Après «la personnalité de la semaine», il convenait de nommer la nullité de l’année: arrivent ex-æquo Jean Charest, le roi de la mauvaise foi et «Grand destructeur» du Québec moderne, et sa sinistre de l’Éducation Line Beauchamp, incapable de se rendre compte qu’en exécutant les basses œuvres de Charest, elle nuit à sa propre personne et au Québec entier.
J’essaie depuis bientôt 3 semaines de m’extirper du sujet de la grève étudiante et de l’infâme gestion de cette crise par le gouvernement du Québec, mais à chaque fois, le mépris, l’arrogance et l’irresponsabilité crasse de Charest et sa bande de bandits au pouvoir m’y ramènent.
Cette fois, c’est «Line la pas fine» qui a décidé d’exclure la CLASSE des négociations sous prétexte qu’ils ne respectaient pas «la trève» demandée. En fait, la ministre pose sans cesse des conditions pour la tenue de négociations, alors que la crise actuelle ne peut se résoudre que par un processus de négociation politique. Ce ne sont pas les injonctions qui vont apaiser la situation. Ce n’est pas la répression policière qui va diminuer la colère. Ce n’est pas le refus de dialoguer qui va sauver les sessions compromises. Ce gouvernement a choisi de laisser pourrir la crise dans l’espoir que tout bascule dans la violence. Son objectif est de briser la démocratie étudiante et d’écraser dans la violence la contestation. Des effluves de la crise d’Octobre de 1970 nous montent au nez…
Ce refus obstiné et malveillant de la part du gouvernement de négocier de bonne foi avec toutes les associations étudiantes engendre chez moi et plusieurs de mes compatriotes une colère que nous ressentons rarement: comme si une lourde chape de plomb pesait sur l’ensemble du Québec. Pourtant, le gouvernement Charest se rappelle-t-il qu’à l’été 1990, lors de la crise d’Oka, un gouvernement libéral a accepté de négocier avec des criminels masqués: les Warriors? Aujourd’hui en 2012, le gouvernement Charest refuse la négociation avec des leaders étudiants élus sous prétexte qu’ils soutiennent la violence ou ne respectent pas une trève sans détenir de preuves tangibles que ces actes de violence ou ces manifs qui dérapent (essentiellement à cause de la répression policière d’ailleurs) proviennent effectivement de la direction de la CLASSE (qui est une association pour le moins éclectique et décentralisée).
En 1990, le gouvernement libéral négocie avec des criminels avérés pour sortir de la crise. En 2012, le gouvernement libéral refuse la simple présomption d’innocence à des leaders étudiants… 1990: le gouvernement libéral négocie avec des personnes masqués. 2012: le gouvernement libéral refuse de négocier avec des élus…
Que faut-il comprendre à ce type de «gestion de crise»?
les liberrals de charet et sa gagnes rie du peuple en général mème les étudiants sont plant nord demain qui va mené les étrengés comme sa ce fait debuit toujourd
Man si t’es arguments sont à chier, apprend au moins un minimum de grammaire avant d’exposer publiquement ton manque de génie…
Je suis d’accord avec toi CFou, ti pit RENÉ devrait s’empresser de retouner en classe pour apprendre son français… C’est pourri, 11 fautes dans une simple phrase. Comme dirait R. Desjardins « Va apprendre ton franças, va l’apprendre pour de vra…»
le pouvoir corrompt .
Un bref coup d’oeil sur la politique québecoise ( limitons- nous au Québec )démontre clairement que l’intérêt personnel prime su l’intérêt du bien commun
J’ai le goût de vomir
1990 est toujours reproché aux élus de l’époque, alors pourquoi récidiver ? 1990 c’était il y a 22 ans, mauvaise référence historique, j’attend un parralèle Hitlérien sous peu. Une minorité assiège le Québec contre son gré et on me parle de bien commun. J’ai clairement besoin de plus amples explications. Ca pourrait être le sujet d’une prochaine chronique! Vous pourriez en profiter pour me définir l’égalité, concept mainte fois répété par les pro grèves depuis le début du conflit.
Pourquoi 1990 serait une référence inappropriée juste parce qu’elle date de 22 ans? L’histoire ne servirait alors à rien? Nous ne pourrions réfléchir sur le présent à partir d’événements historiques? Et lorsque vous semblez m’accuser de faire des parallèles boiteux, vous en faites un vous-mêmes que jamais je n’aurais osé faire… Votre argumentation pose problème, elle souffre de ce dont vous m’accusez à tort.
Enfin, je tenais à faire le parallèle avec 1970 pcq je juge que le gouvernement actuel trouve son intérêt à laisser pourrir la situation en cherchant à briser tous les mouvements sociaux en les amalgamant aux plus radicaux (comme on a cherché à le faire en octobre 1970). Et le parallèle avec Oka en 1990 laisse simplement miroiter l’absurdité de traiter les leaders de la CLASSE en bandits alors que dans un passé pas si lointain, un gouvernement libéral a accepté – POUR DÉNOUER L’IMPASSE – de négocier avec de vrais criminels, qui avaient du sang sur les mains, et masqués à part ça…
Au collège, nous avions des débats oratoires entre collèges.
Dans ma classe, j’avais Jean-Pierre Goyer, l’ex ministre de la Justice au fédéral et Antonio » Tony Lamer, ex, juge-en-chef- de la cour suprême .
A Brebeuf, il y avait Claude Béland, ex Desjardins, Dick Drouin, ex, avocat négociateur et ex chairman de L’Hydro.
A Ste-Marie, c’était François Aquin, qui s’était dissocié du PLQ pour rejoindre René Levesque .
Ces 5 étudiants étaient des » débaters » exceptionnels .
J’ai eu aussi dans ma classe et – plus-tard dans le milieu des affaires, des partenaires- soit à l’intérieur de l’entreprise, soit sur un conseil d’administration – qui furent , à l’université, des gars de l’extrême gauche, etc.
Aujourdhui ces anciens partenaires sont devenus des chefs d’entreprise reconnus ..
Mme Desjardins et le jeune Dubois ( je ne déprécie pas .le 3è représentant ) – dans un débat oratoire -auraient fait une chaude lutte à mes confrères.
Au niveau de leurs positions ‘ sociales démocrates » ils sont à droite de mes tits copains qui ont abouti dans le milieu des affaires.
Dans mon cas- bientôt 80 ans – je tente de devenir sage comme 2 grands citoyens québecois du nom de M,M, Guy Rocher et Claude Caston guay.
Les réprésentants du gouvernements font sourdes oreilles, suite à leurs recommendations.
quousque tandem abutere patientia nostra,,, Tab… comme dirair Falardeau
Nous sommes dans une des sociétés les plus démocratiques et libre du monde. Les gens ont le droit de s’exprimer via une multitude de tribunes et de médias différents. C’est cette même liberté qui permet aux étudiants de pouvoir faire valoir leurs opinions, de pouvoir se regrouper, organiser des assemblées, organiser des manifestations et être vu dans les grands bulletins de nouvelles. Aujourd’hui, des femmes, des enfants et des hommes sont torturés et meurent dans plusieurs régions du monde parce qu’ils se battent pour une infime parcelle de cette même liberté démocratique que nous avons actuellement.
Pas plus tard qu’en décembre, une étudiante victime d’intimidation et de violence psychologique à l’école s’est suicidé. Au Québec, en 2012 comment est-ce possible encore de nos jours? Tout-le-monde à demandé à ce que cesse l’intimidation dans le milieu scolaire. Aujourd’hui, il faudrait l’accepter? Il faudrait accepter que des policiers, qui sont parents de familles se fasse lancer des briques. Il faudrait accepter que des petits commerce de coin de rue se fassent piller? Désolé, mais la majorité de la population n’est pas de cet avis et sont d’accord avec la position du gouvernement.
Malheureusement, les hausses de tarifs sont partout et tout le monde doit y contribuer à sa juste valeur. Lorsque j’étais aux études, j’ai subi des hausses et cela ne m’a aucunement empêché de continuer.
Il n’est pas question ici de valoriser ou même avaliser la violence. Elle est de trop, l’immense majorité des manifestants l’admettent sans difficulté (incluant la CLASSE). Mais attention à ne pas oublier la part de responsabilité de celui (ou ceux) qui attise cette violence. Une part d’autant plus grande quand celui-ci est en position de force et ne démontre que mépris et arrogance face à ses opposants.
Quant à vos arguments, ils sont désolants. Partir du principe que d’autres peuples se mobilisent pour améliorer leur condition devrait servir de prétexte à ne pas se mobiliser ici? Vraiment? Sachez que la démocratie et les droits fondamentaux ne nous sont pas acquis à tout jamais. Le manque de mobilisation est souvent le précurseur à l’apathie des peuples et à son cynisme. Il est plus que temps que nos gouvernements réalisent qu’un mandat majoritaire n’est pas un chèque en blanc pour une dictature de 4 ans!
Enfin, vous dites avoir subit des hausses et semblez prétendre que cela justifie les présentent hausses et la rigidité du gouvernement. Votre raisonnement consiste à prétendre que ceux qui suivent n’ont pas à avoir mieux que vous, qu’ils doivent subir ce que vous avez subit. Or j’ai des enfants moi-même, et je nourris l’espoir qu’ils vivront dans une meilleure société que celle dans laquelle je vis actuellement. N’est-ce pas la responsabilité de chaque génération?
La majorité de la population croit aussi que le journal de mtl et tva sont impartiaux. La majorité de la population croit aussi que TOUS les étudiants sont des enfants gâtés pourris violents. Si la majorité de la population croit que le soleil tourne autour de la Terre, est-ce que ça veut dire qu’elle a raison? Pourtant, c’est ce que 99% des gens croyait il y a quelques centaines d’années… Et en passant, si toi tu as réussis à passer au travers de tes études malgré les hausses, est-ce que ça veut dire que tout le monde peuvent le faire? C’est une étrange logique: JE peux le faire, donc TOUS peuvent le faire! eeeeeee
On peut être pour ou contre la grève. On peut être de droite ou de gauche. On ne peut toutefois pas être pour le mépris, la provocation, les commentaires ironiques et le manque de responsabilité d’un gouvernement.
J’ai eu des échanges avec des gens qui sont pour la hausse des frais de scolarité et d’autres qui sont contre. Tous s’entendent sur un point : Charest et Beauchamp jouent un jeu dangereux et leurs esprits sectaires risquent d’engendrer des événements plus que regrettables.
On peut être pour ou contre la grève … On ne peut approuver qu’un gouvernement accepte de négocier avec les Warriors mais qu’il s’entête à tourner le dos à des milliers d’étudiants qui ne sont pas des criminels … Et s’il-vous-plait, qu’on cesse d’utiliser cet argument qui dit que tous les étudiants sont des « casseurs », des « voyous » … on n’a pas affaire à 180 000 lanceurs de pierres … Est-ce qu’on accuserait 3 000 étudiants d’une polyvalente d’être des bandits parce que la police y a arrêté un groupe de taxeurs ? …
Julie,
je me répète: je vais tenter de vous adopter !!
Notre 1er ministre sait lire: (et les médias font le relais)
Excerpted from Rules for Radicals by Saul Alinsky, pp. 126-140
The 13th rule: Pick the target, freeze it, personalize it, and polarize it.
In conflict tactics there are certain rules that the organizer should always regard as universalities. One is that the opposition must be singled out as the target and « frozen. » By this I mean that in a complex, interrelated, urban society, it becomes increasingly difficult to single out who is to blame for any particular evil. There is a constant, and somewhat legitimate, passing of the buck….
It should be borne in mind that the target is always trying to shift responsibility to get out of being the target….
One of the criteria in picking your target is the target’s vulnerability–where do you have the power to start? Furthermore, the target can always say, « Why do you center on me when there are others to blame as well? » When you « freeze the target, » you disregard these arguments and, for the moment, all others to blame.
Then, as you zero in and freeze your target and carry out your attack, all of the « others » come out of the woodwork very soon. They become visible by their support of the target.
The other important point in the choosing of a target is that it must be a personification, not something general and abstract such as a community’s segregated practices or a major corporation or City Hall. It is not possible to develop the necessary hostility against, say, City Hall, which after all is a concrete, physical, inanimate structure, or against a corporation, which has no soul or identity, or a public school administration, which again is an inanimate system.
[He says your target should be a person in the organization you are opposing; a face within the opposition for you to focus on; it must be someone with power within the organization, like the CEO, school superintendent, governor, or something like that.]
Beaucoup question de «démocratie» ici, par les temps qui courent – ou qui marchent…
Quoique fort peu de cette «démocratie» à se mettre sous la dent, lorsqu’on jette un coup d’œil au menu des associations étudiantes. Un menu consistant en un plat unique, un gavage rapide suivi d’une distribution de carrés rouges et puis hop!, tout le monde sort prendre l’air.
Et tant pis si le menu ne vous a pas plu. Et puis, à vos risques et périls si vous vous promenez sans carré rouge. Pas de temps à perdre avec des procédures reconnues garantes (de par le monde) de l’expression véritablement démocratique. Pas de niaisage, donc. Des mains levées, ça fait parfaitement l’affaire.
À présent, volontaires et conscrits, en avant pour réclamer le gel ou mieux encore l’abolition des frais de scolarité. Que les autres, les voisins, payent. Ces misérables grippe-sous qui ne se tapent que 87% de la note! Allons les écoeurer jusqu’à ce qu’ils plient ou cassent. Du nerf, camarades, du nerf. Notre «cause» est juste!
La «cause»? Tiens, tiens… Quelle est-elle, au fait, cette «cause»?
Mais… ça alors… quelle question imbécile! Tout le monde sait qu’il s’agit des frais de scolarité, de l’inéquitable idée de s’en prendre à de pauvres jeunes, du droit incontestable à l’éducation, et patati et patata… Quel crétin peut-on être pour aller demander c’est quoi la «cause»! Faut vraiment être lamentablement déconnecté de l’actualité.
Et pourtant, si l’on en croit le porte-parole de la CLASSE, la «vraie cause» serait tout autre. Et on comprend que les frais de scolarité ne serviraient que de prétexte commode pour mobiliser (de plein gré ou contre leur gré) beaucoup de marcheurs.
Voici ce que M. Gabriel Nadeau-Dubois déclarait, le 7 avril dernier, à l’occasion d’un rassemblement tenu au Monument national:
«Notre grève est déjà victorieuse parce qu’elle nous a permis de voir la route de la résistance. Il est là, le vrai sens de notre grève. 250 000 personnes, ça ne sort pas dans la rue parce que ça ne veut pas payer 1625$ de plus. Il est là le sens de notre grève, dans la durée, dans la poursuite demain de la résistance.»
Aucune apparente envie de travailler à régler le conflit du côté de la CLASSE, donc. Bien au contraire, une grande motivation à envenimer et à faire durer le tout le plus longtemps possible. Les sessions perdues, les jobs d’été perdus, les projets estivaux gâchés? On s’en balance souverainement. La «route de la résistance», voilà qu’elle est la «vraie cause». Au diable, tout le reste.
Il serait grand temps d’ajouter un prix «Duperie de la décennie»…
Désolé, mais la population québécoise n’accepte aucunement la violence, pour quelques considération que ce soi. Ça ne fait pas partie des valeurs de la société! De la banaliser, de déresponsabiliser ceux qui choisissent de la commettre, c’est d’encourager les casseurs à continuer dans la même voie. En ne là dénonçant pas clairement, cela « attise » les casseurs à recommencer et cela nuit à la cause même des étudiants. L’impasse ? Elle est où l’impasse ? Les étudiants étaient en négociation pas plus tard que mardi. Un groupe a décidé de poser des actes de violence, allant à l’encontre de la principale demande, légitime, du gouvernement. Ce n’est pas le gouvernement qui a fait ce choix, ce n’est pas le gouvernement qui a pris des roches et cassé des vitrines.
Des centaines de milliers d’étudiants ont été aux études que ce soit au cégep et à l’université auparavant et ont passé au travers des étapes difficiles. Oui c’est difficile, mais c’est possible. Si les gens veulent une belle vie, ils doivent travailler pour. Ce n’est pas à l’État de tout faire.
@luc
« …la population québécoise n’accepte aucunement la violence, pour quelques considération que ce soi. »
c’est pas un peu présomptueux, luc, de prétendre écrire au nom de la population québécoise??? à ta place j’utiliserais le « je », à l’avenir.
mais je suis d’accord avec la population québécoise, après tout. c’est pourquoi je condamne sans aucune simagré les coups de matraque que distribuent nos agents de la paix.
« Elle est où l’impasse ? Les étudiants étaient en négociation pas plus tard que mardi. Un groupe a décidé de poser des actes de violence, allant à l’encontre de la principale demande, légitime, du gouvernement. »
c’est quoi le rapport entre la négociation et le groupe qui « a posé un acte de violence », luc?
« Ce n’est pas le gouvernement qui a fait ce choix,… »
voyons luc! c’est le gouvernement qui a choisi de mettre un terme aux négos parce qu’ « un groupe » a pété une vitrine. mauvais choix.
« Des centaines de milliers d’étudiants ont été aux études que ce soit au cégep et à l’université auparavant et ont passé au travers des étapes difficiles. »
des millions, même! mais c’est quoi le rapport?
« Si les gens veulent une belle vie, ils doivent travailler pour. Ce n’est pas à l’État de tout faire. »
à qui tu réponds, là, luc? qui a affirmé qu’on ne doit pas travailler? qui a affirmé que l’état doit tout faire? réponse: personne.
@ le calinours bienveillant
« c’est pas un peu présomptueux, luc, de prétendre écrire au nom de la population québécoise??? à ta place j’utiliserais le « je », à l’avenir. »
Les lois et règlements décidés par des gouvernements élus démocratiquement sont la traduction des valeurs de notre société. Ces valeurs sont la liberté, la démocratie, la langue, etc. Désolé, mais la violence, toutes les lois la condamne sans distinction. Donc oui, j’affirme au et fort que le Québec ne tolère aucunement la violence.
« c’est quoi le rapport entre la négociation et le groupe qui « a posé un acte de violence », luc? »
Le rapport est évident. Le gouvernement a demandé à ce qu’aucune manifestation n’ait lieu durant les négociations. Tous les regards pointes vers la CLASSE. C’est peut-être à tord, mais en ne se dissociant pas clairement de toutes ces manifestations violentes, en en faisant la publicité sur son site, c’est comme l’histoire du petit gars qui cri au loup. À un moment donnée, plus personne ne le crois!
« des millions, même! mais c’est quoi le rapport? »
Il s’agit de la réponse à une question plus haut. Le cœur du débat, c’est l’accessibilité des études après le secondaire. Si plusieurs personnes ont été capable de terminer leurs études malgré les augmentations des frais de toute sorte, cela montre que c’est possible de réussir. Mais je suis d’accord, qu’il peut y avoir des exceptions.
« à qui tu réponds, là, luc? qui a affirmé qu’on ne doit pas travailler? qui a affirmé que l’état doit tout faire? réponse: personne. »
Je répondais au commentaire plus haut.
Comment croire en l’honneté et la sincérité d’un gouvernement qui est de plus en plus cerné par les soupçons de collusion et de corruption. Un gouvernement qui méprise et se moque de ses jeunes(de son avenir) devant les »investisseurs » de son plan nord(la grande braderie de nos ressources naturelles). C’est drolement minable comme tactique de s’attaquer au représentant de le la CLASSE ,Nicolas Nadeau-Dubois. Tirez sur le messager quand le message ne passe pas! Vivement une élection pour faire le ménage. Je sais qu’il n’y aura pas de »parti miracle » mais ça allègerait peut-etre l’air devenu irrespirable par une mauvaise foie d’un gouvernement ne sachant plus comment se dépetrer d’une situation qu’il lui-meme grandement contribuée à créer.Mettre l’augmentation des frais de scolarité sur la glace pour voir comment on pourrait régler ça intelligement devant une comité de négociation impartial (à souhaiter) .Ça permettrait aussi et surtout aux étudiants de retourner terminer leurs sessions.
Luc.
Et si- comme le souligne le chef de la police- s ‘étaient des voyous non étudiants ?
– Je suis de ces centaine de milliers quii sont allés aux études: j’ai obtenu une maitrise d’une université américaine, MAIS
j’ai eu dans ma classe en 7 è année- dans le Parc Extension- des confrères drôlement plus brillants que moi et que plusieurs de mes confrères des HEC . Ils ont abandonné leurs études après la 9 è année pcq le papa avait besoin de revenus additionnmels pour mettre du pain et du beurre sur la table.
Si vous voulez, on peut approcher le Vatican pour que vous soyez béatifié… mais – en attendant de monter sur les autels,si on tentait l’altruisme …pas le don de soi, simplement participer à l’essor du Québec »
Les Desjardoins et Duboios ( ben oui, y est de la gauche..)sont les futurs leaders du Québec.
Pierre Karl Péladeau, les PDG de plusieurs entreprises ( je ne les nommerai pas ) cotoyaient des marxiste- lénilistes.durant leurs études universitaires .
Respirons par le nez et écoutons des sages comme Guy Rocher, Claude Castonguay, Jean Cournoyer
une vérité de La Palice( pas de la police…):: tous les peuples des pays démocratiques condam,nent la violence physique et morale.
La CLASSE dit :nous sommes contre la violence mais ce n’est pas notre rôle de la condamner:
La CLASSE devrait faire un acte d’humilité et de ne pas jouer sur les mots…comme le :PM et sa ministre qui sont des spécialistes dans ce domaine MAIS. ce n’est pas une raison pour éviter la négociation.
Avant qu’il y ait des morts( je ne dramatise pas ), notre pseudo-chef d’Etat derait écouter le trio des Sages
Qui sont les têtes dirigeantes du Ministère de l’Education ?
Je cherche sur google et un seul nom de sous-minstre : mme Louise Pagé.
Je constate l’existence du Conseil supérieur de l’éducation, formé de 22 membres , choisis par le gouvernement: des directeurs de cegep( Si le CQA est élu, vous êtes dans la m…) , des profs,, etc
1. qui sont les sous-ministres
2. Leurs c.v.
Je pense qu’il est important de mieux connaitre ces spécialistes qui conseillent le Ministre…. sachant drôlement bien que – en 48 ans- nous avons eu 24 différents ministres qui n’avaient pas nécessairement une formation en Education.
Qui influence madame la ministre: Johnny Boy ou la haute direction du Ministère.
A une de mes filles qui m’a demandé à qui ressemblait le jeune Dubois, j’ai répomdu- spontanément : RENÉ LEVESQUE… Ti-Poil qui- après le 15 novembre76 – a vu les anglos quitter le Québec et qui- après sa mort- a été béatifié, par le commun des mortels, comme un grand démocrate
Je me souviens…
@ le calinours bienveillant
« c’est pas un peu présomptueux, luc, de prétendre écrire au nom de la population québécoise??? à ta place j’utiliserais le « je », à l’avenir. »
Les lois et règlements décidés par des gouvernements élus démocratiquement sont la traduction des valeurs de notre société. Ces valeurs sont la liberté, la démocratie, la langue, etc. Désolé, mais la violence, toutes les lois la condamne sans distinction. Donc oui, j’affirme au et fort que le Québec ne tolère aucunement la violence.
« c’est quoi le rapport entre la négociation et le groupe qui « a posé un acte de violence », luc? »
Le rapport est évident. Le gouvernement a demandé à ce qu’aucune manifestation n’ait lieu durant les négociations. Tous les regards pointes vers la CLASSE. C’est peut-être à tord, mais en ne se dissociant pas clairement de toutes ces manifestations violentes, en en faisant la publicité sur son site, c’est comme l’histoire du petit gars qui cri au loup. À un moment donnée, plus personne ne le crois!
« des millions, même! mais c’est quoi le rapport? »
Le cœur du débat, c’est l’accessibilité des études après le secondaire. C’est ça la question qui est sur les lèves des étudiants et du gouvernement. Le Québec est l’un des endroits sur la terre où le coût direct pour un étudiant est le plus faible au monde. Les travailleurs au salaire minimum, ce sont eux qui vont devoir payer le plus chère de la facture des étudiants qui, eux vont avoir plus de chance de se trouver un emploi bien rémunérés. Au Québec, la devise c’est « Je me souvient». L’histoire récente nous montre que, si plusieurs personnes ont été capable de terminer leurs études malgré les augmentations des frais de toute sorte, cela montre que c’est possible de réussir dans des contextes difficiles. Mais je suis d’accord, qu’il peut y avoir des exceptions où la réalité financière sort des chiffres connus.
« à qui tu réponds, là, luc? qui a affirmé qu’on ne doit pas travailler? qui a affirmé que l’état doit tout faire? réponse: personne. »
Je réponds à la question principale de l’article qui accuse le gouvernement de la situation actuelle des négociations, ce avec quoi je suis en total désaccord. Le gouvernement n’a pas à se plier en quatre avec des gens qui ont des demandes déraisonnables et qui utilise des moyens contraires aux valeurs de la majorité de la population québécoise.
Merci de respecter mon opinion.
D’accord avec vous, Monsieur Luc.
Et je compatis également avec vous pour ce qui est d’avoir eu affaire au calinours…
@claude
tu es d’accord avec luc, claude?
tu aurais donc compris ce qu’il veut signifier par « il peut y avoir des exceptions où la réalité financière sort des chiffres connus »?
et tu aurais aussi compris comment l’on peut excuser l’irresponsabilité du parti libéral par « Si les gens veulent une belle vie, ils doivent travailler pour »?
peux-tu m’aider à décrypter tout ça, alors?
merci claude.
M. Charest est tout simplement un carriériste sans aucune forme d’allégeance. Il va probablement être péquiste bientôt, n’oubliez-pas qu’il a déjà été un conservateur pur et dur. Il va là où est le $$$. Le Québec pour sa part, est un restant de ‘colonie’ avec un grosse couche de peinture américaine. Il n’y a pas de culture québécoise, et ces citoyens sont des bacilles dans une solution corrompue.
1. Si Charest est pour la $ , il n’ira pas au PQ
2.. Même les fédéralistrs admettent – sereinement- que la culture québecoise est florissante et originale
3. Vos affirmations sont gratuites et..voilà.
« Les lois et règlements décidés par des gouvernements élus démocratiquement sont la traduction des valeurs de notre société. Ces valeurs sont la liberté, la démocratie, la langue, etc. »
Les valeurs du gouvernement Charest …
Manque d’ethique, organisateurs qui font des nomination, post it, salaire secret, collusion, corruption, … meme des juges pensent qu’il faut pour avoir un post de juge adjoint en discuter avec des organisateurs …
Le gouvernement tellement pris dans sa propre turpitude qu’il a ete ramene a l’ordre par le barreau …
Sans parler des promesse rompu du premier mandat, deuxieme et troisieme …
Au fait le programe de remboursement proportionnel au revenu avait ete promi en 2005 …
Des ententes secretes entre hydro quebec dans le cadre des reserves d’hydrocarbure, des evaluations encore secrete des garderies , l’ex ministre de la famille qui est dans le trouble …
une ex ministre qui va dans un truc comptable relie au plan nord (ou plutot la demarche … la volonte …) et puis qui voit pas de probleme avec des billets dans des loges …
Pour ce gouvernement il y a tellement de dossier d’ethique que tu te demandes dans le fond pour un liberal c’est quoi qui est pas ethique …
Plutot que s’en prendre au etudiant qui font de la desobeissance civile … proposer donc un peu d’ethique lors de votre congres de victoriaville …
Proposer donc un peu plus de consideration pour l’education qui aurait merite autre chose qu’un sommet d’une journee …
Pour le reste vous parlez pour vous meme et pas pour moi …
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‘c’est pas un peu présomptueux, luc, de prétendre écrire au nom de la population québécoise??? à ta place j’utiliserais le « je », à l’avenir. »
En fait, j’ai l’impression que c’est une habitude … des gens qui parle au « on » , « le Quebec » ceci , « les quebecois cela »
allez voir sur radio canada c’est l’abondance …
Je pense que ce phenomene trouve parfois son origine dans la psychologie et la psychiatrie …
Parfois c’est aussi la trace que le commentaire en est un « planter » par un militant …
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« « à qui tu réponds, là, luc? qui a affirmé qu’on ne doit pas travailler? qui a affirmé que l’état doit tout faire? réponse: personne. » »
Une autre caracteristique d’un commentaire plante par un militant …
Au Canada, incluant le Québec, il y a des valeurs et des principes fondamentaux qui transcendent les frontières. Il faut vraiment être déconnecté de la réalité pour affirmer le contraire. La violence et l’intimidation sont des valeurs contraires à la population canadienne.
Jusqu’à présent aucun argument n’a été présentée pour affirmer que les canadiens aiment cela. Les gens et les groupes qui commettent des actions illégales peuvent être poursuivis devant les tribunaux, toute allégeance politique confondue. C’est possible uniquement grâce aux lois et au système de justice qui ont été bâties bien avant que Mr. Charest n’arrive au pouvoir.
Faut pas trop vous esquinter, Monsieur Luc.
Il y en a sur qui le bon sens n’a aucune prise. Pas la peine de se justifier. Et puis, il y a aussi la provocation gratuite, simplement pour faire enrager si possible. Parce que ça désennuie…
Cela ferait longtemps que j’aurais moi-même quitté la place, fatigué de me buter continuellement à des incongruités et à des absurdités, mais je résiste. Car en quittant, je sens que je manquerais à ma responsabilité de citoyen soucieux de rectifier des tas d’idées reçues malgré leur invraisemblance, trop souvent.
N’empêche que je commence à trouver de plus en plus difficile de m’arrêter ici. Ici, sur ce site qui m’a quasiment sauvé la vie quand je l’ai découvert en septembre 2005, alors que je récupérais d’un cancer très sévère opéré en juin 2004. J’étais désespérément blasé – et ce site m’a ouvert une fenêtre.
Depuis, on a ajouté un store et un pare-soleil, plus un rideau épais à cette fenêtre. Mais je m’obstine… Une dette envers ce site.
@luc
« La violence et l’intimidation sont des valeurs contraires à la population canadienne. »
ok, mais plus haut tu ajoutais « pour quelques considération que ce soi. » ce qui m’a motivé à te donner un coup de pouce en vue de tes prochaines interventions.
bref, ta prémisse est évidemment fausse puisque plusieurs canadiens sont pour la peine de mort. j’espère que tu es d’accord avec moi lorsque j’affirme qu’une mise à mort est un acte violent.
bon, tu comprends, maintenant, pourquoi tu devrais ajouter « je crois que » et « à mon avis », devant certaines propositions?
@claude
je crois que vous êtes quittes, toi et « ce site ».
@le calinours bienveillant
La peine de mort est un exemple assez extrême quand-même. En général, dans les pays démocratiques, la peine de mort s’adresse à des criminels récidivistes irrécupérables. Mais je suis d’accord que c’est une forme de violence. Maintenant, le fait qu’elle a été abolie démontre quand-même selon moi qu’une majorité de la population la désapprouve.