Paul McCartney s'est fait prendre dans un cirque médiatique orchestré par des ayatollahs de la protection de la faune, Humane Society. L'organisme est animaliste, et non environnementaliste. Il lutte depuis des années contre la cruauté envers les animaux. Et la chasse au phoque est sa vache à lait.<p>L'ex-Beatle, qui aurait dû se contenter d'écrire ses <i>silly love songs</i>, a eu foi en la Cause des phoques. Une foi aveugle, qui ne voit que ce qu'elle veut bien voir. Une foi qui ignore les faits qui pourraient nuancer le dogme: la chasse aux phoques est une "barbarie" et les chasseurs canadiens sont des "assassins".<p>C'est fort, la foi.<p>Il s'est construit un mythe autour de la chasse au phoque depuis une quarantaine d'années. L'histoire commence par un documentaire de Serge Deyglun, tourné dans les années 60, montrant des pratiques de chasse particulièrement brutales. Le choc.<p>La Cause des phoques est par la suite devenue celle des Brigitte Bardot de ce monde. Peu à peu, il s'est érigé autour du loup-marin une lucrative industrie de la compassion. Le phoque a permis aux groupes animalistes d'encaisser chaque année des millions de dollars sous forme de dons. Et l'image du mignon petit bébé phoque est devenue une icône, un symbole, un produit.<p>Les luttes de ces organismes ont porté fruit: il y a deux décennies, la chasse au phoque a fini par être encadrée, et celle du blanchon est devenue carrément illégale au Canada. Malgré tout, la photo du bébé, avec ses grands yeux tristes, est toujours présente dans le kit média des groupes animalistes. Car le blanchon est payant, et de nombreux emplois de sauveurs de bêtes dépendent de lui…<p>Le cinéaste Raoul Jomphe a voulu faire un film sur la chasse au phoque. Il a d'abord cherché à comprendre ce qui se passait vraiment entre le phoque et le chasseur. Surprise: il y aurait une différence entre la chasse au phoque et l'Holocauste…<p><i>Phoques, le film</i>, son documentaire, bouleverse les mythes entourant cette "boucherie" annuelle. Pas étonnant que des organismes animalistes aient voulu interdire sa diffusion. Eux qui marchandent une foi aveugle depuis des années, voilà un document qui leur enlève les arguments de la bouche.<p>Ce film, c'est le <i>Da Vinci Code</i> de la religion animaliste. À la différence près que les faits sont vérifiés et vérifiables.<p>Car en vérité, le phoque n'est pas un animal menacé. La population va très bien. Par ailleurs, les méthodes de chasse ne sont pas plus cruelles que d'autres. Ce serait plutôt le contraire. Et si les produits du phoque n'étaient pas boycottés, la chasse au phoque pourrait s'avérer un moteur économique pour des régions défavorisées… Bien sûr, il est triste d'avoir à tuer des "bibittes" pour vivre. C'est malheureusement ce qui se fait depuis des millénaires.<p><i>Phoques, le film</i> provoque l'effet contraire de <i>Bacon, le film</i>, ce pamphlet d'Hugo Latulippe contre l'industrie porcine. En fait, après le visionnement de ce documentaire, on a presque envie de courir chez son épicier pour commander une longe de phoque…<p>En entrevue, Raoul Jomphe en rajoute. "Je vais probablement me faire haïr, mais je serais d'accord pour que l'on autorise la chasse au blanchon, dit-il au téléphone. Le blanchon se tient sur les berges au début de la période de chasse. Après, il part au large et la seule façon de le chasser, c'est en bateau. Pour les petits chasseurs qui n'ont pas de bateau, ce serait une ressource facilement exploitable…"<p>Un confit de bébé phoque avec vos rillettes de veau, ça vous tente?<p><i>Phoques, le film</i>, présenté dans le cadre de <i>Grands Reportages</i>, à RDI, le jeudi 29 mars, 20 h.<p>ooo<p><b>TÉLÉ</b><p>Tenez, en parlant de barbarie… Comment des gens normaux peuvent-ils en venir à commettre des actes d'une grande cruauté? Un documentaire diffusé à Canal D revient sur trois études comportementales célèbres. Parmi celles-ci, l'expérience de l'Université Stanford, en 1971. À l'époque, pour comprendre comment des individus ordinaires pouvaient perdre leur humanité, des chercheurs ont recréé une prison et recruté 24 hommes, qu'ils ont séparés en deux groupes: les gardiens et les prisonniers. Au bout de six jours, le <i>power trip</i> des gardiens les a rendus fous. Ça vous rappelle quelque chose? Cette expérience réelle a servi de base pour le film <i>The Experiment</i> (2001). <i>L'Expérience humaine: entre brutalité et lâcheté</i>, à Canal D, le dimanche 1er avril, 21 h.<b></b><p>
Premièrement, en ce qui me concerne, la chasse a toujours été une barbarie nécessaire…
Mise en situation: Si après un conflit nucléaire il n’y avait que les phoques comme animal ayant survécu je ne crois pas que cela serait toujours de la barbarie peu importe la manière. On parlerait de survie, de nourriture, de vêtement chaud etc…
Donc, il ne s’agit que de circonstances…sinon, il faudrait interdire de tuer les moustiques…est-ce moins cruel de les « effouairrer » d’une seule claque?
Deuxièmement, pas besoin d’enfermer des individus pour les rendre fous furieux…on a qu’à regarder les conducteurs de Honda Civic ou de Mazda 3 sur la route…
Moi, par contre, je trouve cela très bien que des gens s’occupent de problèmes comme ceux là. Qu’ils s’appellent Brigite Bardot ou McCartney ; qu’ils aient la chance d’avoir des millions et du temps libre et bien je leur dis Bravo. De toute les façons les gens qui luttent contre la chasse au phoque, de par leurs convictions, feront toujours des choses qui ne conviendront pas à tout le monde, mais au moins eux sont la pour essayer de lutter contre certaines atrocités faites aux animaux qui sont souvent inutiles !!!
Les gens qui s’insurgent contre la chasse aux phoques se basent trop souvent sur une réaction émotionnelle ou sur un quelconque besoin de visibilité médiatique. Plusieurs d’entre eux se prétendent partisans d’écologie. Il y a donc fort à parier qu’ils sont également contre l’abattage et la chasse sportive. Ils doivent aimer le poisson !
Or, depuis les années 1970, la population de phoques gris et de phoques du Groenland a doublé. En 2006, on recensait une population de phoques du Groenland de près de six millions d’individus. Les quotas de chasse étaient fixés à 325 000 captures. En 2007, ils pourraient baisser à 290 000 prises. Et les phoques mangent du poisson, beaucoup de poisson ! S’ils consomment des morues plus petites que celles qui intéressent les pêcheurs, il n’en demeure pas moins que cela diminue d’autant le nombre de poissons qui survivent, grandissent et pourront un jour se retrouver dans votre assiette. Les phoques mangent également des proies recherchées par les morues et, des poissons moins bien nourris auraient une productivité plus faible.
Les espèces visées par la chasse commerciale sont les phoques du Groenland, les phoques à capuchon et les phoques gris. Au Canada, la chasse aux phoques est encadrée de manière rigoureuse. Ainsi, les phoques ne peuvent être chassés qu’à partir d’embarcations de moins de 20 mètres, à motoneige ou à pied. D’autre part, selon un rapport publié dans la Revue vétérinaire canadienne, selon la Commission royale sur les phoques et l’industrie de la chasse au phoque, les méthodes de chasse utilisées sont conformes aux principes de chasse sans cruauté.
Lorsqu’on regarde froidement ces différents éléments, il est aisé de conclure que la chasse aux phoques, telle qu’elle est encadrée présentement, contribue à maintenir l’équilibre qui permettra aux réactionnaires de sauvegarder leurs convictions en se délectant, demain encore, d’un bon poisson.
Je me souviens de ce cirque médiatique autour de l’arrivée de Paul et son entourage aux Iles. Ce mépris envers les pêcheurs québecois m’avait profondément offusquer. Un discours sans nuance et biaisé.
Le mouvement environmeental a connu un essor incroyable au cours des 30 dernières années sensibilisant les gens aux dangers qui nous guettent. Toutefois la désinformation existe aussi. Je vous conseille d’aller voir sur gooogle sur le site ‘Environmental myths’. Il y a un lien au Chamber of commerce of the United States. Sur ce site on remet en question les 10 plus grand mythes environmentaux dont celui qui dit que nos forêts sont entrain de disparaitre, qu’il nous restera plus d’eau potable bientôt.
Il faut être capable de porter des jugements éclairés et non tomber dans la propagande gauchiste de certains groupes animalistes.
Avec une vision plus neutre sur ces sujets, on pourra arriver à des conclusions plus rationnnelles et moins showbizz à la Basrdot et McCartney
L’anthropomorphisme est en train de gagner l’Occident. Depuis que nous sommes devenus des piquets dressés devant l’écran des ordinateurs, nous remplissons le vide affectif par la présence de canins et de félins. Je crois aux bienfaits de la zoothérapie, mais je ne suis pas sûr que le sort que nous réservons à nos animaux de compagnie soit des plus humain. On leur impose un régime de vie sédentaire qui ressemble au nôtre alors que le règne animal prend sa pleine mesure dans la nature. Vivre au bout d’une laisse ou dans une cage en l’absence du maître relève de la barbarie, sans compter la nourriture chimique qu’on leur impose et le dressage qui rappelle les camps nazis. On réduit la vie animale à une philosophie étriquée pour satisfaire les dominateurs à l’instar des déviants sexuels. La chasse n’est pas un plaisir de domination. Entre les chasseurs et sa proie, il y a un rapport beaucoup plus étroit qu’il n’y paraît. Certains nourrissent même les bêtes en hiver en leur apportant des carottes et du foin dans les ravages. Évidemment, quand l’abattage se fait au grand jour, comme c’est le cas pour le phoque, c’est saisissant. Personne, par contre, ne dénonce les pratiques religieuses qui ordonnent aux adeptes d’égorger eux-mêmes les animaux qu’ils mangent alors qu’un coup de masse leur évite toute souffrance. On ferme aussi les yeux sur la tuerie des Africains dans certains pays afin de s’accaparer des pierres précieuses comme les diamants du Sierra Leone ou du pétrole du Soudan (le Darfour). Bizarre! On se révolte quand coule le sang des animaux et on accourt au cinéma quand le héros est un psychopathe sanguinaire. En lisant les ouvres de Michel Carbonneau et de Louis Haché, comme en regardant ce soir (29 mars) le documentaire proposé, nous apprivoiserons davantage la chasse aux phoques, qui permettait aux Madelinots et aux Acadiens de survivre à l’hiver.
C’est certain que les phoques sont rendus un icone pour la lutte contre la chasse des animaux. Mais qu’est qui est plus cruel entre tuer des phoques avec des bouts de bois en leur frappant sur la tête ou faire vivre 20000 poulets dans un espace qui peut en contenir habituellement 3000. Les phoques sont plus cutes, alors il faut leur faire attention tandis que les poulets ont les mangent et tout le monde s’en fout. C’est sur que l’Homme est cruel envers les animaux, mais pourquoi toujours tenter de les protéger excessivement. Moi, je pense que c’est bien de mettre des quotas pour la chasse, mais il ne faut pas l’interdire seulement pour l’équilibre des éco-système. Logiquement, plus d’humain consomme plus, ainsi, s’il y a trop de phoques, il va nécessairement manquer quelque chose dans la chaine alimentaire. C’est triste de voir que McCartney va faire un tour d’hélicoptère au lieu de donner de l’argent aux inuits pour qu’eux protègent leur milieu naturel. Quand tu es si riche, il me semble que tout est facile!
Pour ce qui est du film allemand Das experiment, c’est vraiment un bon film pour détester un méchant et mépriser un personnage. C’est certain que c’est égagérer, mais l’image est frappante et je suis sur que c’est une tendance qui va avec le pouvoir, à voir et revoir!
C’est tout dire. On tue des vaches, des cochons, des poulets et tout le monde s’en moque. On tue pour vivre. Certain tue des papillons juste pour leur collection. On tue une quantité astronomique d’animaux que l’on nomme affectueusement vermine.
Alors qu’on nous laisse tranquille avec la chasse au phoque. Ce qui offusque les gens, ce ne sont que des images. Mais ceux-ci s’offusque plus d’un cadavre de phoque sur la banquise que celui d’un humain qui s’est fait exploser à Bagdad. On devrait suggérer aux américains de boycotter les produits venant du Moyen-Orient avec toutes les atrocités qui se passent là-bas.
Les phoques, c’est comme les cerfs présentement. Il y en a trop et pas assez de prédateur. Alors si aider la nature implique participer à une activité économique, on fait d’une pierre deux coups. Seulement, il n’y a pas assez de chasseur pour contrer la population sans cesse croissante du phoque.
Alors arrêter de chigner après les pauvres petites bêtes que l’on tue. Le seul point qui est malheureux, c’est qu’il n’y ait pas de marcher pour l’ensemble de la carcasse et que l’on doive les laisser sur place.
C’est presque anachronique cette idée que des gens bien nantis ont tout ce qu’il faut comme bagage de vie pour venir ainsi dire au peuple comment vivre. Tous ne sont pas comme ça heureusement, mais c’est quand même étrange.
Mais ça fait vendre du papier, ça fait une bonne publicité. Mais c’est le rôle de la désinformation de nous désinformer justement. Ce qu’elles oublient de nous révéler ces grandes personnalités, c’est qu’une partie de leurs sous sont investie dans des entreprises qui n’ont aucuns scrupules, aucunes notions écologiques, et qu’elles se servent justement de ces mêmes personnalités populaires pour servir de paravent. Quand on ne regarde que l’arbre, on ne voit pas la forêt.
J’ai toujours trouvé égoiste de la part de ces « Greenpeace » de protéger une seule espèce en particulier. C’est un non-sens à leur objectif de sauvegarder la planète. Je m’explique.
Il est vrai que dans les années 60 la chasse aux blanchons était un peu barbare et les vedettes et organismes comme Brigitte Bardeau s’en sont servis pour mousser leur popularité. Comment les contredire en voyant de pauvres petits bébés phoques se faire massacrer à coups de machettes. Mais pourquoi s’acharner sur une seule espèce en particulier juste parce qu’ils sont mignons??? Qu’en est-il des morues littéralement en voie d’incstinction à cause de la surpopulation de ces fameuses petites bêtes. Pas chanceuses ces morues de ne pas être photogénique!!! Depuis 1970, la population des phoques a triplée aux dépends des poissons qui n’ont pas eu la couverture médiatique pour leur survie. De plus, nous retrouvons de ces bêtes à des endroits qui étaient impossible d’observer dans les années 70, comme à l’embouchure de certaines rivières à saumons… Je vous épargne la suite!
Certains diront que c’est la chaîne alimentaire, mais l’homme n’en fait-il pas parti?
«Perdus dans le même décor » disait l’ami Corcoran.
Les âme sensibles s’offusquent de la chasse aux phoques ou à toute autre chasse raisonnable, pas celle, déraisonnable, des éléphants ou des tigres du Bengal, ça va de soi.
Mais les mêmes âmes sensibles ne se formalisent pas de la provenance de la viande que, chaque jour, elles mettent dans leur assiette. Du bouf, du poulet, du porc, du saumon, de la truite, ça vient de l’épicerie ou du boucher. Elles ne se soucient pas que cette VIANDE ait déjà été un ANIMAL VIVANT que l’on a spécifiquement engraissé avant de le MANGER. Mais avant de le manger, il a fallu lui faire vivre une VIE très peu NATURELLE dans des usines à produire : promiscuité, gavage de nourriture, intoxication aux vitamines, immobilité, souvent mutilations volontaires, stress constant et mort expéditive après un transport extrême vers l’abattoir.
Les phoques comme les cerfs de Virginie sont en surpopulation, leurs prédateurs naturels ayant été, dans le cas des cerfs tout au moins, supprimés de main d’homme. Alors, la fausse pitié, l’émotion facile ça va faire.
Vaudrait mieux s’intéresser aux sidéens d’Afrique, aux enfant qui meurent de faim, aux populations qui n’ont pas d’eau potable. Et manger moins de viande, peut-être !
Pourquoi s’émouvoir autant du traitement réservé aux phoques !?
C’est vrai, c’est cruel, mais ce l’est beaucoup beaucoup moins que le sort réservé au animaux d’élevage -vache-cochon-poule-etc.- qui eux n’ont pas la chance d’avoir une vie avant le suplice de l’abattage.
Avant de s’inquiéter des pratiques cruelles pratiquées ailleurs, peut-être faudrait-il commencer par s’occuper de respecter et de traiter dignement les animaux qui garnissent nos assiettes.
En passant, le cochon ou le porc qu’on mange n’a jamais plus de 6 mois…c’est donc un bébé lui aussi et sa courte vie est beaucoup plus misérable que celle des phoques qui ont au moins la chance d’avoir une vraie vie de phoque avant d’être tué dans leur milieu naturel plutôt que de faire face à la vie en usine, au transport et à l’abattage mécanisé.
La sensibilité aux souffrances animales à aussi sa place dans le débat….il serait souhaitable qu’elle s’étende à tous les animaux et pas seulement à ceux que l’on trouve mignons !
L’humain et son pouvoir de vie ou de mort, devrait se limiter à la bouffe que l’on peut manger dans un mois. Imaginez tout le gaspillage, à l’épicerie comme à la maison. Encore hier, j’ai dû jeter une livre entière de Simili-poulet.
Gaspillage.
Tous ces arbres que l’on coupe. Est-ce toujours nécessaire ???
Quand il n’y aura plus de requins ou de baleines, dans quel état va se retrouver nos océans et quel monde aurons-nous ?
Et il y en a plusieurs questions de ce genre que je me pose de temps en temps.
Mais tout ça me dépasse un peu, je dois être franc !!!
Faire carrière dans la lutte contre la cruauté faite aux animaux, ça peut être relativement payant et durable comme emploi. Si en plus, la personne y croit sincèrement, ça doit être le bonheur !!!
Seulement, je ne crois pas que la fin justifie les moyens, je ne crois pas que tous les moyens sont bons pour arriver à un résultat. Par conséquent, «Phoques, le film» m’intéresse particulièrement.
Bien que je suis fâché quand je vois à la télévision, parfois même en direct, de quelle brutale façon les chasseurs tuent… après réflexion je dois admettre que c’est moins cruel que de tirer sur un oiseau en plein ciel (sans trop savoir où il sera atteint)…
Enfin, je trouve malheureux que «la chasse au phoque pourrait s’avérer un moteur économique pour des régions défavorisées». Je ne considère pas cela comme une «solution» à long terme !!! On devrait développer plus d’emplois dans le domaine du loisir, du tourisme et du divertissement !!! On devrait envoyer plus de chasseurs explorer et exploiter la Lune… tiens en voilà une idée comique !!!
Pour l’heure, je réalise que la chasse aux phoques n’est pas proche de la fin, je trouve ça triste !!! Est-ce que j’ai le droit de trouver ça triste ?
Les phoques se portent bien. La chasse aux phoques existe depuis belle lurette. Elle est le gagne pain saisonnier de plusieurs pêcheurs et c’est correct ainsi. BB et Paul Mc Cartney ont fait de la pub avec des blanchons mais on ne les chasse plus. La surpopulation de phoques qui mangent énormément de poisson, ca dérange. Et beaucoup.Certaines espèces de poissons seraient menacées par le nombre de phoques affamés. Le troupeaux de phoques sont plus à risque aussi, vu leur nombre, à de méga épidémies, qui elles décimeraient réellement leur cheptel. Désolée pour les âmes sensibles… mais avez vous déjà vu et entendu un cochon se faire égorger? Vous ne mangeriez plus de jambon, ca je vous le promet. Mais du jambon, c’est tellement bon! Alors on vit avec la belle odeur de purin étendu dans les champs. Une pollution porcine extrêmement dérangeante, vous en conviendrez. Et les phoques eux, polluent ils votre vie?Si la morue est rare, est-ce de leur faute?Un steak de phoque avec ca?
Je viens tout juste de visionner le documentaire, Phoques, le film et il s’agit d’une excellente oeuvre de Raoul Jomphe montrant la vie réelle de ces chasseurs des Îles de la Madeleine. Il est trop facile de faire du sensationnalisme avec cette chasse qui s’apparente à tellement d’autres, même que je la trouve moins pire à certains égards que d’autres pratiques. Trouvez-vous plus normal d’abattre un chevreuil et de faire de centaines de kilomètres avec sa carcasse sur votre toiture de 4X4?. Il est prouvé scientifiquement que la façon de tuer le phoque en lui assénant un coup de butoir à la bonne place ne lui cause pas de douleurs, il est prouvé que l’espèce n’est pas menacée et se porte bien. Il est même prouvé que cette viande est excellente pour la consommation et sans risque de contamination pour l’homme. Pouvons-nous nous servir sciemment de ces études et de mettre à profit cette ressource pour ces habitants des Îles dont la sécurité financière est dépendante de la chasse ? Le gouvernement aurait un mot à dire et un collagène d’excellente qualité pourrait être utilisé. Pouvons-nous être plus intelligent que ces chasseurs d’images de surcroît consommateurs de carburant et favoriser notre population locale à un commerce honnête et équitable ?
La reste du monde nous juge bien injustement.
Avant de partir de fausse rumeurs qui entacheraient la crédibilité de Greenpeace comme certains intervenants semblent vouloir le faire ici, il serait bien de se renseigner adéquatement.
Peut-être, en outre, aller lire « Le Monde Du Bout du Monde » de Luis Sepulveda pour avoir une idée que ce que c’est que de s’impliquer dans des causes environnementales pour aller défendre des baleines charcutées par des baleiniers japonais.
Greenpeace protège les espèces menacées quelle qu’elles soit. Il ne fait pas dans le « racisme animal » !
Le Canal D diffusera un documentaire très intéressant sur le pouvoir suprême que détiennent certaines personnes à cause de leur travail ou dans des circinstances particulières .
Prenez juste le cas de la prison d’Abu Ghraib en Irak . Nous y retrouvons des réservistes de la police militaire . Des gens qui sont soldat une fin de semaine par mois et le reste du temps comme commis dans une quincaillerie . Voilà que l’armée a besoin d’eux et on les envoie dans un pays étranger où ils doivent s’occuper de prisonniers de guerre . Un peu comme les SS face aux ‘sous-hommes’ des camps d’extermination , on leur donne un pouvoir suprême de vie ou de mort et quand on reçoit ce pouvoir et bien on en profite . On peut en abuser jusqu’à temps que l’opinion publique dise que c’est assez et que ces bourreaux se retrouvent alors derrière les barreaux tout en avouant ne pas comprendre ce qui leur arrive .
J’ai eu souvent l’occasion comme criminologue d’intervenir auprès du personnel débutant qui pensait justement que le port de l’uniforme donnait un droit de vie ou de mort .
Bref un documentaire qui fait peur vu qu’il est criant de vérité .
Lorsque Raoul Jomphe est venu nous expliquer son film et tout la polémique entourant la chasse aux phoques (à Tout le monde en parle), je n’en revenais pas. Mr Beatles en personne qui prend à coeur une cause aussi ridicule. Car à bien y penser, la plupart des tueries d’animaux sont sauvages. Pour les manger il faut les tuer et pour les tuer, il faut leur faire mal. Dans le temps de nos parents, ma mère me racontait comment ils tuaient eux-même les poules, les cochons, les lapins, qu’ils engraissent chez eux. Ce n’était pas beau à voir non plus. Avez-vous déjà vu une poule pas de tête courir dans tous les sens ? Les enfants jouaient avec les lapins qu’ils élevaient et une bonne journée, ils en avaient un dans leur assiette à manger. Et personne n’en faisait un plat avec cela (quel jeu de mot!).
Je trouve qu’il y a des animaux auquel il faut faire attention, et il faut règlementer la chasse, afin d’éviter les extinctions des races. Mais sans plus. Dans la mesure où il y a assez d’animaux pour assurer leur descendances et leur abondances, il n’y a pas de problème à les chasser, les tuer et s’en servir pour nos besoins. Ce sont des ANIMAUX. Pas des HUMAINS. Certaines personnes semblent oublier cela des fois.
Paul McCartney et d’autres artistes du genre, auraient tout intérêt à jeter leur dévolu sur des causes humanitaires à la place. Il y en a tellement. Et des humains qui se font maltraités, il y en a autant sinon plus que des animaux. Et il y en a même qui meurent de façon plus brutales que les animaux. Alors c’est un pensez-y bien!
La chasse… Je n’aime pas vraiment voir tout ce sang qui coule sur une banquise toute blanche, ni savoir que des gens se servent de leur popularité pour attirer les médias vers des renseignements tout faux.
Je n’aime pas non plus savoir que la viande que j’achète à l’épicerie est probablement bourrée de produits qui peuvent être nocifs pour ma santé et que les conditions dans lesquelles l’animal a vécu ont été misérables et que personne n’a rien fait pour améliorer tout cela.
Je ne suis pas chasseuse. Mais j’ai compris au fil des années et j’ai fait la paix avec ce monde que je trouvais cruel et barbare.
Premièrement, la chasse pour une espèce n’est ouverte que si la population se porte bien et en nombre suffisant pour subir la pression de chasse.
Deuxièmement, chaque chasseur ne fait pas une tuerie: il n’aura droit qu’à une bête par an (si on parle de chevreuil, une pour plusieurs si on parle d’orignal…) et chaque chasseur ne revient pas avec son trophée tous les ans…
Troisièmement, la chasse, est, autour de moi, plus qu’un sport. C’est une tradition familiale autour de laquelle il y a toute la préparation, les jours à se lever tôt, l’événement, le retour avec la bête, les soirées à passer à dépecer la bestiole en quartiers et préparer la viande avec soin, tendre la peau, la tanner, récupérer les parties comme les bois et les os pour fabriquer des objets… bref, chaque partie peut servir.
Quatrièmement, la viande est consommée et on peut enfin délaisser celle des étalages d’épicerie, engraissée à la moulée et au maïs transgénique…
Si je n’avais pas accès à de la viande de gibier aujourd’hui, je crains bien que je choisirais d’être végétarienne, parce que ce que l’on fait subir aux animaux d’élevage est bien plus stressant que toutes les formes de chasse réunies.
L’agriculture, suite au film « Bacon le film », doit être repensée sérieusement.
La chasse, quant à elle, doit regagner sa noblesse, puisque tous ne sont pas tous braconniers
L’article de M. Proulx critique les fanatiques de la protection de la faune, mais il s’applique très bien aussi au lobby écologiste. Par exemple :
– « (.) s’est érigée autour du loup marin une lucrative industrie de la compassion ». C’est le même procédé utilisé par le lobby écologiste qui diffuse une propagande à l’effet que l’ours blanc dans l’Arctique, un animal mignon et sympathique, est voué à disparaître en raison du réchauffement climatique. Alors que son nombre augmente ! (Voir notamment Le Soleil, 7 mars 2007, « La population d’ours polaires augmente pourtant »).
– « (.) encaisser chaque année des millions de dollars sous forme de dons ». C’est similaire au lobby écologiste qui accumule des sommes mirobolantes. Aux USA seulement, les organisations écologistes multinationales, comme Greenpeace, Friends of the earth ou Sierra Club, reçoivent annuellement 2 milliards $ provenant des fonds publics et de grandes fondations charitables comme Rockfeller et Ford.
M. Proulx fait bien attention de préciser que le mouvement de la protection de la faune est animaliste, et non environnementaliste, afin de ne pas commettre le sacrilège d’entacher un tant soit peu le culte voué au lobby écologiste. Mais on parle vraiment de la même religion. Lisez ce qui suit, vous allez rire.
« Le réchauffement climatique provoque la mort de milliers de bébés phoques ». Affirmation diversement reprise, notamment par Futura Sciences et AFP le 30 mars. Les phoques se reproduisent sur les glaces, les glaces disparaissent, les phoques se reproduisent de moins en moins. Devant cette menace, la chasse commerciale des phoques doit cesser. N’importe quoi, comme d’habitude.
À quand la présentation à Grands Reportages du documentaire de 75 minutes « The great global warming swindle » (La grande fraude du réchauffement global) qui a été diffusé par la BBC Channel 4 en Angleterre au début du mois de mars ? Il s’agit d’un film aussi décapant que celui de M. Jomphe.
Le débat, relatifs à la tuerie des phoques, se multiplient tout autour de la planète, et avec raison. Dans notre société de consommation abusive, ne sachant plus quoi consommer, cette chasse à l’âme nous fait peut-être réaliser, où nous en sommes rendus. Avec des comptoirs de viande bondés de boeuf, porc et poulet, dont beaucoup se retrouvera aux rebuts, on peut se questionner sur la nécessité d’entrevoir de nouvelles avenues, ne sachant plus quoi se mettre sous la dent.
Avant de croire à l’athropomorphisme, on peut s’interroger sur notre besoin d’autodestruction, qui devient de plus en plus évident. L’homme est le prédateur le plus puissant de la planète. Les espèces animales qui nous entourent ne détruisent pas l’environnement et la planète entière comme nous le faisons. Malgré que l’on attribue aux phoques la rareté du poisson, on entend également que le poisson est de plus en plus contaminé et que l’on doit le restreindre dans notre alimentation, dû à son haut taux de mercure. À ce que je sache, les phoques ne contribuent pas à la hausse du mercure chez les poissons.
Bon sujet pour faire un film et se faire valoir comme nouveau cinéaste, en creusant la recherche et faisant ressortir les bévues des animalistes, mais pas suffisant pour me convaincre d’encourager cette chasse bestiale non nécessaire.
Les raisons économiques invoquées, qui pourraient plutôt se régler par une augmentation du tourisme dans ces régions, ce qui a déjà été proposé, ne permettent pas d’accepter cette barbarie animalière comme nouveau champs de bataille acceptable. Ces bêtes ont peu de moyens de défense, on peut le constater en les voyant ramper, et se mettre à leur place ne fera sûrement pas mourir personne.
Vous êtes crédule, faite des recherches:
La version des faits de la HSUS
Phoques, mensonges et vidéo
D’année en année, les défenseurs de l’exploitation commerciale du phoque ont recours à des tactiques de plus en plus malhonnêtes pour promouvoir le massacre des bébés phoques.
Mais un nouveau film de propagande remporte la palme. Financé et diffusé par un réseau de télévision appartenant au gouvernement canadien, ce prétendu documentaire est délibérément farci de désinformation sur les opposants à la chasse aux phoques. En attaquant ceux qui s’efforcent de protéger les phoques, ce film dépasse les bornes.
La partie peut-être la plus outrageante de ce film est une séquence qui laisse croire que non seulement les observateurs de la HSUS ont filmé un phoque blessé pendant 40 minutes, mais que quand ce phoque a glissé à l’eau, ils l’en ont ressorti pour continuer à filmer sa souffrance.
C’est une bassesse, un mensonge éhonté.
En réalité, des chasseurs de phoque ont assommé ce bébé phoque et ont enfreint la loi en l’abandonnant à sa souffrance. Nous l’avons trouvé là, brisé et ensanglanté, à côté d’un bébé mort. À quelques mètres de là, nous avons vu deux autres phoques blessés et convulsés, du sang coulant à flot de leur bouche. Quelques minutes plus tard, les chasseurs sont revenus dans le secteur et ont assommé 40 à 50 autres bébés, les laissant blessés et agonisants sur la banquise.
Au milieu de ce carnage, le premier bébé phoque blessé a glissé à l’eau. Pendant d’interminables minutes, il s’est débattu pour en ressortir, le bord de la glace se brisant constamment sous son poids. Nous avons fait ce qui nous a paru le plus charitable, en l’aidant à sortir de l’eau. Puis, commençant à espérer qu’il puisse survivre à un transport en hélicoptère, nous avons tenté d’organiser sa réception par le Collège vétérinaire de l’Atlantique. Suite de notre communiqué ( Voir notre vidéo filmé ce jour- l’à! )
Source:
http://www.hsicanada.ca/phoques/lefilm.html
Tout être sur la planète participe à son écosystème. Et pour que cet écosystème demeure en santé, il faut qu’il se crée une sorte d’équilibre. Et cet équilibre nécessite malheureusement que certaines créatures soient sacrifiées, soit pour en nourrir d’autres, ou pour éviter qu’elles ne détruisent une autre partie de l’écosystème.
Qu’on le veuille ou non, la chasse est un élément nécessaire au maintien de cet écosystème. Je ne suis moi-même par un partisan de la chasse. Jusqu’à il n’y a pas très longtemps, je trouvais même cela barbare et rétrograde. Mais j’ai changé d’idée en constatant que si on chassait pas certaines espèces, elles croissent en trop grands nombres, et risque de déséquilibrer une partie de l’écosystème. Et d’ailleurs, la viande dont on se nourrit ne viens peut-être pas du fruit de la chasse, mais ce sont quand même des animaux que l’on doit sacrifier pour pouvoir survivre. On a beau être végétatien, on doir quand bien même se nourrir d’autres organismes vivants, ne serait-ce que des végétaux (et il est d’ailleurs prouvé que les végétariens purs et durs finissent par manquer d’éléments essentiels à leur bonne santé). Même si on ne mange pas les phoques, eux se nourissent de morues, et ces dernières sont pêchés pour nous nourrir. Si on laissent les phoques sans contrôle, il n’y aura bientôt plus de morues, et plus de morues, plus de phoques…
Comme je le disais tout à l’heure, tout est une question d’équilibre. Et de toute façon, avec les changements climatiques, voilà un autre équilibre qu’on devrait se concentrer à régler au lieu de se préoccuper du sort de quelques phoques sur la banquise, qui disparaîtra bientôt de toute façon si on ne fait rien pour ré-équilibrer l’écosystème de notre planète.
Je ne suis pas contre la chasse au phoque, je trouve le combat complètement stupide à une ère ou les nom mythique de BB et de PM pourraient faire une vrai différence.
Cependant, il est faux de dire que la chasse est bénéfique pour le contrôle des espèces. La nature se régularise elle même.
Ainsi, si une année il y a plus de phoques que de poissons, la population de poisson va baisser. Mais comme il y aura moins de nourriture, il y aura moins de naissance de phoque l’année suivante, ce qui aura pour effet de faire augmenter la population de poisson, ce qui fera qu’il y aura plus de nourriture, donc plus de naissance de phoque, et ainsi de suite.
La nature s’auto-équilibre par elle-même. Il n’y a que les hommes qui créent des génocides animaliers.
Ceci dit, lorsque la chasse est contrôlée, l’humain peut s’introduire dans le processus et ne pas boulverser l’équilibre.
En premier, M. Proulx dirige ses efforts à faire une critique du labeur des célébrités qui s’opposent à la chasse aux phoques. On critique les gens quand ils font des choses et même quand ils ne les font pas. Pourquoi stigmatiser quelqu’un qui n’est qu’en train d’utiliser son image publique pour porter l’attention sur une situation qui mécontente déjà millions de personnes dans le monde ?
Ensuite, M. Proulx maltraite la dignité des activistes pour les droits des animaux. Soyez-vous informé qu’il y des gens qui appuient les phoques et s’opposent a la tuerie, et ces gens- l à, ne mettent pas un sou dans ses poches, en appuyant la cause. Vous pouvez me compter parmi eux.
Et en passant, ceux qui travaillent formellement pour la cause des animaux, ils le font parce qu’ils sont convaincus que la cruauté envers les animaux insensibilise le monde entier, ignore les intérêts de ces êtres et ne permette pas que nous évoluions comme des vrais êtres humains.
L’opposition envers la chasse aux phoques a perduré des décennies et perdurera des décennies tant que cette cruauté ne soit pas stoppée. Je vois qu’il y a un gouvernement « aveugle » qui ne voit que ce qu’il veut voir et préfère de donner lieu à la cruauté que de trouver des alternatives pour que la population puisse effectivement co-exister avec la nature.
Comme dans ce cas-ci, l’esclavage fut aussi discuté pendant beaucoup de siècles et ceux qui s’opposaient à l’arrêter, disaient toujours, que c’était presque impossible parce que ça provoquerait des des graves problèmes économiques en Angleterre. Ceux qui appuyaient les esclaves étaient ridiculisés.
La chasse aux phoques n’est soutenue que pour des raisons uniquement commerciales en détriment du respect à la vie.
Je me suis sentie complètement offensée par le fait que M. Proulx appelle « bibittes » aux phoques, en sachant que cet animal non-humain, est juste comme nous, un mammifère qui a la capacité de sentir le plaisir et la souffrance au même niveau.
La chasse était une barbarie nécessaire à la survie de l’espèce. L’homme accrochait au passage les bébittes qui passaient à portée de main. Avec le temps, il appris assez rapidement qu’il pouvient se tourner vers le végétal… mais coté lipides et protéines, l’anmal étati dur à battre. Si elle est moins nécessaire qu »elle était, la chasse demeure tkoujours un acte très humain, très basique. Nous sommes programmés génitiquement en fonction de cela. Bien sur, on peut se tourner vers l’agriculture, mais l’agro-alimentaire industrielle n’est pas particulièrement photogénique ou présentable. Au mois tout aussi repoussante que la chasse au phoques.
Très intéressant de savoir que c’est quelqu’un d’ici qui a planté l’épine originale profondément dans le pied canadien. Cet évênement a été repris par les industries médias, donc Greenpeace. Cela souligne l’extraordinaire ascendant des médias sur la populace, et spécifiquement la responsabilité qui vient avec le choix éditorial de diffuser – ou non.
Le film the experiment en est un qui dérange parce qu’il traite de la psychologie humaine. Ce qui est le plus troublant, c’est de savoir que c’est inspiré de fait vécu. Il y en a eu des bons films de ce genre. Mon film fétiche est, sans aucun doute, Vol au-dessus d’un nid de coucous. L’histoire se déroule dans une institution psychiatrique où une infirmière fait la vie dure aux patients.
Il est vrai qu’on n’aime pas voir un animal se faire tuer. Mais est-ce que tous les animalistes sont végétariens ou végétaliens? Je crois que non. En ville, nous sommes prêts à dénoncer la chance, mais nous aimons manger du steak, du jambon, du poulet et du bacon. À moins de vouloir porter des oeillères, il faut se rendre compte que ce sont des animaux qu’il a bien fallu tuer. Il faudrait amener ces animalistes, supposément amis des animaux, dans les abattoirs afin qu’il voient comment on y tue les animaux dont certains morceaux se retrouvent dans leurs assiettes. Dénonceraient-ils les abattoirs, demanderaient-ils leur fermeture, se convertiraient-ils au végétarisme ou au végétalisme?
De plus, selon le documentaire de Monsieur Jomphe, il semble qu’on tue plus de chevreuils au USA que de phoques sur la banquise en une année. Pourtant, ils sont beaux ces chevreuils! Ah oui! On ne dénonce pas un américain: nos voisins du Sud sont parfaits et ils possèdent la vérité absolue!
Pourrait-on arrêter cette hypocrisie animaliste?
Après, m’être bien renseigné sur le sujet, il semble que les blanchons, aillent été vraiment menacé d’une certaine extinction. Mais cela se passait, vers les années 1960 tout au plus. Ce fut la très célèbre bataille, de Brigitte Bardot partie en croisade, un peu partout au Canada! Certes, il faut admettre, qu’à l’époque, elle n’avait peut-être pas totalement tort. Depuis ce temps, ces mêmes mignons petits blanchons, sont devenus de véritables dévoreurs, d’innombrables quantités de poissons. Ainsi, on a fait basculer la pendule, vers l’autre extrémité. Mettant, en péril de vider les eaux, tout en enlevant littéralement, le travail à plusieurs personnes. D’où, il eut l’urgence, de rétablir un certain équilibre. Mais voilà, que recommence la même saga, avec l’ex-Beatles. Cependant, la situation n’est plus la même, ni le même contexte. En fait, ce n’est qu’un simple coup de publicité! J’ai la mauvaise impression, que notre Paul McCartney, sait fait royalement bien arnaqué, par son ex-conjointe et les mass-médias! Maintenant, qu’arrive-t-il avec les phoques? Je ne crois pas, qu’ils sont en voie de disparitions. Il y a des lois, des décrets, qui les protègent peut-être mieux, que bien des êtres humains dans certains pays. Il y a donc, un cota à respecter, et un équilibre ordinaire de faune, et surtout de laisser, le travail nécessaire à bien des individus à sauvegarder. Voilà!
On a beau comprendre rationnellement que la chasse aux phoques n’est pas le massacre annoncé, il ne suffit que d’une image montrant un chasseur abattant sa matraque sur un phoque pour que l’émotif l’emporte sur la raison. Peu importe que cette image date de 1977 ou de 2007. La seule chose qui serait pire serait de démontrer un chien abattu par les mêmes moyens.
Mais tout ça ne sert que d’hypocrisie pour nous donner bonne conscience. Si nous étions vraiment sérieux face au sort des animaux, nous nous inquiéterions bien davantage pour le sort des vaches, des porcs, des poulets et des autres animaux servant à notre consommation quotidienne. Croit-on vraiment que le poulet reçoive un sort plus digne que le phoque avant de crever pour pouvoir nous nourrir? Aucunement. Mais malheureusement pour l’industrie du phoque, elle n’est pas aussi puissante que les lobbys des autres éleveurs. Le phoque n’est pas un animal que l’on retrouve en France, aux États-Unis ou en Australie. Ou du moins, le phoque n’y sert pas de revenus pour certains travailleurs.
La France s’offusque complètement que la ville de Chicago interdise la vente de foie gras. Elle s’inquiète pour ses éleveurs d’oies et trouve la loi américaine injuste. Pourtant, elle n’hésite pas à venir s’ingérer dans l’histoire du phoque.
Les États-Unis veulent interdire tout dérivé du phoque. Comme ils l’ont fait à l’époque de la vache folle, vache qui se trouvait aussi chez eux mais qu’ils ont choisi de masquer comme ils le font toujours. Que ce soit leurs animaux stéroïdés ou que ce soit leurs athlètes qui le soient!
On ne souhaite voir aucune créature souffrir. On ne souhaite voir aucune créature injustement traitée. Mais si on veut protéger les phoques, qu’on soit conséquent. Qu’on interdise à McDonald’s de faire la vente de toute viande. Qu’on interdise de faire souffrir toute une quantité d’êtres humains qui survivent grâce au commerce du phoque pour nous permettre d’avoir bonne conscience.
Ignorance aveugle! Est-ce que notre rapport à la planète, aux humains et aux animaux ne doit être basé que sur la notion de profit, de domination et de la loi du plus fort? N’avez-vous aucun sens éthique? Ce pseudo-documentaire, financé en partie par Radio-Canada, la télévision d’état, est de la pure désinformation. Raoul Jomphe n’a pas fait un travail objectif mais un film d’opinion. Manipulation d’images et aussi énoncé frauduleux de sa part quand il accuse les phoques de décimer les stocks de poissons. D’innombrables rapports scientifiques établissent que la pénurie de poissons est liée à la pêche; c’est le même scénario que dans les années 30 où l’on massacraient les bélugas sous prétexte qu’ils consommaient trop de saumons. Tous les océans se vident de poissons, est-ce mondialement toujours à cause des phoques? Faudra-t’il massacrer tous ces animaux qui consomment du poisson – oiseaux, tortues de mer, mammifères marins, ect – sous prétexte que les poissons n’appartiennent qu’aux humains? Les animaux ont-ils le droit de vivre leur vie en paix?
N’en déplaise à tous ceux qui insultent les défenseurs des animaux en les traitant du terme réducteur « d’animalistes », cette chasse barbare et cruelle prendra bientôt fin. L’écologie ne devrait jamais être associée à la violence et aux massacres. La chasse aux bébé-phoques (96 % des phoques tués ont moins de trois mois) est une activité archaique. Nous n’avons pas besoin d’être des tueurs ou des prédateurs pour survivre sur cette planète. A notre époque, on ne peut pas se dire « écologiste » et manger de la viande et du poisson et ce même s’ils sont étiquetés « bios ». Les produits animaux détruisent les ressources planétaires (eau potable, céréales) et sont liés aux changements climatiques. Et en plus c’est mauvais pour votre coeur! Au moins, la très grande majorité des défenseurs des animaux sont conséquents eux avec leurs prises de position: ils sont végétariens. Comme Paul McCartney d’ailleurs- http://www.ass-ahimsa.net
Je suis absolument interdit devant ce cirque médiatique qui entoure les bébés phoques. Ça, c’est parce que personne ne montre aux européens comment leurs beaux petits moutons ou leurs lapins sont trucidés pour finir en civets. Et que dire du foie gras et de sa méthode de fabrication? Comparée à la chasse au phoque, la production du foie gras est un drame d’horreur en 3 dimensions.
Je crois que ce qui a été le grand problème, dans toute cette histoire, c’est que le Canada n’a jamais su répliquer assez durement aux protecteurs de phoques. Il y a tellement de faits qui supportent la chasse aux phoques. Ils n’ont simplement pas été diffusés adéquatement! Espérons que le film de M. Jomphe viendra rétablir la situation!
Je suis convaincu que plusieurs personnes cesseraient de manger de la viande s’il saurait de la manière dont les bêtes sont abattues. Non, mais c’est tellement facile de nos jours, on a qu’à aller à l’épicerie acheter l’emballage et le faire cuire, même pas besoin de se salir les mains.
Je crois qu’avec toute l’ampleur qu’a pris ce débat, je suis certain que le ministère de l’environnement du Canada a pris les mesures pour faire le recensement de la population des phoques et que les mesures ont été prise pour assurer la bonne santé de l’espèce. Il ne faut pas oublier que s’il y a une surpopulation de phoque, ceux-ci mourront de faim.
Il est parfois dur d’accepter la cruauté de la nature, certains pros animaux ont peut-être oublié qu’il y a une chaîne alimentaire qui existe depuis des millions d’années.
Pauvres petits phoques, dire que jadis il y avait des tribus qui adoraient cet animal pour se chauffer et se nourrir pendant l’hiver. Dire que ces phoques mangent des quantités énorme de petits poissons qui un jour auraient pu devenir grands et nourrir des villages entiers. Il ne faut pas oublier que ces phoques en trop grande quantité nuisent à la santé de nos eaux car ils sont trop gourmands.
Est-ce que Monsieur le célèbre chanteur est végétarien car on euthanasie les cochons, les vaches, les chevaux et les boeufs. Mange-t-il du caviar, du lait, du fromage et des oeufs ? Pour certains village c’est le caviar de manger du phoque, c’est un repas principal et soutenant, c’est un produit pour se faire des chaussures ou des manteaux très chaud pour nos hiver rigoureux.
Faut être très culotté pour venir dire à des gens qui exploitent le phoque pour se nourrir et aussi pour le commercialiser et avoir un revenu pour joindre les deux bouts de changer de façon de vivre. Lui par contre il devrait partager ses millions avec des gens moins fortunés, des enfants qui n’ont pas la chance de manger trois maigres repas par jour, des personnes agées qui n’ont même pas les moyens de se loger de façon adéquate. C’est bien beau de faire la morale aux pauvres gens quand nos millions rapportent plus en intérêt que le montant initial. Chaque fois que Monsieur McCartney sert de mascotte pour faire pleurer l’univers, il reçoit de l’argent de façon détourner, il garde la cote de popularité et tout est déductible d’impôt.
Au lieu de défendre des animaux dans le monde pourquoi ne défend-t-il pas les droits d’auteurs car eux aussi sont en voix d’instinction avec la venue d’internet. Les artistes vivent sous le seuil de la pauvreté et aucune grosse vedette millionnaire ne leur vient en aide.
Mon avis est tout a fait représenté par ce qu’il a écrit:
http://www.seashepherd.org/editorials/editorial_070409_1.html
J’espère que cet article puisse abaisser l’ignorance complète avec laquelle « la foi aveugle » a été écrit.
Evidemment, les médias du moment ont peu de sympathie pour les défenseurs des animaux, qu’on appelle les animalistes. On les accuse d’anthropomorphisme, de sensiblerie et d’utiliser les images pour persuader l’opinion. Quelle horreur comparée à l’exploitation des animaux cruelle et barbare ! Heureusement, d’autres personnes comprennent que les émotions et la sensibilité sont le propre et le meilleur de l’homme, bien que je ne doute pas que certains animaux soient capables de sentiments. Pourquoi vouloir le nier ? Parce que cela facilite l’exploitation des animaux et nous excuse d’agir avec cruauté. Les Européens se consternent de ce vaste massacre de mammifères marins. Ils devraient s’occuper de choses plus sérieuses, comme la misère humaine, la seule misère qui compte. Vraiment ? Les Belges, qui sont en passe de bannir l’importation des dérivés du phoque, voient la cruauté quand elle se présente à eux, mais pas les journalistes Canadiens. C’est faire insulte à l’intelligence que de les croire manipulés par les puissants groupes de défense des animaux. Comme eux, je ne suis pas dupe, PETA et la Société humaine des Etats-Unis ont leurs torts d’amasser des millions, et de faire trop de compromis avec les exploiteurs. Ils devraient être bien plus radicaux qu’ils ne le sont, étant donné l’échelle du massacre.
La vérité, c’est qu’on veut créer une nouvelle économie globale, basée sur l’exploitation des phoques, ce qui permettra de faire vivre quelques populations de l’Atlantique. N’y a-t-il pas d’autres activités plus lucratives, moins violentes à développer ? L’écotourisme ? Est-ce que les autochtones, si sollicités par le gouvernement pour soutenir la chasse, ne peuvent donc pas évoluer, eux aussi, vers des pratiques moins brutales. Après tout, ils ne vivent pas dans les musées, beaucoup ne dépendent plus de la chasse pour leur survie. Les maisons ont remplacés les igloos et les motoneiges vont plus vite que les chiens de traîneaux, de plus, les avions et les bateaux permettent d’amener les produits de base. Cette chasse au phoque (de subsistance ??), qu’on nous présente comme une tradition locale, un patrimoine, si elle existe bien, ne ressemble pas à la chasse commerciale. Encore et toujours, les pseudo écologistes à temps partiel, les environnementalistes anthropocentriques, utilisent la cause autochtone comme stratégie pour défendre la chasse commerciale, et c’est indigne.