Avis de recherche: femme ou homme politique ambitieux et capable de se faire passer pour l'incarnation du "changement" – charisme facultatif.
Or, rien n'est en fait plus récurrent que cette quête effrénée du "nouveau". En politique, le changement finit toujours par revenir à la mode.
C'est comme le détersif. Rien ne vend mieux qu'une étiquette "nouveau et amélioré".
Même chose en politique. Dès qu'un électorat tourne le dos à sa classe politique, des apôtres du changement infini se pointent. On ne réinvente pas la roue…
Le problème arrive lorsque ce ras-le-bol généralisé est tel qu'on ne se demande même plus si le "changement" promis par le premier sauveur venu sera pour le meilleur. Ou pour le pire. N'importe, si le contexte s'y prête, le mot demeure un formidable vendeur.
Ainsi, en 1960, après la Grande Noirceur de Duplessis, Jean Lesage lançait son fameux "C'est l'temps qu'ça change". En 2002, Jean Charest promettait de "réinventer le Québec".
En vue du dernier référendum, l'ADQ, le Bloc et le PQ se disaient le "camp du changement". En 2000, le PQ proposait un "nouveau pays pour un nouveau siècle". Plus tard, André Boisclair, rêverait de "reconstruire" le Québec.
Tout récemment, Pauline Marois présentait un "nouveau PQ", une "nouvelle équipe" et un "nouveau programme" pour "un vrai changement"!
Comme on peut le voir, le changement est parfois réel, parfois factice.
Les "forces de l'action"
Comme je l'écrivais ici en juin dernier, les planètes du ras-le-bol des Québécois étant à nouveau alignées, la chasse au changement est ouverte.
Le 2 mai, ça donnait l'anéantissement du Bloc par le tsunami orange du NPD. Quant à la prochaine élection québécoise, attendez-vous à une boîte à surprises cachée dans une boîte de Pandore…
Aujourd'hui, le "changement", semble-t-il, s'appelle François Legault et Charles Sirois.
Comme quoi la création d'un parti par un ex-ministre péquiste en poste pendant onze ans, flanqué d'un ex-recruteur libéral, confirme qu'en politique, on peut toujours prétendre faire du neuf avec du vieux.
Messieurs Legault et Sirois peuvent même se laisser faire des mamours par l'ADQ – le parti le plus conservateur au Québec. Du moins si l'on décode ce qu'en dit le député adéquiste François Bonnardel lorsqu'il dit maintenant souhaiter "unir les forces de l'action" pour battre Jean Charest.
Et rien de tel que le "changement en action", n'est-ce pas? Misère…
Or, M. Legault estime que le "changement" est possible à une seule condition – soit d'enterrer pour dix ans la question nationale dans son ensemble pour mieux s'occuper des "vraies affaires".
Comme disait ma grand-mère: "pas de chicane dans la cabane et pas de têtes de cochon sur mon perron"…
Les sincérités successives
Or, on oublie aujourd'hui un détail qui est loin d'être anodin…
Ce «détail» est que cette vision de François Legault est en fait à des années-lumière de celle qu'on retrouvait dans un manifeste coup-de-poing publié au Québec en 2004.
Quoi? C'est déjà oublié? Voyons alors ce que ce manifeste disait…
Prémonitoire, on y trouvait déjà un constat brutal du "malaise démocratique", du "cynisme" ambiant et de l'urgence de "rallier la population" en la "réconciliant" avec la politique.
Même ceci n'a pas vieilli d'un jour: "Les citoyennes et les citoyens ont le sentiment de ne pas en avoir pour leur argent, d'être peu écoutés et de ne pas pouvoir faire confiance à une classe politique qui semble incapable de leur proposer un projet collectif stimulant." Amen.
Or, ce manifeste proposait une solution. Soit un gouvernement "progressiste" et un "projet de pays emballant et concret".
La souveraineté est "un projet rassembleur", y lisait-on, et surtout, "une bonne affaire" -, "non seulement viable, mais rentable".
Conclusion de l'auteur: "(…) mes choix sont clairs. Mes priorités sont l'éducation et la santé. Et c'est pour cela, notamment, que je suis souverainiste".
Constatant déjà que le PQ avait "vieilli" et n'avait plus "le courage de ses convictions", l'auteur proposait une "démarche claire" où "les Québécoises et les Québécois auront l'occasion de se prononcer (…) dans le cadre d'un référendum qui, comme je l'ai dit plusieurs fois, devrait avoir lieu en début de mandat".
Mais qui donc, en 2004, pouvait être l'auteur d'un manifeste à ce point "pressé", de "gauche" et "pur et dur"? Jacques Parizeau?
Que non. C'était François Legault.
Et le titre de son manifeste de 48 pages (!) de 2004, je vous le donne en mille: "Le courage de changer".
Bien sûr, comme dit la formule classique, il n'y a que les idiots qui ne changent jamais d'idée.
N'empêche que comme "changement" de vision, le virage est spectaculaire.
Légitime, certes, mais passer de "la souveraineté est LA solution" à "ne plus en parler est LA solution", avouez que c'est impressionnant.
Le tout pour présenter en 2011 ce qui ressemble plus à une bouillabaisse de restants flottant dans l'air du temps qu'à une révolution de la pensée.
Au Québec, l'ambition de devenir premier ministre a son prix.
Ce qui explique pourquoi le milieu des affaires – friand de stabilité -, encourage la création de ce "nouveau" parti. Dans les faits, il ne propose rien de bien nouveau.
Comme quoi, plus ça change…
Morale de l'histoire: il est sage de se méfier des sirènes du "changement". Surtout lorsque tout récemment, elles chantaient le refrain contraire…
Une ancienne star du « Québec inc. » dont le principal titre de gloire est d’avoir acculé Téléglobe à la faillite, et un ancien souverainiste « pur et dur » défroqué, métamorphosé en fromage mou de l’affirmation nationale… Tant qu’à changer quatre trente sous pour une piastre, autant garder Charest en poste et nommer Henri-Paul Rousseau aux Finances, ça pourra difficilement être pire!
Je ne peux pas croire que l’électorat québécois va être bête à ce point… Mais ce ne serait pas la première fois, hélas! Souvenons-nous de la vague adéquiste il y a quelques années. Et qui fait aujourd’hui les yeux doux au CAQ de Legault-Sirois? L’ADQ, précisément! « More of the same »…
Vous avez bien raison, Madame Legault : plus ça change…
Bonjour Mne Legault
Quitte ou douple
Le député indépendant de Nicolet-Yamaska, Jean-Martin Aussant, devra trouver un autre nom qu’Option Québec pour son nouveau parti politique,
Discussions pour une éventuelle fusion entre l’ADQ et la coalition de Legault
Chrétien souhaite encore une alliance avec le NPD
Je vous sens un peu découragée madame Legault, non sans raison, remarquez bien.
Monsieur Legault a peut-être moins de conviction que d’ambition, ce ne serait pas le premier.
Avec un taux d’analphabétisme fonctionnel à près de 49% au Québec: donc près de la moitié de nos concitoyennes et concitoyens incapables de saisir le sens des enjeux et ainsi d’en débattre. Avec un système d’éducation publique qui n’a pas même cinquante ans et qui déjà est à deux vitesses selon que l’on soit pauvre ou riche. Avec un système de santé public bradé par le gouvernement lui-même. Avec une ploutocratie qui s’encroûte depuis maintenant huit années et une corruption endémique. Avec nos institutions molles notre langue que l’on ne défends pas il y a lieu d’être très préoccupé.
Une société ne devrait pas avoir à refaire les mêmes batailles.
La température de l’eau monte comme l’écrivait un autre intervenant, réagirons-nous, ou attendrons-nous encore un peu…
Si seulement madame Pauline Marois était capable de parler aux gens, de les rallier à ses vues, de transmettre sa passion, mais avec décorum ( çé ben important le décorum ). Le courant ne passe pas et malheureusement on ne sent aucune urgence de le faire passer…
Et si les prochaines élections n’offraient rien d’autres qu’un choix entre la médiocrité actuelle, l’entêtement de Pauline et le beige potage de M. Legault.
Le concept d’intérêt supérieur n’est sûrement pas étranger à madame Marois, aussi serait-il crissement temps selon moi qu’elle en fasse la démonstration et montre qu’elle a du coffre, de l’étoffe, qu’importe.
Ce que je crois profondément c’est que se taire n’est plus pour elle une option.
M. Legault était pressé du référendum en 2004 mais pourquoi est-ce qu’il a changé d’idée depuis ?
Parce qu’il a bien constaté que la « nation québécoise » ne suivait pas majoritairement son plan, ce qui ne décourage pas, M. Parizeau, ni Mme Lapointe, ni M. Curzi, ni M. Aussant, ni Mme Beaudoin ni la compagnie de purs et durs, qui croient qu’un chef séparatiste bien convaincant, qui remplacerait Mme Marois, pourrait retourner rapidement, les fédéralistes majoritaires comme des crêpes, pour en faire des séparatistes convaincus, prêts à voter OUI à la souveraineté simple, l’indépendance ou la séparation « tous des synonymes ».
On peut conduire un cheval à l’abreuvoir, mais non le forcer à boire. Citations de Proverbes anglais Proverbes anglais.
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Croyez-vous encore au « chemin de Damas » ? ou ces sépulcres blanchis ? ou ces énergumènes qui déchirent leur chemise sur la place publique ? Moi pas !
Pour qui nous prend-on à la fin ? J’aurais le goût de faire comme la fois où le prince enferma tous les candidats à la papauté en leur signifiant qu’ils ne sortiront que lorsqu’ils se seront entendus pour identifier celui qui sera LE pape. Pour parler plus crument je dirais : «Laissons-les s’entretuer ! Nous parlerons avec les survivants.»
J’ai de plus en plus l’impression que ce sera, pour notre société, un luxe exorbitant d’attendre encore 21/2 ans pour se débarrasser de Charest. Mais je suis bien conscient que le coût sera encore plus élevé de reporter au pouvoir ce gouvernement corrompu qu’est le PLQ avec son général de papier qu’est Charest.
Khadir : «Au secours !» Ah zut ! J’avais oublié il est seul … !
«La politique a sa source dans la perversité plus que dans la grandeur de l’esprit humain.»
[Voltaire]
10 ans après l’attaque suicide du World Trade Center, les politiciens québécois loin de se calmer le pompon, traumatisent les électeurs qui n’ont plus d’autre choix que de s’enfermer à double-tour le soir des élections.
Mme Marois prend probablement l’exemple de M. Layton, qui est de conserver ses munitions les plus solides, pour la campagne électorale. Avec la bonne attitude, son calme et sa bonne humeur habituelle, tout lui est possible. Elle n’a pas à télégraphier ses tactiques, 2 ans à l’avance.
Le paysage politique évolue constamment, nous ne devons ni décompter ni crucifier Mme Marois avant les prochaines élections provinciales, sauf, si on est fédéraliste extrémiste. Les politiques suggérées par Mme Marois peuvent même convenir aux fédéralistes nationalistes modérés, principalement francophones.
Personnellement je fais partie de ceux et celles qui pensent que, sauf exceptions, les peuples ne sont pas si bêtes que ça, ce qui n’exclut pas la triste présence, dans toutes les sociétés, d’imbéciles patentés et certifiés.
Je sais, ou crois savoir, qu’actuellement, de très nombreux Québécois voudraient que ça change (j’avais d’abord commis une coquille et écrit «que ça chante», ce qui n’est pas si bête).
Bien évidemment de très nombreux citoyens et citoyennes ne savent pas trop bien dans quelles directions devraient se réaliser les changements, ce qui ne les rend pas méprisables ou «aliénés» pour autant.
En fait, si je maintiens ma vieille marotte, je rappellerai que, selon moi, en toute modestie, les citoyens sont moins «cyniques» (et moins dépolitisés) que DÉSENCHANTÉS (vieux concept central du vieux sociologue Max Weber, à la fin du 19e sièecle).
Et la vague ORANGE a été, de manière peut-être illusoire et trompeuse, l’occasion d’un apparent RÉ-ENCHANTEMENT DE L’UNIVERS. Moi, j’entretiens certains espoirs, en dépit du trépas «tragique» de Jack Linton. Mais nous verrons bien! Le désenchantement radical et généralisé ne peut que miner le moral, le dynamisme et l’avenir d’une population.
En fait, les citoyens en ont assez de la corruption, de la putréfaction, de la distance abyssale entre eux et une partie de l’engeance politicienne et politique. Ils veulent AUTRE CHOSE, sans que cet «autre chose» soit forcément énoncé et formulé de manière claire et limpide.
Dans un tel contexte le mot CHANGEMENT devient alléchant et «vendeur» («vendeur» ainsi formulé, c’est un anglicisme).
L’astuce de tous les François Legault de cette planète, c’est de bien détecter et de «capter» astucieusement, avec un certain opportunisme délétère, cette insatiable soif, non étanchée, de changement. Ce politicien qui a bien senti le vent tourner et qui a retourné, en partie, sa veste, sait fort bien que c’est électoralement rentable de proposer le CHANGEMENT.
Le risque avec le «mouvement» (est-ce vraiment un processus mobile et en mouvement?) de François Legault, tout comme avec la vague orange «laytonienne» (qui devra faire durement ses preuves), c’est que le changement (plus ou moins bien défini et plus ou moins clair) qui est proposé ne finisse par intensifier le fameux DÉSENCHANTEMENT qui m’obsède tant, au risque de lasser de nombreuses personnes qui vont finir par en avoir assez de mes rengaines de vieux «radoteux impénitents». Les néo-démocrates ont une responsabilité historique que tous ne soupçonnent pas.
Moi, je pense, en risquant d’errer lamentablement, que la population cherche actuellement des changements qui iraient plus vers la «gauche» (quel mot ambigu!) que vers la droite (autre mot pas très clair). Les citoyens veulent qu’un État «honnête» et démocratique intervienne, sans devenir totalitaire, pour mettre un terme à de nombreuses injustices et pour établir un minimum d’égalitarisme et de justice, dans cet univers ultralibéra. Mais peut-être me trompé-je d’une manière qui me discrédite et me relègue aux tragiques oubliettes de l’histoire!
Ce que je crains, avec le NPD (j’aime bien ce parti, malgré de nombreus bémols) et avec les «legaultistes», c’est que note peuple, peut-être «désenchanté», mais pas si bête et pas si «aliéné» (il faudrait écrire des centaines de livres sur ce concept) ne finisse par devenir blasé, déçu, désabusé et par en avoir ras le bol.
Il ne faudrait pas que des millions de citoyens, merveilleux et attachants, finissent par dire, d’une manière irréversible que: «PLUS ÇA CHANGE, PLUS C’EST LA MÊME CHOSE!».
Si on me permet une petite révélation sans grande importance pour les lecteurs et les lectrices (je pense, entre autres à cette indispensable Mme Thibaudeau) de ce glorieux blogue), c’est que j’ai donné, pendant au moins quinze ans, un cours intitulé DÉFIS SOCIAUX ET CHANGEMENT DES SOCIÉTÉS. Et cela ne m’a pas empêché, en écrivant ce petit texte dénué d’originalité et de grandeur, de me demander, avec angoisse, ce que je pourrais au moins dire ou écrire de pas trop con sur les processus de CHANGEMENT SOCIAL.
Avec l’espoir de ne pas vous avoir trop ennuyés ou ennuyées.
JSB, vieux «chercheur» impéntent mais si «faillible»
Mais bien-sur M.bousquet ,,les politiques suggérées par Mme Marois peuvent même convenir aux fédéralistes nationalistes « sic » modérés, autonomistes « comme vous mister bousquet » principalement francophones,Et que pensez-vous cher autono-fédéraste de mes deux ,advenant une négo pipée avec le Canada ,allez-vous tirer votre épingle du jeu impérialiste ? un pouvoir accru du québec ? franchement ,,,
Poser la question c’est d’avoir la réponse en pleine face .
C’est quand même paradoxal de constater qu’une majorité de gens qui ont choisi d’oeuvrer sur la scène politique québécoise vivent dans la tourmante, les déchirures, les remises en question sauf le parti libéral de Jean Charest qui réussit à garder le cap malgré un bilan médiocre, corrompu, vide et immobile.
C’est probablement la plus beau coup de maître de la famille Desmarais de Power-Corporation ces trente dernières années.
Ah M Bousquet j’aimerais tellement me dire qu’en vous lisant je me suis trompée .
Vous comparez Madame Marois à M Layton.
Je relis ayant un doute sur une somnolence possible mais non c’est vraiment réel ce que je lis.
Vous pensez * le verbe n’est pas adéquat mais je n’écris pas l’autre verbe .
Comme ça Pauline Marois prend modèle sur M Layton.
Je ne ris pas , j’ai juste envie non je vous recommande de nouveau d’aller sur le blogue de ce beauceron que vous admirez.
Maxime Bernier vous lira avec beaucoup de respect.
A tout Seigneur, tout honneur.
Le changement est une contagion ! Essayer par tous les moyens possibles d’arrêter une vague est tout à fait impossible. Un raz le bol est généralisé au Québec et la Cause Nationale en a pris pour son rhume le 2 Mai 2011. Cette immense brèche que le Nouveau Parti Démocratique en est l’auteur doublé d’une écoeurantite aigüe de la très grande majorité des québécois fit que le nationalisme québécois écopa de la taloche qui envoya directement le Bloc Québécois au cimetière en attendant la < claque du père François > en réserve pour le Parti Québécois. Les nationalistes québécois dans leur inconscience n’ont jamais su que l’union fait toujours la force soit qu’il est préférable souvent de se fermer les yeux sur des virgules et passer l’éponge au lieu de se tamponner l’un l’autre dans d’interminable chicane. Une question vitale que les nationalistes québécois devraient se poser crûment et tout de suite : Qu’arrivera t’il du nationalisme québécois si dans les mois à venir, le Parti Québécois continue à perdre les poils de sa bête ? Comment ceux ci géreront t’il une évidence en étant toujours habitués aux échafaudages qui les ont menés dans ce cul de sac, la débandade du Bloc Québécois est un symptôme, la déconfiture du Parti Québécois serait un désastre sans fin dans sa finalité brutale. Ce choc pour certains semble invraisemblable comme si une forme de déterminisme fait partie de l’inconscient du nationaliste qui lui fait croire que la Cause est inéluctable et est écrite dans le ciel. Tomber de haut ! Tu dis ?
Mme Thibaudeau, je n’ai pas écrit que Mme Marois préconisait les même politiques que M. Layton, seulement qu’elle possède certaines qualités de M. Layton. Si vous n’êtes pas d’accord, vous devriez écrire pourquoi, à la place de faire de l’ironie à mon endroit. Je ne vous ai pas attaquée.
Petit test , je suis banni du site ? M.Baribeau aura t-il eu raison ? comment se fait-il que les fédéralistes ont toujours le dernier mot?
Et que seul leurs intervention sembles pierres sur terre ? et que les oppinions des souverainistes sembles flocons sur flamme ?
Parfois la vie nous amène à changer pour le mieux et cela doit se faire intérieurement. Une personne qui espère changer en se faisant teindre les cheveux et en suivant une cure d’amaigrissement ne fera qu’un changement cosmétique sans plus et restera la même personne intérieurement.
Il en va de même pour une nation qui ne fini plus de vouloir sa propre personnalité tout en ne faisant que des changements cosmétiques. Les partis politiques qui cherchent la victoire et le pouvoir plutôt que le vrai changement vont tout faire pour faire croire aux naïfs que les changements qu’ils apportent sont du sérieux plutôt que cosmétiques.
Le PLQ n’apporte aucun changement, c’est l’éternel statut quo avec des promesses qui changent a chaque campagne électorales alors que les précédentes ne ce sont jamais réalisés. Du cosmétique a n’en plus finir, Un fédéralisme d’antan aucunement amélioré et un régime de corruption entre petits amis a peine dissimulé.
Le CAQ n’apporte aucun changement intérieur lui non plus. Un statut quo » nationaliste » pour attirer les nationalistes justement, Savez ceux qui ont trop honte de se déclarer fédéraliste et encore plus honteux de vouloir un pays. Legault veut faire de la politique comme Charest, entre petits amis bien nantis du milieu des affaires avec un déguisement de souverainiste-nationaliste –fédéraliste pour attirer la clientèle des indécis de droite et du centre-droit. Rien de bien original a l’horizon.
L’ADQ ! Et bien ce parti se cherche tellement qu’il souhaite probablement le plus grand changement de sa courte vie soit se faire anéantir par Legault et en finir avec le peu d’appui qu’il reçoit depuis qu’il s’est transformé en petit parti conservateur de la petite province de Québec.
Tant qu’a Québec Solidaire il propose tant qu’a lui un tel changement que 90 % de la population ne semble pas intéressé. Un parti a deux têtes et un projet socialiste qui n’est pas a dédaigner mais certainement pas applicable dans une petit coin de pays francophone de l’Amérique du nord entouré de deux pays complètement capitalistes et prêt a tout pour mater une province qui voudrait se « » socialiser » un peu trop . Donc un gros changement ici mais fort improbable.
Et le PQ …Haaaaa le PQ ! Le parti ayant proposé à deux occasions le plus beau et le plus vrai des changements que notre nation aurait eu besoin ! Le parti politique qui a fait rêver les nombreux québécois qui étaient prêt a changer de l’intérieur réellement plutôt que de changer quelques gogosses extérieur ! La dernière fois que le PQ a demandé aux Québécois de faire le vrai changement la moitié de la population a dit OUI mais il manquait quelques poussières et la malhonnêteté de l’adversaire a fait le reste. Depuis et surtout avec la venue d’un faux prêtre en Lucien Bouchard et de son obsession du déficit zéro et de l’indifférence d’une bonne partie de la génération X pour la chose politique , celle qui suivait la génération des deux référendums le projet de faire un pays est devenu une chose secondaire même si 38 a 40 % de la population le souhaite encore . Le PQ avec leur nouveau chef Pauline Marois est maintenant devenu un parti du changement cosmétique ou si vous préférez la gouvernance souverainiste et pour faire taire les souverainistes qui souhaitent encore faire du Québec un pays la notion des » conditions gagnantes » mis de l’avant par Lulu Bouchard , le faux prêtre conservateur , est maintenant repris par la madame en chef du PQ pour qui devenir PM de la province de Québec est d’abord la priorité et si conditions gagnantes il y’a tant mieux sinon …..Who cares !!!!!
M Bousquet.
Loin de m’attaquer vous attaquez votre jugement.
Relisez-vous , faites l’exercice .
Je n’ai plus rien à écrire .
Le titre réinventer la roue se change en ne pas réinventer la roue.
J’espère que vous avez écoutez la 9 ième symphonie de Beethoven.
Ca aide à stimuler cerveau droit.
Je me demande quelle femme connue est courtisée pour le parti de monsieur Legault. Il doit avoir un urgent besoin de femmes dans son groupe.
Drôle de commentaire de Michel Asselin:
***«Petit test, je suis banni du site ? M. Baribeau aura t-il eu raison ? comment se fait-il que les fédéralistes ont toujours le dernier mot?»***
Sachez, cher Monsieur Asselin que jamais je ne vais prôner la censure ou le bannissement de qui que ce soit. Seuls des appels clairs et non équivoques à la violence et à la haine systématique pourraient m’amener à proposer de limiter éventuellement la liberté d’expression.
Aussi, mon très cher et très éminent Asselin, sachez que je suis un fédéraliste ambigu et critique. Pendant ma vie il se peut que j’aie oeuvré beaucoup plus que vous pour faire en sorte que nous, Québécois, nous nous donnions un pays à nous, un Québec vraiment libre.
Si on veut vous bannir je vais vous défendre à moins que vos appels soient haineux et potentiellement violents.
AU PLAISIR MALGRÉ NOS DIVERGENCES!
JSB
J’abonde dans le même sens que Monsieur Baribeau — lequel, d’ailleurs, est un fédéraliste si modéré que j’ignorais qu’il le fusse (vous me faites de la peine, là, Monsieur Baribeau) ;-)
Personnellement, je n’aurais jamais banni Erwan Basque de ce site. Je suis pour que toutes les opinions s’expriment, même les plus saugrenues. Il vaut mieux endurer de détestables mouches du coche que fabriquer des martyres pour les causes les plus douteuses. Si la liberté d’expression n’est pas celle de tous, elle n’est celle de personne.
Tout ça pour dire que j’ai remarqué qu’une certaine censure s’exerçait dans ces pages récemment. J’espère que ça ne deviendra pas une habitude. Selon moi, seules des attaques personnelles graves et soutenues, assorties de menaces, devraient attirer les foudres des censeurs; dans tous les autres cas, laissez-nous nous exprimer, que diable!
Voilà, c’était ma minute éditoriale…
Bref commentaire sur le texte que voici d’Alain Cormier:
***«J’abonde dans le même sens que Monsieur Baribeau — lequel, d’ailleurs, est un fédéraliste si modéré que j’ignorais qu’il le fusse (vous me faites de la peine, là, Monsieur Baribeau) ;-)»***
Là, mon cher Alain Cormier, vous touchez un point éminemment sensible. En fait, mon attitude actuelle est celle d’un souverainiste épuisé et fatigué. Je me dis, depuis plusieurs années, que si le mouvement souverainiste décline trop, il va quand même tenter de savoir ce que nous, Québécois, faisons dans le Canada. Nous payons des taxes et des impôts, ce qui nous confère certains droits.
Comme je l’ai souvent radoté, je suis devenu séparatiste en 1961 et en 2011 je suis un tantinet dérouté.
Ce n’est pas très original mais c’est bien cela.
JSB
@Jean-Serge Baribeau
Personnellement je pense que dans certains cas, les gestionnaires d’un blogue comme celui-ci, des mesures drastiques sont souhaitables.
Prenons le cas de « Yalpé Nismou ». Tout de go cette expression est d’une grossièreté évidente. Elle se situe au même niveau que Alva Gingras et d’autres expressions faisant dans la scatologie.
Juste à penser que mon nom pourrait être amalgamé à des noms semblables m’horripile et jette le discrédit sur l’ensemble des réflexions et commentaires qui se retrouvent sur le site et du coup sur leurs auteurs.
Suivez le lien qui suit : http://fr-fr.facebook.com/people/Yalp%C3%A9-Nismou/100001985820257 ; vous constaterez que ce nom cache toujours une personne qui se sert de ce nom pour présenter, d’une façon ou d’une autre des grossièretés. Allez un peu plus loin dans la recherche Google et suivez cet autre lien , http://sante-medecine.commentcamarche.net/forum/affich-648178-cunnilingus-besoin-d-aide , vous y retrouverez sous un commentaire d’un personnage du même nom qui est d’une vulgarité à provoquer chez certain(e)s des hauts le coeur. Il est simplement pornographique.
Alors quelqu’un qui s’identifie avec le même nom a-t-il sa place dans des blogues sérieux comme celui de Mme Legault ? Moi je réponds NON, carrément NON !
Je pense également que l’anonymat ne doit pas être le prétexte à la grossièreté. Que vous soyez de gauche, de droite, fédéraliste ou souverainiste, anarchiste ou monarchiste, si vous dites des grossièretés et proférez des insultes provocatrices, vous ne méritez pas d’être publiés, ici comme ailleurs.
B.C.
Bien que hors sujet, l’échange ou J.S.B. , A.C. et B.C. se donnent la réplique est très intéressant et je crois qu’on s’y intéresse.
J’endosse complètement l’opinion émise pas Benoit Carré et j’espère que les gestionnaires de ce blogue les prendont en considération. Je dis à Michel Asselin que plutôt de jouer les victimes, il devrait se pencher et réfléchir à ces propres commentaires s’ils ne sont pas publiés, peut-être entrent-ils alors dans la catégories des insultes et des grossièretés. À ce que je sache, on peut lire son dernier commentaire publiable.
@ JSB
Vous donnez à Michel Asselin le qualificatif «éminent» dont voici la définition du Larousse:
«Qui est au-dessus du niveau commun ; qui se distingue par sa supériorité, ses qualités : Personnalité éminente du monde des arts.
Qui est très appréciable, qui se distingue par sa grande qualité, son très haut niveau ; insigne : Jouer un rôle éminent dans une affaire.»
J’espère qu’en choisissant le mot « éminent » vous faites de l’humour mon cher JSB. Autrement …
«Si tu te fais ver de terre, ne te surprend pas si l’on t’écrase d’un pied»
[Emmanuel Kant]
La mode est aux souverainistes repentis. Nothin new under the sun: Lucien « Pétaud 1er » Bouchard, René Lévesque (le »beau risque »), etc. Et l’on pourrait remonter ainsi cette longue chaîne jusqu’à l’Union (1840-1867), pilier sur lequel se sont érigées les structures fédérales actuelles: Lafontaine, Cartier, Morin. Ambivalence émotive oblige. Ce qui nous manque, ce sont des idées pour canaliser l’énergie et combler le sens historique atrophié dont nous souffrons. Il faudrait adopter le mot d’ordre des tories à Montréal dans les années 1830: « a long pull, a strong pull, and a pull altogether »…
@Benoit Carré
Il me serait difficile d’être en désaccord avec les réflexions et idées que vous proposez.
Mais je ne pense quand même pas que, dans ce blogue, les fédéralistes sont privilégiés par rapport aux souverainistes.
JSB
D’accord avec M. Baribeau, vu que j’ai suivi presque le même chemin de séparatiste à la Chaput, à indépendantiste, à la Bourgault, de souverainté-association et du beau risque à la Lévesque, à l’affirmation nationale de Pierre-Marc Johnson à la souveraineté-partenariat de Messieurs Parizeau, Bouchard et Dumont.
S’il y avait un troisième référendum demain sur la souveraineté, je voterais probablement OUI, selon la question « qui devrait comprendre une négociation avec le ROC pour une sorte d’association gagnant-gagnant » mais je ne me désespère pas pour le futur, même si le Québec reste dans le Canada, à condition d’arrêter d’élire des gouvernements qui protègent peu ou pas le français et n’en font passer la promotion ici et dans le ROC aussi. Nous ne sommes quand même pas en Sibérie même si l’hiver s’en vient ni en Palestine ni en Tchétchénie ni en Haïti, pour déclarer souffrir autant.
Si nous, Québécois francophones, étions encore des nègres blancs, porteurs d’eau, je serais plus pompé mais, le PQ et le Bloc nous ont aidés à nous en sortir pour devenir égaux aux autres Canadiens anglophones dans nos droits et nos chances de réussite. Amen.
Je lis les derniers commentaires et je peux qu’être d’accord que ce blogue comme d’autres qui ont la prétention d’être sérieux ne doivent pas admettre la grossièreté et les « insultes provocatrices ». On peut être provocateur sans être ni insultant ni grossier. Il y des colères qui se traduisent en tout respect pour les lecteurs.
Une tolérance de bon aloi me sied très bien. Mais il y a des limites à respecter me semble. Autrement ça serait l’enfer. N’y a-t-il pas un auteur connu qui a dit qu’elle était pavée de bonnes intentions ?
À M. François Deschamps qui écrit : « La mode est aux souverainistes repentis ».
Je dirais plus découragés et réalistes que repentis et, comme je viens d’écrire, moins pompés à nous séparés, depuis que le Bloc et le PQ ont augmenté, par leurs bonnes actions, notre sort, pendant que nous étions et sommes toujours à vivre dans une province canadienne.
Je n’ai jamais été fédéraliste sauf à l’époque des premières années de Robert Bourassa. Depuis lors j’ai embrassé l’idée de la souveraineté du Québec à bras le corps.
Depuis que je participe à ce blogue et que je vous assomme de mes citations, je n’ai jamais eu l’impression d’y avoir été désavantagé. Peut-être que ceux qui ne sont pas fédéralistes sont plus timorés. En fait je me demande très sérieusement comment JSB en arrive à la constatation qu’il nous a livrée ?
«C’est une belle chose d’être honnête, mais il est également important d’avoir raison.» [Winston Churchill]
L’expression censure oblige !
Qu’il y ait des recommandations expliquées par voir sur la censure se doivent d’être expliquées .D’ailleurs à d’autres blogues, les consignes sont précises.
Fédéralistes , souverainistes et autres ne sont pas interdits dans ce blogue .
M Baribeau a toujours affirmé qu’il est fédéraliste , M Perrier et autres l’ont aussi fait.
Les réactions de ce blogue sont parfois musclées , on s’y est habitué.
Au début, je prenais mal les remarques mais moi aussi j’y allais au front.
Ou je ne suis pas d’accord c’est avec des pseudos ridicules .Yalpé Nismou pas fort.
Je n’ai pas à donner mes consignes à madame Legault .
Simplement une question à poser à madame Legault.
Est-ce qu’on pourrait savoir ce qui est censuré et pourquoi ?
Franchement !
Un pseudonyme comme Yalpé Nismou ou un commentaire corrosif comme celui de Michel Asselin face a Gilles Bousquet n’est pas en soi une raison pour faire des crises d’hystérie et déchirer sa chemise dans un élan de grand moralisateur devant l’éternel !
Yalpé Nismou utilise un pseudonyme questionnable certes mais ses propos de fédéraliste convaincu sur ce blogue sont tout de qu’il y’a de plus acceptables même si je ne les partage pas évidemment .
Les propos de Michel Asselin sont souvent corrosif mais ils traduisent quand même une pensée franche qui ne fait pas dans la rectitude et le consensus absolu. Certains propos de notre ami Falardeau étaient aussi très corrosif et pourtant nous sommes nombreux au Québec a porter le cinéaste dans nos coeur .
Gilles Bousquet qui est un régulier de ce blogue est parfaitement capable de se défendre et il le fait . Si les responsables de ce blogue jugent les propos de certains blogueurs innaceptables ils savent quoi faire .
Les blogues ne sont pas des sites de rencontre pour âmes esseulées même si a l’occasion nous pouvons créer des liens avec des gens que nous estimons . Un blogue sur la chose politique comporte un niveau plus élevé de coup de coeur que des blogues sur la culture des betteraves !
Ouf ! Mais quel changement ! Sûrement que le vent du changement souffla aussi sur le Voir !
Monsieur Bousquet !
Contrairement a vous M. Baribeau affiche son allégeance de fédéraliste modéré et il serait tout en votre honneur de faire le même constat et de sortir de votre placard plutôt que de vous cacher dans un parti souverainiste qui ne convient aucunement a vos convictions !
Ce n’est qu’une suggestion M. Bousquet , pour votre paix intérieur !
@JSB
Toutes mes excuses à M. Baribeau. J’avais mal lu son commentaire et compris qu’il avait le sentiment que les fédéralistes ÉTAIENT privilégiés sur ce blogue alors que c’est le contraire qu’il avait écrit. C’est mon erreur.
«La faculté de citer est un substitut commode à l’intelligence.»
[Somerset Maugham]
Dans mon dernier commentaire, faut lire « à nous séparer» à la place de «à nous séparés», autre erreur d’inattention.
J’ai l’impression que les fédéralistes me prennent pour un séparatistes et les séparatistes, me prennent pour un fédéralistes. Les extrémistes appellent ça, être assis entre 2 chaises ou tiède ou mou de l’option comme 67 % des 38 à 40 % qui se déclarent souverainistes, actuellement.
Je ne crois pas que M. René Lévesque, avec sa souveraineté-association, était assis entre 2 chaises, ni Messieurs Parizeau, Bouchard et Dumont avec leur souveraineté-partenariat qui prévoyait un parlement central élu à Ottawa.
Je ne suis pas un fédéraliste satisfait ni un des 12 % de séparatistes « en faveur de la séparation complète d’avec le Canada ». J’attend, éventuellement, une solution constitutionnelle originale qui devrait se développer, probablement en plusieurs étapes, à condition de sortir le PLQ du pouvoir provincial, en faveur du statu quo, du pouvoir…me semble.
J’aimerais bien poser moi aussi la question fort pertinente énoncée par Claire Thibaudeau:
***«Simplement une question à poser à madame Legault.
Est-ce qu’on pourrait savoir ce qui est censuré et pourquoi?»***
JSB
Aimant radoter et étant obsédé par LA LIBERTÉ D’EXPRESSION, je me permets de soumettre un texte présenté à Radio-Canada («C’est bien meilleur le matin») en 2008:
***«12 mai 2008- 7 h 45
Je suis sociologue des médias depuis quelques années et ma thèse sur la liberté d’expression est passablement radicale. Si la liberté d’expression existe, il faut nécessairement qu’elle aille très loin et il faut que les limitations soient justifiées et essentielles. Comme l’intellectuel états-unien Noam Chomsky, je pense que la liberté d’expression, c’est le droit de dire des bêtises, c’est le droit de dire ce qui semble être stupide et «con». Beaucoup de grand penseurs, dans le cours de l’histoire humaine, ont formulé des théories ou avancé des idées qui, dans le contexte de l’époque, semblaient «bêtes» et «sottes». Si comme Robert Faurisson, en France, je juge que l’holocauste a été moins terrible que ce que la plupart disent, je dois avoir le droit de le dire sans que le code criminel ne vienne me sanctionner. C’est une connerie mais je dois avoir le droit d’assumer mes conneries et inepties.
La plus grande entorse à la liberté d’expression, dans l’histoire du Québec, c’est lorsqu’en décembre 2000, l’Assemblée nationale a blâmé Yves Michaud pour des propos qui, somme toute, étaient très acceptables.
Je termine en citant Normand Baillargeon (Le Couac, mars 2006): « En Occident, les intellectuels, les écrivains, les philosophes ont gagné, par de difficiles combats où certains ont laissé leur vie, le droit à la liberté d’expression. Ce droit n’est pas négociable et il implique le droit de rire de dieu, de tous les gourous et de tous ces zozos qui veulent vivre en suivant les diktats de quelque paysan illlettré ou quelque plouc illuminé ayant vécu il y a des siècles. »
ET VOILÀ! La limite à la liberté d’expression, c’est, autant que faire se peut, le respect des personnes et individus.
AU PLAISIR!
Jean-Serge Baribeau, sociologue des médias et vieux libertaire déterminé
@Jean-Serge Baribeau
Vous écrivez : «Comme je l’ai souvent radoté, je suis devenu séparatiste en 1961 et en 2011 je suis un tantinet dérouté.»
Comme je l’ai mentionné plus haut, je suis souverainiste car je crois que le Québec devrait avoir le pouvoir d’édicter toutes ses lois, de lever tous ses impôts et de signer tous ses traités et alliances.
Je suis également déçu de la tournure des choses. Je suis déçu et quelque peu découragé de la situation politique actuelle tant au Québec qu’au Canada. Mais je continu à être souverainiste.
La seule chose qui me ferait me questionner sur mon allégeance serait que si le ROC décidait de satisfaire les revendications constitutionnelles historiques du Québec et que la formule d’amendement constitutionnel soit modifiée pour permettre de rouvrir la constitution qui est aujourd’hui complètement cadenassée. Nous sommes très loin de la coupe aux lèvres. Il y a plus de chance que le pont Champlain s’effondre. Mais encore là je jugerai de l’arbre à ses fruits.
Ma déception d’aujourd’hui ne peut pas être pour moi une raison de changement d’orientation constitutionnelle. Ce que la situation actuelle m’indique c’est qu’il faut revoir les moyens d’atteindre le but, pas changer d’objectifs. Rien aujourd’hui ne m’y pousse.
«J’aurai toujours les yeux plein d’eau mais je les aurai toujours ouverts.»
[Paul Piché]
De nombreux textes ont été retirés. POURQUOI? Moi, je songe à me retirer totalement si on ne nous explique rien. Nous ne sommes pas des petits cons ou des galopins. QUAND MÊME!
JSB
@Jean-Serge Baribeau
L’endroit par excellence pour exercer complètement sa liberté d’expression c’est dans la jungle. Sa loi est implacable : vous bouffez ou vous êtes bouffés. Il n’y arien d’autre et tous les moyens sont bons pour rester vivant.
Mais il y aussi la civilisation, la société et nous n’y pouvons plus rien. C’était il y a dix mille ans ou cent mille ans que ça c’est réglé. Vouloir agir dans la société comme si on était dans la jungle est une absurdité, un non sens.
Des personnages comme Hitler, Staline, Pol Pot ont jouit de la liberté d’expression. Sachant ce que l’on sait, la société aurait-elle dû mieux encadrer leur liberté d’expression ? Comment savoir si notre plouc d’aujourd’hui ne deviendra pas un boucher demain ? Si vous avez la réponse dites-la moi car je ne l’ai pas. Quels dommages « collatéraux » êtes-vous prêt à accepter au nom de la liberté d’expression ?
Ceux qui vivent dans leur tour d’ivoire n’ont plus les pieds sur terre et ce ne sont pas qui doivent prendre des décisions, quelques libertaires qu’ils soient.
Je deviens paranoïaque ou quoi ? Nouvelles mise en page mais textes nombreux disparus et pas d’explication.
Donc J,attends des explications avant de participer à nouveau.
D.D.
Moi aussi, cher Denis Drouin, j’ose espérer qu’on aura la décence élémentaire de nous expliquer ce qui est en train de se passer. Il y a, dans tout cela, un manque de respect pour les personnes qui ont, pendant des mois, sinon des années, alimenté le blogue de Josée Legault et d’autres blogues.
JSB
Denis Drouin, nous aurons, un jour, l’occasion de discuter plus profondément de LA FAMEUSE LIBERTÉ D’EXPRESSION. Pour le moment, ce n’est pas le sujet du blogue de Josée Legault, RÉINVENTER LA ROUE, sujet fascinant et essentiel par ailleurs.
JSB
Hier on inaugurait la nouvelle salle de l’OSM en y présentant la 9 ième symphonie de Beethoven.
L’historique remonte au maire Jean Drapeau , René Levesque, Robert Bourassa et sûrement que j’en oublie.
Finalement c’est le parti libéral qui a supposément réussi à obtenir cette salle.Monique Gagnon Forget a souligné la vigilence de son travail .
Jean Charest a coupé le ruban avec Lucien Bouchard président d’honneur.
On a aussi mentionné que les arts et la politique allaient ensemble.
Oublions Harper ..
Si Jean Charest prend tous les honneurs , je ne suis pas d’accord car il y eut d’autres allégeances politiques qui oeuvraient dans le même sens.
Cette nouvelle salle donnera plus de pouvoir au parti libéral .
Ce serait honnête de la part de Jean Charest d’y noter que des élus précédents avaient ouvert le chemin. Je ne me fait pas d’illusion , Jean Charest et Christine St-Pierre croient avoir inventé la roue..
Bonjour JSB et Denis Drouin,
Les changements sur Voir.ca sont annoncés depuis belle lurette.
Dans un premier temps, inutile de discuter ici de ce sujet qui est absolument sans lien avec cette chronique. Vous pouvez m’écrire à [email protected] ou encore me poser des questions à la suite de ce billet :
http://me.voir.ca/dans-le-ventre-du-voir/2011/09/01/billet-nouvelle/
D’autre part, je peux vous garantir que, sauf pour quelques rares exceptions, tous les textes de tous nos archives sont toujours en ligne ou le seront sous peu. Si vous cherchez quelque chose que vous ne trouvez pas, encore un fois, il suffit de contacter notre équipe.
Au plaisir!
S.
Simon Jodoin, merci de nous fournir au moins quelques bribes d’informations. Dans un premier temps j’ai vécu ce qui s’est passé comme étant un rejet méprisant de toutes nos contributions depuis quelques années.
Il faut dire que depuis l’élection du 2 mai 2011, laquelle m’a passionné (comme sociologue et observateur) et un tantinet réjoui, les propos de certains déçus radicaux sont devenus de plus en plus durs, implacables et souvent méprisants, ce qui a fini par contaminer diverses personnes dont votre humble serviteur qui, à l’occasion, a manqué de calme, de sérénité et de sens analytique rigoureux.
Je reste donc dans l’attente. Je me demande si tous nos écrits dans les blogues des membres ont été systématiquement détruits.
JSB
Un correspondant avec un nom comme Yalpé Nismou sera-t-il toujours accepté avec votre nouvelle formule ?
M. Jodoin,
la nouvelle facture de ce blogue a sûrement ses aavntages. Elle a aussi ses irritants. en voici un.
Historiquement, il a toujours eu beaucoup d’échanges entre les participants qui, la plupart du temps étaient en lien direct avec le sujet proposé par Josée.
Jusqu’à hier, les commentaires s’installaient tout simplement par ordre chronologique. Ainsi, en allant à la fin de la listes des commentaires, nous savions immédiatement les ajouts qui avaient été faits et nous pouvions ainsi suivre la ligne logique et chronologique des échanges.
Ce qui n’est plus le cas maintenant. Si un commentaire est une réponse à un autre commentaire, il est automatiquement amalgamé à ce dernier même s’il apparaît au tout début de la liste des commentaires. Aussi si nous voulons lire les nouveaux commentaires il est difficile de savoir immédiatement ceux qui sont nouveaux ou pas.
Donc le bouton répondre en viendra-t-il à sans doute n’être plus utilisé. Ce que je ferai illico après avoir terminer la rédaction du présent commentaire.
Dans le vieux folklore nationalo-québécois, il y avait cette vieille rengaine : Sur la route de Berthier. il y avait un cantonnier, qui y mettait des tas de cailloux, pour y boucher des tas de trous ! Et le tout de mémoire. Quoique ne pouvant plus trouver la route de Berthier, beaucoup y trouveront le plaisir de prendre enfin l’autoroute…….. Maudite évolution qui facilite les trous de mémoire en y perdant des repères. La roue vient d’être réinventée, le foutu moteur roue de certains nostalgiques a une crevaison, tout un dans le jargon.
Me voici apparu en femme.
Ce sujet l’intéresse peu.
En, réalité c’est plutôt un test de communication qui pourrait être profitable pour tous
Réinventer la roue avec la vieille mécanique des années 1960 sera totalement impossible pour les nationalistes avec le Parti Québécois. C’est bien beau faire des états généraux pour remettre le parti sur ses trois roues, la quatrième ayant pris la clef des champs et ne reviendra plus préférant les vertes vallées bucoliques longeant l’interminable route de la souveraineté sur son chemin de gravelons , une route si cahoteuse que les péquistes désemparés en grande majorité se font brasser le canadien, épuisés et ayant la trouille de continuer sur ce chemin de moins en moins fréquenté.
Svp, ne publiez pas de commentaires qui ne sont pas en lien avec le sujet de la chronique. Pour des questions en lien avec le nouveau site Web, prière de vous rendre sur le blogue Dans le ventre du Voir : http://me.voir.ca/dans-le-ventre-du-voir/2011/09/01/billet-nouvelle/.
Les commentaires qui ne sont pas en lien avec la chronique seront supprimés.
Les Québécois vont se rendre compte que le duo Legault-Sirois, parrainé par le duo Desmarais-Péladeau, n’est pas un nouveau « char » mais une vieille « minoune maquillée » bien en vue en avant d’une cour de recyclage (« Cour-à-scrap »), et vous le démontrez bien, dans votre article, Madame Legault.
Afin de pouvoir réinventer la roue, les péquistes devront bien un jour à tout le moins essayer de ne plus se rouer de coups vicieux afin d’y aller dans un travail d’équipe afin d’essayer de réinventer la roue. Quoique, au moins si ceux ci essayaient de cesser immédiatement de résoudre la quadrature du cercle , cette attaque vicié contre le cercle fait que ceux ci s’étourdissent en tournant toujours en rond. Si au moins, il restait des roues à la souveraineté, il y aurait espoir avec les États Généraux de réinventer la roue. Mais que dalle ! Les roues du Parti Québécois furent utilisées pour essayer enfin de résoudre la quadrature du cercle, mais peine perdue !
Si je comprends bien la façon de bloguer, il faut toujours se connecter et le texte ne paraît pas
Bon enfin à force de taponner , je suis en ligne
Pas facile de s’y retrouver ! C’est quoi ça » l’identifiant » quand auparavant ton courriel et ton mot de passe était suffisant ! Suis-je encore un membre ?
M Asselin
A mon avis , vous êtes membre car votre texte paraît.
Si comme moi vous avez eu la surprise! Je me doutais qu’il y avait des changements , on les a .
En fin un texte de M.Rioux intéressant. 8 septembre 2011 · 16h57
Rioux, roue, rouer, roues,
En tout cas, voir .ca a changé ses roues pis pas à peu près.
Je suis d’accord que le thème doit être respecté ce qui évitera des dérapages que plusieurs blogueurs notaient.
Ce sera aussi plus conforme.
Tout changement demande adaptation.
J’ai mis la page de Josée Legault dans mes favoris espérant que je puisse continuer à avoir à lire ses « post » à leurs sorties sans avoir à retourner sur la page d’accueil.
A suivre…
que je puissse continuer à lire ses nouveaux « post » sans avoir à retourner sur la page d’aqccueil.
Désolé, la fatique du jeudi-soir…
Sans vouloir réinventer la roue, on devrait tout recommencer à neuf : nouveau sujet. nouvelle formule, nouveaux commentaires. On n,est pas loin de la roue complète
D.D.
Je suis d’accord avec vous M Drouin.
Personne ne va protester de la fin de l’usage obligatoire du mot inlisable « capicha ».
C’est une bonne nouvelle.
Si on lit mes derniers commentaires, j’en n’ai fait usage en souvenir du passé.
Où trouve-t-on désormais les commentaires des autres?
Est-ce la fin des échanges?
Dans toute cette saga, la palme d’avoir réinventé la roue revient à l’hebdomadaire Voir qui permet de commenter sur le fond du billet sans que certains énergumènes,frustrés de première se permettent de vilipender les autres intervenants qui n’ont pas et n’auront jamais la même opinion sur le plan politique. Quelques pères fouettards bien identifiés et toujours les mêmes comme des mégères en furie se soulageaient de leurs frustrations personnelles d’une vie pleine d’actes manqués en essayant de régler leurs comptes avec les intervenants qui voulaient bien intervenir sur le fond, mais constamment harassés par tous ceux qui se croyaient détenteurs de la vérité infuse. Bon débarras ! La Cause Nationale qui va assez mal et merci n’est sûrement pas le fond de leurs problèmes existentiels, le fond réside dans le simple fait que ceux ci se devront de réinventer un nouvel abordage et civiliser leurs interventions qui devront se faire sur le fond. Seront ils capables d’avoir assez de tirant pour se réinventer eux mêmes avant d’essayer de réinventer la roue des autres tout en prenant leur trou.
Vous avez raison M Rioux.
A force de lire des propos souvent offensants, ce vent de communication devenait un véritable virus .Nous voilà vaccinés , davantage respectueux.
Ce sera moins agressif les arguments et plus civilisés.
M Rioux.
Voir a changé de roues et nous aussi.
Ça nous aidera à ne pas déroger du thème, conduire avec de nouvelles roues neuves et se respecter.Bonne soirée.
Réinventer la roue, par M.Rioux, mangeur de petits bébés séparatisses.
8 septembre 2011 · 18h35
énergumènes,frustrés de première, vilipender, pères fouettard, mégères en furie, frustrations personnelles, actes manqués, prenant leur trou.
Il ne manque que le son de sa voix pour vous donner le mal de coeur.
Voyons Mario .
J’ai de la considération pour toi .Mais à mon avis , on pourrait faire un effort juste un petit pour AVOIR plus de respect .
Aussi , si tu changes tes roues , tu vas voir que c’est plus agréable.
Tout un changement de cap pour M. Legault! Impressionnant en effet! Mais pourquoi ce changement pour finalement être comme les autres. Il n’a qu’à joindre les partis déjà établis : PLQ ou ADQ.
Pourquoi a-t-il abandonné le projet d’indépendance?
J’ai lu un commentaire comme quoi la CAQ aurait comme mission de faire imploser le PQ. Comme le BQ l’a été par le NPD. Leur espoir est sans doute d’anéantir une fois pour toute que le Québec soit un pays.
Il va falloir plus que ça. L’indépendance n’appartient pas à un parti, mais au peuple. Le peuple a plein d’imagination et de créativité. Alors il va trouver un moyen d’y arriver. Si ce n’est pas via un parti, ce sera autrement. Ça c’est sûr!
Comment peut-on réinventer la roue chez nos politiciens alors que même pas assez futés ces Rioux-Charest, F. Legault-Sirois et Cie., pour réinventer le bouton à quatre trous.
Moi, la soif de changement, cela me sied et me ravit. On peut râler en disant que le concept de changement n’est pas clair à 100%. On peut dire que le pauvre peuple, égaré et «aliéné» ne sait pas trop ce qu’il veut. Mais je pense qu’il est anthropologiquement, politicologiquement et sociologiquement «normal» de dire NON lorsqu’on en a profondément marre du statu quo et des vieilles gardes putréfiées.
De toute façon, lorsqu’on analyse et décortique le NON aux vieux politiciens, on voit poindre, en train de pousser, les germes de ce à quoi de nombreux citoyens diraient OUI. Moi, je pense que, confusément, de nombreux électeurs du 2 mai ont manifesté leur dégoût de l’ultralibéralisme conservateur et de la corruption libérale. Alors, ils ont dit OUI à une tentative risquée allant dans le sens d’un parti légèrement «socialiste», refusant le désengagement de l’État et prônant un minimum d’interventionnisme étatique.
Je récuse la thèse selon laquelle les grosses émotions et le sourire du bon Jack seraient les facteurs primordiaux de la vague orange. Trop de personnes considèrent que le peuple est abruti jusqu’au jour où le peuple vote selon leurs indications et «desirata», à eux.
JSB
Monsieur Baribeau, le respect que vous témoignez aux électeurs est tout à votre honneur et je ne peux que lever mon chapeau devant votre sens de la démocratie. Je ne méprise pas les électeurs; je pense simplement qu’ils sont mal éduqués et mal informés. Près de 50 % de la population adulte du Québec est analphabète fonctionnelle, et la majorité des électeurs ne s’informent que par le biais de bulletins de nouvelles qui, même à la télévision d’État, font de moins en moins dans l’analyse de fond et de plus en plus dans le « human interest ».
Je ne blâme pas mes concitoyens pour leur ignorance; je me borne à la constater et à la déplorer. Sans tomber dans la paranoïa complotiste, je suis convaincu qu’une volonté politique s’exerce derrière cet appauvrissement de l’information et de l’éducation. Le cynisme de la population, on l’entretient sciemment… et très efficacement, hélas! Les gens ne sont pas bêtes; ils sont seulement gavés d’insignifiances et de mensonges — et se sentent dépassés par les événements. Il leur manque les outils nécessaires pour décoder l’actualité politique et les programmes des partis… à commencer par une information conséquente! (Où ça, les programmes des partis? Qui nous en parle, et quand?)
M Baribeau
Tout change , même la température.On change de conjoints , on change de voiture.
Et changerons-nous au provincial ?
Je pense que ce sera le statut quo.
Trop d’insécurité serait une cause d’une réélection du parti libéral.
On oubliera la corruption.C’est déjà du passé .
Que votre commentaire est désolant.
Si vous avez raison je désespère vraiment de notre société. Être prêt à passer l’éponge car il se serait écoulé un an ou deux ?
Vous n’y pensez pas réellement j’espère.
Quel sorte de message passera-t-on aux corrupteurs mafieux ? Volez la population en début de mandat car après 3 ans elle aura tout oublié.
Mais si vous, Claire, continuez à être choquée par toute cette corruption, ne donnez pas un signal favorable à toute cette merde. Levez-vous, criez votre indignation, profitez de chaque tribune pour affirmer : « JE ME SOUVIENS ! »
«On ne saurait stigmatiser par trop d’expressions le vice de ces hommes souples et trompeurs toujours prêts à parler comme vous le voulez, non comme la vérité l’exige.»
[Cicéron]
Monsieur Baribeau
Une bonne partie des gens qui ont votés pour Jack et son sourire ne sont pas des abrutis mais des personnes pour qui la politique n’est certainement pas leur tasse de thé . J’ai beaucoup parlé avec des gens qui ont votés pour le NPD et plusieurs d’entre-eux veulent tellement brasser les cartes qu’ils voteront probablement pour Legaut aux prochaines élections provinciales alors ont repassera pour l’idéologie socialiste ou capitaliste . Le désintéressement des citoyens de la chose politique commence a être inquiétant . Lors des dernières élections provinciales ou la moitié de la population n’a pas voté l’argument le plus populaire était celui du » Sont toutes pareilles , toutes des voleurs » …ont ne vas pas bien loin avec une attitude semblable !
Eh bien, Réjean Asselin, j’ai une vision qui diverge de la vôtre. J’admets que vous avez partiellement raison. Mais PARTIELLEMENT, ce n’est pas TOTALEMENT.
Enfin, cette discussion pourrait être interminable. Il y a une diversité de raisons qui amènent diverses personnes à voter d’une manière ou d’une autre. Certains ont voté pour les raisons que vous mettez en lumière, je ne saurais en douter, sans sombrer dans un ridicule abyssal.
Toutefois la réalité sociale et politologique n’est pas univoque. Elle est équivoque et énigmatique. Et je ne le formule pas ainsi dans le but de faire étalage de grands mots (ou maux).
Quoi qu’il en soit, vous et moi, nous savons, de manière respectueuse, que nos regards et visions respectives entraînent des divergences, lesquelles sont saines et tonifiantes en démocratie.
Au plaisir!
JSB
Je me trompe peut-être mais j’ai de la difficulté à croire que M.Legeault va créer son parti,je crois simplement qu’il sait que en créant un parti il se met la tête sur le billot il faut qu’il accepte de se faire ramener sur son passé souverainiste et même si il n’y a que les fous pour ne pas changer d’idée les enjeux sont majeurs,oublier la souveraineté pour dix ans peut-être mais régler les vrais affaires je crois qu’il faudra plus de six ans pour ça,pendant ce temps ce sera beaucoup de souffrance pour les pauvres et les travailleurs au salaire minimum.
Je crois que pour l’instant il serait bon pour un mandat avec un gouvernement qui gouverne que le peuple se questionne sur ce qu’il veut vraiment un pays indépendant ou une province comme les autres.
Il faudra bien crever l’abcès une fois pour toute.
Tout à fait d’accord avec Monsieur Asselin. Quand la vague adéquiste avait tout balayé — y compris les comtés traditionnellement « bleus » de la région de Lanaudière où j’habite — c’était André Boisclair qui dirigeait le PQ. Je me souviens d’avoir entendu une brave dame de Berthier, peu avant l’élection, déclarer candidement à un journaliste : « J’ai rien contre les tapettes, mais de là à voter pour une… » Or, j’ai la conviction que cette dame avait dit tout haut ce que bien des gens pensaient tout bas; elle était d’ailleurs entourée d’amies qui opinaient du chef. Et je me suis dit, ce jour-là, que si les critères des électeurs pour choisir leur candidat étaient de cette farine, il n’y avait plus beaucoup d’espoir pour la démocratie…
En espérant que, pour une fois, mon commentaire sera jugé suffisamment « conforme » pour qu’on n’aille pas me le supprimer, permettez-moi de m’inscrire en faux contre l’espèce de censure qui sévit en ce moment dans ce blogue, avec la consternante approbation de la plupart d’entre vous. Nos digressions faisaient partie du plaisir de fréquenter ce blogue (souvenez-vous de la page sur la maladie de Monsieur Layton, qui avait viré brièvement en un fort sympathique salon de la musique indépendante) et il se trouvait toujours quelqu’un, de toutes façons, pour nous ramener sur le sujet. Oui, certains échanges étaient parfois « musclés », mais ça restait quand même civilisé — et ô combien stimulant! On leur ôte un espace de liberté et ils sont tous à applaudir! Je ne sais pas si je vais continuer longtemps à fréquenter ce blogue; si ça devient une affaire de chochottes, ce sera sans moi. Voilà; je ne reviendrai plus sur la question, mais je tenais mordicus à enregistrer ma dissidence. Bonne journée à toutes et à tous!
Mettons les choses au clair ! Dans les faits, l’invention de la roue remonte à plus ou moins 3,500 ans avant J.C. ! Cela est un fait ! Ce qui veut bien dire il y a environ 6,000 ans. Mais le simple fait de vouloir réinventer cette roue masque cette évidence de mauvaises intentions pour assujettir par la ruse une populace qui n’y voit que du feu. Nous pouvons constater cette évidence ici dès 1968 alors que des nationalistes québécois voulant utiliser la nébulosité requise se sont essayés pour réinventer la roue dans par une astuce, une tactique mémorable qui leur saute en pleine face présentement . Ne vient pas toujours de loin celui qui veut mentir !
Bien évidemment en 1968, flairant la , les nationalistes québécois s’embarquèrent dans un concept fumeux de souveraineté-association , voulant éluder la logique implacable que les québécois n’ont jamais voulu l’indépendance du Québec. Alors que partout sur la planète, tous les opprimés parlaient d’indépendance vis à vis un soi-disant colonisateur, ici de petits futés en voulant réinventer la roue afin de berner la populace ont lâchement décidé de parler de souveraineté-association. Afin d’être plus racoleur !
Wikipédia dans un trait de plume démontre que l’invention de la roue était une nécessité . Monsieur René Lévesque, ce petit futé en fondant le Parti Québécois avec sa souveraineté-association ne réinventa pas la roue mais y mit beaucoup de vaseline sur le moyeu tout simplement. Pour éviter les frictions. Voilà l’histoire de la souveraineté-associative, un concept délétère qui dit une chose et son contraire ! Mais les péquistes soit non politisées ou aveugles par stratégie n’y ont vu que du feu.
En terminant, voilà pourquoi toutes ces ruses se retournent contre le Parti Québécois maintenant ! Avec la cinglante défaite du défunt Bloc Québécois, beaucoup de nationalistes québécois, soit les purs ainsi que quelques durs veulent à tout prix des États Généraux afin d’étaler au grand jour cette fumisterie de 1968 qui vient de les mener directement dans le mur. Avant l’éradication par les racines du défunt Bloc Québécois, tout baignait dans la vaseline dans l’inconscient du nationaliste moyen. Plus rien ne sera jamais pareil ! Le constat est implacable et ces États Généraux ne serviront qu’à acculer le Parti Québécois au mur car celui ci roule fer sur fer présentement en émettant des bruits stridents. Face à cette évidence, voulant se débarrasser de la si chère aux péquistes, les purs et quelques durs veulent obliger le Parti Québécois à se servir de l’original, cette roue utilisée partout sur Terre où tous les sécessionnistes sans exceptions parlent d’indépendance, ce sein que les nationalistes québécois dans leur immense majorité n’ont jamais voulu VOIR……..You kappish.
Vous écrivez : «Monsieur René Lévesque, ce petit futé en fondant le Parti Québécois avec sa souveraineté-association ne réinventa pas la roue mais y mit beaucoup de vaseline sur le moyeu tout simplement. Pour éviter les frictions.»
Vous admettez donc qu’il y avait beaucoup de friction et qu’en parlant de vaseline vous admettez implicitement qu’il y en avait beaucoup car ça prenait «beaucoup de vaseline».
Mais là est justement le problème avec le Canada et beaucoup de Québécois sont fatigués de mettre de la vaseline pour vivre dans un pays qu’ils ne reconnaissent pas et qui cause beaucoup de friction.
Alors que vous accusez les souverainistes de tout poil de ruse, j’estime que vous et beaucoup de fédéralistes de votre trempe, vous êtes dans le déni le plus complet de la situation politique et vous vendez la peau de l’ours très, très rapidement.
«La petitesse nous rassure, car elle exige peut, mais il n’en est pas ainsi de la grandeur, qui exige beaucoup.»
[André Pronovost]
Je ne partage pas vraiment vos opinions.François L pige ici et là dans les programmes des autres partis .
Personnellement , il n’a pas de charisme.
Jean Charest fait miroiter à la population une économie saine , son équipe le suit * comme des moutons mais l’électorat y voit de la stabilité.
Je l’écrivais précédemment.On oublie vite.La corruption ne sera pas la tasse de thé à la rentrée parlementaire mais des attaques à l’instabilité des autres partis politiques.
Un des CHANGEMENTS récents, c’est que l’éminentissime (c’est ironique, cher et apprécié Denis Drouin) Jean Charest a forcé le brillantissime Sam Hamad à MODÉRER SES TRANSPORTS. Une géniallisime roue de rechange (ou de secours) a dû se sacrifier pour remplacer la vieille roue usée. Espérons candidement que l’essieu et le moyeu sont intacts, sinon le «suréminentissime» Jean Charest va perdre LE NORD, lequel l’obsède beaucoup depuis quelques semaines et années.
Si j’ose ainsi mettre en lumière LA ROUERIE de JC (Jean Charest ou Jésus-Christ), j’espère qu’aucun libéral, rouge comme le veut la tradition, ne voudra me ROUER de coups, moi qui suis fragilissime et «dé-routé).
Comme on peut le voir, le bon vieux Parti libéral d’obédience «char-estienne» est un parti dont le leitmotiv est le changement permanent, comme dans la Chine rouge de ce bon vieux Mao, lui qui était aussi un «génialissime» spécialiste de la rouerie.
JSB
(je vais bien couper mes «roue-flaquettes», histoire de mieux rouler l’électorat et les citoyens!)
Considérations fort bien envoyées, dans un style éloquentissime à souhait.
Chapeau, cher Monsieur Baribeau!
François Legault Capitaine de Titanic
Quand François Legault parle de garder le silence durant dix ans sur la nécessité absolue de faire du Québec un pays, Gilles Duceppe lui a répondu, par anticipation après la déroute du Bloc Québécois, que c’est là une attitude suicidaire car passé ce seuil de dix ou quinze ans, il sera trop tard; l’assimilation des québécois sera irréversible selon certaines courbes sensuelles de la statistique.
Vous avez tristement raison d’affirmer que ces apôtres du changement nous servent encore une fois une thématique éculée qui semble de prime abord toute fraîche aux yeux des électeurs sondés. Quant à l’autre capitaine qui a les deux mains sur la barre (notre très aimé premier ministre du Québec), il fait face à une sorte de drame cornélien : soit déclencher des élections à l’automne pour bénéficier de la fragmentation de l’opposition; soit se fier aux sondages qui le renvoient dans les cales du pouvoir (avec un poste de directeur de la Maison du Québec à Paris, en compagnie de sa châtelaine Micheline).
Mais en attendant de se retrouver dans les oubliettes du pouvoir, notre premier ministre téflon continue à dilapider le patrimoine du peuple québécois : le pillage du Grand Nord, non seulement sans aucune redevances, mais avec de juteuses subventions sous formes d’infrastructures qui vont endetter encore plus la bande de naïfs que nous sommes. Quant au pillage du gaz de schiste et du pétrole, il est supervisé par une succursale du parti Libéral : l’APGQ (le cartel pétrolier et gazier du Québec); toujours sans redevances et avec des centaine de millions de dollars de subventions directes ou indirectes.
Il serait très grand temps, s’il n’est pas trop tard, de rendre obligatoire, dans nos écoles, la lecture du « Portrait du colonisé » d’Albert Memmi, ce juif arabe tunisien qui aurait eu la clairvoyance de dédier au peuple québécois la deuxième édition de ce livre, après son passage dans notre colonie.Car le « le petit homme » (possiblement un antique patronyme kabyle de Memmi) a l’œil vif quand il s’agit de colonisateurs et de colonisés.
Votre style suave et raffiné nous fait comprendre qu’en politique le Graal du changement contient un élixir hallucinogène aussi puissant que le chant des sirènes. Il ne manque plus a monsieur Legault que le coryphée adéquiste pour marteler son refrain de sottises. Et la confirmation de cette union sonnera le glas du changement. Right will ! (À droite toutes !)
Finalement, n’est-ce pas le peuple qui veut à chaque génération réinventer la roue: n’avons-nous pas les gouvernements que le peuple mérite ?
Peu importe le suffrage obtenu par le parti formant le gouvernement:
– Le Liberal Party réélu; alors le peuple veut la collusion-corruption, la dépossession de nos ressources naturelles et une économie où la loi de la jungle est maître.
– La CAQ-ADQ = Liberal Party sous nouvel emballage, donc…idem.
– Le PQ, alors c’est le retour à la case départ (1976), l’impasse constitutionnelle, le statu quo, la gouvernance provinciale souverainement coloniale sous le joug de la ploutogarchie monarchique rocanadian.
Ne reste que QS étant le seul parti qui imprégnerait un réel changement au Québec; mais le peuple aime réinventer la roue, alors oublions QS. « Je ne me souviens de rien » dit le peuple lorsqu’il est aux urnes.
Et pendant ce temps la louisianisation et l’acadianisation du Québec connaît une progression telle que le point d’un non-retour est aux portes du musée des civilisations disparues.
Je reviens sur le fond du sujet proposé par Mme Legault. Réinventer la roue est une expression quelque peu péjorative. Elle évoque une perte de temps et d’énergie ainsi qu’une ignorance (ou un refus de se rappeler) du passé plus ou moins récent.
J’estime que « réinventer la roue » pour caractériser le sujet de Mme Legault est très approprié.
Si la société québécoise retrouvait ses racines récentes, celles qui ont poussées il y a quelques années, voire quelques décennies, elle saurait beaucoup mieux où se diriger.
Soyons clairs, dans la relation Québec-Ottawa, rien n’a fondamentalement changé pour le mieux. Les mêmes irritants sont toujours là. Les mêmes demandes attendent encore d’être satisfaites. Mais ce qui risque d’avoir changer pour le pire, le temps nous le dira, c’est que depuis le 2 mai dernier, le Québec risque encore plus d’être relégué à un rôle secondaire, voire tertiaire dans le vaste ensemble canadien. Même des éminents analystes du Canada anglais, du ROC, le reconnaissent.
Le Québec risque encore une fois de se retrouver dans une situation semblable à celle qu’il a vécu dans les années 60, tassé dans le coin, oublié.
Si le Québec renoue avec ses racines, il n’aura pas besoin de réinventer la roue pour tenir tête aux forces centripètes qui pourraient nous repousser hors des cercles de décisions.
La route qu’a emprunté le Québec depuis quelques générations ne peut pas nous conduire à un mur si nous refusons de continuer à emprunter le chemin qu’on veut nous obliger à suivre.
Nous ne sommes obligés de nous écraser si nous voulons continuer à vivre. Si nous, le Québec, réalisons qu’il existe une autre voie et que nous sommes décidés à l’emprunter, ce n’est pas un mur qui sera devant nous mais un pays luxuriant, riche et promis à un avenir exceptionnel si nous nous donnons la peine d’y vivre et de le développer en fonction de nos aspirations et de nos besoins.
Pas besoin de réinventer la roue !
«On paie mal un maître en ne restant toujours que l’élève.»
Ainsi parlait Zarathoustra
[Nietzsche]
M. Drouin,
J’apprécie beaucoup votre texte (9 septembre 2011 · 13h28).
Je ne saurais être plus d’accord avec vous qui écrivez : «Pas besoin de réinventer la roue ! » La sagesse n,a pas besoin d’être compliquée.
Je suis aussi partisan de ne pas utiliser l’option répondre qui renvoie notre opinion Dieu sait où.
AL
Mes textes reviennent .Sûrement d »ottawa .
Il serait intéressant et respectueux de la part de Mme Josée Legault qu’elle prenne la peine de nous dire ce qu’elle pense de tous ces changements qui, quand même, ne sont pas bénins ou secondaires.
Il y a, chez de nombreux et nombreuses habitués (es) du blogue, une sorte d’arrêt-hésitation qui, éventuellement, n’augure rien de très positif pour l’avenir.
En somme, « we would like to know and to understand »!
JSB
Re-bonjour à tous,
[1] Concernant le bouton « répondre ». Il est là pour rester. Cela dit, libre à vous de l’utiliser.
[2] Je réitère ce que nous avons écrit plus haut : pour tout ce qui concerne les changements sur voir.ca, vous pouvez m’écrire personnellement pour vos questions/commentaires.
Ce fil de discussion sur la chronique de Josée n’est certainement pas l’endroit pour discuter de l’architecture web de voir.ca.
Veuillez donc en tenir compte s.v.p. L’équipe de modération effacera simplement les commentaires à ce propos qui n’ont rien à voir avec l’objet de cette chronique.
Merci à l’avance.
S.
M Baribeau.
Je ne comprends pas l’anglais.Sorry.
La prochaine fois je vais essayer le serbo-croate ou le catalan!
I am sorry too!
Gentiment!
JSB
Mes deux dernières interventions, chère Mme Legault, sur un de vos récents billets d’avant que le site de Voir ne soit chamboulé de fond en comble, étaient en latin…
Il s’agissait, à mon avis, de dire qu’après avoir lu votre billet, je m’abstenais de dire quoi que ce soit – et cela de manière inusitée, pouvant possiblement en amuser quelques-uns, et même vous également!
Puis, voilà que le site vient de changer du tout au tout, et que j’en perds à présent mon latin. Je me pensais un vieux dinosaure, dépassé par des tas de trucs (que je considère souvent assez futiles, quoiqu’ils en séduisent plusieurs des plus jeunes générations), mais à tout le moins un vieux dinosaure ayant survécu jusqu’à l’époque gréco-romaine…
J’apprécie depuis toujours une certaine stabilité en toutes choses. Depuis la tourtière traditionnelle aux pâtes italiennes, aux belles mélodies et aux oeuvres cinématographiques bien conçues. En quelque sorte, je me situe – à ce que je me rends maintenant compte – dans une classe me paraissant de plus en plus à part, soit celle des esthètes…
Un grave défaut par les temps qui courent, dirait-on.
Vous nous parlez de « réinventer la roue ». Avec raison, votre billet déballe plein de considérations sensées. Pour ma part, je m’en tiens encore au vieil adage anglais voulant que, « If it’s not broken don’t fix it ». Une sagesse qui se perd.
Enfin, je ne sais plus trop si je continuerai à vous rendre visite ici, ou même à m’aventurerailleurs sur ce site. Je ne m’y retrouve plus. On a opté pour (justement) réinventer la roue, alors que la roue d’avant roulait très bien. Et cette ancienne chanson de Serge Gainsbourg interprétée par Françoise Hardy – « Comment te dire adieu » – qui n’en finit plus de tourner dans ma tête.
Bah…! Mais possiblement ne s’agit-il essentiellement que du spleen d’une fin d’été. Cette période de l’année me démonte le moral depuis toujours.
Je suis assez d’accord avec M. Perrier, en général et, spécialement avec son dernier commentaire.
M Drouin.
Dans le tourbillon de ce nouveau blogue, je viens de lire que mon message vous désole.
Loin de moi l’idée de promouvoir la réélection de Jean Charest et croyez-moi je clame haut et fort mes nausées à cet égard.
Cependant , sans vouloir condamner l’électorat, je crains que Jean Charest aie le vent dans les voiles.
Il peut justifier la stabilité et la force de son équipe .Il fait de ses ministres ses otages.
Au niveau des arts, se glorifier d’avoir contribué à la nouvelle bâtisse de l’OSM.
Bref JE ME SOUVIENS de ce parti corrompu mais rappellez-vous aussi que si le scandale des commandites n’avez pas eu lieu, les libéraux seraient au pouvoir.
Il faut que l’enquête sur la corruption se fasse .C’est ce qui réveillera la population.
Alain Gravel fait plus de révélations que le parti libéral. Bref la roue tourne mais parfois se rouille.
Depuis la nuit des temps, il y a de ces inventions qui se sont imposées en étant des incontournables. Tout comme l’invention de la roue ! Essayer de réinventer la roue en ce siècle devient tout aussi farfelu que d’essayer de résoudre la quadrature du cercle. Si tous les nationalistes québécois n’avaient pas tant choisi le déni afin de continuer de carburer un tant soit peu depuis les premières salves du concept de souveraineté-associative en 1968 en se mystifiant eux mêmes sur les attentes des québécois, nous n’en serions pas là aujourd’hui à pérorer sur la pseudo souveraineté du Québec.
Bien sûr avec cet échafaudage pour mystifier et racoler les québécois avec ce concept fumeux qui ne se voulait pas de l’indépendance en axant et soulignant à grands traits sur l’association, beaucoup de québécois se laissèrent aller en disant Oui qui ne portait pas à conséquence. Cela encore une fois fausse la donne, ce qui permit toujours aux nationalistes québécois de se leurrer eux mêmes sur les appuis formels à la Cause Nationale.
Et ce qui devait arriver arriva ! La Loi sur la Clarté de Monsieur Stéphane Dion vint mettre fin à cette confusion qui naquit par la nébulosité nécessaire afin de ratisser plus large et ainsi se mentir à soi-mêmes dans le cas des vrais indépendantistes qui, dans leur for intérieur, la fin justifiant toujours les moyens quand certains n’ont pas les moyens de leur ambition. avec la cinglante déroute du défunt Bloc Québécois, plus rien ne baigne dans l’huile, la résultante de s’être menti si longtemps par le déni sur les besoins réels de tous les québécois et de non pas seulement un groupuscule gonflé à l’hélium par cet oxymoron de souveraineté-association et de souveraineté-partenariat qui permettait dans la confusion engendrée de dire une chose et son contraire tout à la foi.
En terminant, beaucoup de québécois qui étaient des nationalistes tièdes ont délaissé la Cause avec la Loi sur la Clarté qui par la bande oblige le Parti Québécois de ne plus parler d’association et de partenariat, ce qui fait que la Cause s’écroule avec fracas. Tout comme il faut être deux pour danser le tango, si prochain référendum il y a, la question référendaire se devra d’être claire tout comme les autres référendums qui eurent lieu au niveau planétaire. Dans tous ces référendums qui eurent lieu sur la sécession d’une des deux parties concernées, au préalable avec un prérequis, les deux parties devaient s’entendre sur la formulation de la question posée aux belligérants en cause. La Communauté Internationale veillant au grain, le Canada aura avec la Loi sur la Clarté le dernier mot en acceptant ou pas la question posée. Et croyez en vos yeux et vos oreilles, la prochaine question référendaire sera claire comme de l’eau de roche comme il se doit. Fonder un nouveau pays est un acte sacré qui par respect pour les citoyens concernés ne doit pas se faire dans la confusion générée par cette réinvention de la roue qui eut lieu au deux référendums précédents. Poser une question claire donnera une réponse froide et claire, ce qui n’a jamais été le cas au Québec avec cet astuce de l’oximoron qui cachait ce sein que certains avait tout à fait raison de cacher pour continuer de faire du millage sur les caps de roue dans le jargon de la société distincte pour une fois !
@Yves Rioux
Si, comme vous l’écrivez si bien «Fonder un nouveau pays est un acte sacré […].», dites-moi donc pour quelle raison la population de l’époque (1867) n’a jamais été consultée concernant la fondation de ce sacré pays qu’est le Canada ? Était-ce moins sacré à cette époque ? Utiliseriez-vous des concepts à deux vitesses ? Pourquoi, en plus, alors que le ROC en avait l’occasion sinon le prétexte, n’a-t-on pas respecté les demandes historiques du Québec lors du terrible rapatriement de la constitution par un Trudeau si ineffable ?
Au lieu de jeter votre fiel sur les souverainistes québécois peut-être feriez-vous œuvre plus utile en démontrant, noir sur blanc, en quoi une nation pêche en désirant édicter toutes ses lois, lever tous ses impôts et signer tous ses traités. Auriez-vous hérité d’une gène colonialiste M. Rioux ? ;-)
Votre haine des souverainistes québecois transpire de toutes vos paroles.
Ayez au moins le courage de vos opinions et justifiez-les M. Rioux.
«La haine rend non seulement aveugle et sourd mais incroyablement bête.»
[Konrad Lorenz]
CORRECTION :
au lieu de lire, dans mon précédent commentaire : «en quoi une nation PÊCHE […]» il faudrait lire : «[…] pèche […]». Ça fait plus sérieux …
«L’humour est la forme la plus saine de lucidité.»
[Jacques Brel]
Bien sûr, il n’y a pas plus aveugle que celui qui, par le déni, refuse de VOIR ! Nous pouvons tous constater aujourd’hui la résultante de cette glasnost si chère à Monsieur Stéphane Dion qui, avec le Parti Libéral du Canada sortit ce lapin de son chapeau avec la Loi sur La Clarté qui s’imposait. Cette glasnost si chère à la Russie qui permit la transparence et la Vérité. Et depuis ce temps, le Canada n’a jamais été aussi uni dans son Histoire depuis les années 1960. Le Fédéralisme Canadien va bien depuis que cet immense pays fit son aggiornamento après le référendum québécois de 1995. Et à contrario, le nationalisme québécois va de mal en pis et certains en faisant face à ce constat se proposent de réinventer la roue afin que perdure le déni par la fuite en avant ainsi que le pelletage de nuages tout en se mystifiant eux mêmes, pauvres de Soi.
Le Canada est une colonie, sans âme, sans saveur qui d’un côté imite les USA et de l’autre embrasse la reine d’Angleterre.
Les conservateurs imposent l’image de la Reine et ressuscitent les vieilles étiquettes royales de l’aviation et de la marine. Quelle sera la prochaine cible de cette déconstruction? La poste? Le drapeau?
toutes les ambassades canadiennes devront dès cette semaine accrocher bien en vue un portrait de la Reine d’Angleterre aux côtés des habituelles photos du gouverneur général, du premier ministre et du ministre des Affaires étrangères
Ne voulant pas inventer la roue, je dirais que M. Rioux parle de plus en plus comme un certain J.B. qui sévit, sous ce nom d,emprunt dans un autre blogue.
Quoiqu’il en soit, aggiornamento ou non, je ne vois ce qu’il y a de changement dans l’attitude du ROC. Et c’est bien ça le problème des deux solitudes. Chacun de leurs côté, les ROCanadiens, leurs rois nègres d’une part et les Québécois de l’autre ne sont encore et toujours que deux solitudes.
Qui sont les pelleteux de nuages, les Québécois qui veulent se donner un pays ou les Canadiens qui s’imaginent encore vivre dans ce grand pays, « A MARI USQUE AD MARE » ?
Je rappellerai juste qu’il y a une région nommée Québec qu’on jamais consultée pour faire parti du pays et à qui on a imposé de force, une constitution qu’il n’a jamais endossée. Où sont les pelleteux de nuages ?
« Il ne faut pas prendre les gens pour des cons. Il y a déjà
assez de cons qu’on prend pour des gens.»
[Guy BEDOS]
Les gamins ne devraient jamais essayer de jouer dans la cour des grands, soit avec des adultes réfléchis ! En ne voulant pas réinventer la roue, en me servant en la modifiant pour les besoins du moment cette parole qui fait foi d’une prophétie de mon vieil ami Pélo, réfugié une grande partie de sa vie à Porto Rico : Mais vous n’êtes pas tannés de faire rire de vous, bandes de caves ! Bien sûr que je m’adresse à tous les petits Denis la menace, faute d’argument comme toujours en démontrant tout son vide.
Les gens sur terre, incluant les Québécois, ont peur du changement, ne veulent pas de changements sauf, si ça va très mal, selon leurs perceptions.
Les Canadiens ont voté NPD au Québec et Conservateurs, dans le ROC, afin d’arrêter les élections à répétition au fédéral, ce qui est très dispendieux et lassant.
Au provincial, le Plan Nord du PLQ pourrait bien sauver ce gouvernement de son refus de tenir une enquête sur la construction. Un espoir de développement, de création d’emplois, de rêves de vastes territoires pleins de richesses naturelles, ça pourrait bien se vendre aux Québécois, à condition qu’ils ne perçoivent pas que nous donnons ces richesses aux minières en plus de trop les subventionner pour les aider à vider ce territoire nordique, réclamé par les Inuits et les Cris.
Le nouveau pour le simple nouveau ne gagnera pas s’il n’est pas bien emballé avec de solides idées basées sur le pain et le beurre, le gros bon-sens et sur la protection du français, dans le Canada comme est décrite aussi la nation québécoise…dans le Canada.
Monsieur Bousquet !
Vous croyez réellement que les canadiens et les québécois ont votés pour que cesse les élections a répétitions ? Vous croyez sincèrement que notre canadien et notre québécois le matin des élections s’est dit » il faut arrêter la répétition des élections alors je vais voter pour la stabilité » …. ?
Les québécois ont votés majoritairement en fonction de brasser les cartes et en faveur d’un Jack Layton aux allures de bons gars malade et courageux .
Les canadiens ont votés pour Harper a cause du poids énorme que traine le PLC depuis le scandale des commandites et du peu de charisme d’Ignatieff comme individu !
La moitié des Québécois lors des dernières élections provinciales sont restez a la maison lors de la journée des élections justement a cause du manque de confiance envers l’ADQ et Mario Dumont et du peu de popularité de Pauline Marois comme chef du PQ. Chef qui ne représentait absolument rien de nouveau pour l’électorat, une politicienne faisant partie des vieux meubles de la vieille garde péquiste depuis des lustres.
***LE CHOC DES HAINES ZIGOUILLE LE DÉBAT***
Je me permets de me répéter: depuis le fatidique et historique 2 mai 2011, il y a beaucoup de colère et de hargne chez de nombreux souverainistes enragés et chez quelques fédéralistes éminemment bornés et méprisants.
Ces haines et ces courroux ne cessent de s’entrechoquer furieusement un peu partout, y compris dans le blogue de Josée Legault.
Moi, je suis ébaubi et «déconcrissé» lorsque je constate que les débats minimalement sereins et rigoureux sont rarement au rendez-vous. On ne cherche pas à expliquer ou à comprendre. On a remis à l’ordre du jour la vieille pratique de l’excommunication.
Aussi, il y a, dans de nombreux propos, un mépris du peuple et une tendance «débilitante» qui consiste à généraliser de manière outrancière des affirmations qui n’expliquent rien (ou presque).
Je peux sembler prétentieux et hautain mais comme je l’ai déjà dit, je ne crois pas à l’unicausalité et à l’unifactorialité. La complexité est l’une des caractéristiques premières du monde dans lequel nous vivons.
Très gentiment (je pense)!
JSB
Au P.Q. le processus de dépaulinisation est toujours en court et devrait se terminer avant la prochaine élection par une course à la chefferie où madame Marois pourra toujours ses représenter. La décharestisation est commencée mais elle se fait de l’intérieur à l’abri des regards, la carrière du PDG de Power-corporation s’essouffle à vue d’oeil comme un e bronchite, on cherche désespérément un remplaçant suicidaire chez les Desmarais.
Les partis politiques québécois tenteront tous de miser au maximum de l’effet nouveau chef nouveau look avant les élections question de timing car on sait tous qu’un feu de paille, ç’est juste de la boucane.
M Baribeau
Sachez que vous n’êtes ni prétentieux ni hautain .
Vos commentaires sont des réflexions qui me font cheminer , réfléchir.
Merci à vous de rester sur ce blogue . Je m’interroge à savoir s’il y a trop de blogueurs qui désertent si je resterai. On doit s’adapter à cette nouvelle formule mais comme vous l’écriviez dans un texte :
We we would like to know ..
La roue ne tourne pas vraiment bien pour moi ce matin.
J’ai en tête cette chanson: le déserteur.
Yves Rioux tente aussi de réinventer la roue en 2011. Voulant les Québécois redevenir les colonisés du « good old time » duplessiste, il jubile devant le mouvement « Born again » harperien monarchiste et adhère au régime colonialiste rocanadian en ventant les vertus de la clarté Dion alors qu’il n’a jamais suggéré l’adhésion des Québécois à la constitution actuelle du Rocanada par référendum.
Une question et une réponse très claires fermeraient le clapet à tous ces fédérastes pro-colonialisme: Voulez-vous. OUI ou NON, adhérer à la constitution actuelle du Rocanada ?
Monsieur Bilodeau !
Expliquer et comprendre signifie quoi au juste ? Que VOUS nous expliquer ce que NOUS devrions comprendre ?
Votre interprétation des faits est la votre et si d’autres personnes sur ce blogue n’ont pas la même interprétation des faits que vous ce n’est pas nécessairement du mépris envers le peuple et de l’agressivité mal dirigée !
Je sais que le succès du NPD s vous tient a cœur et je respecte cela par contre votre interprétation concernant la raison du succès de ce parti lors des dernières élections peux être très différente de la mienne ce qui ne veux pas dire que la mienne soit du mépris, de l’intolérance ou n’importe quoi d’autre. L’effet Jack Layton a été pour moi le facteur déterminant de la victoire du NPD lors des dernières élections ce qui ne semble pas être un fait pour vous ! Et puis après ?
Un blogueur nous dit que la motivation principale de l’électorat lors des dernières élections fédérales aura été la « stabilité « pour que cesse les élections répétitives ! Je n’y crois pas du tout ! Faudrait –il que j’abonde dans le même sens que lui pour ne pas l’offusquer et être un « bon citoyen « capable d’échanger et de discuter avec les autres ?
Concernant le sujet de ce blogue « réinventer la roue « croyez-vous sérieusement qu’un gouvernement Harper majoritaire face a une députation du NPD majoritairement québécoise et inexpérimenté aura un effet de « changement « radical au Québec et même dans le Canada ? Si personnellement je n’y crois pas suis-je automatiquement un citoyen négatif, méprisant et intolérant ?
Aux prochaines élections provinciales lequel des partis politiques nous présenteront une nouvelle carrosserie et des roues neuves ? Charest avec son Plan Nord qui semble encore être un plan des plus questionnable concernant ses amis du privé et NOS richesses naturelles ? Pauline Marois et sa gouvernance souverainiste, soit balayer le plus loin possible la raison d’être du PQ pour se faire du capitale politique ? Legault qui semble avoir beaucoup d’amis semblable à ceux de l’entourage de John James Charest et qui ne réinvente absolument rien dans la façon de gouverner ?
Alors si je dis que les prochaines élections provinciales risquent d’être ternes sans réellement la possibilité pour le citoyen de voir des roues réinventer et complètement neuves suis-je un citoyen méprisant, intolérant et agressif ?
Entièrement d’accord avec votre objection à certains commentaires voulant réinventer la roue à freins ABS voulant imprégner une morale de 5-10-15 aux participants de ce blogue et en diriger leur contenu. Bravo !
Monsieur Asselin, n’étant pas très rapide ces jours-ci, je viens de comprendre que quand vous vous adressez à M. BILODEAU, vous voulez vous adresser à BARIBEAU.
Un seul mot pour répondre: quand je parle de comprendre et d’expliquer, je ne suis pas assez prétentieux ou assez égocentrique pour oser penser que c’est moi seul qui vais assumer cette tâche «herculéenne». L’effort pour comprendre et expliquer est collectif et «sociétal». Je ne peux que proposer mes modestes éléments d’analyse et d’explication. Mais votre droit est aussi grand que le mien de proposer vos réflexions et analyses.
Ne me pensez pas aussi prétentieux que ce que suggèrent vos commentaires.
Gentiment!
JSB
D’accord aussi avec vos raisons, M. Réjean Asselin, pour une partie des Québécois.
Le sourire, l’intelligence et la bonne humeur de M. Layton ont aussi contribué à ses succès électoraux.
Pour ce qui est des Québécois, restés à la maison, le jour de l’élection parce qu’ils ne trouvaient pas LE parti idéal et sans défauts, ils ont eu simplement tort. Il est toujours possible d’en trouver un qui reflète mieux nos idées, même si nous n’aimons pas le chef en entier ou une partie de son programme.
Merci, Mère Nature ! Comme nous disons dans la langue de Shakespeare. Tout ce qui me permit de n’avoir à peu près jamais cet irrépressible besoin de me mesurer à qui que ce soit, étant d’un pacifisme angélique à la base en préférant plutôt laisser braire. Étant un tantinet balèze en étant baraqué et râblé du coffre, je n’ai rarement eu dans ma vie à élever la voix, en ayant cette philosophie du vivre et laisser vivre. N’aimant surtout pas les interminables débats stériles où parlant des oranges, un quelconque chicanier essaie de te chercher noise en t’amenant sur un son champ miné en te parlant de pommes. Foutaises que tout cela ! En intervenant dans un débat public, je préfère toujours me limiter à mes interventions sans chercher noise à l’intervention des autres intervenants qui ont le droit strict de penser comme bon leur semble. Et n’étant pas payé pour ce faire, je n’ai absolument aucune énergie à gaspiller en répliquant à un commentaire qui me laisse pantois.
En étant un simple Canadien habitant la province de Québec, mon opinion n’a que seule particularité d’en être UNE sur approximativement huit millions d’autres dans cette province. Avouez qu’une seule opinion sur huit millions d’autres ne fait pas du tout le poids étant l’opinion d’une seule personne, la mienne. Comme celles des huit autres millions d’individus habitant ici.
Toutefois, cette opinion exprimée par un humble et simple citoyen qui n’a pas du tout cet irréfragable besoin d’essayer de réinventer la roue ne plait pas à tout le monde et je respecte cette liberté de l’honnir.
L’opinion que j’exprime possède cette évidence d’en être seulement UNE sur huit millions d’habitants qui vivent ici dans cette province. Cette opinion que j’exprime possède la seule importance que certains lui donnent et rien d’autre de plus. Alors, pourquoi certains valets poussent l’indigence à donner à cette opinion, ce trait d’esprit exprimé une importance démentielle en la gratifiant d’un socle inespéré pour lui donner la VISIBILITÉ que cet énoncé n’aurait jamais eu ? En la relevant pour la mettre en valeur en lui donnant par une rage mal contenue du torque, quoique la plupart du temps pour déformer et citer hors contexte dans ce malsain délire de confrontation……
En terminant en m,excusant de n’être pas celui qui réinventera la roue, un exemple ne confirme pas la règle, à peu près personne sur ce bloque ainsi que tous les autres que je fréquente ne peut se targuer ni d’évoquer le simple fait d’une réplique de ma part. Étant d’un pacifisme angélique quoique aimant dire virilement les faits, je ne suis pas du tout du genre à m’emporter devant certains coups de butoir dont je peux respecter sans réplique aucune. Et même placidement d’endurer avec une patience infinie plusieurs assauts sans mots dire ! Même quand un bourdon me tourne autour en jouant le Taon de service, je préfère laisser braire en remerciant intérieurement celui qui donne autant d’importance à mes propos, ceux ci exprimés profitant du potentiel infini d’une visibilité inespérée……… Encore une fois, merci Mère Nature d’avoir créé certaines personnes qui portent au Cénacle de telles insignifiances !
La roue se réinvente en politique à toute nouvelle génération. Il faut croire que pour la plupart des individus c’est comme si la planète et l’humanité étaient nées lors de leur propre naissance et par leur naissance.
Depuis la Révolution tranquille achevée autour de l’an 1980, soit lors du refus des Québécois de s’affranchir du Canada, chacune des nouvelles générations de « Québécois ont autant de raisons d’être en colère. Nous sommes collectivement bien nantis, nous mangeons relativement à notre faim, nous sommes libres de nos opinions politiques – quand on se compare, on se console, diront certains –, mais la colère sommeille. Vous le savez, vous la sentez. On nous ment, on nous pille, on érode nos libertés fondamentales, on nous monte l’un contre l’autre. Ne soyons pas bêtes ; ne nous rendons pas malades à force de subir cette agression sans réagir. Si on a mal ensemble, il faut agir ensemble. » Texte de Denis MCCREADY, Vigile, 09-09-1011.
Il y a une phrase du sociologue (et chanoine) Jacques Grand’Maison qui, me semble-t-il, est éventuellement fort pertinente face aux changements en train de se réaliser:
***«Derrière ce qui se défait, d’autres pousses de vie et de sens surgissent.»***
Eh oui! La déconfiture des forces souverainistes et l’imbécillité abyssale des discours tenus par de nombreux fédéralistes vont peut-être ouvrir toutes grandes les portes en direction de nouveaux horizons, de nouveaux possibles. Restons sensibles, ouverts et vigilants . Nous pourrions être pas mal surpris.
JSB
Vous avez raison Monsieur Baribeau !
Soyons positif ! ……….et réaliste un ti-peu !
L’idéal pour aller quelque part, c’est de bien doser le réalisme et un certain idéalisme.
Au plaisir, M. Asselin!
JSB
CORRECTUM.
M Baribeau.
Mes états d’âme sont conformes à mes écrits: quétaine.
Donc je corrige .
Je m’interroge à savoir s’il y aura plusieurs blogueurs qui abandonneront ce site et si j’y resterai.
Il y a des jours ou l’on ne trouve plus de pneux adaptés à la voiture.
Madame Thibaudeau !
Le temps arrangera les choses et je suis sûr que le » nouveau » site de Voir deviendra aussi populaire sinon plus qu’auparavant et que les réguliers du blogue de madame Legault reviendront en majorité !
Merci M Réjean Asselin.
Disons que ce n’est pas le site mais moi .
Tout s’arrange n’est ce pas!
Ce soir j’ai l’âme à la tristesse.
Voilà les roues qui tombent mais je me relève vite.
Le ministre français Eric Besson nous livre une campagne publicitaire en faveur du plan nord de Jean Charest qui en a bien besoin pour s’accrocher au pouvoir au Québec. Les trois mousquetaires Sarkosy, Desmarais et Charest, tous pour un, un pour tous.
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2011/09/10/003-france-plan-nord-besson.shtml#commentaires
L’un des grands CHANGEMENTS tant attendus concerne LE PONT CHAMPLAIN.
Alors, à Harper et aux autres représentants du gratin routier et du «pontage», je dédie ce poème de Franc Nohain:
La nature a fit preuve
D’un bon sens très profond
En faisant passer les fleuves
Juste au-dessous des ponts
Alors, ne réinventons pas la rue et fions-nous aux fleuves et à leur sagesse millénaire. Il se peut que le pauvre Stephen ne soit pas au courant de cette vieille «loi naturelle» concernant les fleuves et les ponts.
@Claire
Je pense que tout va redevenir très «correct» dans ce blogue. Mais si Josée Legault nous disait quelques mots «explicatifs», ce serait gentil et «grand» de sa part.
JSB
ERREUR «BARIBALDIENNE»: j’ai écrit a «fit» preuve au lieu d’écrire «a FAIT preuve». Vous voyez où peut parfois mener le BARIBEAUDAGE.
C’est une coquille. Et je rappelle que Boris Vian a déjà écrit que nous commettons souvent une coQuille lorsque nous oublions le Q («cul») du mot COQUILLE.
En ce dimanche matin je me sens un tantinet débiloïde. Et j’espère que toutes et tous, nous continuerons à discuter, à débattre et à parfois nous montrer pugnaces dans nos argumentations.
AMICALEMENT!
JSB
Un météorite a frappé le Québec le 2 mai, 2011 et il tua tous les dinosaures, sauf un. Celui-ci ce nomme Gérald Larose et le mouvement souverainiste lui demande de trouver le chemin pour revenir à l’ère jurassique du nationalisme québécois.
Triste constat après 40 ans de loyaux services , le mouvement se désintègre . François Legault n’a pas à réinventer la roue, il n’a qu’à ignorer le dernier dinosaur et promettre de remettre le Québec sur le chemin de la prospérité et de la modernité, chose que Jean Charest avait promis mais ‘a été incapable de faire. Comme le Bloc, le PQ ne sera même pas présent au débats à venir.
C’est toute l’industrie de la constitution qui risque de disparaître.
Toujours partagé entre l’idée de plier bagage, de saluer la compagnie, puis d’aller m’occuper à autre chose loin de la garderie ou encore de freiner un élan probablement trop impulsif en restant au moins un moment…
Question de repayer un peu de cette dette à l’égard de ce qui aura eu un effet salvateur sur mon moral (au sortir de cette passe éprouvante alors que je rentrais enfin à la maison après une longue suite de traitements en chimiothérapie et radiothérapie, le tout ayant abouti à une intervention chirurgicale de 14 heures et conclue par 10 jours d’hospitalisation).
Question aussi de ne pas plaquer là, sur un coup de tête, ceux et celles que j’ai appris à apprécier, pour la plupart du moins, au fil de ces dernières années, je vais donc – tout en réfléchissant à la pertinence ou non d’un changement – vous servir quelques nouvelles louches de ma soupière…
En m’attaquant à cette notion de « changement ». Une notion servant le plus souvent de paravent commode pour occulter motivations réelles, ambitions inavouées, opportunismes suspects.
Le « changement » pour le « changement », ça n’existe pas.
Il y a généralement ce que je qualifierais, à défaut de cerner une meilleure manière de définir la chose, un « agenda caché » derrière tout changement. Par ailleurs, pour que l’implantation d’un changement puisse se faire, rien ne vaut ce formidable avantage que celui d’être en position d’autorité. Si le changement s’avère effectivement désirable objectivement, tant mieux. Sinon…
C’est ainsi que dans le secteur des services financiers, et plus particulièrement celui des assurances (secteur que je connais très bien!), les deux dernières décennies ont vu croître et croître les cotisations des représentants afin de nourrir une bureaucratie en pleine expansion, laquelle s’affaire à multiplier les exigences relatives à la pratique – dont plusieurs auraient dû être rejetées du revers de la main sitôt imaginées. Et ce n’est guère mieux du côté du domaine immobilier…
Malheureusement, comme les changements proviennent d’organismes de régulation en position d’autorité, les représentants visés n’ont d’autres choix que de vider davantage leurs goussets afin de financer bien malgré eux une bureaucratie qui continuera à les astreindre à des tas d’obligations (parfois de pertinence fort douteuse) pour demeurer « en règle » et conserver leur droit d’exercice. Sans pour autant que le public soit mieux protégé.
Ah mais la politique, c’est bien différent, non?
L’électorat n’est pas sous le joug d’une bureaucratie en position d’autorité, non? C’est donc le libre-choix qui prévaut de ce côté! Tout changement peut de la sorte se faire en toute connaissance de cause et en vue du bien commun – et non pas au bénéfice d’une petite clique d’abord soucieuse de ses propres intérêts, de ses confortables ronds-de-cuir! Hum… oui et non…
Dans un système démocratique, chacun peut effectivement voter pour la personne de son choix. Mais deux facteurs viennent dans bien des cas influer sur la « véritable » démocratie: la compréhension qu’ont plusieurs électeurs des enjeux, car leurs occupations quotidiennes les appellent à principalement s’intéresser à autre chose, et les qualifications – dont les « vraies » motivations – des candidats briguant les suffrages.
En conséquence, des gens mal renseignés élisent des représentants méconnus.
Ainsi va donc le train-train du changement. Nous n’avons jamais le dernier mot et ne sommes là que pour payer. Et, de surcroît, contraints de nous taper ces discours insipides voulant que tout ça soit pour notre « bien » – ce qui n’est pas entièrement inexact, selon lequel « bien » on considère…
Cher Claude Perrier, ne nous quittez pas. Nous avons été nombreux à vouloir éventuellement quitter le navire de la libre discussion permise aux «voyeurs» de VOIR.
Mais je pense que nous pouvons faire un test et faire aux responsables de VOIR l’honneur de rester dans le giron du blogue, pendant encore un certain temps. Le temps de voir et de vérifier. VOIR mérite notre respect mais nous méritons aussi le respect de VOIR, ce média qui ne doit pas changer de nom pour s’appeler DÉCEVOIR.
Ne lâchons pas, pas tout de suite!
JSB
M Baribeau
Tout va bien , il y a seulement les fous qui ne changent pas d’idée.
Bon dimanche mon cher mentor .Votre mentoré .
Mine de rien, ne voulant surtout pas réinventer une roue qui tourne bien, au cas où certains ignoraient que sur la page d’ouverture, un autre billet s’offre à vos épanchements sur La vie après la politique, si le tout existe vraiment…..
Tout comme Monsieur Victor Beauchesne affirme d’une façon péremptoire, un météorite a vraiment frappé le Québec le 2 de Mai 2011. Tout en laissant cette perle au crédit de Monsieur Victor Beauchesne au sujet des dinosaures tués sur le champ, j’imagine que de gérer pendant deux longues années et plus à vernir avant le prochain scrutin au Québec, les dommages collatéraux seront encore beaucoup plus important que cette éradication des dinosaures.
Toutefois, en ayant la vague impression à l’esprit que Messieurs François Legault et Charles Sirois ne prendront même pas la peine de fonder officiellement un nouveau parti politique soit la Coalition pour cet avenir du Québec. Ayant tous les médias d’information à leurs pieds, ceux ci n’auront simplement que faire des sorties sporadiques un fois au deux mois et les carottes seront cuites pour les nationalistes en passant leur parti dans la moulinette.
Tout comme Monsieur Victor Beauchesne affirme d’une façon péremptoire, un météorite a vraiment frappé le Québec le 2 de Mai 2011. Tout en laissant cette perle au crédit de Monsieur Victor Beauchesne au sujet des dinosaures tués sur le champ, j’imagine que de gérer pendant deux longues années et plus à vernir avant le prochain scrutin au Québec, les dommages collatéraux seront encore beaucoup plus important que cette éradication des dinosaures.
Toutefois, en ayant la vague impression à l’esprit que Messieurs François Legault et Charles Sirois ne prendront même pas la peine de fonder officiellement un nouveau parti politique soit la Coalition pour cet avenir du Québec. Ayant tous les médias d’information à leurs pieds, ceux ci n’auront simplement que faire des sorties sporadiques un fois au deux mois et les carottes seront cuites pour les nationalistes en passant leur parti dans la moulinette.
M. Baribeau,
Vous évoquiez une paorle du chanoine Jacques Grand’Maison. Elle est très juste mais elle n’est pas seulement le fait d’un sociologue forcément influencé par le monde judéo-chrétien. En effet de nombreux penseurs très loin du monde judéo-chrétien ont aussi souligné que pour qu’une idée neuve puisse émerger, d’autres anciennes idées doivent « périr ». On doit mourir à quelque chose si on veut revivre. Je pense entre autre à toutes ces philosophies orientales.
Donc, si justement nous ne voulons pas réinventer la roue, peut-être devrons accepter de se débarrasser de certaines «vieilles peaux», vieilles idées, qui nous confinent littéralement à vivre dans des tourbillons qui ne nous font que tourner en rond.
C’est peut-être ce qui est en train de se produire dans le monde souverainiste. Peut-être en est-il rendu à se trouver un nouveau mode de déplacement autre que la roue justement.
«Qui vivra, verra !» [Proverbe]
Plusieurs intervenants ont remarqué que les québécois ont voté à gauche majoritairement pour le NPD à Ottawa et choisissent selon les sondages d’opter pour un parti de droite en gestation, le CAQ de François Legault au provincial.
Plus paradoxalement encore, comme il y a dans l’air un courant de changement pour le changement, comment se fait-il qu’un politicien en fin de cycle comme Jean Charest puisse encore profiter de la crédulité des québécois avec d’aussi vieux trucs du métier remontant à Duplessis?
Réponse: La peur du changement.
Langue française : John James Charest appelle à la prudence
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2011/09/11/001-francais-charest-montreal.shtml
Visite royale à New-York
Harper se recueille à New York et parle de sécurité
Mme Legault, dont les perceptions de la chose politique sont bien affutées, nous lance – manifestement à la rigolade – que le charisme serait « facultatif » pour toute nouvelle tête de formation politique.
Vraiment?
Pourtant, sans cette « denrée », les ex-premiers ministres Trudeau ou Lévesque, ou encore les présidents américains Clinton et Obama auraient-ils réussi à s’imposer à leurs électorats respectifs?
Fort douteux, à mon avis.
Il importe de d’abord parvenir à séduire avant de pouvoir conduire.
Ce qui s’avère depuis un bon moment le maillon faible du mouvement souverainiste. Cette absence notoire de séduction, nonobstant tous les déraillements du jour, coule la « cause sacrée » des tenants de l’option indépendantiste.
Pas besoin de rejeter uniquement le blâme sur les purs et durs du séparatisme, même si ceux-là n’aident en rien la chose et même lui nuisent en faisant fuir les modérés peu enclins à s’engager dans une aventure si empreinte d’incertitude.
Le charisme, que cela nous plaise ou non, est un sine qua non.
En l’absence de cette « potion magique », le meilleur ainsi que le pire ont autant de chances de gagner les faveurs d’un électorat amorphe.
Plausible, ce que je raconte?
Vous avez entièrement raison M.Perrier est c’est pour cette raison que nous devons endurer encore un John James Charest comme PM du Québec . Avec un chef un peu plus charismatique le PQ aurait probablement gagné les dernières élections . Blâmer les purs et durs pour le manque de charisme et de popularité de Pauline Marois est le chemin le plus facile pour expliquer les problèmes actuels de ce parti !
Lequel ?
Je ne vois aucun nouveau commentaire, depuis plus d’une semaine, même si le nombre, montré au début jusqu’à 119, augmente quand même.
Est-ce que mon ordinateur fait défaut ou est-ce que je suis bloqué ?
Excusez, je voulais dire 2 jours de fin de semaine, pas plus d’une semaine mais ça m’a semblé long quand même.
Mais voyons donc Monsieur Gilles Bousquet ! Nous nous devons de voir du positif dans cette réinvention de la roue. Ne doutant nullement de leur acharnement à vouloir réinventer la roue, peut être bien que Monsieur Alain Cormier et Madame Claire pourront trouver la solution magique dans un verger en y cueillant des pommes, en prenant la distance nécessaire du politique.
Monsieur Perrier, votre dernier commentaire est intéressant, mais je vous ferai remarquer que Stephen Harper et François Legault ont ceci en commun d’avoir autant de charisme qu’un merlan frit, ce qui n’a pas empêché le premier de gagner ses dernières élections haut la main et le second de caracoler en tête des sondages.
En revanche, il me semble que la vague adéquiste, il y a quelques années, avait bel et bien été favorisée par, d’une part, le manque de charisme d’André « langue-de-bois » Boisclair et, d’autre part, l’indéniable charisme de Mario Dumont — c’est même tout ce qu’il avait, le pauvre : du charisme et aucun contenu.
Nous vivons à l’ère de la politique-spectacle et ça ne date pas d’hier, mais il semble que la mascarade politicienne suive la même trajectoire que la machine à rêves hollywoodienne : dorénavant, ce n’est plus le talent des acteurs qui compte, mais la qualité des effets spéciaux. Plus ça éclate et pétarade de tous bords, tous côtés, plus ça attire la clientèle; plus ça réfléchit tout haut à la complexité du monde, plus ça fait fuir les gogos… Voilà pourquoi les films de James Cameron font mille fois plus d’entrée que ceux de Bernard Émond. (À lire : Bernard Émond, « Il y a trop d’images », Lux éditeur, 2011) Le CAQ de Legault sera-t-il à la politique québécoise ce qu’Avatar a été au septième art — une « révolution » en peau de lapin, un gros machin spectaculaire et coûteux totalement dénué de sens? L’avenir nous le dira.
Bon, je viens de m’enligner, comme le dernier message était toujours le même. Je croyais, à tort, que les nouveaux messages seraient montrés en dessous comme avant le changement. J’ai mal suivi les instructions.
M. Réjean Asselin écrit : «Avec un chef un peu plus charismatique le PQ aurait probablement gagné les dernières élections . »
Un exemple ou deux d’un chef séparatiste qui serait plus charismatique que Mme marois, s.v.p.
Est-ce le charisme de M. Legault qui l’aide dans les sondages actuels en le plaçant en tête de liste ? M. Bourgault débordait de charisme mais il n’a jamais dépassé 8 % dans les résultats électoraux du RIN.
Ce n’est pas son charisme, c’est plutôt les arguments populistes pour faire lever son parti. Quant à moi, c’est indigne de quelqu’un qui veut faire avancer honnêtement les choses.
@Victor Beauchesne
La nomination de Pauline Marois comme chef du PQ fut d’abord et avant tout un » trip » interne dont l’objectif fut d’abord de réparer l’insulte suprême qu’aura » subit » Pauline Marois devant le couronnement d’ André Boisclair lors de la course a la chefferie en 2005 .
Ce qui m’étonne c’est que déjà en 2005 Pauline Marois ne » passait » pas dans la population et les membres , a moins d’être complètement déconnectés de la population et de la vraie vie , auraient due réaliser que quelques années plus tard RIEN n’avait changé dans la perception des québécois en général concernant Pauline Marois .
Ce qui m’amène a posé les questions suivantes :
Pourquoi avoir choisi une personne dont la majorité des québécois hors PQ ne semble pas apprécier ?
Pourquoi avoir choisi une personne nettement identifiée a la vieille garde alors que le PQ se devait d’offrir quelques choses de » nouveau » pour ainsi susciter un intérêt électoral lors des dernières élections ?
Pourquoi avoir repoussé de façon pas trop subtile la candidature de Gilles Duceppe, qui était à ce moment là le politicien souverainiste le plus populaire du Québec ?
Le sujet ici est le renouveau et le PQ nous a offert avec Pauline Marois une soupe d’hier réchauffée avec un peu d’épices (gouvernance souverainiste) pour modifier le goût d’antan !
Le PQ est en crise et le mauvais choix du chef en aura été le déclencheur. Le reste n’est que LA conséquence de ce mauvais choix.
Pour répondre a la question » QUI » pourrait remplacer Pauline Marois ? Je n’ai qu’une réponse ! Si ce parti majeur n’a personne dans ses rangs qui pourrait susciter un intérêt important il ne mérite qu’un troisième place .
Me semble que M. Duceppe avait dit qu’il serait candidat pour se désister moins de 24 heures plus tard face à la candidature de Mme Marois qui fut couronnée cheffe sans aucun concours. Ensuite elle a été re-couronnée au congrès d’avril 2011 avec 93 % d’appuis.
Votre argument voulant que le PQ ait refusé Duceppe ne tient pas puisque c’est lui qui s’est désisté.
Qui va vouloir être chef d’un parti qui éjecte aussi facilement son chef et dont l’option et principale raison d’être n’a plus la cote ?
«Ce qui explique pourquoi le milieu des affaires – friand de stabilité -, encourage la création de ce « nouveau » parti. Dans les faits, il ne propose rien de bien nouveau. » – Josée Legault
Je crois que ça résume pas mal l’histoire Madame Legault.
Généralement les partis politiques prétendent au changement en faisant un 360o.
C’est aussi pour cela qu’on entend tellement dire que quelque soit ses positions de départ, le Québec se dirige au «centre».
Mais, voyez comme c’est faux.
Tout le Québec s’en va de plus en plus à droite, privatisations et PPP en preuves.
Je crois en un seul parti porteur d’un véritable changement, et ce, indépendance ou pas, et c’est Québec Solidaire. Et ce tout simplement parce qu’alors tous rament en cœur vers la droite et l’individualisme, Québec Solidaire, lui, rame vers la gauche et le bien commun.
Espérons que les électeurs du Québec comprendront un jour le véritable sens du mot «changement». Mais surtout, qu’ils finissent par comprendre la différence entre ceux qui défendent les intérêts des entreprises et ceux qui défendent les intérêts du peuple.
Christian Montmarquette
QS- Montréal
La sécurité et l’émancipation sociale ne doivent pas être tributaires du hasard d’une «roue de fortune», mais sur la valeur fondamentale de la solidarité entre toutes les classes de la société.
S’il y a une roue à réinventer….
C’est bien celle-là.
http://www.quebechebdo.com/media/photos/unis/photo_785906_resize.jpg
.
François Legault a semé une graine pour en faire un parti. Le genre d’engrais qu’il met pour faire croître son parti va le faire ressembler à un arbre dont allure devient de plus en plus populiste. Quant à moi, c’est indigne de quelqu’un qui se respecte.
Madame Legault, en passant, votre texte est intéressant. Vous parlez de Jean Charest. Je me demande s’il n’est pas en mal d’inspiration pour trouver un leitmotiv dans le but de faire lever la masse de son bord, avant de déclencher des élections?
Je parle de la masse, ceux qui seraient facile à convaincre une autre sempiternelle fois. En effet, l’opinion de la masse change au gré des vents. De ce point de vue, c’est pourquoi François Legault, le populiste, pour faire avancer son affaire de parti, marche sur des œufs avec prudence, à pas de tortue.
Pour ce qui est du PQ, se pourrait-il qu’il y ait des moutons désireux de suivre la ligne quelconque d’un parti qui se prennent pour des bergers?
Les québécois en ont ras-le-bol des politiciens qui les mettent pour ainsi dire en tutelle une fois qu’on a voté pour eux. Implicitement, le danger démocratique de ces politiciens irrespectueux des véritables intérêts de la population et du Québec, c’est que celle-ci finissent par mettre un véto sur leur propre droit de voter aux élections. Je dis soi-disant parce qu’une fois les élections terminées, ils sont comme mis en tutelle par le parti gagnant. C’est ce qui est en quelque sorte ressorti depuis que Jean Charest a été nommé roi de l’Assemblée nationale.
Le milieu des affaires veulent une stabilité de droite Libéral ou celui de François Legault pour remplacer le premier impopulaire et s’il n’arrive pas à se relever. Auparavant , il y avait l’ADQ qu’on essaie maintenant d’apparier avec l’art déco sur mesure de François legault.
En résumé, le milieu des affaires veut un parti de droite stable et des personnes superficielles à la mentalité libertarienne qu’on présente quasi comme une référence dans les postes de radios populistes. Le but étant de faire monter la masse invertébrée sur le bateau de Noé.
M Rioux.
J’avoue que certains commentaires que j’ai écrit étaient très stupides.Mais M Cormier n’a rien à voir dans ça.
Si vous pensez ainsi, je vous donne raison et je l’ai écrit aussi. Je n’ai pas le pouvoir, le savoir et le devoir de madame Legault.
Et fort heureusement pour vous tous.
Si ce sujet ne vous convient plus , adressez-vous à madame Legault .
J’admets mes erreurs, qui n’en fait pas ? Peut-être que vous M Rioux vous êtes parfait.Si tel est le cas, devenez chroniqueur.
@Victor Beauchesne
Duceppe s’est désisté après avoir compris qu’il n’était pas le bienvenue dans l’intimité de la famille péquiste , famille tricotée serrée . Si les membres du PQ auraient voulu une course a la chefferie Pauline Marois aurait encore perdue , un scénario non envisageable .
En plus si comme vous dites l’option souverainiste n’a pas la cote faudrait peut-être que le PQ change d’orientation en devenant un parti autonomiste -fédéraliste comme l’était auparavant l’ADQ . Ce qui ferait de la place pour un vrai parti souverainiste qui ferait la promotion de cette option même si l’appui demeure encore dans les 38 a 40 % ! Si tu es souveriniste du vote pour un parti souverainiste ! Si tu es autonomiste-nationaliste ect…. du vote pour un parti qui te ressemble et si tu es fédéraliste tu vote pour le PLQ !
Monsieur Gilles Duceppe n’a sûrement pas réinventé la roue en annonçant sa candidature contre Madame Pauline Marois, qui en femme forte et suppliée par les péquistes de prendre les rênes du Parti. Les péquistes ne voulaient pas de Monsieur Gilles Duceppe qui, peinard retourna dans ses terres ontariennes Gros Jean comme devant en ayant eu la trouille de sa vie.
Ainsi, et pour retourner penaud à son confortable siège à Ottawa. Bien sûr, disaient les mauvaises langues. Le siège bien assis dans la province voisine et le coeur meurtri au Québec.
Pour les souverainistes-autonomistes-nationalistes –alléluia qui aiment bien châtier et démonisé les scélérats (Beaudoin, Curzi, Lapointe et Aussant) qui ont démissionnés lors de la saga de l’amphithéâtre de Québec il serait intéressant de parcourir un peu la bio de Pauline Marois sur Wikipédia ! Entre –autre :
« En 2004 Pauline Marois cherchant à PROVOQUER le destin demanda ouvertement le départ de Bernard Landry «
« En 2005 elle se lança dans la course à la chefferie en promettant de tenir un référendum dans les SIX mois suivant l’élection du PQ avec elle comme chef «
Quand c’est ELLE qui se brade contre le chef en exigeant sa démission c’est correct. Quand c’est Curzi cela devient un sacrilège.
Promette un référendum dans le six mois lors d’un premier mandat c’est OK mais quand Parizeau et ses amis qui ne demandent que de faire la promotion du projet souverainiste dans un premier mandat cela relève du sacrilège encore une fois !
On repassera pour la réinvention de la roue au PQ !
De tous les chefs du PQ, seul Parizeau était un vrai souverainiste et lui s’en allait droit au mur en 1995 avant que Lucien le magicien vienne sauver sa campagne.
38 à 40 % pour la souveraineté c’est justement parce que 87 % croit qu’elle ne se fera pas. C’est aussi facile que d’être pour la bière gratuite sachant que cela n’arrivera pas non plus.
Quand tu changes de chef en moyenne aux 3 ans et que ça ne marche pas plus fort qu’avant, je pense qu’il faut arrêter de blâmer le chef et d’examiner le programme.
Un séparatiste « souverainiste pur » qui ne voit pas son option constitutionnelle, décoller, a le choix de blâmer les fédéralistes, le chef du PQ, les journalistes, les médias et le monde entier…minimum.
Le seul « coupable » sur lequel ou laquelle les séparatistes ont du pouvoir, c’est le chef du PQ, pour le remplacer par un « meilleur » qui saura changer les fédéralistes en souverainistes « séparatistes » en deux temps trois mouvements, en les retournant comme des crêpes avec un beau projet de pays du Québec, séparé du Canada.
Bien sûr qu’il n’est pas encore né le Divin Enfant qui fera autant pour le Parti Québécois que Madame Pauline Marois a pu faire. Tout comme si certains péquistes essayaient de réinventer la roue, sapristi. L’erreur magistrale de Madame Pauline Marois réside dans sa Foi que celle ci avait envers les péquistes, ce que cette femme peut être forte afin de ne pas succomber à la désespérance totale. En pensant connaître les péquistes comme si celle ci les avait tricoté bien serré au coin du feu, Madame Pauline Marois réalise au grand jour d’avoir tricoté cette gaffe de les avoir tricotés trop lousse, ce qui fait que plusieurs péquistes s’échappent du dessous de ses jupes matriarcales à son grand désarroi. Tout un job que de resserrer les mailles afin d’avoir de l’allure comme dans le bon vieux temps, le furtif temps d’une paix en Charlevoix !
Je n’en reviens tout simplement pas de tous ces commentaires négatifs, après on se demande pourquoi personne ne se lance en politique. J’aimerais bien savoir l’âge moyen des répondants puisque ça ne correspont absolument pas aux gens de mon entourage: jeunes familles dans la trentaine.
La souveraineté qui monopolise encore le débat au Québec, vraiment? Je sais que c’est votre cheval de bataille Mme Legault mais ça n’intéresse plus la population en générale.
Et les débats entre la gauche et la droite sont une grande perte de temps. Pourquoi ne pas prendre les meilleurs idées des deux camps et les mettrent en pratique? Le Québec change et la politique également et c’est pour le mieux et pour notre mieux.
Aller lire l’article ci-dessous, c’est ma génération et on ne prend rien pour acquis…
http://www.cyberpresse.ca/place-publique/opinions/201109/09/01-4432973-une-politique-du-xxie-siecle.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_lire_aussi_4432724_article_POS1
@ Francis Sirard : Je viens de lire la diatribe dont vous êtes, si j’ai bien compris, l’un des cosignataires. Si je vous suis bien, la population en a marre de la politique et en conséquence, les partis politiques n’ont plus qu’à se… dépolitiser, pour faire plaisir au bon peuple. Drôle de manifeste : outre que vous y énoncez une série d’évidences, je ne vois rien là de bien nouveau; que de l’angélisme et des voeux pieux. Par exemple, j’y ai relevé cette phrase : « Le Québec se tire dans le pied en voulant à tout prix rendre sa culture obligatoire; elle doit, plus que jamais, devenir désirable. » Et comment comptez-vous vous y prendre, dites-moi, pour rendre désirable à des immigrants — car c’est bien là le noeud du problème, n’est-ce pas — une culture française qui ne les intéresse nullement, qui ne représente qu’une infime minorité dans l’immense ‘melting pot » anglophone nord-américain, et qui est constamment rabaissée et décriée par des pouvoirs et des groupes de pression très puissants ayant tout intérêt à nous voir disparaître? Si vous êtes vraiment capable de résoudre cette quadrature du cercle, je veux bien voter pour vous demain matin.
En fait, je n’y vois rien de tellement différent de ce que propose François Legault : balayons la question constitutionnelle sous le tapis et prions pour qu’elle se résolve d’elle-même, sans doute par quelque intervention divine. La même intervention divine qui préservera notre langue et notre culture à notre place, sans doute. Et puisons dans la droite et la gauche ce qui nous arrange — comme si ces deux visions radicalement incompatibles de la société étaient une sorte de buffet chinois ou d’auberge espagnole. Bref, nivelons par le bas au lieu de se creuser le coco à essayer de comprendre les grands enjeux de société! Pas fort, pas fort…
Monsieur Sirard, je viens de lire la diatribe dont vous êtes, si j’ai bien compris, l’un des cosignataires. Si je vous suis bien, la population en a marre de la politique et en conséquence, les partis politiques n’ont plus qu’à se… dépolitiser, pour faire plaisir au bon peuple.
Drôle de manifeste : outre que vous y énoncez une série d’évidences, je ne vois rien là de bien nouveau; que de l’angélisme et des voeux pieux. Par exemple, j’y ai relevé cette phrase : « Le Québec se tire dans le pied en voulant à tout prix rendre sa culture obligatoire; elle doit, plus que jamais, devenir désirable. » Et comment comptez-vous vous y prendre, dites-moi, pour rendre désirable à des immigrants — car c’est bien là le noeud du problème, n’est-ce pas — une culture française qui ne les intéresse nullement, qui ne représente qu’une infime minorité dans l’immense ‘melting pot » anglophone nord-américain, et qui est constamment rabaissée et décriée par des pouvoirs et des groupes de pression très puissants ayant tout intérêt à nous voir disparaître? Si vous êtes vraiment capable de résoudre cette quadrature du cercle, je veux bien voter pour vous demain matin.
En fait, je n’y vois rien de tellement différent de ce que propose François Legault : balayons la question constitutionnelle sous le tapis et prions pour qu’elle se résolve d’elle-même, sans doute par quelque intervention divine. La même intervention divine qui préservera notre langue et notre culture à notre place, sans doute. Et puisons dans la droite et la gauche ce qui nous arrange — comme si ces deux visions radicalement incompatibles de la société étaient une sorte de buffet chinois ou d’auberge espagnole.
Bref, nivelons par le bas au lieu de se creuser le coco à essayer de comprendre les grands enjeux de société! Pas fort, pas fort…
Et pendant ce temps, la grande roue de notre perpétuelle fête foraine tourne et tourne. Encore et encore.
Pas la peine de se creuser les méninges à vouloir la réinventer, cette roue.
Tourner en rond sur celle sur laquelle nous prenons place depuis si longtemps déjà nous satisfait pleinement. Et si usée et bruyante que soit devenue notre grande roue nationale, avec des tas de boulons en bois vermoulus depuis le temps, que nous importe… n’est-ce pas?
Un jour, un nouveau manège bien rutilant prendra la relève de notre bonne vieille et quasi-folklorique attraction kermessienne.
Mais d’ici là, faudra probablement longtemps encore nous taper plein de crissements et grincements stridents et hérissants, à chaque nouveau tour de cette grande roue nationale.
Heureusement, nous y sommes habitués. Et devenus quelque peu dur d’oreille…
M. Francis Sirard,
J’ai lu avec intérêt le texte proposé à lequel vous adhéré complètement si j’ai bien saisi votre commentaire.
Le texte affirme la nécessité de s’attaquer aux déficiences graves. À le lire on croirait que jamais rien ne s’est fait avant aujourd’hui. Ça fait plus de 40 ans que j’entends ces expressions ronfleuses : s’attaquer aux déficiences graves. Rien de nouveaux sous le soleil. La vrai question c’est comment entendez-vous vous y prendre pour régler les problèmes d’aujourd’hui. C’est bien beau de dénoncer et revendiquer mais il faudrait tout de même un jour que vous et les signataires de la lettre à laquelle vous nous référez fassiez des propositions concrètes. Vos jérémiades n’ont rien de nouveau. Cessez de faire les gérants d’estrade et allez au bâton nom de Dieu.
Le texte parle aussi de la nécessité de cesser de parler du statut constitutionnel. J’aimerais bien que nous n’ayons plus à en parler. Mais la réalité est tellement différente. En effet qu’est-ce qu’on fait quand notre statut constitutionnel nous empêche de prendre les mesures nécessaires au regard des problèmes que nous vivons ? Par exemple, le fédéral est propriétaire du pont Champlain et nous sommes à sa remorque pour régler une fois pour toute son problème. Proposez-vous qu’on laisse ce problème de côté car il est du domaine constitutionnel ? Prenons aussi le problème de l’assurance chômage qui défavorise concrètement de nombreux Québécois. Nous en avons eu dernièrement un exemple avec ce jeune père de famille qui revenant de son congé parental s’est vu refusé l’A.E. sous prétexte qu’il n’était pas au travail. N’est-ce pas là une situation proprement kafkaïenne. Selon vous nous ne devrions pas s’en préoccuper puisque le problème est d’origine constitutionnel.
Idem avec les jugements de la cour Suprême du Canada à l’encontre de la protection de la langue, notamment chez les entreprises et organismes relevant du fédéral. On ne touche pas à cela car c’est de nature constitutionnelle. Ça nous fait une belle jambe face à notre assimilation qui nous guette continuellement.
Il y a des combats que si on ne les mène pas, on les perd. Et si nous les perdons, les conséquences sont importantes sinon funestes pour notre société.
Seriez-vous à ce point à l’âge de la manette que quand vous n’aimez pas un problème, clic, vous changez de chaine ? Vous n’avez pas encore compris que même si vous changiez de chaine et que vous portiez votre attention ailleurs, la chaine que vous venez de regarder continue, elle à fonctionner …
Je comprends votre impatience. Mais ce n’est pas en vous leurrant vous-même que vous réussirez à changer la société.
«L’erreur ne devient pas vérité parce qu’elle se propage et se multiplie ; la vérité ne devient pas erreur parce que nul ne la voit.»
[Gandhi]
Mme Legault,
Nous sommes en train de réinventer la roue. En fait, pour faire dans la « baribeaudrie », je crois que nous commençons sérieusement à tourner en rond. Encore quelques ronds de jambes et rien ne tournera plus rond. Bien que plusieurs faisaient les yeux ronds devant les nombreux commentaires que suscitaient vos billets, certains ronds de cuir n’ont rien eu faire mieux que tourner les coins ronds.
Serons-nous obligés à nous en tenir qu’à des ronds dans l’eau ou pire à faire le dos rond ? J’espère que non. Alors, comme mon chat, je vais aller faire des ronrons, histoire de passer le temps tout en espérant que ce blogue puisse continuer à tourner rond.
«Notre tête est ronde pour permettre à la pensée de changer de direction.»
[Francis Picabia]
Si vous trouvez que ça tourne en rond ici, vous êtes à deux pas du nouveau changement de Voix publique.
http://voir.ca/josee-legault/2011/09/12/npd-et-ils-sont-partis/
Monsieur Francis Sirard dans la trentaine, sa jeune famille et quelques signataires d’un manifeste tout ce qu’il y’a de plus utopique comme prise de conscience n’aime pas les débats stériles et négatifs. Je dis utopique parce que tout le monde aimeraient vivre dans une société ou la politique et la chose sociale serait comme la tarte au chocolat et un film de conte de fée ! Et ils vécurent heureux jusqu’a la fin des temps !!!
Quand je parle du désintéressement de la chose politique des québécois de la jeune génération en voila un exemple. Monsieur Sirard trouve que le débat gauche/droite est une perte de temps. Ma grand-mère aussi trouvait ce débat stérile et sa mère a elle aussi car a cette époque les femmes et la politique ça ne faisait pas bon ménage jusqu’au qu’au moment ou les femmes qui étaient exploitées et considérées comme des moitiés d’humains se lèvent et se battent pour leur dignité et l’égalité des chances et ce fut une bataille POLITIQUE, ce que les Monsieur Sirard d’aujourd’hui considèrent comme une perte de temps SE BATTRE pour se faire respecter. La nouvelle génération ne veux plus de chicanes, par contre elle profite largement des batailles que les générations précédentes ont fait pour elle.
Pour Monsieur Sirard la culture et la langue française ne sont plus des débats importants. Si la chanson francophone , le cinéma francophone, la littérature francophone et autres domaines des arts en arrachent Who Cares !!! Laissons là mourir la culture ! De toute façon tant que la chanson et le cinéma amaricain envahiront nos oreilles et nos yeux ça va être tiguidou, pour le reste en s’en fout !
Monsieur Sirard nous dit sans broncher que le Québec change et la politique également et c’est pour le mieux ! A oui ? Avoir un gouvernement Harper majoritaire face a un NPD minoritaire et disons très fragile c’est pour le mieux ?
Endurer un gouvernement Charest depuis trois mandats avec des perspectives des plus inquiétantes pour les prochaines élections provinciales c’est pour le mieux ?
Monsieur Sirard qui n’aime pas la chicane ferait-il parti de ceux et celles qui ont votés pour le bon Jack et qui s’apprêtent à voter pour Legault ? Vous savez quand on ne fait plus de différence entre la gauche et la droite, entre le français et l’anglais et entre une province et un pays ont peux se permette d’écrire des manifestes puériles et infantiles et voter pour n’importe qui et n’importe quoi !
On dirait que l’ombre d’Eric Duhaime du Réseau Libâââârté Québec plane autour de nous !
Les purs et durs de la séparation, enlignés sur le tout ou rien, déchirent leurs chemises en public actuellement, en tentant de démolir le PQ avec Mme Marois, qui n’iraient pas assez vite pendant que les Québécois ne sont que 10 % à placer la souveraineté simple « la séparation » comme prioritaire, bien après la santé et l’éducation qui se situent autour de 90 % chacun.
Il faut aussi tenir compte de la déclaration de M. Jean-Marc Léger à l’émission Huit clos de février dernier à Télé-Québec à l’effet que du 38 à 40 % de souverainistes déclarés.67 % veulent rester dans le Canada plus 100 % des fédéralistes, ce qui laisse entre 12 et 13 % de solides séparatistes du genre Parizeau-Lapointe, Aussant, Curzi et Beaudoin, qui devront se « dépomper » le québécois séparatiste, s’ils ne veulent pas s’étouffer avec leurs frustrations, élections après élections, sondages après sondages, référendums perdus après référendums perdus.
M. Claude Morin a raison, dans son récent message, à l’adresse Internet suivante, de souligner que ce n’est pas la simple séparation qui a été l’enjeu des 2 référendums perdus mais la souveraineté-association et la souveraineté-partenariat. J’ajoute que la souveraineté-partenariat prévoyait même, un parlement central d’élus.
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/331271/crise-au-parti-quebecois-embardees-suicidaires
Sûrement pas que Monsieur Claude Morin, ce penseur stratégique de l’étapisme au Parti Québécois ne réinventera pas la roue ce matin mais soulèvera beaucoup de poussières en affirmant haut et fort que le Parti Québécois n’a jamais été indépendantiste. En traitant des embardées suicidaires actuelles du Parti Québécois dans Le Devoir de ce matin, Monsieur Claude Morin soulève un voile découvrant le sein que certains péquistes se refusaient depuis toujours de VOIR.
Les embardées suicidaires dont Monsieur Claude Morin traite dans son envolée épistolaire concernent un groupe de péquistes qui reprochent au Parti Québécois de ne pas parler d’indépendance, d’avoir placé celle ci sous le boisseau.
Et en terminant, Monsieur Claude Morin affirme que les québécois dans leur très grande majorité n’ont jamais voulu de l’indépendance du Québec, la sécession ou autrement, la séparation avec le Canada. Et de préciser Monsieur Claude Morin, pas plus en 1968 et encore moins maintenant. Ce que cet étapiste invétéré et convaincu affirme, c’est bel et bien que, par la supposée souveraineté-association avec trait d’union nécessaire voulait bien dire ce que le tout voulait dire. Nous pouvons le constater maintes et maintes fois sur ce blogue que certains nationalistes ont besoin d’un dessin pour comprendre afin d’illustrer le concept. Car pas de dessin, pas de compréhension ! Mais peut être bien en étant de petits ratoureux vivant d’aveuglement volontaire, n’est ce pas ? Quoi qu’il en soit, tout en essayant d’en faire un dessin afin que certains péquistes durs de comprenure voient la lumière au bout d’un long tunnel, la situation ressemble à celle d’un couple constamment en chicane qui décide de se séparer pour mieux se marier par après. Du jamais vu dans mon entourage avec ma bonne foi mais peut être bien que dans l’environnement de certains péquistes, se séparer pour mieux se marier sitôt est tout à fait normal et dans le domaine des possibles, il leur faudra bien en parler au curé……
Monsieur Bousquet !
Que dites vous de certains passages de la bio Wikipédia concernant Pauline Marois.
En 2004 elle demanda la démission de Bernard Landry le chef du PQ a ce moment là et lors de la course a la chefferie en 2005 elle promettait de faire un référendum dans les six mois suivant l’élection d’un gouvernement péquiste .
Pierre Curzi demande la démission de Pauline Marois et les démagogues qui gravitent dans son entourage crient au scandale .
Le clan Parizeau demande que le PQ fasse la promotion de la souveraineté ( et non un référendum ) advenant une victoire du PQ et les démagogues qui gravitent dans l’entourage de Pauline Marois déforment la réalité pour faire croire aux gens que le clan Parizeau demande un référendum le plus vite possible advenant la victoire du PQ .
En plus vous savez très bien qu’une nation qui aspire a la souveraineté ne pourra le faire sans tenir des négociations avec le pays dont elle veut s’affranchir . L’assosciation économique fera partie de ces négociations . Tout comme en Europe et même en amérique du nord la souveraineté ne veux pas dire se couper de tout le monde . Evidemment pour faire avancer votre cause autonomiste -fédréaliste la démagogie devient nécessaire .
Pauline Marois ne pourra jamais dépasser la troisième place dans le choix des québécois francophone lors des prochaines élections . Pauline Marois ne représente aucunement le renouveau malgré l’emballage de la » gouvernance souverainiste » car elle-même porte l’image de la politicienne d’une autre époque .
Pôvre M. Sirard,
Un jeune qui ose écrire sur un blogue de vieux grincheux que le modèle québécois est en panne et que le rêve de leur jeunesse n’a plus la cote.
Pôvre M. Sirard qui ne se rend pas compte que le statut constitutionnel n’est pas une panacée qui va régler tous le problèmes auxquels lui et sa famille font face quotidiennement.
Pôvre M. Sirard qui doit payer pour les »acquis » des plus vieux mais qui ne bénéficiera même pas des mêmes avantages.
Pôvre M. Sirard qui se fout des nuances entre les »conditions gagnantes » , les »1000 jours avant la souveraineté », du »coffre à outils » ou encore de la » gouvernance souverainiste » et qui ne revit aucunement les combats des années soixante-dix.
Pour ce péché mortel M. Sirard est excommunié ipso facto; on dénonce son »diatribe » pourtant son appel n’est pas injurieux et rempli de bon sens. On lui fait un procès d’intentions en l’accusant de peut-être voter du mauvais bord .
Bravo M. Sirard pour votre franchise, mais sachez que les grincheux vous attendent de pied ferme !
M. Réjean Asselin, suivez bien le raisonnement suivant : Le groupe des pressés qui sont contre le principe de la gouvernance de Mme Marois. Si le PQ est élu et qu’il ne peut pas tenir un référendum rapide sur la séparation du Québec, il va devoir gouverner la province entre-temps. Le seul moyen de ne pas avoir à gouverner la province, c’est de faire comme l’a fait M. Parizeau en 1995 : Tenir un référendum rapidement après avoir été élu. Il a été élu avec le PQ en 1994 et il a tenu son référendum en 1995 qu’il a perdu. Certains disent qu’il a été volé mais M. Parizeau n’avait pas protesté en ce sens.
En 2004, M. Landry venait de perdre le pouvoir aux mains de M. Charest en 2003. Mme Marois pouvait avoir tort en 2005 en réclamant un référendum rapide. Il s’agit maintenant de savoir si un référendum rapide est une bonne idée ou pas. Ça pourrait être une bonne idée, si, après lue victoire du PQ, le fédéral commençait à frustrer le Québec avec de graves injustices, ce qui augmenterait le nombre de séparatistes de 12 % à 60 % à cause de la colère, plus ou moins passagère.
Je préfère un chef du PQ qui peut évoluer, changer d’idée que de se coller à une fausseté jusqu’à la mort et plus encore. Les teints à vie.
Faire la promotion de la séparation actuellement est un peu comme tenter de promouvoir le chauffage au charbon. Faut, à la place, chercher et trouver une autre solution que la simple souveraineté du Québec. M. Lévesque l’avait compris en 1967 jusqu’en 1980 et par la suite. Il est même viré fédéraliste conditionnel, du beau risque, avant sa fin sur terre.
Merci M. Beauchesne pour votre appui.
Malheureusement certains participants de ce blogue ne tolèrent tout simplement pas les divergences d’opinions et préfèrent des attaques mesquines et paternalistes.
Ne vous en faites pas, nous sommes habitués à nous retrousser les manches et à faire beaucoup avec peu. Nous n’avons pas peur de la « chicane » loin de là et nous sommes prêts à faire tous les sacrifices nécessaires pour avoir une société travaillante, performante, innovante et déterminée.
J’aimerais bien par contre faire l’exercice de discuter avec les « grincheux » comme vous les appelés si bien pendant quelques minutes. Je pense que je pourrais les convaincre où à tout le moins leur ouvrir l’esprit à d’autres perspectives. Il y a effectivement un mouvement de changement au Québec qui dépasse le cadre de la politique et c’est tant mieux.
P.S. Excusez-moi d’avoir utilisé des mots qui ne sont pas acceptés au Québec…
Sans vouloir réinventer la roue, pourquoi la très grande majorité des péquistes ne se posent-ils pas la question suivante : Pourquoi après toutes les consultations populaires sur l’avenir du Québec en 1995 qui dès l’élection du Parti Québécois, ces consultations furent enclenchées en prévision d’un référendum au Québec au printemps de 1995 ? Pourquoi, le printemps de 1995 arriva peut être trop vite pour les péquistes alors que ceux ci sous la férule des stratèges pour le Oui décidèrent de reporter à l’automne ce qui était prévu au printemps 1995 ? Et bien oui, pourquoi prévoir un référendum au printemps et malgré l’effervescence habituellement printanière avoir reporté ce foutu référendum à l’automne ?
Beaucoup de péquistes parmi les purs et les durs aimeraient peut être bien le savoir si le tout est la faute de l’automne, qui sait afin d’éclairer certaines lanternes qui ne savent pas ?
Nous ne devons pas s’inquiéter si, nous qui ne sommes pas péquistes, d’être incapables de parler dans la langue des péquistes afin d’être compris. Bien sûr, Messieurs Victor Beauchesne et Francis Sirard , vous aurez toujours à vous justifier face aux vieux grincheux qui sont en train de péter au frette dans le jargon national du Québec. Laissez les braire en vous disant que ceux ci s’améliorent car, leur férocité s’est calmée un brin. Ne vous en faites surtout pas en essayant de réinventer la roue afin d’éviter de vous faire ostraciser mais dites vous bien qu’il vaut beaucoup mieux être incompris avec certaines têtes de bouc que de passer votre vie à répliquer à tous ceux qui aiment bien la chicane, mais sans arguments.
M Rioux.
Vous avez vos convictions , d’autres garderont les leurs.Je ne pense pas que vous êtes un Messie.Et ces têtes de bouc * comme vous l’écrivez ressemblent étrangement à ce que vous êtes.
Grincheux pour grincheux .
A moins que vos ayiez ce pouvoir de convaincre ceux qui ne pensent pas comme vous.
Bonjour M. Lisée,
L’insertion ou l’utilisation de mots anglais par les français dans leur conversation ou publicité ne représente pas un gros problème en soi; chez eux, ces mots ou anglicismes sont plutôt employés par snobisme ou par « mode-isme ».
La différence au Québec est tout le contraire : la plupart du temps, on les emploie par ignorance du vrai terme, ce qui indique une réelle pauvreté de la langue. Et ceci ne serait pas si tragique en soi , et je dis bien tragique, si en plus, la structure grammaticale de la phraséologie des québécois n’était pas si déficiente. Il est extrêmement rare d’entendre une personne de la rue exprimer une idée clairement, et sans ahaner, à trouver les mots pour énoncer clairement un concept ou une opinion claire.
D’ailleurs, l’exemple nous en est donné par les commentateurs tv-radio-journaux de tout acabit qui « masturbent » la grammaire allègrement; la concordance des temps n’existe plus, le subjonctif a disparu, le verbe est pauvre, le vocabulaire réduit à sa plus simple expression ou nécessité!
Ça fait un peu pitié n’est-ce pas! C’est certain qu’ici, on doit se préoccuper de la survie, non pas de notre accent (pas si tant pire!) mais de la langue elle-même.
Pour ce qui est de la survie de la langue française en elle-même, je ne m’inquiète pas trop : sachez qu’il y a énormément, « très énormément », de mots français ou d’origine française dans la langue anglaise; et je vous renvoie à :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Anglais#Origine_des_mots
Comme disait Boileau : (non verbatim) Ce qui se conçoit bien s’exprime clairement, et les mots pour le dire viennent aisément!
Bye
Je vous prie tous de m’excuser, mon commentaire a été mal dirigé!
Des changements souhaitables ? En voici un !
Population de la Province de Québec 8 millions de Québécois
Population de l’Ontario 13 millions d’Ontariens
Nombre de députés
Québec 125 allant sur 128
Ontario 107, 21 de moins pour 5 millions de citoyens de plus.
Ça veut dire qu’il y a au moins 28 députés de trop au Québec…minimum.
Nous, au Québec, nous aimons ça être des quêteux à cheval. Rien de trop beau petit pour nos députés
Monsieur Sirard qui donne son opinion sur un blogue a saveur politique n’aime pas la politique mais il consent a descendre a NOTRE niveau pour nous instruire et nous informer de la nouvelle réalité du Québec et des jeunes familles dans la trentaine , réalité dont les indigènes des générations précédentes , ouach , ne semblent pas prendre conscience . Monsieur Sirard aimerait bien discuter avec les « vieux grincheux « pour leur montrer comment eux , les jeunes dans la trentaine , ont dépassés les discussions d’une autre époque concernant les courants sociaux économiques de la gauche et de droite et cette satanée question nationale qui n’a plus sa raison d’être alors que le monde évolue dans un contexte planétaire et d’amour universel …in English of course .
Alors nous serions amis québécois et québécoise dans un mouvement qui dépasserait le cadre de la politique (???) Mais Monsieur Sirard nous en dit pas plus, probablement que nos capacités intellectuelles de vieux primates ne sont pas a jour et que ce serait une perte de temps pour eux d’essayer de nous expliquer le concept !
Monsieur voudrait une société plus travaillante (Lucien Bouchard sort de ce corps) et pourtant ce sont les plus jeunes qui revendiquent plus de liberté et moins d’heures de travail alors je trouve que notre jeune père de famille dans la trentaine (ne l’oublions pas c’est trrrrrrès important) est un peu mêlé et mêlant. Une société performante, ce qui veux dire que malheureusement nous devons endurer les vieillards et les handicapés. Innovante ! Probablement au niveau des conditions de travail, soit des entreprises non-syndiqués, ouach, et des profits énormes pour les patrons et les actionnaires. Mais j’extrapole car Monsieur Sirard se garde bien de nous dire ce qu’il entend pas innovation ! Et tenons-nous bien une société déterminée !!!! A quoi ont ne le sait pas ! Sûrement pas a faire un pays et a sauver coute que coute cette maudite culture francophone qui nous empêche d’évoluer !
Beau projet de société que le votre Monsieur Sirard mais qui ne demeure qu’au stade d’un vœux pieux et d’un discours alimenté des pires clichés qui ne veulent rien dire !
Pas de quoi à inventer la roue ici !
@M. Bousquet
Qu’est-ce que vous avez raison. Le gouvernement Harris a tout simplement calqué les contés fédéraux aux provinciaux. Nous pourrions faire exactement la même chose au Québec, ce qui nous donnerait 75 députés à l’AN, une grosse économie de 50 députés avec tous les frais et personnel.
Nous faisons la même chose à Montréal avec plus d’élus qu’à New York.
@ M. Asselin
Voici un autre article intéressant pour vous.
Je suis vraiment désolé pour vous que le sol se dérobe sous vos pieds et peut-être de vous causé de l’urticaire, mais c’est une réalité que vous ne pourrez plus ignorer. Au moins, vous pourrez dire que vous avez été parmi les premiers informés de la nouvelle tendance de notre société :)
http://www.cyberpresse.ca/place-publique/editorialistes/francois-cardinal/201109/14/01-4447535-generation-ras-le-bol.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO40_editoriaux_199_accueil_POS2
@ messieurs Bousquet et Beauchesne
Je suis tout à fait d’accord avec vous pour le nombre beaucoup trop élevé d’élus au Québec et aussi à Montréal. La même logique s’applique également pour les fonctionnaires qui sont également beaucoup trop nombreux. Même si notre caractère distinct nous obligera toujours à avoir un peu plus de fonctionnaires que dans d’autres provinces, il faut agir et remédier à la situation rapidement.
Il est grandement temps que les « jeunes » lecteurs de Voir prennent la parole sur le blogue de Mme Legault pour nous enseigner, à nous les vieux grincheux, comment ne plus faire en sorte de toujours réinventer la roue en politique.
Les idéaux des vieux grincheux sont passés date et n’étaient, et ne sont toujours de toute façon, que balivernes. Ces vieux grincheux, qui dans la vingtaine, trentaine, quarantaine, cinquantaine et soixantaine, ignoraient et ignorent toujours ces « jeunes » valeurs sociétales que sont le travail, la performance, l’innovation et la détermination. Ces vieux grincheux n’ont rien fait et ne font toujours rien qui vaille pour améliorer le sort de notre société. La génération des bébéboomers (1945-1965) devenus papiboomers aujourd’hui ne savent rien de ce que vivent les « jeunes », ils ne comprennent rien de l’univers et de l’humanité. Alors, à quoi bon d’entendre et lire ce qu’ils racontent ?
Le cynisme en politique n’est pas alimenté seulement par les politiciens, il est alimenté aussi par certains fanfarons qui croient avoir inventé la roue il y a 3,500 ans avant notre ère.
Nos députés se trouvent tellement bons et utiles et même essentiels à notre bonheur, même si nous les trouvons assez pleins d’eux-mêmes, qu’ils ne veulent pas admettre qu’ils sont inutilement trop nombreux et méprisés par leurs chers électeurs, sauf pour ceux qui en obtiennent des faveurs de diverses manières, pas tellement éthiques.
Nos députés, s’ils se trouvent trop occupés, pourraient éviter d’assister à tous les mariages, funérailles, baptêmes, parties de sucre et épluchettes de blés d’inde de leurs comtés en plus de passer trop de temps à collecter les enveloppes et à trop dépenser pour se faire réélire.
M Gascon.
L’opinion des plus jeunes est fort importante mais il ne faut pas s’illusionner .
Quand on pense à la faible participation des voteurs qui diminue à chaque élection, on devrait se poser cette question.
Est-ce la politique actuelle très peu soulevante , intéresse l’électorat ?
Les jeunes et les plus grincheux sont aussi de ce nombre .
Monsieur Sirard fait partie des jeunes pères de famille dans la trentaine et j’imagine que les célibataires dans la trentaine, pauvres et habitant des quartiers défavorisés ne font pas partie de son illustre entourage de privilégiés !
Ce billet de François Cardinal nous démontre seulement que plus ça change et plus c’est pareil. Les jeunes d’aujourd’hui qui savent TOUT ne sont pas différents des jeunes qui savaient TOUT autrefois. Étant baby-boomer je me souviens très bien des manifestations face à la guerre du Vietnam, de l’apparition de la génération du Peace and Love, des hippies et du brassage au niveau des valeurs sociales. Beaucoup parmi ces hippies révolutionnaires sont devenu avec le temps des petits bourgeois gras dur, menant une vie complètement a l’opposée des valeurs qu’ils défendaient face aux » vieilles générations » dans des manifestations contre la hiérarchie dominante.
Génération d’idée, un organisme de jeunes, nous garroche un » Nous voulons un Québec lucide et solidaire » sans vraiment nous dire comment ils pourront rapprocher les Lucides qui ont vision très individuel et capitaliste de notre société de consommation et les gens qui prônent la » solidarité sociale » qui ont eux une perception plus de gauche et socialiste. Pas grave le slogan est beau, les mots utilisés sont le » fun » et ça fait songé !!!!! Dans son article Cardinal nous mentionne que les raisons du ras le bol de la nouvelle génération sont fort différentes d’un endroit a l’autre et d’un groupe a l’autre. Des jeunes qui veulent changer la société pour une plus grande solidarité humaine et un équilibre plus juste entre les classes sociales j’en suis. Les autres qui ne veulent que brandir leur grand niveau d’évolution personnelle en méprisant les plus vieux et en vociférant des slogans imbéciles pour faire intelligent me font rire et pleurer en même temps.
Beaucoup de jeunes pères de famille dans la trentaine qui veulent » révolutionner » la société se retrouveront dans 20 ans dans la peau du petit bourgeois bedonnant qui fait son magasinage en regardant avec mépris les plus démunis.
Ce n’est pas l’âge le problème mais ce que nous avons entre les deux oreilles !
Qu’est-ce que je vous avais dit M. Sirard, vous étiez attendu de pied ferme et non pas avec des arguments bien étoffés mais plutôt avec des insinuations sur votre classe sociale ou des procès d’intentions.
Vouloir que les choses marchent, que les élus soient redevables envers leurs commettants en rendant des comptes est devenu synonyme des idées de petits bourgeois qui méprisent les prolétaires et surtout- et c’est la meilleure de toute, qui ne comprennent rien de l’univers et de l’humanité.
Bonne chance sur ce blogue M. Sirard et surtout bon courage.
Monsieur Beauchesne, tentez-vous malhonnêtement de me faire dire ce que je n’ai jamais écrit ? Relisez mon commentaire et tenter encore une fois de faire croire à votre ami Sirard que se sont les « jeunes » plutôt que les vieux grincheux, les bébéboomers devenus papiboomers, qui ne comprennent rien de l’univers et de l’humanité.
Le sujet de toutes mes phrases du deuxième paragraphe de mon commentaire n’est clairement pas les « jeunes » mais les vieux grincheux.
Et cherchez donc la définition du mot « ironie » dans le dictionnaire pour mieux comprendre encore mon commentaire.
« Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement – Et les mots pour le dire arrivent aisément. »
Nicolas Boileau-Despréaux
M Beauchesne .
Vous avez des préjugés et catalogué les blogueurs habitués (de voir) avoir dédain.
Je pense que vous voulez faire de ce blogue votre empire.
Il y a Québécor qui peut vous accueillir ou encore votre blogue à vous.
Tout le monde s’exprime selon ses convictions.
M. Beauchesne
C’est justement ce qui manque a Monsieur Sirard des arguments étoffés ! Incapable d’exprimer lui même ses idées il nous réfère toujours a des chroniques qui selon lui réflètent la grande évolution humaine de la jeune génération . M. Beauchesne vous supportez quoi au juste ? Les clichés ronflants de monsieur Sirard ou son statut » de jeune père de famille dans la trentaine » qui fait de lui un être exceptionnelle ! Peut-être les deux !
Seriez-vous vous aussi aussi un » jeune père de famille dans la trentaine » qui détient la vérité infuse et qui daigne bien s’entretenir avec des » vieux grincheux » sur un blogue qui porte sur la politique tout en levant le nez sur la chose politique ! Si vous voulez parlez entre-vous , entre entité humaine évoluée vous pouvez partir votre propre blogue sur le site Voir ! Je vous suggère un titre » L’Élite des jeunes familles dans la trentaine pour un Québec Lucide et Solidaire ! Lucien Bouchard la main dans la main avec Amir Khadir !
Monsieur Beauchesne, tentez-vous malhonnêtement de me faire dire ce que je n’ai jamais écrit ? Relisez mon commentaire et tenter encore une fois de faire croire à votre ami Sirard que se sont les « jeunes » plutôt que les vieux grincheux, les bébéboomers devenus papiboomers, qui ne comprennent rien de l’univers et de l’humanité.
Le sujet de toutes mes phrases du deuxième paragraphe de mon commentaire n’est clairement pas les « jeunes » mais les vieux grincheux.
Et cherchez donc la définition du mot « ironie » dans le dictionnaire pour mieux comprendre encore mon commentaire.
« Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement – Et les mots pour le dire arrivent aisément. »
Nicolas Boileau-Despréaux
Monsieur Asselin, j’applaudis à votre dernière intervention! Je comprends et partage entièrement le désir de changement de ces jeunes gens; ce que je déplore, c’est qu’ils ne nous disent pas de QUEL changement ils parlent. Renvoyer dos à dos souverainistes et fédéralistes, idéologies de droite et de gauche, c’est facile, mais ça ne rime à rien. Comme vous le soulignez avec justesse, les « lucides » (la droite) prônent une vision individualiste et capitaliste de la société, alors que les « solidaires » (la gauche) réclament un État plus interventionniste pour une meilleure répartition des richesses. Comment concilier ces deux visions totalement opposées de la société?
C’est bien joli, de beaux slogans et de grandes idées abstraites, mais concrètement, que proposez-vous de faire, face au problème des inégalités sociales qui ne cessent de s’étendre, face aux difficultés posées par l’intégration des immigrants, face aux scandales de l’évasion fiscale et des détournements de fonds publics? Qu’avez-vous à dire aux pauvres gens qui survivent péniblement dans leurs taudis aux murs couverts de moisissures? Aux soldats qui vont se faire tuer bêtement en Afghanistan pour défendre des intérêts pétroliers? Aux gagne-petit qui voient leurs efforts récompensés par des horizons bouchés, de l’indifférence et du mépris? Aux contribuables pressurés de la classe moyenne qui voient les banques engranger des profits record sans payer un sou d’impôt, qui voient les très riches placer leur argent à l’abri du fisc dans des paradis fiscaux, qui voient la mafia s’en mettre plein les poches à même les fonds publics?
Désolé, mais il ne suffit pas de dire que « la politique, c’est plate », que « les politiciens sont poches » et que « tout se vaut dans la foire aux idées » pour solutionner les problèmes du monde. En fait, je trouve ça particulièrement idiot. J’appartiens moi-même à la génération X (même si certains démographes me placent plutôt dans la queue du baby-boom — ce qui revient au même, au fond) et j’ai connu l’exclusion sociale, les clauses « orphelins » et le mépris des générations précédentes qui nous considéraient comme des crétins apolitiques. Je n’en suis pas devenu antisyndicaliste ni antidémocrate pour autant. La démocratie parlementaire telle qu’elle existe actuellement ne me satisfait pas du tout, mais avant de la rejeter du revers de la main, encore faudrait-il savoir par quoi on la remplace. Autrement, c’est la porte ouverte à la dictature et aux abus de toutes sortes.
D’aussi loin que je me souvienne, j’ai appelé la révolution de tous mes voeux; mais cette révolution, je la veux égalitariste et respectueuse de la dignité de chacun — des valeurs résolument à gauche sur l’échiquier politique. Je sais où je me situe, et je sais où je ne veux pas aller. Une révolution néolibérale, « libertarienne », ne m’intéresse nullement. Ce n’est pas vrai que toutes les idées politiques se valent; elles sont lourdes de sens, et influent puissamment sur l’existence de millions de personnes. Voilà pourquoi je ne suis guère impressionné par ces enchaînements de belles phrases creuses qui, en refusant de prendre parti, n’ont finalement pas grand chose à nous dire… et surtout rien pour inspirer de réels changements.
Dans le commentaire qui précède, il va sans dire que seul mon premier paragraphe s’adressait à Monsieur Asselin; la suite visait plutôt Messieurs Sirard et Beauchesne, et leurs amis « révolutionnaires » de la génération Y qui promettent de tout chambarder.
Soucieux de savoir de quoi il retournait, je suis allé faire un tour sur le site Web de Sortie 13, qui lançait officiellement ses activités hier. On y présente treize « leaders de la génération Y », tous jeunes, beaux et en santé. Il y a là des cadres supérieurs, des conseilleras en management, des juristes et… tiens, Stephen Guilbeault d’Équiterre — que fait-il là, celui-là? Le moins que l’on puisse dire, c’est que Sortie 13 ne recrute pas ses membres dans la rue. Le cocktail de lancement était d’ailleurs tenu au chic hôtel Saint James, à 40 $ le billet (150 $ avec le souper). La « révolution », c’est pas pour les tout-nus!
J’ai visionné la vidéo de présentation, dont je retranscris ici, sans autre commentaire, l’essentiel du propos.
« Pour moi, l’entrepreneurship au Québec, c’est important d’y voir », nous lance un jeune cadre dynamique. « Avec Sortie 13, on va rafraîchir les affaires municipales », nous dit une jeune femme tout aussi dynamique et bien mise. (Tiens, ils vont lancer un seau d’eau froide sur la tête du maire Labeaume? Bonne idée!) « Des enjeux qui nous touchent vraiment », affirme une autre charmante jeune femme. « La justice, on va en parler », se vante un autre jeune type cravaté. « L’innovation, c’est super important pour le Québec », proclame un autre un peu plus échevelé – probablement l’intellectuel du groupe. « Et nous voulons vos solutions », renchérit un jeune homme au fort accent anglais. « Encourageons l’excellence! » commande un autre avec enthousiasme. « En matière de santé, il est temps maintenant d’évoluer », affirme celui qui a effectivement l’air d’un jeune médecin. Et on termine le tout en nous promettant que « le vent va tourner », et en nous assurant que « vos idées comptent ».
Ça ressemble en tout point aux discours creux que l’on peut entendre dans n’importe quelle chambre de commerce, et que nous resservent à l’envi ministres et députés de tous les partis de droite au pouvoir. Et c’est avec de pareilles phrases creuses que l’on prétend faire souffler un vent de changement sur le Québec?
J’ai fait mon travail, je crois; l’imposture est dénoncée. Sortie 13? Laissez-moi rire!
NEXT!
Monsieur Cormier ! Vous avez entièrement raison concernant les grands preachers du Québec Nouveau , tous plus libertariens et lucides les uns que les autres . Ont dirait des disciples dont aurait accouché le Réseau Libaâââââârté Québec de l’impayable Eric Duhaime , celui qui défend Sarah Palin , le Tea Party et les conservateurs de Harper .
La pensée magique et la promiscuité des genres définissent bien les nouveaux disciples du Québec Inc . et de nos » jeunes familles dans la trentaine qui voient a leur AFFAIRE$$$$$$ ……..!
Mais pourquoi donc les nationalistes québécois ont été les principaux partisans et protagonistes du libre échange avec les Yankees avec les ultra Conservateurs de L’Ouest Canadien en 1984 ? Vouloir l’Alena à tout prix ainsi que la mondialisation tout azimut avec le libre marché, avec la libre circulation des capitaux tout en voulant prendre le dollar américain, n’était ce pas un marché de dupes alors que certains péquistes non politisés croyaient dur comme fer en toute naïveté que le Parti Québécois était un parti de gauche, mon oeil !
@ messieurs Cormier et Asselin
Je n’aurais jamais cru me faire accuser de hippie et de libertariens sur un même sujet :) C’est vraiment dûr à battre…
Je ne vous donnerai pas le plaisir de « dialoguer » avec vous puisque c’est impossibe de dialoguer avec des gens qui connaisse tout et non plus rien à apprendre…
Par contre monsieur Cormier, je vous invite à mettre votre mauvaise foi de côté et continuer à visiter le site web de Sortie 13 qui présentera les idées de chacun de ces leaders de la société québécoise durant les 13 prochaines semaines.
Et oui ce que vous avez visionné est seulement la présentation de chacun des intervenants et non leurs idées qui seront présentés dans un texte étoffé.
Vous pourrez à ce moment-là recopier votre commentaire et déchirer à nouveau votre chemise pour votre plus grand plaisir.
Évidemment monsieur Asselin emboîtera le pas, solidarité oblige…
Bon courage messieurs, au moins vous aurez été avertis ;)
M. Asselin, vous qui appréciez les cheap shot, en voici une. Votre dernier commentaire m’a inspiré : Si c’est autant économique et payant de séparer le Québec du Canada, pour tous les Québécois qui deviendraient ainsi plus riches, pourquoi est-ce que la très grande majorité des riches, incluant les entrepreneurs québécois, sont fédéralistes ? Est-ce parce qu’ils ne savent pas compter comme il faut qu’ils se privent ainsi de la manne d’un Québec séparé ?
Monsieur Bousquet
Plus vous parlez plus vous nous faite la démonstration que votre carte de membre du PQ est la farce du siècle et que vous deviriez plutôt prendre celle du futur parti de Legault pour être plus crédible a nos yeux .
M. Sirard
Encore une fois vous êtes incapable d’émettre une opinion personnelle et vous ne faite que servir de porte-voix pour les idées des autres ! Et les idées des lucides et des petits affairistes compulsif ont les connait en masse !
M Cormier et M Asselin.
Lorsque vous aurez pris votre nouveau virage du site web sortie 13, j’espère que vous nous aiderez à cheminer et nous déniaiser.
Merci de votre collaboration.
M. Asselin, je vais y penser pour la future carte de la CAQ, qui n’existe pas encore, mais vous, quelle est votre carte ?
Le parti libéral qui pensait faire son entrée triomphale aura des comptes à rendre à la population.
Est-ce que ça donnera des appuis au parti québécois? Non.
A mon avis, François Legault attendait ce moment .
Ce serait adios pour ces 2 partis.
La roue ne tourne pas et l’électorat en a marre des scandales.La commission Bastarache : farce du parti libéral.
Une commission à la Gomery oui..
Jean Charest a beau changer ses ministres et faire la chaise musicale, j’en conclus que la nausée est au rendez-vous,
Une phrase, calquée sur une phrase célèbre, me vient spontanément à l’esprit quand je vois ce qui se passe au pays du Québec: « Z’êtes pas tannés de vous faire f******, bande de caves!? »
Qu’on me pardonne si mes propos peuvent en choquer certains, mais, pour employer un langage cru qui me paraît plus que jamais de circonstance, qu’est-ce qu’il faut encore pour que la population du Québec se réveille et cr**** enfin dehors la gang de voleurs qui nous mangent la laine sur le dos et nous prennent carrément notre pays sans que personne ne s’en offusque?
Si ça continue, c’est pas seulement le roi qui sera nu, c’est tout son peuple de moutons avec lui!
Si nous ne voulons pas finir rôtis à la broche, il serait peut-être temps d’arrêter de bêler et de nous mettre à rugir comme les tigres affamés que nous sommes vraiment, vous ne pensez pas!?
Et pour pousser les choses plus loin encore, car tôt ou tard il faudra bien remplacer ce gouvernement pourri par du sang neuf: À quand la prochaine Révolution tranquille qui va nous permettre d’être enfin MAÎTRES CHEZ NOUS, comme le propose fort justement Daniel Breton (www.tagtele.com/videos/voir/73448)?
Normand PAIEMENT
Bonjour
Par trois fois le Québec a voté NON à l’arrivée du Pays Québec.Trois fois OUI pour rester dans la fédération monarchique du Canada.
L’équipe Legault nous offre de respecter cela et honorer le souhait de la grand-mère de Mme josée Legault.