"Nous vivons dans la société la plus ennuyante qui ait jamais existé sur Terre."<p>- Serge Bouchard, anthropologue célèbre<p>Dans sa vie active, ma grand-mère n'a jamais eu le temps de s'ennuyer. Quinze bouches à nourrir, autant de culs à botter. À sept heures, elle était déjà dans ses casseroles depuis longtemps. Trois tartes sur le bord de la fenêtre, un rôti de palette au four. Bien entendu, elle n'avait pas de temps pour la télé, pas de temps pour le yoga, pas de temps pour un burn-out et surtout pas le temps d'entreprendre cette éternelle quête du bonheur.<p>Au temps de ma grand-mère, on n'avait pas le temps de chercher le bonheur. On l'avait ou on ne l'avait pas.<p>Aujourd'hui, on a tout. Des kiwis chinois, des bières allemandes, du pétrole arabe, des films américains. On a des bagnoles à 0 % d'intérêt. On a Internet haute vitesse, les vidéoclubs libre-service, la carte Air Miles et la glucosamine d'Adrien Gagnon. On a les soldes printaniers, les "tout-inclus", les buffets à volonté, l'assurance-chômage, la démocratie et Noël. <p>On est comblé.<p>Dans nos sociétés modernes, tout est conçu et pensé pour satisfaire nos moindres besoins et désirs individuels. Et, si possible, au prix le moins élevé, tous les jours.<p>Serge Bouchard, anthropologue célèbre, voit là un paradoxe. "C'est un peu comme si l'homme de Cro-Magnon avait toujours rêvé d'un Wal-Mart, et que la longue marche de l'humanité nous avait conduits au Wal-Mart, dit-il. Le samedi, tu ne travailles pas et tu vas chez Wal-Mart avec ta famille… [Un jour], tu peux te retrouver facilement en crise existentielle avec ton épouse à quatre heures de l'après-midi. Tu te regardes et tu dis: "C'est ça la vie. On était chez Wal-Mart, puis là on s'en va chez nous…""<p>C'est ça le bonheur? Vraiment? Pas sûr.<p>Afin d'atteindre la béatitude, certains refusent le rêve de Cro-Magnon et décident d'aller au bout de leurs désirs les plus profonds, quitte à mettre leur vie en danger.<p>L'écrivain, poète et fantaisiste <b>François Avard</b> s'est intéressé à ces jusqu'au-boutistes dans un documentaire diffusé cette semaine à Canal D. L'auteur, que les jeunes connaissent pour son roman <i>L'Esprit de bottine</i>, a rencontré Serge Bouchard, anthropologue célèbre, ainsi que toute une galerie de personnages extrêmes. Parmi eux, un certain Efix Roy.<p>Pour le plaisir, Efix s'adonne aux modifications corporelles. Il a des tatouages partout et des trous de deux pouces de diamètre dans les oreilles. Il s'est fait implanter des billes de silicone sous la peau des bras. Il s'est fait effacer le nombril et entend faire de même avec ses mamelons. Pour couronner le tout, Efix a la langue coupée en deux, façon reptilienne.<p>Efix est de loin le spécimen le plus curieux du documentaire. Dans son enquête sur les expériences extrêmes, Avard nous fait aussi rencontrer d'autres personnes à la recherche d'elles-mêmes hors des sentiers battus: des échangistes, un moine bouddhiste, un type qui aime sauter dans le vide, un fou de la moto.<p>Il nous montre aussi de sympathiques jouets sexuels pour fétichistes. Par exemple, une tige de métal d'environ quatre pouces que l'homme peut entrer dans son uretère afin d'obtenir des sensations jouissives, dit-on.<p>Je comprends très bien que le bonheur n'est pas offert au prix le moins élevé chez Wal-Mart. En fait, j'ignore où se trouve le bonheur au juste. Mais j'ai pour mon dire qu'un type qui a besoin de se couper la langue en deux ou de s'insérer une paille de métal dans le pénis pour se réaliser pleinement a peut-être cherché le bonheur un peu trop loin…<p><i>Mon</i> oe<i>il! – Jusqu'au boutisme 101</i>, à Canal D, le mercredi 16 mai, 21 h.<p>À noter: la série <i>Mon</i> oe<i>il!</i> présente des documentaires réalisés par des personnalités. On leur donne carte blanche, et le résultat est souvent délicieux. Ainsi, après le jusqu'au-boutisme d'Avard, <b>Jici Lauzon</b> fera le procès du zapping. Autant le dire tout de suite: je risque d'en parler dans ma prochaine chronique!<p>ooo<p><b>TÉLÉ</b><p>Enfin! Les cérémonies d'ouverture et de clôture du Festival de Cannes seront diffusées en direct au Québec pour la toute première fois! Alors que l'on devait jadis se contenter des clips de Flash, TV5 nous propose la Croisette sur un plateau d'argent! L'actrice <b>Diane Kruger</b> jouera la maîtresse de cérémonie (elle est de la distribution de <i>L'Âge des ténèbres</i>, de Denys Arcand, le film de clôture du festival). La cérémonie d'ouverture: en direct le mercredi 16 mai, 12 h 45 (rediffusion à 21 h). La cérémonie de clôture: en direct le dimanche 27 mai, 13 h.
La série »Mon oeil » est vraiment une des meilleures émissions de cette année. Enfin, une série documentaire qui s’intéresse aux différents travers de notre société complètement »internautée », »webée », ou peu importe le nom qu’on veut bien lui donner.
Canal D devrait en profiter pour rediffuser la première mouture (première saison) de cette série tout à fait hétéroclite. Et ça prouve bien que nos artisans d’ici sont bourrés de talents et d’idées.
Méchant détour inutile pur ploguer une émission de télé…
Autant en faire la liste et placer des étoiles à côté pour nouis donner le goût de voir et de perdre du temps printannier ou presqu’estival de soirée assis devant la télé à regarder le délire d’individus sur payés pour faire ce qu’il font…
Le bonheur chez Wal-Marde…franchement.
Cette série d’émission ressemble étrangement à celles qu’animait Martin Deschamps à je ne sais plus quel canal où il nous montrait des choses ou des gens « fuckées » de la vie et leurs trippent « extrêmes »…
Le bonheur de ma jeunesse c’était le spaghetti boulettes de ma mère, un voyage à Old Orchard avec mes parents, une partie de balle-molle le dimanche matin avec les boys! Dans notre nouvelle société c’est la technologie qui crée notre bonheur. J’ai un fils de 17 ans typique qui se promène avec son I-Pod, ordi et son cellulaire et qui travaille pour se payer ses petites gateries de la vie. Une sortie d’école ne se limite plus à un périple à Ottawa mais à une odysée en Grèce, Barcelone!
Je travaille comme enseignant et une étude auprès des étudiants a démontré que la majorité de nos jeunes ne travaillent plus par necessité (comme dans le temps)mais pour pouvoir se procurer ce luxe incontournable. Le bien-être matériel vient bien avant les valeurs morales. C’est un peu le constat de notre société de consommation
Nos jeunes sont plus gâtées par les choses de la vie maissont ils plus heureux. Cette récherche constante de l’émotion forte tend à prouver le contraire.
Autant poser la question tout de suite ? Peut-être nous arrêterons-nous un instant, le temps d’y réfléchir et d’aller vers d’autres horizons que ceux-là ! Mais, nous ne ferons pas le prochain Monde. Nous serons les morts sur lesquels se bâtira le nouveau. Chaque jour naît l’enfant qui nous enterrera. Comment poser un regard juste et réel sur ce qui pousse au delà de nous ? Rien ne nous y prépare. C’est pourquoi il nous faut accepter. Accepter d’être dans une vie qui ne nous rassemblera pas. Moi, j’ai 48 ans cette année. Déjà le monde me glisse des mains. Tenter de le qualifier, comme le font certains spécialistes, est peine perdue. Nous pouvons nous pencher sur le passé; le juger, le qualifier. Mais le futur ne nous appartient pas, pas plus que dans l’analyse. Il ne s’agirait sinon que de projection. C’est tout ce dont nous sommes capables. Il est inutile de nous casser la tête avec la vie des autres, car c’est à eux de la choisir et de l’orienter. Nous, nous ne serons que des photos sur les murs.
Ah le bon vieux temps où on vivait tellement plus heureux paraîtrait-il. La belle époque où l’espérance de vie voisinait les 40 ans, où on pouvait encore mourir du scorbut et où la femme était aussi appréciée que Teddy, mon chien épagneul.
Ah le bon temps actuel où on méprend bonheur avec auto-mutilation, où il est plus important de se démarquer parce que, apparemment, c’est la seule façon de ne pas vivre une vie plate.
Comme si l’entre-deux n’existait pas. Comme si il fallait être soit dans le clan de WalMart, soit dans le clan de Fear Factor. Comme si on ne pouvait pas vivre une vie de bonheur en ne dépassant pas les autres d’une coche. Ou en ne pétant pas une coche.
C’est entendu que la société actuelle n’a pas réussi à bien gérer l’abondance de ressources. Les gens ne se sont jamais sentis aussi seuls mais en même temps, ils passent leur temps à clavarder. Les gens n’ont jamais autant consulté en thérapie mais en même temps, ils ne prennent pas une seule seconde à réfléchir à leur vie préférant plutôt s’étourdir avec les téléphones cellulaires et autres instruments qui font en sorte qu’ils n’ont pas une seconde à eux. Les gens n’ont jamais aussi mal géré une abondance mais certains d’entre eux ( je m’inclus dans le tas) s’efforcent de vivre une vie de pleine conscience.
Le bonheur ne vient pas des possessions, mon neveu de 8 ans sait ça. Mais le bonheur ne vient pas non plus automatiquement dans la recherche de sensations fortes. J’en connais des fétichistes qui sont loin de vivre le parfait bonheur. Mais je connais aussi des bonnes petites mères au foyer qui ont trouvé leur bonheur. C’est que le bonheur n’a pas qu’une forme. Ce qui rend heureux le fou de la moto rendra malheureux le moine boudhiste. Et vice versa.
La recherche du bonheur n’est pas identique pour tous. Elle devient parfois obsédante pour certains mais le bonheur peut prendre autant de formes qu’existent de personnes. Le mien n’est ni chez WalMart ni dans le danger.
Je me méfie des gens qui vont au bout d’eux-mêmes. Des défis, en rajoutant qu’ils ont besoin de ça pour avancer, c’est-à-dire pour mieux s’épanouir en se connaissant davantage et bla bla bla. Ils aspirent à être les meilleurs, avoir 10/10 dans toutes les compétitions, ils veulent plaire, ce sont des gens parfaits en puissance. L’estime qu’ils ont d’eux-mêmes est aussi gros que leur ego, c’est tellement valorisant. Le profil parfait du petit imbécile en quête de la performance ou de la perfection.
Il faut se méfier de ces gens-là car ils peuvent vous subjuguer avec leur lucidité sur toutes choses, y compris parfois les pires niaiseries. L’important c’est de croire en vous, de ce que vous êtes ou ce de ce que vous pouvez faire. Ils ont l’habitude de débobiner leur cassette et il faut les couper net, autrement ils seront encore là demain matin. Ils sont déjà au bout du rouleau.
Ce qu’on ne dit pas, c’est que parmi ce taux élevé d’aspirants à l’excellence, beaucoup se cassent la gueule, égarés qu’ils sont dans leurs espoirs déçus. Ils vont d’une thérapie à l’autre après avoir tenté de remonter à la surface via des drogues ou autres élixirs de l’illusion. Se connaissent-ils mieux à ce moment précis? Ne fessons pas sur un général vaincu qui n’a pas eu le temps de s’égorger.
C’est un tableau pessimiste que je viens de décrire. Je l’ai écrit exprès pour démontrer sa véracité. A défaut de se trouver une personnalité, on se dépersonnalise pour se trouver. Pour la retrouver, on cherche des substituts pour se permettre d’accéder directement au bien-être de soi, au bonheur immédiat.
La quête du bonheur est plus simple que cela. D’abord il faut quitter le miroir aux alouettes qui n’est qu’un leurre en acceptant qu’on est allé trop loin de soi. Pour plusieurs, le bonheur consiste avant tout d’être bien avec soi-même sans forcer la note. On y apprend justement à le devenir sereinement. Moralisateur ou paternaliste? Pas du tout, je suis conscient de la réalité vraie.
Je suis vraiment content que TV5 diffuse au Québec les cérémonies d’ouverture et de clôture du Festival de Cannes 2007. C’est un événement vraiment important dans le monde du cinéma et j’adore suivre les activités de ce festival de renom. J’aimais bien les couvertures de médias québécois comme Flash et Star Système sur le réputé événement mais ce sera bien mieux de voir le tout dans son intégralité commenté par des français qui connaissent très bien l’endroit et le déroulement du festival. J’ai bien hâte de regarder cela et je pense que Diane Kruger est une excellent choix de maitresse de cérémonie, elle s’exprime très bien en français et sera parfaite pour cette tâche.
Sur ce bon festival à tous, vous allez surement découvrir de nouveaux films intéressants lors de la compétition officielle !
Le bonheur est quelque chose de propre à chacun. Certains ont besoin de la routine du samedi pour aller chez Wal-Mart. Tant mieux! D’autres sont heureux avec la langues coupée en deux. Bien! Nous passons notre vie en quête du bonheur ultime. En réalisant toujours trop tard qu’il est là, à chaques jours devant nos yeux. Notre société est peut-être maintenant conçut pour nous simplifier la vie avec, comme vous dites, l’assurance-chômage et la glucosamine mais en soi, l’être humain à vécu des milliers de générations sans ces choses/ programmes. Ce n’en fait pas moins qu’il y en a au moins une partie qui ont trouver le bonheur, c’est certain. Pour ma part, j’ai comprit qu’à 20 ans, ma recherche personnelle de l’ultime sentiment commencait entre mes deux oreilles, et je sais apprécier un doux moment de la vie telle qu’un repas en bonne compagnie ouune belle mélodie. Puisque certains n’ont même pas la chance d’entendre. Si l’humain cesse d’être aussi aveugle et de mettre leurs valeurs à des fins matérialistes, nous serons heureux. Et si écouter cette émission vous donne un soupçon de bonheur, alors écoutez Mon oeil! et peut-être va-t’il y avoir moins d’injures sur nos routes en voiture et que les gens seront plus patients à la caisse. Peut-être même laisseront-ils passer quelqu’un devant eux, qui sait?
La série Mon oeil nous a déjà fait découvrir le monde des collectionneurs avec François Léveillé , l’art d’adopter un chien et devenir une bonne maîtresse avec Marie-Lise Pilotte , le bruit avec Ghislain Taschereau , la peur des dentistes avec André Robitaille , la vieillesse avec Geneviève Brouillette , l’industrie de la mort avec Stéphane Crête . Jici Lauzon cloturera la saison avec le zapping .
Dans l’émission de cette semaine , l’écrivain François Avard ira rencontrer des personnes qui vont jusqu’au bout de leurs fantasmes . Il n’hésitera pas à se joindre à un groupe d’échangistes dont le tout devrait se terminer en orgie ou encore à des adeptes de mutilations volontaires qui n’hésitent pas à se faire fendre la langue en deux pour ressembler à un reptile ou en s’implantant des objets sous la peau pour faire de ‘jolies bosses’ . L’auteur voudra connaître les raisons qui poussent ces gens à vouloir toujours aller un peu plus loin ou plus haut dans leur quête du bonheur . Je pense que le bonheur comme les goûts n’est pas à discuter .
J’écoute très peu de télévision et je m’en porte très bien. J’utilise encore des oreilles de lapin sur mon appareil et je refuse de payer un prix exorbitant pour avoir accès à des postes plus inutiles les uns que les autres. Votre texte me prouve que je ne manque rien!
C’est vrai que lorsqu’on est entrain de combler nos besoins primaires, (se nourrir, se loger, sa santé), survivre quoi, on ne pense pas au bonheur, à se réaliser pleinement, à savoir si on est heureux. On veut juste vivre. Ainsi, nos grand-parents, avec leurs enfants, leurs travaux, leurs animaux à s’occuper, étaient trop fatigués le soir pour se demander s’ils étaient heureux, ils avaient survécu à une autre journée, avec leur marmaille toujours intacte.
C’est la même chose dans les pays pauvres. On voit souvent des reportages où on nous parle des gens dans le très grand besoin, qui n’ont rien pour vivre, mais on quand même le moral et semblent plus heureux que nous, juste le fait qu’ils réussissent à aller à l’école quelques jours de temps en temps.
Une fois nos besoins primaires satisfaits, les autres besoins prennent la place. Se divertir, s’accomplir, grandir, devenir une personne meilleure. Lorsqu’on ne sait pas comment en arriver à s’accomplir, se donner des buts, des objectifs à atteindre, des défis, alors des fois, notre vie chavire comme ces personnes dans le documentaire de M. Avard. Je trouve cela bien triste.
Je trouve que l’idée d’une telle émission est très bonne, car cela nous fait voir qu’il y a toutes sortes de gens, et que ces personnes sont bien tristes en dedans pour faire de telles choses extrêmes.
Même chose pour la présentation du festival de Canne à la télé, quelle bonne idée. Il va falloir sortir notre vidéo pour enregistrer toutes ces belles émissions du printemps (qui semblent bien meilleures que bien des choses présentés en hiver). Avec la belle saison qui nous fait sortir dehors, il faut s’enregistrer des émissions à regarder lorsqu’il va pleuvoir.
Arthur Rimbaud avait inventé la théorie du voyant qui se résumait à peu près à vivre toutes les émotions jusqu’au bout. Il a écrit de la poésie de seize à dix-neuf ans. Ensuite, peut-être a-t-il eu peur de perdre. Perdre l’esprit, perdre la vie.
Le jusqu’auboutisme me fait peur. Il reste qu’on voit de plus en plus de jeunes s’y adonner. Ils croient que tout est possible, qu’on a juste à y croire, qu’on doit aller au bout de ses rêves et quand ça ne fonctionne pas ( pour la plupart d’entre eux) certains vont auboutdeleurvie. La modération a bien meilleur goût. Bien sûr, qui vit sans folie n’est pas si sage qu’il croit…
Les gens qui se percent le corps à en devenir des passoires ne m’intéressent pas sinon qu’ils réveillent mon empathie. Pauvre Efix. Mais se rentrer des tiges de métal dans le pénis parce que ça augmente la jouissance,…messieurs, je vous laisse à vos expériences.
Je ne cuisine jamais, j’aime pas, mais je dois avouer que l’émission «Des kiwis et des hommes» me donne parfois le goût d’essayer !!! Je ne dis pas que je vais commencer à cuisiner, je dis que ça me donne le goût !!! Aussi, je trouve que Boucar Diouf fait un très bon travail aux côtés de Francis Reddy et je crois important de le souligner.
Je ne crois pas que «Nous vivons dans la société la plus ennuyante qui ait jamais existé sur Terre.», non je ne crois vraiment pas !!! Serge Bouchard (anthropologue célèbre) doit principalement se baser sur ses connaissances pour affirmer une chose pareille, moi je me base sur ma vie de tous les jours.
Je flotte dans l’air, devant mon ordinateur, c’est chaud et humide, l’été sera bientôt là, Spider-Man ne fera que passer, les filles sont belles et comment voulez-vous regarder ailleurs !!! C’est pas un commentaire macho, c’est le commentaire d’un gars qui n’a d’autres choix que de constater que les filles sont encore plus belles à cette période de l’année !!! Ah. ce que les filles nous en mettent plein la vue et heureusement elles le font de plusieurs façons. Sarah Brightman, par exemple, chante si bien «Time to say goodbye»…
Je flotte donc dans l’air, le coeur léger, le sourire fendu jusqu’au oreilles. «La lévitation est le fait de se déplacer dans les airs sans assistance artificielle, ou le fait de rester en suspension dans un espace au mépris des lois de la gravitation, pour un être ou un objet. »
Le bonheur !!!
Aujourd’hui, on a tout. À condition d’avoir l’argent nécessaire pour se procurer «le tout» en question. Ce qui en fait, n’est pas très différent du temps de nos grands-parents (et de la vie de siècle en siècle).
Le bonheur n’est pas d’éviter les crises existentielles ou d’avoir des tatouages partout, ou même d’avoir la langue coupée en deux, façon reptilienne. Le bonheur c’est pas juste des jouets sexuels pour fétichistes, le bonheur c’est de vivre à l’écoute de soi et des autres.
La recherche du bonheur est une idée qui m’est étrangère, et pourtant, je suis de nature joyeuse. Peut-être est-ce dû au fait que je ne l’ai jamais trouvé en moi. Ce n’est pas là qu’il se trouve.
Il se trouve au contact des autres, en s’intéressant à ce qui les touche et les fait vibrer. Accompagner les autres dans leurs besoins, les soutenir et les aimer, c’est ça le bonheur.
La jouissance, c’est autre chose. C’est égocentrique. C’est une hystérique quête du vide. Le bien-être est bien plus accessible et s’obtient de mille façons. Vingt longueurs de piscine, un sauna, un massage, une partie de baseball, une soirée à s’éclater sur une piste de danse. Un bon livre, un bon cd. Être entourée d’un bras aimant et pouvoir s’y abandonner sans craindre d’être jetée au bout de quelques mois. Comme la société de consommation a balayé les êtres humains au profit de l’éphémère, n’être jamais sûr de rien n’aide pas non plus à atteindre le bonheur.
Aller au bout de ses limites, quelle drôle d’idée ! La performance pour la performance est un exercice bien stérile. Ce n’est pas non plus un gage de bonheur. Tout au plus, lorsque les circonstances l’exigent, cette performance peut-elle contribuer à la satisfaction du devoir accompli. Une notion dépassée comme la fidélité d’ailleurs.
L’époque est à la liberté de choix et d’expression. Chacun fait ce qu’il veut et ce qu’il peut, et c’est tant mieux, mais beaucoup se trompe en confondant bonheur et jouissance.
Oui, à comparer aux anciennes générations nous avons terriblement de choix et de possibilités, mais tout ces services et gadgets qu’on essaye de nous vendre, ce n’est pas ça qui nous donnera le bonheur. C’est juste l’illusion du bonheur qui dure que quelques heures comme un enfant qui obtient un nouveau jouet, on s’en lasse rapidement et on n’en a besoin d’un nouveau, voilà comment est faite notre système de consommation.
Le bonheur est beaucoup trop simple pour qu’on est besoin de le chercher. Celui qui le cherche perd son temps.
Il semble que l’être humain soit vide. Il croit donc que la maison ou l’appartement dans lequel il vit est vide elle ou lui aussi. Comme la nature a horreur du vide, il faut donc acheter le plus d’objets possible, utiles ou non, donc le moins cher possible, afin de remplir notre demeure. Nous croyons donc avoir ainsi rempli notre intérieur.
Il arrive aussi que certaines personnes doivent changer quelque chose en eux pour être bien dans leur peau. Beaucoup d’entre eux s’imaginent qu’en modifiant leur corps à outrance, ils se sentiront mieux. Mais certains continuent à le modifier. Il est vrai qu’il est plus facile de changer notre apparence extérieure que de changer notre intérieur. L’effort demandé pour changer sa façon de vivre et de penser est plus elevé que pour chnager son corps. Et la souffrance interne est souvent plus grande que la souffrance extérieure.
Et comme l’être humain est porté à choisir le chemin le plus facile plutôt que le plus utile, quel choix fait-il?
Pourquoi refuser le rêve de Cro-Magnon et pousser la recherche du bonheur jusqu’à l’extrême onction ?
Parce que l’Homme est Homme et qu’il ne peut nier ses origines génétiques !
L’Homme moderne vit dans un état de perpétuel coït interrompu, si on le compare à ses prédécesseurs.
En effet, malgré l’apparente évolution entourant l’Homo sapiens, dit homme moderne, ses instincts primaires sont demeurés semblables à ceux de ses premiers ancêtres, en l’occurrence : l’Homo ERECTUS.
L’Homo erectus est considéré comme étant le premier homme véritable. On l’appelle aussi : homme dressé, car il est le premier de sa lignée à tenir droit debout.
En raison de ses conditions de vie, l’Homo erectus mène une vie beaucoup plus trépidante, torride et exaltante que l’Homo sapiens.
L’Homo erectus partage sa vie entre ses deux seules passions : la chasse et le sexe.
Avec plusieurs de ses amis, il chasse des animaux souvent féroces. Il attaque, presque à mains nues : de très dangereux rhinocéros ; de redoutables ours, panthères et lions ; et poursuit au pied de course de très rapides chevaux sauvages.
Chaque jour, sans interruption, à la nuit tombée, repu, Homo erectus regagne sa grotte. Là, une plantureuse Homa erecta attend au coin du feu pour l’aider à redevenir un « homme dressé » !
Le jour suivant, Homo erectus, rassasié de ses prises de la veille, repart, ragaillardi, chasser la bête. Plus son désir de s’alanguir sous la poigne ferme de son Homa erecta, plus la chasse est intense. Grrrrr. !
Alors, qui croit encore que l’homme moderne peut trouver le bonheur chez Wal-Mart quand il possède en lui des gênes d’Homo erectus ?
Si on ne peut y être en personne, on peut toujours y assister, par l’intermédiaire, de la télévision! Les cérémonies, d’ouverture et de clôture du : «Festival de Cannes» où, tout ce que, nous n’avons jamais osé demander, et nous sera gratuitement dévoilé! Sous la direction, de la non moins célèbre, Diane Kruger, elle saura nous livrer la marchandise. Peut-être, aurons-nous la chance ou le privilège, de voir attribuer, une petite mention quelconque à, Denys Arcand, pour L’Âges Des Ténèbres? Si c’est le cas, croisons-nous les doigts, afin qu’il soit quelque peu, plus éloquence, qu’a la soirée des Oscars? Alors : «César, ouvre-toi».
Je ne vois en quoi prendre sa carte Air Miles un samedi après-midi pour allez chez Wal-Mart s’acheter un lecteur mp3 fabriqué en Chine ne serait pas une sorte de bonheur. Ce n’est pas la vôtre, ni la mienne non plus, mais pourquoi ce ne serait pas celle d’autres personnes. et c’est parfait comme ça. Oui, je suis d’accord que c’est une sorte de bonheur furtif qui est axé essentiellement sur du jetable, sur de la (sur)consommation, mais pourquoi l’un ne pourrait-il pas créer l’autre et vice-versa? Et si nos sociétés « modernes » nous ont apportées tous ces cossins, c’est parce qu’on les achètent!
D’autre part, dans votre chronique, vous semblez partir du principe que la quantité d’objets et de trucs aussi stupides qu’inutiles que l’on peut se payer – pardon, s’offrir – est assimilable au bonheur. En quoi? Si vous me dites que parce qu’« on est comblé », on devrait, ipso facto, avoir le bonheur tout cuit dans le bec, moi je ne peux pas être d’accord. Ça n’a rien à voir. Vous semblez mettre en relation, d’un côté, des choses matérielles et définies, avec de l’autre côté, une notion aussi personnelle, immatérielle et indéfinissable qu’est la notion de bonheur.
Le bonheur c’est comme un grand panier à linge rempli de différents morceaux, de tailles, de couleurs et de formes différentes. Chacun son panier, chacun son linge et essayons de concevoir et de trouver notre façon personnelle de vivre le bonheur (matériel ou non), sans blâmer sans cesse la société.
Et pour en revenir à votre Grand-Mère, certes, elle n’avait pas d’écran TVHD, mais dans sa famille, on mourrait à 60 ans de maladies qui aujourd’hui n’existent plus. Faudrait savoir ce que l’on veut. Les Amiches, eux, ils ont fait leur choix. Sans aller jusque là, on devrait arriver à trouver un juste milieu, non?
Puis, pour terminer, est-ce que l’on peut enfin comprendre qu’avec les avantages d’une vie plus confortable, viennent aussi tous leurs inconvénients? C’est à nous de savoir faire le tri.
Pour moi le bonheur en soi n’existe pas. Il est toujours là et à plusieurs moment de notre vie on le ressent. Si on veut toujours le bonheur et le retenir il nous échappe, il nous montre et nous apprend comment l’apprécier, il ne nous appartient pas. Impossible qu’il soit permanent toute une vie. Quand nous vivons ces petits bonheurs de la vie à travers les gens que nous côtoyons comme par exemple les repas entre ami-es que nous apprécions, la lecture etc. Ce sont des chose qui ne coûtent presque rien. Profitons des moments pour partager, ne pas en attendre les récoltes.
Le plaisir de se mutiler n’a rien à voir avec le bonheur.
D’aller chez wall-marde peut faire partie des petits bonheurs que je laisse à d’autres, aller en montagne russes, au Zoo, au hockey, au musé, passer à la télé, se décrotter le nez, magasiner, aller se baigner, , lire des b.d.
Voir, entendre, toucher, sentir, goûter fait partie de nous, on explore tous ces sens qui nous donne du bonheur par petits moments et de la tristesse par petits moment. Ça passe vite une vie.
Coincidence! , je m’appelle aussi Serge Bouchard, mais la s’arrête les ressemblances car malgré toute ma volonté et mon ouverture d’esprit , je trouve la société d’aujourd’hui au contraire tres désennuyante et je rajouterais même de plus en plus désennuyante…
Que ce soit dans tous les domaines, on dirait qu’on n’a pas assez d’une vie pour ne serait -ce que prétendre avoir vraiment fait le tour du jardin en particulier…
Oh! On a tous, je pense un pointe de connaissances dans au moins un sujet mais vu la multitude de sujets et la durée d’un passage sur la terre, je pencherais plutôt vers la maxime d’une chanson d’un certain Jean Gabin qui allait comme suit: je sais qu’on ne sait jamais! mais ça je le sais!
Se réaliser, en assouvissant ses rêves les plus fous et les plus enfouis, peut donner l’impression d’atteindre un summum. Les « peak experiences » procurent évidemment un nouvel état de l’être, comme si on venait de naître, mais l’apparence peut parfois être trompeuse. Être et paraître n’ont pas la même profondeur, bien que socialement, on puisse se limiter à l’évidence.
Intéressant de regarder ces émissions qui arpentent ces petits bonheurs, tout en nous donnant le goût de nouvelles expériences de vie. L’émission « Enjeux » avait d’ailleurs parcouru ce thème, en analysant toutes les composantes et formes pour atteindre cet état d’extase. L’argent, les dimensions physiques et psychologiques, des témoignages qui en tracent les grandes lignes.
Quant-à-moi, le bonheur repose dans la satisfaction de sa vie et de ses choix quotidiens, dans la préoccupation de rendre le moment présent intéressant, générateur d’un passé accompli et favorisant un pas vers un avenir meilleur. Il ne s’agit pas d’accomplir un geste qui se démarque socialement, mais plutôt un qui nous apporte une satisfaction personnelle, loin des apparences.
La passion provoque évidemment un état euphorique, mais les retombées des actions extrêmes peuvent parfois déstabiliser et perturber la tranquiité d’esprit. Reste à choisir entre l’excitation et la paix d’esprit, mais l’âge aide probablement à calmer ses ardeurs et mieux maîtriser ses énergies. La sagesse n’a cependant pas d’âge et, mieux vaut tard que jamais, pour être enfin heureux une fois pour toutes.
Il me semble que ce sentiment d’ennui repose en grande partie sur l’abrutissement issu d’une trop grande dépendance populaire envers la télévision, écoutée presque autant d’heure qu’une semaine de travail normal en compte. Juste en publicité, plus de 300 minutes, plus de 5 heures ( 12 minutes à l’heure x 32 heures, ratio encore pire pour la télé américaine…) !
La programmation est ennnuyante, mais même si elle était excellente, le simple fait de passer tout ce temps devant le petit écran est suffisant pour plonger dans cet espèce de torpeur hypnotique végétative et indifférente assez typique…
Essayez de sortir de sa transe télévisuelle confortable, bien installé et au chaud dans son fauteuil, un individu moyen, pour l’amener faire quelque chose (sport, musique, théâtre…), et vous verrez: la plupart du temps, le « grosvedgisme » dans toute sa splendeur, « oh non, ça me tente pas , chu fatigué, gnagnagna », avec en arrière-plan sonore téléphonique la télé qui joue, et la main qui triture un bol de chips, pressé de raccrocher pour ne rien rater de l’émission, une fascinante télé-réalité, un film de pow-pow américain, un de nos multiples télé-roman plate, cheap et kétaine, et j’en passe …
Puis le lendemain, ça va se plaindre que c’était plate…
Autrefois, les gens n’avaient pas vraiment le temps de se demander si ils étaient heureux ou pas. Même ceux qui étaient malheureux se contentait de leur vie et essayaient quand même de trouver des petits moments où ils pouvaient être moins malheureux. Mais en général, ils ne s’en plaigaient pas. Aujourd’hui, on ne se contente plus de ce qu’on a, on cours après le bonheur. Le problème en ce qui concerne le bonheur, c’est que plus on court après, plus il semble s’éloigner de nous. C’est seulement lorsqu’on met fin à cette course effrénée qu’on peut espérer aspirer à ce bonheur tant recherché. Et ce n’est pas la même chose pour tout le monde; pour certains, c’est d’avoir tout les derniers gadgets possibles et inimaginables que la technologie moderne a à nous offrir (quoique ce genre de bonheur est plutôt éphémère…), alors que pour d’autres, c’est de prendre le temps de relaxer à la campagne, et pour d’autres c’est … autre chose. Mais chose certaine, si on veut être heureux, il faut tout simplement prendre le temps de vivre. Pour certains, c’est en travaillant comme des acharnés qu’ils se réalisent et qu’ils sont heureux, alors que pour d’autres, c’est en aidant les autres, ou en passant du temps avec ses enfants, ses parents, ses amis, ou que sais-je d’autre encore. En autant que l’on fait ces choses parce qu’elles nous rendent heureuses, et non qu’on les fait en espérant être plus heureux (aujourd’hui ou plus tard).
Ça semble trivial, mais l’important dans la vie, c’est tout simplement d’être heureux. Si on ne l’est pas, c’est qu’on fait quelque chose de travers et qu’on devrait peut-être se questionner sur ce qui nous rend heureux et le faire plus souvent…
Rien ne se fait seul dans la vie!! On doit donner un coup de pouce au destin si on veut arriver à vivre heureux! Le bonheur on ne doit pas courir après, on doit le créer et le vivre. On doit vivre à 110%, profiter de chaque moment qui passe, de chaque personne qu’on rencontre….Tous les petits moments que l’on vit et chaque personne qu’on rencontre nous apporte quelques choses et nous permettent de grandir, on devient ce que l’on est grâce à ce que l’on a vécu. On doit arrêter de regarder trop loin derrière ou trop loin devant et vivre le moment présent à fond. On ne doit pas attendre qu’il soit trop tard ou se rendre compte qu’il faut profiter de la vie lorqu’on perd quelqu’un et qu’il est trop tard… Il faut arrêter de penser que le bonheur s’achète, on doit plutôt s’émerveiller de toute les petites choses qui justement ne s’achète pas mais qui se vive le moment présent…
Ne cherchez pas le bonheur trop loin, regarder autour de vous!
La recherche du bonheur est vaine. Le bonheur n’existe pas Tout au cours de ma vie, j’ai connu des bonheurs éparpillés sur une heure et d’autres sur des mois. L’étymologie du mot prend sa source dans le vieux français du douzième siècle; il signifiait « de bon heur ». Au Moyen-Âge, le « de bon heur » côtoyait le « de mal heur » quotidiennement. La sagesse populaire comptait en heure le bonheur ou le malheur.
Aujourd’hui, on court après le bonheur, sans comprendre sa véritable nature. On le confond avec jouissance, plaisir et satisfaction. Tous les sentiments sont éphémères, rien ne dure. À partir du moment que l’homme accepte sa condition de n’être pas Dieu, il peut alors supporter sa finitude et son manque. Par conséquent, il recherche des bonheurs qui vont être des baumes sur ses souffrances, ses manquements et sa lâcheté.
Les bonheurs se construisent souvent avec les autres. Les bonheurs solitaires sont possibles mais ardus, il y manque toujours le regard de l’autre.
Les bonheurs exigent peu d’efforts et sont toujours proches. Ils sont à la portée de tous et ne réclament surtout pas la singularité ou l’excès. On ne « trippe » avec les bonheurs.
L’ouverture, la clarté et la simplicité se conjuguent très bien avec les bonheurs. La violence, l’orgueil et le mensonge les écartent. La recette est simple: vivre en soi et avec les autres. On ne meurt pas de bonheur mais on meurt de ne jamais le trouver: l’ultime paradoxe.
Le bonheur ah quelle recherche introuvable mais si proche pourtant!!!!! C’est vrais tous chacun notre tour cherchons cette petite chose qui nous feras le plus grand bonheur mais si une seule fois tu ose regarder les chose tel qui sont sans prejuger ,sans amerture et sourtout sans attente ,tu ressentiras quelque chose d’extraordinaire , quelque chose de surnaturelle quelque chose qui s’appelerai LE BONHEUR!!!!Et oui arreter de lire des livres ou l’on vous vends le bonheur sous toute forme car le bonheur ne se lis pas il se vit .En fait le bonheur ,je pense,est se sentiment que vous ressenter quand vous aimez ce que vous voyez et se que vous faites .Le secret est de trouver son secret pour se faire un bonheur que se soit de regarder des enfants jouer ,de manger une pizza ou bien de lire un livre pour la xieme fois ,l’important est de s’amuser dans ce qu’on fait , parce que dans le plaisr on trouves une parcelle de vie et la vie on le sais tous n’est pas aussi facile que l’on peut s’imaginer mais si tu sais accepter ca ,tu seras deja plus proche d’une paix interieure .Mais il ne faut jamais oublier qu’il faut une chance au malheur pour se changer en bonheur !!!!!!XXX