Vendredi le 7 septembre, 16h00.
Et voilà, tel que je l’expliquais dans mon dernier billet, dans exactement une heure, je me débranche pour un mois des médias sociaux.
J’ai désinstallé tweetdeck de mon poste, cet outil qui permet de se sentir dans un vaisseau de l’espace en discutant avec des inconnus… Pouf! Il n’est plus là!
J’ai cependant ajouté un fil RSS à mes comptes Facebook et Twitter, ce qui devrait poster mes billets avec un lien automatiquement. Si d’aventure mon séjour loin des likes et des retweet vous intéresse, vous serez au moins avertis. Considérez cela comme des cartes postales. Comme je le mentionnais, vous pouvez aussi vous abonner par courriel aux mises à jour de mon blogue. Regardez dans la colonne de droite, il y a un formulaire à cet effet.
Comme vous pouvez vous en douter, il sera complètement inutile de m’interpeller via les médias sociaux. Je vous laisse donc mon courriel si vous souhaitez me rejoindre: [email protected]
Vous pouvez vraiment m’écrire n’importe quoi! Surtout n’importe quoi en fait, c’est ce que je préfère! 🙂
Dictature de l’instant
Via Twitter, Daniel L’Heureux, m’envoyait un lien ce matin. Un article dans le Devoir parlant justement d’autres expériences de débranchement. Le titre est fort bien tourné, évoquant une « dictature de l’instant ». Je vous donne le lien en vous précisant que mon débranchement n’est pas motivé par un désir de désintoxication numérique mais plutôt par une curiosité de consommer l’actualité sans l’apport des médias sociaux comme je le faisais dans le passé.
http://www.ledevoir.com/societe/medias/358696/pour-en-finir-avec-la-dictature-de-l-instant
Pour ma part, c’est avec plaisir que je reviendrai et, travail oblige, j’aurai toujours un collègue à côté de moi pour me dire « As-tu vu ce que XYZ vient de dire comme connerie sur twitter!?! »… Promis, je ne répondrai rien et je ne regarderai pas!
En passant…
Grosse semaine que cette dernière semaine au Voir. Un premier (gros) numéro de rentrée culturelle dans la chaise de rédacteur en chef où je suis désormais assis. Un numéro de 80 pages fouillé et bien garni, tout cela réalisé avec une journée de moins, congé férié oblige. Ah! Je fais un pouce en l’air triple like à tous mes collègues. De l’excellent travail, merci! Et je ne peux retenir un petit sourire en coin que j’envoie à tous ces observateurs média à la petite semaine qui nous déclaraient morts il y a quelques mois. Il semble que loin de mourir, on rajeunit un peu!
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Le temps d’écrire ça, déjà 16h20… Punaise que le temps passe!
@+
S.