce pas?
De toute manière, elle fait partie, entière de notre quotidienneté!!
La publicité nous bombarde et nous pollue l’existence. Parce qu’il y en a beaucoup trop.
Le problème demeure toujours que les entreprises font de la publicité mensongère, la propagande publicitaire ne sert qu’à mousser les intérêts financiers du produits. C’est pas nouveau, jamais ne devrait-on « prendre pour du cash » ce que l’entreprise prétend. Sans être naif, le problème est qu’on tombe dans le panneau à force de se faire rabacher les mêmes rengaines et incidieusement la propagande fait son mal. Presque sans le vouloir, on se met à croire aux messages de fond et on encourage la survie et la prospérité d’un produit aux qualités douteuses. La réalité et le bon sens vont prévaloir rarement. Donc, ok les VUS pour l’environnement!
Aucune surprise qu’il y ait des exaggérations, qu’on enrobe la réalité, qu’on élabore des demie-vérités, mais il y a des limites à vendre des salades. La publicité mensongère c’est théoriquement illégal. Mais en pratique, elle est courante. Publicité est synonyme de vantardise rarement vérifiée ou vérifiable. La loi sévit si peu souvent que les compagnies et publicitaires se croient tout permis. Pour qu’il y ait action légale, il faut que l’infraction sévère
ait été source de plaintes, si le public ne se plaint pas, rien ne bouge.
Normalement, l’éthique devrait empêcher les entreprises de mentir, mais le signe de dollar parle toujours plus fort que la morale. Donc l’argent des profits a le dessus. Et il faut que des auteurs (des watchdog comme le veut l’expression anglaise) dénoncent les mensonges: pensons à SupersizeMe.
Sauf que malgré tout, rares sont les consommateurs qui, informés, vont délaisser la compagnie menteuse toujours productrice d’un produit de consommation et toujours source de commentaires mensongers qui alimentent son mythe. C’est comme si un je-m’en-foutisme du consommateur prenait le pas et que les Wal-mart et autres géants gardent la faveur du public. Business is business ok, mais business is not always right.