Dans Le Devoir de ce matin, le patron de l’Unité anticollusion, Jacques Duchesneau, se disait impatient de s’expliquer sur son rapport fracassant sur les pratiques de collusion et de corruption dans l’industrie de la construction…
Incluant le rôle de cette industrie dans le financement dit occulte des partis.
On sait maintenant que M. Duchesneau témoignera mardi prochain en commission parlementaire.
Dès ce vendredi, il rencontrera le nouveau ministre des Transports, Pierre Moreau pour commencer, dit-on, à trouver des «solutions» à ce vaste problème.
Cette rencontre, parce qu’elle doit avoir lieu avant la comparution de M. Duchesneau en commission parlementaire, témoigne de la grande nervosité du gouvernement…
Dans la mesure, bien entendu, où ce retour spectaculaire du «dossier» de la collusion et de la corruption en pleine rentrée parlementaire est ce qui vient de recaler le Parti libéral et le gouvernement Charest au 36e dessous quant à son taux d’insatisfaction auprès de l’électorat…
(*) Pour lire la version intégrale du rapport Duchesneau: http://www.ledevoir.com/documents/pdf/rapport_de_unite_anticollusion.pdf
Or, en attendant la comparution de M. Duchesneau, les manifs s’organisent.
Dont celle du Mouvement du 24 septembre.
http://www.pressegauche.org/spip.php?article8147
Et avant celle-ci, dès jeudi le 22 septembre, le Syndicat de la fonction publique du Québec et le Syndicat des professionnels du gouvernement du Québec ont annoncé qu’il y aura manif devant l’Assemblée nationale pour «exiger» une commission d’enquête sur la collusion, la corruption et le «gaspillage» des fonds publics. http://www.sfpq.qc.ca/Textes_complets/texte_complet.php?id=2395
Dernière heure: on apprend que Jacques Duchesneau sera à l’émission Tout le monde en parle de ce dimanche soir…
M. Martin Patriquin a été l’auteur, le 24 septembre 24, 2010 de l’éditorial pour le magazine Maclean : Quebec: The most corrupt province
La majorité des Québécois ont protesté jusqu’à ce magazine s’excuse. Est-ce que nous devrions nous excuser maintenant auprès du Maclean ?
M. Bousquet, vous avez l’excuse facile pour un sujet de votre votre maître alors que seuls les Québécois, au nord du 49e parallèle en Amérique, démontrent un certain courage dans la lutte contre la spoliation de leurs avoirs et biens publiques.
Allez donc plutôt demander à votre compatriote journaliste rocanadian ce qu’il connaît de la spoliation des avoirs et biens publiques des provinces du Rocanada et de ce qu’il pense du silence de ses concitoyens des provinces du Rocanada sur ce fléau prévalant non seulement au Québec mais partout ailleurs dans le MONDE.
Je reconnais et applaudis le courage de mes compatriotes québécois affrontant les organisations de gangsters et transgressant la loi du silence.
Je vomis sur les hypocrites qui prônent l’Omerta et dénigrent les honnêtes gens soucieux de l’intégrité du bien commun.
M. Bousquet, « La bêtise a ceci de terrible qu’elle peut ressembler à la plus profonde sagesse. » Valéry Larbaud
L’article de ce journal ne mentionne nulle part que la corruption est d’origine fédéraliste: moins de 25% des Québécois de langue française ont voté pour ce régime contre 100% des Québécois de langue anglaise. Associer Québécois et Corruption sans mentionner cette réalité tient du racisme le plus crasse.
M. Le Troll,
L’article en question ne mentionne pas le fait que la corruption au Québec est un produit fédéraliste. En effet, moins de 25% des Québécois de langue française ont voté pour ce régime, mais 100% des anglophones l’ont approuvé en 2008 en toute connaissance de cause. Ne pas tenir compte de cette réalité est une preuve du racisme crasse de l’éditorialiste envers les Québécois, ces « fuck’n pea soup » attardés..
M. Bousquet faudrait être complètement fêler ou un masochiste totalement décérébrer pour aller faire des excuses au Maclean. J’espère que n’est pas votre cas.
Il y aura toujours des esprits mesquins pour généraliser des situations qui autrement ne seraient qu’anecdotiques. Les motifs qui ont inspiré ce vil reportage qui tenait plus de la calomnie que de l’information n’avaient rien à voir avec les problèmes que nous vivons avec le gouvernement Charest. Car il faut bien le reconnaître ce n’est pas la société québécoise qui est corrompue, c’est le premier ministre et ses ministres. Les citoyens n’en finissent plus de réclamer une vaste enquête sur la corruption au gouvernement.
Mais ce que je trouve de plus remarquable c’est qu’il y a toujours quelques esprits tordus pour faire des rapprochements qui ne visent qu’à répandre un fiel malodorant autour d’eux.
Alors M. Bousquet quand vous entendrez ou lirez des propositions comme celles que vous rapportez qui n’ont d’autre objectif que d’être destructeur et de jouir du spectacle, dites-vous qu’ une société est composée de toute sorte de personnes des plus viles au plus gentilles.
«Il est fréquent qu’un homme évite de se poser les questions qui comptent vraiment, pour ne retenir que les réponses qui lui plaisent.»
[François Barcelo]
C’est selon …
Il fallait s’y attendre et c’est très bien comme ça,ce n’est pas tout de chialer
sur les blogs il faut démontrer que la population veut que le ménage se fasse.
La mafia et le pont
Vito Rizzuto et la mafia canadienne auraient eu des milliards à investir dans le pont de Messine
Si toutes ces allégations sont vraies, c’est dire que la mafia montréalaise dispose de fonds illimités, et qu’elle est beaucoup plus puissante qu’on ne le croit. Peut-être même plus que les familles de la Cosa Nostra new-yorkaise, dont les ramifications internationales et la mentalité mondialiste paraissent aujourd’hui moindres que celles des Rizzuto « , a commenté le journaliste de Toronto, Antonio Nicaso, considéré comme un spécialiste de la mafia.
C’est toujours difficile à savoir parce qu’ils ont des prête-noms, raconte l’ancien journaliste. On sait par exemple, avec Projet Colisée, qu’une douzaine d’entreprises de la construction étaient liées directement ou indirectement à la mafia. Des compagnies payaient 5 % des appels d’offres [à la mafia].»
http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2010/11/20101111-155402.html
Des manifs et encore des manifs!
Que de tristes manipulations de citoyens, par ailleurs authentiquement inquiets et désemparés, devant ce qui leur est présenté comme étant des « faits » par des opportunistes de toutes tendances, selon leurs « agendas » particuliers du moment.
À défaut de faire soi-même la part des choses entre ce qui serait le bon grain et l’ivraie, on se laisse plutôt embarquer sans trop de discernement dans le grand rouspétage du jour…
Et demain, on pestera contre autre chose.
Que la foule ait raison ou non dans certains cas, il est du devoir de tout gouvernement responsable d’apprécier toute manif pour ce qu’elle pourrait être.
La manipulation des citoyens n’est nullement l’expression de la démocratie. C’est d’abord et avant tout de la manipulation. Que le gouvernement soit fautif ou non à l’égard de quoi que ce soit.
Pas toujours commode, la démocratie, n’est-ce pas?
Si la population du Québec était aussi corrompue que certains préfèrent croire, nous ne serions pas indignés. Or nous sommes indignés.
La tête est corrompue, le corps se débat encore.
Serge Gingras, permettez au pestiféré que je suis devenu de vous dire que j’endosse vos propos sur la corruption. Il ne faut jamais mettre dans le même bain tout le monde et son père.
JSB
La corruption est le propre de gouvernements de notables, d’avocats de profession qui connaissent leurs entrées dans le monde des affaires et qui en politique organisent l’État pour recevoir les contrats des entreprises privées.
Le Parti Libéral est précisément de cette classe, pour les libéraux de parti ou de la philo économique, le privé est la seule valeur qui tienne. À ce titre, le PLQ de Charest est de la même espèce profonde que l’UMP libérale de Sarkozy, le Parti Républicain américain ou le gouvernement Berlusconi italien.
Le Québec n’est pas plus ou moins corrompu que la France ou l’Italie, alors le Macleans…
Charest donc dans l’affaire de la collusion gagne du temps et toujours du temps contre l’opinion en gageant sur la division du vote franco, Legault, Khadir et Aussant pour que le PLQ remporte un 4ème mandat.
C’est Charest, un vrai prédateur de la politique. N’a t-on pas pensé suffisamment que Charest est un Trudeau provincial, un arriviste requin tout comme Trudeau.
L’esprit notable politicien, Charest en est une incarnation encore plus grande que feu Maurice Duplessis.
Le politicien notaire ou avocat, la pire identité politicienne qui soit et Charest pourvu de l’arrogance trudeauesque en est l’acteur majeur d’aujourd’hui.
J’écrivais ce soir sur Twitter: https://twitter.com/#!/bouchecl/status/116716367406833664
Morale de ce soir: Twitter ne remplace pas le peuple dans la rue. #TroyDavis #24Septembre #corruption #polqc
Je le crois plus que jamais!
La manifestation comme synonyme de manipulation?
N’est-ce pas accorder bien peu de crédit à vos concitoyens?
Si je suis tout-à-fait prêt à vous concéder qu’il y ait des incidences où le nombre dilue quelque peu l’intelligence: un évènement sportif par exemple… Je me garderais bien par contre de conclure que la décision de manifester des uns, évoque d’emblée une bande de rongeurs prête à se jeter à l’eau au son de la flûte, genre…
La notion d’influence en politique est admise et il est rassurant qu’en se rassemblant les citoyens puissent, parfois, jouer un rôle d’influence sur les élus. Confondre la manipulation et l’influence me semble indigne de vous.
Il y a quelques années, à Montréal, près de 200.000 personnes marchèrent par une journée glaciale de février, pour dénoncer l’imminente invasion de l’Irak par nos voisins du sud. Les gens présents ce jour là, de toutes générations, souhaitaient faire savoir aux décideurs, aux élus, à quel point ils étaient contre ce type d’intervention digne des guerres coloniales… Prétendre que tous ces gens ont été manipulés ou qu’ils avaient en tête l’intention de manipuler, me semble gratuit, ou commode c’est selon.
Il peut-être sage et utile de rappeler aux élus qu’ils travaillent pour nous et non l’inverse. À mon sens, être citoyen ne se borne pas qu’à voter et qu’à payer des taxes et des impôts…
Votre relativisme peut parfois évoquer un certain pragmatisme, j’en conviens. Mais, j’y vois de plus en plus une abdication, un renoncement.
Si la manifestation citoyenne n’est que manipulation, que dire de votre récente et subtile sollicitation d’appuis, pour appuyer votre candidature à titre de chroniqueur???
Un tel appel à tous relevait-il de la manipulation suave ou relevait-il plutôt d’une tentative d’influence auprès des décideurs de VOIR?
Sérieusement, la situation actuelle est terrible en ce qu’elle met à péril nos institutions et des acquis de haute lutte. Notre patrimoine à tous est mis à péril par cette gangrène qui ronge le Québec, du cabinet du premier ministre au plus petit chantier, en passant par les cabinets d’ingénieurs, les avocats, les comptables créatifs et les sinistres hommes de main de la pieuvre… Les surplus de dépenses en construction entraînent des coupes réelles dans les services publics, faisant ainsi la part belle au privé qui pose en alternative viable et tentante, face à des système d’éducation et de santé publique de plus en plus laissés à eux-mêmes…
Nous perdons collectivement sur les deux plans.
Vouloir réduire cette corruption endémique à une simple récupération partisane ou à la saveur du jour trahit un réel manque d’objectivité.
Subordonner le point de vue partisan au bien commun selon le principe d’un intérêt supérieur, me semble être la seule solution.
Nous en sommes là.
Le message ci-haut se veut une réponse au message de M. Claude Perrier paru sur ce blogue à 20h 48 le 21 septembre, merci.
M. Bouchard a une très bonne nouvelle pour M. Charest : « Le Québec n’est pas plus ou moins corrompu que la France ou l’Italie »
M. Gingras écrit : «La tête est corrompue, le corps se débat encore»
Oui mais, c,est le corps qui a élu la tête, 3 fois de suite et la dernière fois, majoritairement, les 2 mains sur le volant.
Je vois que M. Gascon excuse partiellement aussi M. Charest, quand il écrit plus haut : «ce fléau « la corruption » prévalant non seulement au Québec mais partout ailleurs dans le MONDE.»
C’était probablement une erreur de sa part.
Parce que la corruption sévit partout excuserait John James Charest, donc cette « fatalité » excuserait ce liberal de grand chemin ?
Vos propos alimentent sans cesse votre propre bêtise. Allez donc dans votre chambre 15 minutes pour réfléchir, et dits-nous ensuite que vous ne recommencerez plus en vous excusant d’avoir été, encore une fois, un méchant garnement.
M Duchesneau aura une rencontre vendredi avec le Ministre des transports.
Seul à seul ils causeront !
Les partis opposants se sont objectés à cette rencontre !!!
Dimanche M Duchesneau passera à( tout le monde en parle.)
On apprendra à mon avis rien sur ce rapport.
Jean Charest doit tout controler..
L’obsession de TOUJOURS choisir le plus bas soumissionnaire pour les travaux publics est une des principales causes de la magouille. C’est juste trop facile de s’entendre à l’avance parmi les soumissionnaires.
Par contre, plusieurs pays ont adopté un autre système rendant la collusion beaucoup plus difficile; Essentiellement on rejette le plus haut et le plus bas soumissionnaire , on fait le moyenne des autres et on accorde le contrat à celui qui est le plus près de la moyenne. Actuellement afin d’être le plus bas, les entreprises doivent souvent soumissionner avec un prix inférieur à leur prix coûtant et espérer se reprendre sur les extras.
Trouver et punir les coupables est nécessaire et découragera sûrement d’autres mais ça ne réglera pas le problème à la base, pas plus que de faire de M. Duchesneau une espèce de Rock Star
Si M. Duchesneau est vraiment intègre, quand il rencontrera le nouveau ministre des Transports, Pierre Moreau, il devrait simplement lui dire : «M. le ministre, vous avez lu mon rapport. Vous avez pris connaissance des recommandations qui y sont faites. Si vous avez des questions je suis prêt y répondre.»C ‘est tout que Jacques Duchesneau devrait dire au ministre.
Pour ce qui est de TLMP, je ne suis pas d’accord avec sa passage à cette émission, surtout avant de comparaître devant l’Assemblée nationale. Ça frôle le manque de respect.
Maintenant je constate qu’encore une fois M. Bousquet s’amuse à poser des questions et faire des réflexions complètement ridicules qui n’amènent strictement rien. Quelles peuvent être les motivation de ce triste personnage à TOUJOURS essayer de prendre le contre-pied d’une pensée ou d’une réflexion ? Il me fait penser aux malheureux atteints de la maladie de Gilles de la Tourette, incapables de résister de poser certains gestes ou prononcer certains sons.
Dommage de continuellement se ridiculiser tout en monopolisant l’espace de ce blogue.
B.C.
Laval
M. Carré manque carrément de politesse élémentaire ici. Il déclare dans le même commentaire que je m’amuse tout en étant un triste personnage, atteint de maladie. Pas très fort comme argument.
Une majorité de Québécois a voté pour le Parti Libéral du Québec, mais la majorité des Québécois n’a pas voté pour le PLQ.
Personne n’a voté pour la corruption, même ceux qui ont inconsciemment, par ignorance, voté pour le PLQ.
On est pas idiots.
M Carré
M Duchesneau comme vous l’écrivez devra toujours se reférer à son rapport.
Si le ministre des transport Pierre Moreau cherchait à le faire chanter M Duchesneau aurait de graves problèmes car les écrits restent.
Je ne peux comme vous expliquer sa présence à TLMP .
Ce sera à suivre n’est ce pas !
M. Gingras, les Québécois qui ne votent pas sont aussi coupables, par leur abstention, que ceux qui ont voté pour le gouvernement qui est élu.
Si nous élisons, de nouveau, le PLQ en 2012 ou en 2013, même chose. Aucun Québécois peut prétendre ne pas être au courant de la situation.
Mme Claire Thibaudeau
Vous écrivez : «Si le ministre des transport Pierre Moreau cherchait à le faire chanter M Duchesneau aurait de graves problèmes car les écrits restent.» Qu’entendez-vous par «faire chanter» ? Je ne comprends pas.
B.C.
Laval
M Duchesneau ne se laisse pas intimider qu’importe soit la fonction du ministre.
M. Perrier ; 21 septembre 2011 · 20h48
Qu’est-ce que vous êtes en train de nous dire ? Que les manifestations n’ont pas lieu d’être ? Que les raisons poussant les citoyens à manifester ne sont ni légitimes ni souhaitables ?
N’êtes-vous pas en train de faire une tentative de banalisation à propos d’un sujet qui met à mal vos orientations politiques ?
Par oui ou par non M. Perrier, souhaitez-vous la tenue d’une commission d’enquête publique sur ce qui est l’objet du rapport Duchesneau ?
«Il te montre la Lune et tu regardes son doigt.»
[Proverbe africain]
Une enquête publique, Monsieur Drouin?
Étonnante question…
Je l’ai même réclamée il n’y a pas si longtemps encore!
Vous aurez oublié ou possiblement pas lu cette intervention de ma part.
L’obsession de TOUJOURS choisir le plus bas soumissionnaire pour les travaux publics est une des principales causes de la magouille. C’est juste trop facile de s’entendre à l’avance parmi les soumissionnaires.
Par contre, plusieurs pays ont adopté un autre système rendant la collusion beaucoup plus difficile; Essentiellement on rejette le plus haut et le plus bas soumissionnaire , on fait le moyenne des autres et on accorde le contrat à celui qui est le plus près de la moyenne. Actuellement afin d’être le plus bas, les entreprises doivent souvent soumissionner avec un prix inférieur à leur prix coûtant et espérer se reprendre sur les extras.
Trouver et punir les coupables est nécessaire et découragera sûrement d’autres mais ça ne réglera pas le problème à la base, pas plus que de faire de M. Duchesneau une espèce de Rock Star.
M Carré
A votre question , je voulais dire que le ministre des transports Pierre Moreau pourrait suggérer à M Duchesneau d’être moins explicite dans ses réponses. Je doute cependant Duchesneau se laisserait intimider .
http://www.ledevoir.com/
Qui ne dit mot consent. Les abstentionistes sont très coupables de la réélection du PLQ. Ont-ils compris la leçon? Je me permets d’en douter. Lorsque le sort de la province est devenu sans intérêts, la réflexion se porte ailleurs.
Oui, le danger de voir réélire l’ignoble PLQ est grand. La solution? Une ou des coalitions contre les candidats Libéraux aux prochaines élections. Verons-nous ce comportement intelligent et productif? Non!
Je désespère beaucoup de mes compatriotes provinciaux. Nous ne sommes pas indifférents aux malheurs qui nous frappent, mais sommes nous résignés?
On va voir M. Charest rire à s’en décrocher les machoires chez Laflaque, Gérard D. Les artistes voient fréquemment mieux et plus loin que les simples mortels. Oui, moi aussi je vois rire M. Charest, le plus drôle, le plus comique de tous les politiciens d’après Chantal Hébert qui l’a souvent invité au diner de la Gallerie de la presse à Ottawa, dixit elle même à TLMEP.
En ce moment, à Québec, on s’amuse beaucoup, à nos dépends. Nous sommes les dindons de la farce. Et certains en redemandent. 🙁
Il est possible M Carré que vous ne puissiez lire ma réponse, mon commentaire est en approbation.
Ça fera un grand plaisir à certains blogueurs qui ont la dolce vita sur ce blogue.
M Drouin peut écrire Denis Cormier Drouin Denis Baribeau Drouin.
Aucune critique … ???
Comme j’ai des affinités avec M Baribeau , Perrier Cormier et Réjean Asselin, je suis davantage surveillée et censurée ..
Je suis d’accord avec M. Beauchesne. Non seulement le soumissionaire le plus près de la moyenne, mais aussi la soumission la plus crédible.
Si le ministère avait un nombre suffisant de fonctionnaires pour analyser en profondeur tous les dossiers, il serait en mesure d’identifier l’oiseau rare capable d’effectuer les travaux de façon crédible.
Mais puisque l’on a cru bon de faire du déficit zéro la nouvelle religion, on a jetté le bébé avec l’eau du bain et on est maintenant démuni pour séparer le bon grain de l’ivraie. Il faut remplumer les ministères et redonner aux fonctionnaires la responsabilité de gérer l’état efficacement.
L’entreprise privée fera toujours passer ses intérêts avant le bien commun. C’est pour cette raison que l’on a inventé la fonction publique, pour le bien commun. Une bonne fonction publique est le vaccin contre la corruption qui sévit en ce moment au Québec. Et M. Harper qui veut imiter le Québec… Ça promet à Ottawa. D’ici quelques années, le Canada aura rejoint les rangs de la France et de l’Italie en matière de corruption. Le magazine Mclean aura du pain sur la planche et matière à réflexion.
Bonne lecture.
Il y a au Québec depuis une dizaine d’années une grande pénurie d’ingénieurs civils. La cause principale est que durant la récession du début des années 90 il n’y avait que très peu de construction et les jeunes inscrits aux écoles de génie se sont tenus loin du génie civil percevant peu d,opportunités de carrière.
Aujourd’hui avec la vétusté des infrastructures, il y a beaucoup plus d’ouvrage que d’ingénieurs formé pour l’accomplir. Le ministère des transports ne peut pas s’échapper à cette pénurie et doit concurrencer les firmes privées pour attirer cette main d’oeuvre. Ce n’est pas un complot du privé, mais un fait.
Vous diaboliser le secteur privé un peu trop vite je crois. Il y a deux chantiers importants qui ont été complétés à l’intérieur de leur budget et de leur échéancier et les deux sont des PPP, le pont de l’aut. 25 ainsi que la salle symphonique.
Prenez l’exemple du métro de laval, supposément 2 fois et demi le prix budgeté. Alors qu’en réalité, ce sont les politiciens qui ont sorti un budget impossiblement bas pour faire accepter le projet et que le tunnel a coûté le même prix que ce genre de tunnel construit ailleurs au monde. Le scandale n’est pas le prix, somme toute réaliste, mais la promesse électorale impossible à tenir. Il y a plein d’autres exemples similaires.
J’oubliais un autre blogueur: M Montbourquette .
M Bousquet.
M Carré manque de politesse à votre égard.
Comme c’est triste pour vous..
M Carré devrait VRAIMENT s’excuser…
Non, Mme Thibaudeau, je ne demande jamais à un impoli ou à une impolie de s’excuser parce qu’ils ou elle ne se sentent jamais coupables de rien, vu que ça leur semble agréable d’insulter le monde, à la place d’argumenter poliment.
Vous avez raison M Bousquet.
Une personne impolie et qui insulte les gens ne peut s’excuser car elle n’a aucun repentir.
Que de lucidité et de jugement vous avez.
Évidemment j’aurais intérêt à changer de comportement…
Vous êtes franc et honnête : ce qui n’est pas mon cas d’après certains commentaires.
M. Gingras,
Ce que je retiens de vos commentaires c’est qu’essentiellement, l’actuel principe du plus bas soumissionnaire n’est plus la meilleure façon d’octroyer des contrats du gouvernement.
Mais ne sautons pas dans le manichéisme en affirmant comme vous le dites, que «l’entreprise privée fera toujours passer ses intérêts avant le bien commun.» J’ai pendant plusieurs années opéré une entreprise privée dont la mission était d’offrir des services à domicile aux personnes en perte d’autonomie. Je puis solennellement vous affirmer que j’ai toujours eu à cœur de réconcilier les intérêts des usagers, de mes clients, avec ceux de l’entreprise. Vous avez sans doute entendu parler du principe des relations gagnant-gagnant. Je peux vous dire que ce fut toujours mon principe d’action et ceci à la plus grande satisfaction de tout le monde.
Il faut donc éviter de laisser croire que tout ce qui est du privé est malhonnête et que les gestionnaires des entreprises privées ne cherchent que l’occasion de fourrer le monde. Laisser planer une telle insinuation est profondément démagogique et malhonnête.
J’ai aussi œuvrer au sein d’organismes publics. Je suis également à même d’affirmer que la majorité des employés sont fondamentalement dévoués à réaliser la mission de l’organisme à l’intérieur duquel ils travaillent. Leur plus grande source de démotivation venait du manque de ressources que pouvait utiliser l’organisme. Ce qui les obligeait à jouer aux pompiers, à éteindre les feux. Alors ils n’avaient plus le temps de prévoir et de planifier et croyez-moi, les futures crises étaient identifiées bien avant que les citoyens ne les ressentent. Voilà la source réelle des principaux irritants de la fonction publique qui empêchent l’émergence d’une motivation qui ne demande qu’à poindre.
Le problème que nous vivons a sa source profonde dans la volonté de nos dirigeants gouvernementaux de mettre en place une idéologie néo-libérale qui exige ni plus ni moins le démantèlement de l’État. Pour y arriver ils laissent croire au gaspillage au sein de l’État ce qui les justifie de couper les ressources ce qui nuit à la prestation des services, ce qui à son tour justifie l’abandon des dits services par le public afin de permettre au privé (pas tout le privé, seulement les amis idéologiquement près) de les offrir et d’empocher les profits qui en découlent. C’est à ce moment-ci que la corruption s’installe.
Et c’est justement rendu ici que les problèmes se révèlent dans toutes leurs laideurs. Les entreprises privées honnêtes, comme celle que j’opérais, sont tassées sur le côté pour favoriser les amis du régime. Voilà où le bât blesse.
Donc si nous voulons avoir des entreprises honnêtes avec à leurs têtes des dirigeants honnêtes qui font des affaires honnêtes avec le gouvernement, nous devons avoir une fonction publique forte, compétente et expérimentée et suffisante pour s’assurer de l’adéquation de tous les processus en accord avec les plus hauts critères d’éthiques et de justice.
«Gouverner ne consiste pas à aider les grenouilles à administrer leur mare!»
[Michel Audiard]
Denis « Cormier » Drouin ou,
Denis « Baribeau » Drouin
Mme Thibaudeau,
Je suis réellement triste de vous avoir scandalisée. Mais jamais je ne ferai d’excuses à une personne qui, par duplicité, joue les vierges offensées en laissant penser qu’elle propose des arguments valables alors qu’ils ne ne cherchent qu’à discréditer. Comme le disait Paul piché, j’aurai sans doute les yeux mouillés à quelques reprises, mais je les aurai toujours grand ouverts.
Sincèrement,
B.C.
Laval
M Carré
Loin de m’avoir sandalisée j’ai la même opinion que vous à l’égard de M Bousquet.
Comme je suis sous censure, je dois faire attention à M Bousquet.
Que voulez-vous , M Bousquet se parfume de l’odeur de ses bousquets.
Comme le chante Paul Piché , moi aussi j’aurai les yeux mouillés à quelques reprises, mais je les aurai toujours grands ouverts.
Ps: le commentaire censuré que je vous ai envoyé n’est pas encore approuvé.
J’ai écrit très brièvement mais ce n’est pas le texte initial…
Bonne journée M Carré ..Il y a des aubaines pour les kleenex ces temps-ci.
http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/331952/duchesneau-veut-enqueter-sur-hydro
Lien qui répond à M Carré
M. Carré,
vous écrivez :«Pour ce qui est de TLMP, je ne suis pas d’accord avec sa passage à cette émission, surtout avant de comparaître devant l’Assemblée nationale. Ça frôle le manque de respect.»
Seriez-vous snob M. Carré ? Ce qui était bon pour Layton ne le serait pour Duchesneau ? La belle affaire !
«Le léopard ne se déplace pas sans ses taches.» [Proverbe nigritien]
M Drouin
Ayant la même opinion que M Carré , il y a une ÉNORME différence entre M Layton à son passage à TLMP ET celui de M Duchesneau.
M Duchesneau n’ayant pas comparu devant l’Assemblée nationale répondra aux questions de Guy a L et ses propos seront diffusés au grand public.
M Layton était en campagne électorale tout comme Gilles D et M Ignatief .Ces derniers devaient convaincre la population de leur programme .
Ce qui est très différent de M Duchesneau .
A mon avis, M Duchesneau pourrait passer à TLMP après l’explication de son rapport à l’assemblée nationale .
Est-ce du snobisme ? Ou de la logique ?
Bonjour
David Cameron arrive à Ottawa
David Cameron ne se sentira pas dépaysé au Canada: même système parlementaire, monarchique, la langue, la manipulation de la presse…
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2011/09/22/002-cameron-ottawa-discours.shtml
M. Drouin, Je suis d’accord avec vous et votre critique. La mienne et celle de la société.
Il y a quelques minutes j’avais écrit une réponse d’intérêt générale qui vous aurait souri. Mais une malencontreuse manoeuvre involontaire avec mon clavier à tout fait disparaître, et je n’ai pas le courage de soumettre un texte de moins bonne qualité.
On se reprendra.
Cordialement.
Eh bien, cher Monsieur Gingras, ça vous arrive aussi de voir un texte – et habituellement un texte sur lequel on s’est longuement esquinté – disparaître dans le cyber-espace?
Je ne suis donc pas le seul…
M.Duchesneau passe t.il à TLMP parce que sa côte d’écoute garantit le retentissement de sa prise de parole?
Seule explication logique devant sa présence dans ce talk show des années 2000 qui mélange actualité avec variétés.
Pour le reste, le peuple en ayant voté contre le Bloc le 2 mai a contribué directement à la crise du PQ devant ce groupe de députés beaucoup moins affairiste que celui du PLQ, vote pop contre le parti frère qui a ébranlé solidement le groupe de démissionnaires, Louise Beaudoin et Pierre Curzi au premier chef certainement ont reçu de façon dépressive le résultat du 2 mai.
Le peuple désorienté contribue lui même à l’explosion de l’offre politique à Québec, 7 partis offerts en termes de choix virtuels ou réels faisant du PQ un parti d’alternance, un parti menacé de marginalisation réduisant la probabilité d’échec électoral au gouvernement du PLQ.
Option DÉCISIVE pour le PQ, faire partir Mme Marois étant donné que le peuple rejette autant Marois que Charest.
Le dossier de la construction collusion demande le départ et le sacrifice de P.Marois. À quel moment comprendra telle, la cruauté et l’absurdité de la vie politique. Le collectif prime l’égo, Mme Marois, s’il faut votre démission volontaire pour se débarrasser des libéraux!
Il le faudra Mme…
Je rejoins le point de vue de J.P.Charbonneau, ex député péquiste présent au Club des ex qui croit que Pauline Marois doit comprendre que le collectif plutôt que l’ambition politique est la clef de la politique de conviction et d’éthique. En 1958-1959, G.É.Lapalme a permis à Jean Lesage de devenir le chef du Parti Libéral presque anéanti alors par le pouvoir de Duplessis au pouvoir pendant 15 ans.
Pauline Marois devra faire d’elle même une George Émile Lapalme et renoncer au moins à la chefferie péquiste afin qu’un chef du renouveau prenne la direction et celui ci est Bernard Drainville qui peut rénover le PQ comme J.Lesage a rénové le Parti Libéral de 1957-1959. Ou à la limite, Gilles Duceppe.
Apprendre de l’histoire, péquistes de septembre 2011 et Pauline Marois. Collusion-corruption, cynisme, abstention, désorientation politique. Pauline Marois doit se sacrifier quant à son ambition pour le Québec. Car Legault n’est pas la solution et qui risque de permettre un 4 ème mandat Charest même si minoritaire ce serait imbuvable.
Les forums doivent servir à dire qu’il est minuit moins 10, Pauline Marois. C’est un membre du groupe citoyen politisé qui parle et ça compte.
M. Bouchard, ce n’est pas Mme Marois le problème, c’est l’option de la souveraineté simple du PQ et de Québec solidaire « la séparation », pendant qu’il y a des problèmes d’éthique partout au niveau provincial et même municipal et probablement fédéral itou.
La nation québécoise n’est pas tentée par un troisième référendum sur la souveraineté du Québec qui, selon les sondages, serait perdu pour une troisième fois, ni à celle de signer la constitution canadienne de 1982 sans obtenir des gains en retour mais le fédéral n’est pas prêt ni les provinces…encore.
La CAQ place, comme la majorité des Québécois, dans ses priorités, à la place de la constitution, l’économie, la santé, l’éducation, la culture et la protection du français, pour replacer, sur une période d’une dizaine d’années, le Québec sur une base plus efficace, afin de mieux laisser à la prochaine génération, le choix de demeurer dans le Canada ou d’en sortir. C’est ça qui devrait normalement faire gagner la prochaine élection à ce parti, pas encore sur pieds.
Plein de bon sens ce que vous écrivez, M. Bousquet.
Un troisième référendum? Pouah! Seule une très infime minorité en voudrait d’un nouveau référendum. Perdant ou pas.
Quant à cet éventuel parti de M. Legault, nous verrons bien s’il pourra avec le temps rallier autant la faveur populaire qu’en étant un jour autre qu’un éventuel parti…
Mais, quoi qu’il en soit, lors de la prochaine élection, le pouvoir ira vraisemblablement à cet encore éventuel parti de François Legault ou, plus probablement, au maintien au poste de premier ministre de Jean Charest.
Parce que du côté des souverainistes, rien n’augure de particulièrement favorable pour leur camp. Grande et très malsaine pagaille pour leur « Cause »…
(Et dire que Pauline Marois avait en main un très bon jeu avec son option de gouvernance souverainiste, réaliste et meilleure manière de progresser compte tenu de la « froide réalité »…)
Un mot de plus malgré le besoin de respect de pluralité de l’expression. Suis de retour ici en plus ou moins.
Le citoyen doit dire au pluriel que le fiasco politique à Québec doit cesser comprenant ce gouvernement fort de sa médiocrité mafieuse et l’implosion de l’opposition au centre droit comme au centre gauche.
Ca n’a pas d’allure! La sécurité des libéraux est proportionnelle à l’incurie de l’opposition pas seulement péquiste, le jeu de faux prophète de F.Legault est pire que le désordre péquiste, le jeu solo de QS vaut quoi? Don Quichotte Aussant pratique lui le jeu de rôle en politique!
Il faut que ça change à Québec! S’il faut souhaiter un coup de force au PQ contre Mme Marois pour ça change hélas….
Mme Marois est une partie du problème, trente ans de vie politique cela fait trop pour les Québécois apparemment sans oublier le ressentiment populaire contre ses politiques de ministre à l’éducation.
Quant à la gouvernance souverainiste-autonomiste sans 3ème référendum avant un bout de temps important, les Québécois sont capables d’être preneurs monsieur Bousquet.
On est d’accord sur un rejet populaire d’un 3ème référendum actuellement, seul le groupe de J.Parizeau-Lizette Lapointe n’a pas compris chez les souverainistes. Drainville l’a compris avec son référendum d’initiative populaire, le groupe Marois, Aussant avec son idée d’une élection référendaire d’une façon paradoxale, etc…
Quant à l’idée d’un PQ qui enterre toute référence à l’indépendance à la Legault c’est irréaliste, totalement utopique. Je ne vous suis plus M.Bousquet sur le fond de vos pensées.
En politique, savoir mâcher de la gomme et marcher c’est naturel. Charest nous a habitué à sa paresse duplessiste de PM, gouverner c’est s’attaquer au statu du Québec, considérer ses dossiers y compris le ménage de la construction et des contrats du MTQ.
C’est clair en tout respect,M.Bousquet?
Voilà comment nous avons eu Charest.
Dès que Charest a été porté au pouvoir, la mafia italienne qui contrôle des pans entiers de l’industrie et des syndicats de la construction a pris en main la gestion de l’État dans les secteurs les plus profitables pour ses activités. Les secteurs corruptibles intéressants du niveau municipal étaient déjà sous sa férule.
Un ancien de la GRC, qui eut à travailler dans des enquêtes internationales avec la police italienne, m’a dit récemment que la mafia avait autant d’influence au PLQ et dans l’industrie de la construction du Québec que dans les institutions semblables en Sicile.
http://fr-ca.actualites.yahoo.com/blogues/la-chronique-de-normand-lester/se-d%C3%A9barrasser-jean-charest-194103193.html
Voici une explication des problèmes de Mme Marois, qui a été écrit, cette semaine, par M. Benoît Pelletier, un nationaliste québécois francophone et ancien ministre du PLQ. Il est fédéraliste qui me semble assez réaliste :
« Bien des Québécois partagent les valeurs canadiennes, même si certaines de celles-ci sont en mouvance en ce moment, voire sont carrément remises en question comme c’est le cas pour le multiculturalisme. Ces Québécois se reconnaissent amplement dans le Canada. Ils souhaitent demeurer Canadiens, mais ils veulent être Canadiens… à leur façon, c’est-à-dire en ne perdant rien de leur identité. Ils se considèrent à la fois Québécois et Canadiens et estiment, avec raison, qu’il n’y a rien d’incompatible entre ces deux allégeances. Cependant, ils souhaitent être reconnus pour ce qu’ils sont, soit une société distincte au nord de l’Amérique, une nation spécifique s’exprimant à l’intérieur d’une nation plus globale, la nation canadienne. Voilà pourquoi j’estime que la spécificité du Québec au sein du Canada constitue une grande valeur canadienne, qui devrait être promue et reconnue comme telle, plutôt qu’un obstacle à l’unité de ce pays. »
C’est à cause de ce qui précède que 67 % de ceux qui se disent souverainistes dans les sondages, veulent rester dans le Canada : Un Québec souverain dans le Canada.
Monsieur Bouchard !
Comme nous tous vous n’avez pas compris et heureusement que Monsieur Bousquet est sur ce blogue pour nous rappeler a l’ordre .
Pour Monsieur Bousquet il n’y a qu’une stratégie et elle consiste a culpabiliser et ridiculiser tout ceux et celles qui ne voteront pas pour SA Pauline Marois . Alors nous serons tous coupable de haute trahison et nous porterons la responsabilité de la défaite de la madame en chef du PQ . Les abstentionnistes qui représentaient presque la moitié de l’électorat aux dernières élections sont restés a la maison parce qu’aucun parti et aucun chef ne présentait quelques choses de valables pour eux . Et la bonne nouvelle est que le PQ s’amènera en élection avec le même chef , Pauline Marois , qui était et est aussi impopulaire que John James Charest actuellement .
Belle stratégie !
M Asselin.
Je doute fort que vous annonciez votre mariage avec Pauline.Vous auriez tout pourtant.Château . champagne et intimité garantie.
Que vous êtes difficile …
Oui, R.Asselin. Appelez un chat un chat.
P.Marois est une partie non négligeable du problème.
Elle est identifiée au club professionnel des politiciens, elle s’est fait caricaturée de manière mortelle par les humoristes et dessinateurs comme hier un Stéphane Dion.
Ce ne fait pas très scientifique comme commentaire toutefois attention! Si on se met dans la peau du peuple qui suit la politique de loin on sait que c’est de cette façon qu’il réagit. Pauline Marois connaît un gros problème d’image aggravée par une misogynie populaire qui se devine contre la femme politicienne qu’elle est.
Autrement dit, la gouvernance souverainiste n’est pas un problème pour le PQ qui reste pour celui ci une voie déjà plus articulée sur ce plan que celle de François Legault qui n’est ni souverainiste ni non plus vraiment autonomiste sur le plan national.
Si la démarche d’affirmation nationale du PQ depuis 1976 connaît des problèmes d’échec cela ne lui est pas seulement attribuable, l’ambivalence du peuple y est aussi pour quelque chose. Pauline Marois n’est certes pas responsable de tous les problèmes du PQ depuis l’ère Lucien Bouchard et depuis 1970! Cela va de soi! Néanmoins, Mme Marois est devenue le symbole de tout ce qui est ancien au PQ. Son image pop est marquée au fer rouge.
Il faudra que le chroniqueur type concède que ça ne va pas avec Pauline Marois qui est devenue malgré elle un symbole aussi de l’usure de la classe politique. Le rôle de second de G.Duceppe avec Pauline Marois n’irait pas non plus. C’est la position de patron de parti qui intéresse le peuple à travers sa sagesse cruelle démontrée le 2 mai encore.
Duceppe chef du PQ plutôt aurait la faculté relativement de remonter le PQ. B.Drainville aussi qui chef apprendrait à mieux se faire connaître du peuple au fil des jours et des semaines. Duceppe comme Drainville je le crois sont capables d’affronter et Charest et Legault. Car dans l’hypothèse d’un affrontement à trois entre soit Duceppe ou Drainville opposé à Charest et à Legault. C’est ce dernier dont on surestime le charisme qui rencontrait le plus de difficultés.
Drainville a un potentiel de charisme, déjà comme journaliste s’exprime bien et est capable de se faire son propre média de ses messages. G.Duceppe lui sait communiquer aussi auprès du peuple et contrairement à Ottawa peut incarner la virginité politique à Québec sans traîner un ressentiment de passé ministériel auprès du peuple comme Mme Marois.
Marois contre Legault et Charest, elle est doublement battue par les deux hommes, elle ne fait pas le poids. Cela devrait être pour les médias sans exception une évidence!
C’est le retour de caméra sur la collusion qui évite de nous rappeler l’impopularité populaire de Mme Marois qui est incurable.
Le peuple dans sa cruauté, son arbitraire populaire a caricaturé avec les caricaturistes Pauline Marois. Il serait temps que les journalistes de l’opinion également largement fassent le constat final que P.Marois ne peut se faire le véhicule média politique de sa propre personne.
Pauline Marois bien davantage que le PQ connaît des problèmes de fond qui en a aussi comme parti mais voilà rappelons ceci sur le fond. Dans les années 50, un Georges Émile Lapalme dans un cadre différent mais similaire sur une autre plan avec celui d’aujourd’hui a su tirer sa révérence du poste de chef bien battu par Duplessis afin que Jean Lesage puisse le remplacer au Parti Libéral pour diriger la révolution tranquille en 1959-1960.
Il apparaît que Pauline Marois devrait faire d’elle même une Georges Émile Lapalme et savoir qu’elle ne peut devenir premier ministre et qu’elle doit quitter.
L’aveuglement du jugement populaire politique ou sa sagesse cruelle parfois heureuse parfois catastrophique est non négociable.
Les sondages sont unanimes dans leur jugement contre la figure Marois.
P.Marois doit quitter.
Il faut penser selon l’inconscient politique québécois pour voir clair même si ça fait mal.
M. Thibaudeau !
Comme chef Pauline Marois a de sérieuses carences et elle ne pourra jamais avoir assez de charisme et de popularité pour gagner les prochaines élections . Mise a part cette constatation je considère madame Marois comme une femme militante et impliquée depuis des années en politique et ayant eu une carrière très honorable .
Le problème étant qu’un parti politique n’est pas une fraternité mais une organisation qui se doit de présenter le meilleur chef possible sans tenir compte de ses actions passées ! Quand ont va a la guerre vaux mieux avoir des armes efficaces et en politique l’arme la plus efficace est la perception et celle du publique envers Pauline Marois est pour le moins rachitique !
En février dernier, 2011, le PQ de Mme Marois était en tête avec 34 % des intentions de votes plus ceux de Québec solidaire à 11 %, ce qui totalisait 45 % de votes à ces 2 partis souverainistes (pendant que Mme Marois était le chef du PQ).
Fait que…Mme Marois n’était pas du tout le problème lors de ce sondage de février dernier de Léger marketing. Le PQ et Québec solidaire récoltaient alors, même plus que le nombre avoué de souverainistes vivants.
Depuis ce temps, le Bloc s’est effondré le 2 mai, principale cause du départ des 5 mutins du PQ qui ont pris peur et sont partis en tapant sur la tête de leur chef, Mme Marois, à cause de l’affaire Labeaume et d’autres frustrations.
Un autre sondage en août dernier avait réduit les votes souverainistes à 24 % pour le PQ et 12 % pour Québec solidaire. Une baisse de 9 % en 6 mois. Résultat de la mutinerie dirigée principalement par le couple Parizeau-Lapointe.
En plaçant un parti de M. Legault dans le portrait, le PQ baissait en août à 16 % et Québec solidaire à 8 %, pour un total de votes souverainistes de 24 %. Ayoye !
Pourquoi ? 25 % des souverainistes sont mous de l’option « prêts à rester dans le Canada » et prêts à voter pour un parti qui ne l’est pas du tout comme la CAQ de Messieurs Legault et Sirois.
Mme Marois doit rester. Sans elle, le PQ dépassera les 10% et divisera le vote
Mme Legault, j’ai remarqué que votre site est une cible privilégiée de trolls. Ce doit être qu’il dérange particulièrement.
Non à la censure au Devoir!
M. Réjean Asselin, les abstentionnistes ont toujours tort. Faut voter pour le meilleur parti politique ou le moins pire à la place de laisser gagner n’importe qui, localement et au niveau provincial, pour mieux chiâler ensuite.
Des gens sont morts, pour obtenir le droit de voter, pendant qu’une bonne partie des Québécois lèvent le nez sur ce doit. Non, les partis ne sont pas assez parfaits, je ne voterai pas cette année.
Monsieur Bousquet !
Lâchez-nous avec vos grands principes moraux sur le droit de vote et les gens qui sont décédés pour que nous puissions l’avoir. Ces gens sont morts pour la démocratie et l’abstentionnisme en fait partie. Dans probablement 80 % des pays démocratique en Amérique du Nord une grande partie des citoyens ne s’intéressent pas à la chose politique et je suis le premier à déplorer mais c’est un fait. Aux dernières élections fédérales le taux de participation au Québec a été supérieur à celui des dernières élections provincial et la personnalité de Jack Layton a joué pour beaucoup. Avec Pauline Marois qui semble être apprécié que par sa garde rapprochée du PQ la POPULATION ne semble aucunement prête à la suivre.
En février 2011 le PQ était en avance à 34 % et non madame Marois ! Depuis qu’elle occupe ce poste c’est le parti qui la traine et non le contraire. En février 2011 Charest était déjà au plancher et l’ADQ moribond. En plus Legault n’était pas encore dans le décor ce qui me fait dire qu’un appui de 34 % dans ce contexte n’avait rien d’extraordinaire et qu’avec un autre chef l’avance aura été largement supérieure. Mais le club privé qu’est devenu le PQ continue de fermer les yeux sur cette réalité et préfère s’en prendre aux démissionnaires et à la population en général pour le maigre appui envers le parti alors que les scandales de corruption n’ont jamais été aussi virulents.
C’est ce qu’ont appelle DORMIR au gaz !
M. Asselin, en février dernier, le 45 % de votes au PQ et à Québec solidaire était légèrement supérieur au nombre de souverainistes. Vous affirmez qu’avec un autre chef, il y aurait eu plus de votes pour les partis séparatistes. Ça veut dire qu’à votre opinion, un fédéraliste va voter pour le PQ parce qu’il aime mieux son chef ?
Est-ce que vous, séparatistes convaincus, seriez tenté de voter Libéral provincial, si ce parti avait un chef encore plus charismatique ? Je crois que NON.
Je vous concède que Mme Marois est en déficit de popularité à cause des coups dans le dos qu’elle reçoit de ses troupes, plus que de ses adversaires. Aucun chef du PQ, même M. Parizeau, n’a été capable de résister à ça.
Je viens moi aussi d’expérimenter la disparition subite de mon texte en appuyant sur le bouton «publier». Alors maintenant je ne prends plus de chance je me sers d’abord de mon traitement de texte puis d’un «copier/coller» vers le blogue de Voir. Précaution …
Mais revenons à des choses moins triviales.
Je suis extrêmement surpris, voir déçu de constater que pendant que le Québec tout entier est aux prises avec une crise profonde de moralité et d’éthique qui nous coûte des milliards de dollars et qui aura toutes sortes d’impact à moyen et long terme, on en est encore, ici, à débattre des vertus de la souveraineté ou du fédéralisme ou à se demander qui devrait être le prochain chef du PQ.
Pendant ces belles discussions de salon, le bateau est en train de sombrer. C’est comme les musiciens du Titanic qui jouaient pour ne pas entendre le clapotis de l’eau sous leurs pieds. Allez qu’on se réveille la dedans ! On parlera du sexe des anges plus tard.
Pendant qu’on perd du temps précieux et des énergies en vaines discussions partisanes, nous vivons dans une société sous influence où le crime organisé à ses entrées au sein du gouvernement et où le parti au pouvoir en profite pour enrichir ses membres.
Encore une fois on fait dévier le débat et les échanges en s’accaparant de l’espace et on laisse de côté les vrais enjeux : comment en sommes-nous arrivés à être submergés par la corruption endémique au Québec ? Comment allons-nous réussir à nous débarrasser de la corruption ?
M. Bousquet, M. Asselin, M. Bouchard, Mme Thibaudeau et tous les autres, avez-vous des réponses à ces deux questions ? Ou préférez-vous continuer à discuter, entre vous, du sexe des anges ?
B.C.
Laval
M. Carré, nous comptons sur vous pour nous ramener dans le droit chemin et pour nous dire comment nous pouvons arriver plus vite à nous débarrasser de ce gouvernement autrement que de voter contre lui, à la prochaine élection générale ou partielle.
Que celles et ceux qui sont motivés comme vous sur la moralité et l’éthique, accaparent plus ce blogue pour dire comment ils pourraient changer ce qui est, nous allons avoir plaisir à le lire et commenter, en cas de besoin.
M Carré.
Vous avez entièrement raison.
Au lieu de dévier du sujet , il serait préférable de se demander comme citoyen ( e) quelle est ma responsabilité .
Je suis pour les manifestations bien sur mais je pense que ce soit pas suffisant.
Faire une action plus forte d’ailleurs vous le notiez dans un autre blogue.
Écrire à notre député .Collectivement ce geste aurait plus de signification.Même si notre député n’est pas libéral.
Dans mon comté c’est Jean Charest .Qu’importe soit le député au pouvoir , si chaque citoyen crie l’horreur et regarde le Titanic couler c’est comme se foutre de la situation.
Excellente suggestion de Mme Thibaudeau, principalement si notre député est Libéral provincial.
M. Carré a bien raison. En revenant au sujet proposé par Mme Legault on constate qu’un super habitué comme M. Bousquet n’a pas grand chose à en dire. Alors qu’il se taise ça fera de la place pour d’autres.
Alors à votre première question, M. Carré, je soutiens que l’idéologie néolibérale visant la disparition de l’État est à la source de ce que nous éprouvons au Québec.
À votre deuxième question je propose que pour nous débarrasser de la corruption au sein de l’appareil gouvernemental, nous devons redonner à l’État les ressources nécessaires pour jouer complètement son complètement rôle de surveillance des activités économiques qui se déroulent dans la société.
«Si ce que tu dis n’est pas plus beau que le silence, alors tais-toi.»
[Éric-Emmanuel Schmitt»
M. Drouin, vous écrivez : « nous devons redonner à l’État les ressources nécessaires pour jouer complètement son complètement rôle de surveillance des activités économiques qui se déroulent dans la société.»
Très bien, c’est qui le NOUS qui va redonner à l’État les ressources et, pour être pratique,comment faire ?
Mme Thibaudeau,
Ne croyez-vous pas que nous en sommes là parce que nos élus ont constamment recherché à se faire réélire en promettant des baisses d’impôts et de taxes ce qui mène nécessairement à diminuer continuellement les services aux citoyens ?
Après la prochaine élection qu’allons-nous exiger des nouveaux élus pour ne pas retomber dans les mêmes basfonds de la corruption ?
B.C.
Laval
C’est une réflexion fort réelle M Carré et j’avoue que trouver la ou les solutions n’est pas évident.
M Drouin écrit à ce sujet une remarque pertinente.Et M Gingras abonde dans le même sens.
Donc merci .
Nous, c’est NOUS ( Larousse :Représente le locuteur et une ou plusieurs autres personnes constituant avec lui un groupe). Nous = les citoyens du Québec. Ça vous va M. Bousquet ?
Le comment Maintenant. Je ne suis pas un expert en la matière mais je me souviens qu’après l’ère Duplessis, on a assisté à la construction d’une véritable fonction publique, encadrée par des lois et des règles. Il me semble que pourrait s’en inspirer pour reconstruire ce qu’on a défintisé pour installer le néolibéralisme.
Une vaste commission d’enquête telle que réclamée pourra sans doute démontrer que nous ( les citoyens M. Bousquet, nous ce sont les citoyens; vous me suivez…) avons payé des milliards en trop pour enrichir la mafia et des partis politiques. Si cela s’avère, les coûts de la réparation de l’État se paieront d’eux-mêmes. Si ce n’est pas le cas, c’est que la corruption n’aura jamais existé et qu’on a rien à réparer.
«Pour voir qu’il fait noir, on n’a pas besoin d’être une lumière.» [Philippe Geluck]
Certains « Confucius » de la confusion, les fédéralo-libéralo-libéro-péquisto, sur ce blogue ostracisent gaiement les pauvres esprits épeurés d’avoir peur, atteints de peur d’avoir peur de se faire peur, d’un 3e référendum qu’aucun Québécois ne veut à court et moyen terme. Même les « parizo-lapointo » ont déjà exprimé clairement être rendus à une autre étape dans la réalisation du projet d’indépendance du pays réel des Québecois.
Pour contrecarrer ces épouvantails à moineaux de concitoyens adeptes de la propagation la référendite (peur du référendum), et annihiler leur malhonnêteté intellectuelle diffusant des effets pervers subliminaux horrifiant et bernant que les imbéciles, je suggère cette lecture d’un texte de Jocelyn Desjardins, du NMQ, paru dans Le Devoir de ce jour.
Vous n’avez qu’à cliquer sur ce lien:
http://www.ledevoir.com/politique/quebec/332001/politique-quebecoise-un-nouvel-espace-public-quebecois
Apaisement assuré…bonne lecture !
M. Drouin, avec l’énorme fonction publique que nous avons au Québec en plus de notre partie de celle du fédéral, nous devrions avoir assez de ressources pour mieux encadrer notre « provincial government » mais, si celui-ci ne veut pas être encadré, il n’y aura rien à faire autre que le débarquer à la prochaine élection générale, après l’avoir critiqué, ce qui ne l’a jamais empêché de continuer à mal agir.
Peut-être que les ressources humaines dans notre fonction publique, ne sont pas placés aux bons endroits, à faire les bonnes choses. Certains fonctionnaires de notre ministère des transports, pourris par les occasions qui font les larrons, devraient changer de fonctions.
Première priorité : Changer le parti pourri.
Pourquoi la corruption et la collusion systématique sont elles institutionalisée au Québec? Je crois que la faute revient à la mondialisation et au néolibéralisme à la Milton Friedman, école de Chicago.
Ce matin, à Radio-Canada, M. Claude Béland, qui n’est pas un deux de pique, avouait ne pas connaître la solution aux problèmes financiers et économiques qui nous assaillent. J’en étais interdit. Pourtant, après quelques minutes, il faisait allusion aux mesures mises en place par l’administration FDR lors de la grande crise des années trente. Ces mesures, ont duré jusqu’à l’administration Reagan, qui comme un parfait ignorant des causes et des effets a permis la dérèglementation tous azimuths et l’instoration graduelle de la chie-en-lit que nous connaisons présentement.
La solution est évidente. Faire machine arrière en quatrième vitesse et restaurer les garde-fous qui nous ont protégés pendant des décennies. C’est un minimum.
Pour ce qui est de la fonction publique, tout comme M. Drouin, je souscrit à sa reconstruction pleine et entière. Oui aux augmentations de taxes, oui aux augmentations d’impôt et oui aux filets sociaux efficaces et humains.
Le rapport Duchesneau nous montre l’iceberg qui flotte devant nous. Il est impérieux de trouver le glacier qui a produit ce monstre et il faut le circonvenir. C’est une question de volonté politique. Pour le moment, seul Québec Solidaire a au programme des mesures salvatrices et impopulaires. Mais lorsque la maison est en feu, peu importe notre aversion pour les pompiers et leurs méthodes destructrices, il faut bien leur laisser la place et les laisser agir.
Il est temps de souffrir pour mieux respirer plus tard. Un remède de cheval, voilà ce qu’il nous faut. Non à la mondialisation, non à l’argent fictif créé par les institutions financières et non à la spéculation. Oui à l’investissement.
On a du pain sur la planche.
Mme Thibaudeau,
Je suis d’accord avec vos suggestions fort à propos. Mais comme citoyens nous devons également être résolu à refuser de nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Nous devons reconnaître les finalités réelles des mesures que nous proposent nos dirigeants politiques de quelques partis soient-ils. On nous a endormi avec des coupures destinées à baisser les impôts alors que ce qui était recherché c’était strictement d’amincir l’appareil gouvernemental conformément à l’idéologie néolibérale. Du coup on créait les conditions propices à l’essor de la corruption.
«Les ruses et les machinations ténébreuses ont été imaginées par les hommes pour venir en aide à leur lâcheté.» [Euripide]
Monsieur Carré !
Vrai que parfois certains blogueurs ( me itou ) ne respectent pas le sujet mais la direction de ce blogue y vois quand c’est nécessaire . Se transformer en grosse police de ce blogue n’est certainement pas plus appréciable que de dévier de temps en temps du sujet !
J’ai toujours un peu de diffulté avec les contrôleux et les contrôleuses dans ttoutes les sphères de notre existence .
Concernant le sujet , un bon billet a lire de Frédéric de Pierrebourg sur Cyberpresse concernant la police a Charest ( SQ ) et l’ingérance des membres de ce gouvernement de la honte dans les enquêtes en cours !
Quoi que vous aimiez bien discuter du sexe des anges à l’occasion je constate tout de même que vous avez des informations intéressantes à faire sur le sujet proposé. J’en suis heureux.
Le texte que vous proposez et d’autres informations tendent à démontrer qu’il y plusieurs choses qui ne tournent pas rond. Je pense en particulier au dossier d’Hydro-Québec. Imaginez ce qui pourrait sortir d’une vaste commission d’enquête …
B.C.
Laval
P.S.
Vous n’aimez pas les grosses polices. C’est votre droit. Moi je n’aime pas l’expression répétée de la connerie et je me donne le droit de l’exprimer, tout comme vous j’imagine.
B.C.
M. Gascon écrit : «Même les « parizo-lapointo » ont déjà exprimé clairement être rendus à une autre étape dans la réalisation du projet d’indépendance du pays réel des Québecois. »
Quelle autre étape ? Cette équipe « parizo-lapointo » ne veut pas de gouvernance souverainiste de Mme Marois. S’ils ne veulent pas gouverner une province, faut automatiquement, un référendum rapide, comme l’a fait M. Parizeau en 1995 après avoir gagné, pour le PQ, l’élection de 1994.
En voici un autre, qui ne croit pas au succès d’un référendum gagnant, à l’adresse Internet suivante :
http://www.radio-canada.ca/emissions/telejournal/2011-2012/Reportage.asp?idDoc=174833&autoPlay=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2011/CBFT/2011-09-20_22_00_00_tj22h_4339_02_800.xml
Comment, vous-même « Confucius » de la confusion, pouviez-vous répliquer autrement qu’en citant un de vos semblables, évitant ainsi les corrections de faussetés sciemment répandues sur ce blogue dont le texte de Jocelyn Desjardins corrige.
« La vérité est si obscurcie en ces temps et le mensonge si établi, qu’à moins d’aimer la vérité, on ne saurait la reconnaître. » Blaise Pascal
M. Gingras j’endosse votre commentaire.
J’ajoute que selon moi, le néolibéralisme et la mondialisation ne sont que des expressions, des théories pour institutionnaliser l’enrichissement des plus riches sans se préoccuper des moins bien nantis.
Anecdote: hier aux nouvelles on nous présente des candidats républicains au poste de candidat à la présidence et on souligne les propos de l’un d’eux portant sur le coûts des assurances sur la santé que certains contribuables ne sont plus à même de payer et qui se retrouve donc avec aucune protection ni pour eux ni pour leur famille. Ce candidat rétorque alors que ce n’est pas son problème et qu’il n’avait qu’à s’en prendre à lui-même s’il n’avait pas prévu le coup. Et il fut fortement applaudi par l’auditoire. Aucune empathie ! Voilà l’image réelle du néolibéralisme qui anime nos gouvernements.
« … le néolibéralisme et la mondialisation ne sont que des expressions, des théories pour institutionnaliser l’enrichissement des plus riches sans se préoccuper des moins bien nantis. »
Denis Drouin, 23 septembre 2011 – 12h 03
C’est une jolie formule, j’y ajouterais le terme idéologie et je dirais que ça fait bien le tour de la question.
En 2008 lors d’une entrevue accordée à PBS, le milliardaire américain Georges Sauros, blâmait l’absence de dispositifs de régulation efficaces aux États-Unis. Selon lui, ces conditions, combinée à la cupidité abyssale des différents acteurs du marché avaient menés à la crise et commandait de repenser le capitalisme, ni plus ni moins.
Il proposait un capitalisme plus généreux.
Pour ma part je pense que le capitalisme plus généreux existe déjà sous le nom de social-démocratie, mais là n’est pas la question.
La question c’est: comment un capitaliste devenu milliardaire en est-il venu à voir des failles dans l’idéologie qui le servit si bien toute sa vie durant?
Ne faut-il pas que les choses aillent bien mal pour en arriver là??
Enfin, sur l’idéologie néo-libérale il est toujours utile de voir le documentaire canadien « The Corporation » qui fait la génèse du corporatisme. Un film éclairant et doublé et ou sous-titré en français…
salutations à vous,
M. Bousquet
Vous venez encore faire diversion. On ne parle pas de référendum gagnant. On discute de l’affaire Duchesneau et tout ce qui la sous-tend.
Si vous voulez tant parler d’un référendum gagnant ou perdant attendez que ça devienne le sujet.
Est-ce que c’est parce que vous n’avez rien d’intelligent à dire sur le sujet que vous vous mettez à parler de n’importe quoi? Un peu de discipline nom de Dieu.
B.C.
Laval
Mais, M. Carré, je répondais seulement au commentaire de M. Gascon qui a écrit sur un troisième référendum. Voir son message de 11h41 du 23 sept. plus haut.
Vous, vous avez quoi d’intelligent à écrire sur le sujet ?
M. Bousquet,
Je n’ai rien à y dire puisque le texte en question n’était qu’une satire, un hameçon lancé à l’au pour attraper un petit méné. Vous ne l’aviez pas compris. :-0
B.C.
Laval
Bon, je suis toujours bien pour jouer au préfet de discipline bien longtemps. À d’autres d’y voir SVP.
B.C.
Laval
M Carré
http://voir.ca/cyberboom/2011/09/23/duchesneau-a-tout-le-monde-en-parle-politique-du-divertissement/
Oups ! ça manque de sens. Je me reprends
Bon, je suis toujours bien PAS pour jouer au préfet de discipline bien longtemps. À d’autres d’y voir SVP.
B.C.
Laval
M. Carré, je voulais dire : Est-ce que vous avez une chose intelligente à dire sur le sujet de ce blogue ? Pas sur cette histoire de petit poisson que je ne vois pas assez venir, selon vous.
Je ne répondrai pas à votre question car je ne vous fais pas confiance pour juger de l’intelligence des commentaires. Mais j’ai une certaine compétence pour reconnaître ceux qui sont des conneries. Et quand j’en lis je me permets de l’écrire.
B.C.
Laval
Je constate que M. Bousquet est occupé avec M. Carré. Alors j’en profite pour parler du sujet.
Nous constatons qu’il y a de plus en plus de langue qui se délient. Les médias nous rapportent continuellement des faits troublants, des allégations faut-il reconnaître, qui nuisent toujours un peu plus à la crédibilité du gouvernement Charest et de certaines de ses composantes : la SQ, Hydro-Québec.
Et nous continuerions à chanter «Tout va très bien madame la Marquise…» ? Pour qui nous prend-on à la fin ?
Allez tout le monde dans la rue et nous chanterons:
«Ça ira ! Ça ira ! Ça ira ! Les corrupteurs ont les aura …»
«L’absence de volonté et la lâcheté devant l’action représentent de grands défauts pour les dirigeants alors condamnés à l’impuissance.»
[Jiang Zilong]
A M Carré.
Que chaque soumission décrive les travaux à faire avec détails et que si le sommisionnaire oublie des travaux suppémentaires , que ces oublis ne fassent nullement l’objet de rémunération supplémentaire mais que ce soit à ses frais.
Qu’un comité indépendant reçoive les sommissions et que ce comité soit non identifié
Que les compagnies à numéro soient obligatoirement éliminées car souvent c’est la mafia qui s’inscrit ainsi.
Voilà .Je ne sais si mes arguments tiennent ! A celà les blogueurs de commenter.
Vos suggestions sont intéressantes Mme Thibaudeau. De la façon que vous décrivez le comité indépendant, on dirait un comité secret. Par contre, si les membres d’un tel comité sont connus de tous et que si les médias y ont accès, se pourrait-il que ce soit là meilleure garantie que tout se fassent correctement. Le silence et le secret ne sont-ils pas les armes du crime organisé et de la mafia ?
Que le nom officiel de la compagnie soit 1234321-56789 ou Abénicouf, ce n’est pas si important que ça. Mais ce qui est important c’est d’avoir le personnel requis pour faire toutes les vérifications au registre des compagnies, pour remonter les chaines de noms d’une compagnie à l’autre et pour faire les rapprochements avec des condamnations s’il y lieu. L’État doit avoir les ressources pour faire ce travail et évidemment la volonté de le faire.
Un des principaux problèmes que nous avons et qui favorise la corruption c’est l’absence de ressources et d’expertises pour encadrer les processus décisionnels d’octroi d’ouvrage. Ce problème est justement issu de la volonté des néolibéraux comme Charest et Harper qui n’ont qu’un but : réduire le plus possible la taille de l’État.
Évitons donc de prendre l’ombre pour la proie.
«Notre tête est ronde pour permettre à la pensée de changer de direction.»
[Francis Picabia]
Autre bonne idée Mme Thobaudeau, mieux encadrer les contrats octroyés par notre gouvernement provincial et aussi, au municipal qui ne semble pas faire mieux. S’il y en a qui ont des dépassements de coûts, après avoir soumissionné en toute connaissance de cause, c’est alors au contracter à payer pour ses erreurs sauf pour des cas prévus aux contrats et est très spécifiques. Pas des : Je me suis trompé, veuillez me rembourser M. le gouvernement, s.v.p. afin que je puisse continuer de fournier à la caisse électorale de votre parti…merci.
M Drouin.
Vous soulevez un aspect important et je vous approuve.
Que le comité soit connu de tous et que les médias y aient accès , vous touchez un point fort.
Pour les compagnies à numéro , c’est aussi une très bonne idée de remonter à la source .Ainsi on pourra les identifier.
Merci M Drouin.
@Claire Thibaudeau
Mais encore faut-il avoir le personnel nécessaire pour le faire. On a tellement coupé dans le gras que tout ce qui reste à couper ce sont les tendons et les muscles. Ça fait pas un corps très fort. Pendant ce temps là ce sont les mafieux qui s’engraissent avec le gras de la fonction publique. C’est ça qui est ça !
« La bêtise a ceci de terrible qu’elle peut ressembler à la plus profonde sagesse. »
[Valéry Larbaud]
La société québécoise n’est pas plus corrompue
Je me pose cette question.
Enquêter donne-t-il le pouvoir d’arrestation?
Je n’en suis pas certaine.
Commission d’enquête ? Il me semble qu’il y a des différences.
De là Jean Charest à mon avis s’en tient à une enquête pour nous endormir alors qu’une commission d’enquête ne lui convient pas.
Je ne veux pas mal interpréter Alain Gravel mais si j’ai bien compris une enquête ne donne pas de subpaena .On peut faire une enquête et ça reste dans les tablettes.
C’est une impression et non une affirmation…
Mme Claire, les expériences passées ont démontré qu’une Commission d’enquête publique et l’enquête d’une escouade policière « secrète » (UPAC) n’arrivent toujours qu’à « pincer » de « petits poissons » d’une organisation criminelle, quelques petits exécutants sans leurs têtes dirigeantes. L’une n’empêche pas l’autre; et elles peuvent se tenir dans le temps, l’une après l’autre, l’une avant l’autre, ou en même temps.
L’énorme différence entre ces deux formes d’enquête est que l’une est conduite PUBLIQUEMENT alors que l’autre, policière (UPAC), se déroule dans le plus grand secret jusqu’à sa conclusion.
Une Commission d’enquête publique dévoile au grand public, dans le cours de son déroulement tétlévisé, toutes les composantes structurelles, le fonctionnement et les activités de gangsters du crime organisé. De plus, elle dévoile toutes les ramifications et les complices du système mafieux s’étendant chez tout groupe de la société civile, provenant du monde des affaires, des professionnels, de nos INSTITUTIONS démocratiques et étatiques (politiciens et hauts fonctionnaires), etc. Enfin, l’identité des acteurs évoluant dans ce système y est aussi dévoilée.
Suite à une enquête policière non publique (UPAC), des accusations peuvent être portées contre les malfrats par des procureurs de Sa Majesté au service du Ministère de la justice si, bien entendu, les preuves accumulées sont suffisantes pour ce faire, IDEM pour la l’enquête publique.
Un subpoena est une demande formelle de comparaître devant un juge émise par le Ministère de la justice. Cette procédure judiciaire oblige tout individu assigné à comparaître devant un(e) juge lors d’un procès et devant le ou la Commissaire d’une Commission d’enquête publique.
Voilà madame des informations de base que toute personne bien avisée pourrait vous transmettre sans toutefois être un érudit ou érudite des Lois et codes de procédures du système judiciaire.
N’en déplaise à M. Patriquin, la société québécoise n’est pas plus corrompue que celle du « Rocanada » ou de l’Italie ou de la France etc. Au lieu de regarder seulement le Québec, les médias du R.O.C. trouveraient les mêmes tares sociales chez eux et les Canadians reclameraient probablement, comme les Québécois, une Commission d’enquête publique, car après tout il s’agit de leurs taxes et de leurs impôts aussi. Ce sont certains politiciens comme John-James qui ferment les yeux (De bon coeur) sur le montage d’un système frauduleux qui lui profite personnellement, comme par exemple le minimum de 75000$/an, qui pervertissent leur société.
Ce qui est tout de même fort intéressant relativement à ce fameux rapport Duschesneau – et cela bien davantage que son contenu avec plein de passages qui seraient rédigés au « conditionnel » et ne constituant par conséquent pas des faits fermement documentés (mais plutôt l’expression d' »inquiétudes » si ceci ou cela devait éventuellement s’avérer) – c’est le 100% de crédibilité et de fiabilité qu’on semble accorder au « messager »…
Du rarement vu!
En ce moment, il appert que M. Duschesneau pourrait nous annoncer l’heure et la date de la Fin du Monde et qu’il serait cru sur parole et applaudi…
Bon, je rigole un peu. Et puis, comme il n’y a habituellement pas de fumée sans feu, je ne doute pas qu’il y en ait qui jouent avec des allumettes, ou un briquet, et allez donc savoir… peut-être même un lance-flamme, quelque part.
Sauf en ce qui concerne le pape dont l’infaillibilité serait indiscutable (à ce qu’on nous assurait à la petite école dans ce lointain passé remontant aux années cinquante où l’on m’a également montré – à l’âge de 5 ou 6 ans! – comment je pouvais moi-même baptiser un bébé non-baptisé en danger de mort imminente, pour lui éviter qu’il passe malgré lui l’Éternité dans les Limbes), j’ose soumettre la possiblement bien malvenue idée, dans le contexte actuel, qu’il se pourrait que M. Duschesneau ne possède pas de son côté la même qualification papale.
Sinon, plus la peine de nous triturer encore et encore les méninges et plébéscitons dès que possible M. Duschesneau à la fonction de chef de l’État, avec tous les pouvoirs désirés, qu’il pourrait par la suite utiliser à sa seule discrétion!
Une bonne affaire de réglée, voilà ce que ça serait pour nous tous…
Il a été dit et redit par M. Duchesneau que son enquête, enquête administrative sur des allégations de la présence d’un système de collusion au Ministère des transports, a été menée auprès de plus de 500 employés de ce ministère, et plus de 2,500 témoignages ont été reçus par ce dernier, dans la dernière année, étayant les conclusions de son rapport.
Le mandat donné à M. Duchesneau par John James Charest n’était pas de nature judiciaire mais administrative. Le conditionnel employé dans le rapport de M. Duchesneau est une obligation de forme d’écriture imposée, puisque qu’en employant une forme affirmative cela équivaut à des accusations formelles, ce que, de par la loi, il n’était pas autorisé de faire.
Quand entendez-vous les journalistes d’enquête s’exprimer dans la forme affirmative, dans leurs reportages, lorsqu’ils décrivent des gestes répréhensibles des acteurs faisant l’objet de leurs enquêtes ? Jamais. Pouquoi ? Pour une simple et bonne raison, tout comme dans le mandat donné à M. Duchesneau (ex-policier et ex-directeur du SPVM), ils n’ont aucune autorité et mandat judiciaires reçu du Ministère de la justice pour ce faire. Seul le Ministère de la justice, par l’entremise de ses procureurs de la « royauté toute couronnée », a l’autorité d’émettre des accusations suite à une enquête.
Je suis « convaincu » que vous « ignoriez » ces « renseignements » et « subtilités » nécessaires à une opinion dite éclairée et objective.
Hier, à Bazzo.tv, l’éditorialiste de service cette semaine, abordait le sujet de la décrépitude de l’empire des USA. C’est redu que l’on offre un hamburger de 1, 500 calories. D’une part, on préfère laisser mourir un malheureux indigent victime des aléas de l’économie, on y a fait allusion plus haut, et d’autre part on est prêt à se suicider en s’empifrant comme des cochons.
Cette société, qui nous a imposé le libéralisme économique, qui nous a mené à la crise actuelle et à la corruption qui s’en est suivie au Québec, cette société, dis-je, nous entraine dans son sillage et aussi vers le fond, comme Titanic.
Il faut au fédéral une politique de salut publique qui remettra les politiciens à la barre de l’Etat et des l’économie. Les hommes d’affaires, les financiers ont fait une fois de plus la preuve de leur ineptitude, de leur insouciance, de leur indifférence aux maux qu’ils causent. Il faut leur remettre la bride sur le cou et les bien tenir en place entre les menoirs. Les élus doivent décider, mener, et les hommes d’affaires doivent s’engager dans le droit chemin qui mène au bien commun.
Oui! la social-démocratie a bien meilleur goût. Surtout pour ceux qui en bénificient.
Curieusement, et malgré tout bien indirectement, votre commentaire cher Monsieur Gingras, rejoint ce que je racontais à ma femme ce matin encore.
J’épiloguais alors à propos des cours boursiers, comment si quelqu’un malencontrueusement tousse un peu à un bout de la salle, plusieurs à l’autre bout s’imaginent qu’un virus est à se propager dans l’assistance.
Alors, une panique s’installe. Plein de participants cherchent à déserter les lieux en courant, quitte à y abandonner une part de leur oseille. Ce qui entraîne du coup les cours boursiers à la baisse.
Puis, le lendemain, le tousseur ayant causé la panique de la veille se portant mieux, tout le monde respire mieux et les cours remontent.
Notre monde, nos économies, notre bien-être sont à la merci de soubresauts irrationnels. Aucune logique. Que de l’aléatoire et de la supposition. Et dire que c’est cette insipide rata même indigne de la pire cuisine qui détermine ce qui sera à notre menu…
Le domaine de la Finance, si rationnel pourrait-on penser qu’il soit, ne l’est pas du tout. De l’émotivité à fleur de peau.
Peut-être que notre première priorité, si l’on ose espérer un jour changer le monde pour le mieux, serait de collectivement nous attaquer (à travers le monde) à remplacer par autre chose de plus rationnel la main-mise que peut avoir sur notre bien-être à tous le tort pouvant être causé par le premier tousseur venu au fond d’une salle…
Mais je divague…
M Gascon
Oh que je suis contente car différences il y a entre les 2!
Merci beaucoup de cette réponse.
Je garde un esprit ouvert en ce qui a trait à M. Duchesneau. TLMEP n’est ni un tribunal ni l’Inquisition. M. Duchesneau ne pourra trop en dire, par respect pour le parlement, mais il en dira suffisamment pour nous mettre l’eau à la bouche et donner le goût de suivre de très près les déroulements de sa comparution devant les élus.
N’oublions pas qu’un procès risque de ne rien nous apprendre. Lorsque M. Rock Lassalle a comparu devant les tribuneaux, il a tout simplement plaidé coupable et on a rien su du fonctionnement de ses opérations. La même chose risque de se produire et ce n’est peut-être pas pour rien que M. Charest insiste tellement pour passer par les tribunaux. On plaide coupable et rien ne sort. Tout continue comme avant.
M. Charest est un homme d’une intelligence supérieure, comme Stephen Harper. Il sait ce qu’il fait, et les gens qui l’ont parachuté à ce poste savaient eux aussi ce qu’ils faisaient en y plaçant ce drôle. M. Charest s’ammuse comme un petit fou et ses associés, dans l’ombre, rigolent doucement. Pourvu que ça dure, pensent-ils. Je le crains moi aussi. La récréation n’est pas terminée.
Parler de P.Marois ne concerne pas le sujet directement toutefois comment vaincre un gouvernement corrompu si le parti d’opposition officiel est voué à la disparition, parti destiné à remplacer le gouvernement sortant?
Parler de la collusion est une chose, souhaiter un programme d’Union de l’opposition comprenant les 46 députés péquistes, les 4 députés adéquistes et Khadir de QS c’est autre chose. Suite à une défaite du gouvernement proche de la condition minoritaire, une telle union face à la désorganisation gouvernementale malade de la politique de partenariat public privé permettrait de sortir du gouvernement Charest.
Voilà une idée d’une solution possible qui pourrait fonctionner. Pas plus folle que la paralysie actuelle.
Il faut créer une pression constate pour forcer d’autres départs de la politique chez les libéraux après tout cela devient possible. Des gouvernement de coalition nationale ont déjà existé dans l’histoire sans demander toujours une nouvelle élection pour un changement de gouvernement généralement en climat de crise.
Toujours avant de publier, créer une copie pour Word pour éviter la frustration du néant du cyber espace!
M. Bouchard, vous oubliez une alternative qui, selon les sondages, a plus de chances de réussir à débarquer le PLQ Charest du pouvoir : La CAQ de messieurs Legault et Sirois
M. Bouchard, vous oubliez une alternative au gouvernement pourri PLQ Charest, celle qui a plus de chances de réussir, selon les sondages : La CAQ de Messieurs Legault et Sirois qui, selon un sondage Léger marketing du 22 août dernier « vieux de seulement 1 mois », donnait 31 % à la CAQ, 27 % au PLQ, 16 % au PQ, 10 % à l’ADQ, 8 % à Québec solidaire, 4% au Parti vert et 4 % aux autres partis.
En plus, si l’ADQ se fusionnait à la CAQ, ça devrait donner un 4 % de plus…minimum à la CAQ, pour faire 35 %, assez pour débarquer le PLQ de là.
Les 5 mutins ont poignardé leur chef, Mme Marois, quand ils l’ont quittée en la critiquant en juin dernier, ce qui me semble avoir pratiquement tué l’espoir d’une victoire électorale pour le PQ avec cette mutinerie dirigée par le tandem Parizeau-Lapointe. Faut maintenant trouver une autre solution, maintenant que ces 5 mutins ont enlevé de la crédibilité au PQ. Un changement de chef ne donnera rien de plus.
Parizeau-Lapointe et compagnie ont pratiquement suicidé le PQ en juin dernier.
Monsieur, le CAQ n’est pas un parti à cette heure.
Quels seront les militants qui organiseront le parti Legault, des libéraux provinciaux ou fédéraux reconvertis? Cela se saura rapidement quelle est la nature vraiment originale du CAQ? Qui pique des idées à l’ADQ, au PQ et qui veut jouer la stabilité politique voire réactionnaire comme le PLQ.
Il est arrivé une fois qu’un nouveau parti triomphe au Québec d’un seul coup. Le Bloc avec Lucien Bouchard en 1993 à une époque d’effervescence qui n’est pas aujourd’hui. Lucien avait plus de bagout en 93 que François. Le NPD a gagné sans trop d’organisation en mai toutefois le NPD qui a gagné en 2011 ici n’en n’a pas moins 50 ans d’existence et est plus vieux de trente ans que le BQ!
Que Legault ne songe pas à mieux s’organiser contre un Charest qui tentera un coup de poker en décembre ou en avril fait douter de ses capacités. Un parti demande de l’argent, des militants, une organisation. Une fusion alors avec l’ADQ, il y a le problème de la dette adéquiste à moins que de financiers généreux l’absorbent ce qui fera douter de l’intégrité politique de Legault.
Bref, Legault n’a pas de parti à cette heure et au moment de la formation rapide du Bloc en 90-93, une période de 3 ans minimum, le BQ a pu bénéficier de la machine frère du PQ. Quel parti installé soutiendra le parti Legault? Power Corporation oui probablement, du côté organisationnel c’est plus pesant comme préparation.
L’approche de ce Legault est celle d’une stratégie un peu convenue comme Charest. Ne pas trop se faire voir tous deux, apparaître là précisément pour Legault comme un politicien en attente, gaullien riche de ses perspectives et réflexions préparant de supposées longues réflexions afin de sortir le Québec de sa gangue.
Legault dans ce cadre s’éloigne de l’actualité pour se profiler en prophète, figure type du Québécois moyen qui rêve de Jean Baptiste à René Lévesque au sauveur qui le sauvera.
Quoique a force de prendre des distances avec l’actualité, St François le reconverti au statu quo national finira pour se faire voir peut être comme un décalé de la politique.
Le charisme politique se développe t’il dans la mise en scène d’un personnage si ombrageux?
Et la commission d’en quête, M.Legault?
M. Bouchard, M. Legault a déclaré la même chose que Mme Marois : Il va faire tenir une enquête sur la construction.
M. Legault fait durer le plaisir afin de continuer à être dans l’actualité, vu qu’il n’est pas à l’Assemblée nationale pour questionner le gouvernement du PLQ Charest, même si M.Charette, député mutin du PQ, a déclaré qu’il serait le premier député de la CAQ, si et dès que ce parti sera en force, ce qui devrait être avant Noël, selon les observateurs.
La CAQ ne va pas être fédéraliste ni séparatiste mais nationaliste dans le Canada avec une préoccupation de protection pour le français, une forte réduction ou la disparition des commissions scolaires et des agences de santé et une revalorisation avec un meilleur financement des Universités et de la profession d’enseignants avec accent placé sur l’économie et de l’investissement jusqu’à 49 % dans les compagnies qui exploitent nos richesses naturelles..
F. Legault et sa caqueterie se font imposteurs en ignorant le statut colonial du Québec dans le Canada, l’imposition en 1982 de la constitution du Rocanada au Québec. Non seulement se font-ils imposteurs, ils se font aussi fossoyeurs de la souveraineté du peuple québécois et disciples de Lord Durham en renonçant à toute revendication du pouvoir exclusif en matières de culture et de langue pour le Québec. Ce sont rien de moins que des lâches. Soyez bien averti que les Québécois, jamais accepterons l’acadianisation et la louisianisation du Québec.
Voici ce que Nietzsche écrivait à propos de la corruption:
*****«Le christianisme et l’alcool, les deux plus grands agents de corruption.»*****
Assumant le retour du concombre masqué (JSB), je voudrais dire au camarade Denis Chafouin Drouin qu’il devra cesser de se rehausser et de se revaloriser en se prenant pour le brillantissime Alain Cormer ou pour votre humble serviteur.
Thomas Fuller a déjà écrit: «Beaucoup seraient lâches s’ils en avaient le courage».
Tout cela pour revenir à la lâcheté profonde de tous ceux qui jouent le jeu de la corruption et de tous ceux, plutôt «charest-gnards», qui n’osent pas gratter un peu parce qu’ils ont peur de découvrir les bas-fonds pestilentiels de leur profonde turpitude.
Nous verrons bien ce que Duchesneau veut dire sur la place publique.
JSB
Voilà que Duchesneau, le liberal, joue de sa notoriété pour ne pas faire perdre la face à son chef et employeur, JJ Charest. Il suggère une Commission d’enquête tenue à HUIS CLOS. Quelle belle pirouette! Il suggère, ni plus, ni moins, l’imposition de l’OMERTA sur une Commission d’enquête que 80% des Québécois veulent PUBLIQUE. Sa neutralité et sa réputation d’homme intègre viennent de fondre comme neige au soleil. Décevant…c’est le moins que l’on puisse dire.
Ai entendu M. Duchesneau à RDI ce matin, extrait de Tout le monde en parle. Il propose une commission discrète de trois juges qui auraient pour mission de faire d’avantage de lumière sur cette état de chose. Après viendrait une commission d’enquête publique apte à poser les bonnes questions aux bons témoins. Peut-on s’y opposer?
Ce que propose M. Duchesneau me paraît raisonable.
La rumeur veut que l’on mette des bois dans les roues des enquêteurs, selon La Presse. Quid? A suivre absolument.
Cette info de dernière minute sur Duchesneau suggérant la tenue d’une Commission d’enquête publique suite à la tenue d’une première Commission d’enquête « SECRÈTE » est une aberration sans nom.
Quel gouvernement voudrait plonger dans un processus interminable d’inquisition publique favorisant, et maintenant ad nauseam, un sentiment de suspicion généralisé, envers et contre tous, dans la population ?
M. Gascon a bien raison, il y a un bon 12 % de Québécois qui n’acceptent pas d’être dans le Canada. Ils ne veulent pas, comme nos artistes, que le fédéral s’occupe de culture mais protestent quand le fédéral coupe dans la culture. L’autre 26 %, qui se disent souverainistes, veulent que le Québec souverain continue de faire partie du Canada. Misère. Faudrait demander à M. Duchesneau de régler ça.
M Duchesneau est déjà controversé ou approuvé.
On pourrait attendre un peu avant de juger cet homme !
Parfois on agit comme le téléphone arabe !
M Bousquet
Sans vouloir me faire l’avocat du diable , les artistes étant en majorité très peu favorisés financièrement, ne veulent pas être censurés par Harper .
De là leur protestation au fédéral.
D’ailleurs au gala des artistes on disait au Ministre du patrimoine .
James Moore we want more.
Et Harper de ridiculiser les artistes en disant que leur tenue de gala était très extravaguant.
Or ces tenus sont des commanditaires des créateurs québécois.
extravaguante
Mme Thibeaudeau, le gouvernement Harper a coupé 2 % sa TPS qui vient d’être récupéré par M. Bachand en TVQ. 1 % déjà collecté et un autre 1 % en janvier prochain, ce qui va donner environ 2 mille millions au Québec, par année. Une partie de ce montant pourrait être transféré à nos artistes pour compenser les coupes du fédéral. Tout ça va justement dans le sens des désirs souverainistes et artistiques québécois.
Ottawa n’a rien « coupé » de la TPS; il a transféré, 2 points en pourcentage des taxes payées par les Québécois en TPS à Bachand qui les a intégré à la TVQ.
Tout ce qu’Ottawa cède au Québec n’est toujours qu’un retour de ce que les Québécois ont versé en impôts et taxes au gouvernement du Rocanada.
M Bousquet .
Vous écrivez pourrait ! Comme je connais plusieurs artistes demandez-leur ce que le fédéral leur donne?
De là Christine St-Pierre et Josée Verner se sont souvent confrontées et qu’est-il arrivé à Josée Verner ?
Correction à extravaguante: extravagante.
@Jean-Serge Baribeau
«Donnez à manger à un cochon il va venir chi** sur votre perron». J’ai compris le message M. Jean-Serge Baribeau dont la suspension de toute évidence a été levée.
« La bêtise a ceci de terrible qu’elle peut ressembler à la plus profonde sagesse. »
[Valéry Larbaud
M. Cormier, (si vous lisez ce blogue …)
Comme la suspension de JSB semble avoir été levée,si tant est qu’il en eut une, je subodore votre retour sur ce blogue. Ce dont je me réjouis.
Aussi je veux éclaircir un point. J’ai tenté de créer un macaron avec votre nom et celui de JSB que j’aurais arboré avec mes commentaires pour bien indiquer que vous existiez toujours. (Il est toujours triste de disparaître dans l’oubli général 😉 )
Or, il est très difficile de porter un tel macaron sur ce blogue. J’ai alors imaginé signer mes commentaires, chose que je n’avais jamais faite antérieurement. En y insérant vos noms j’y voyais là la fonction «macaron». Donc il n’était pas question de me prendre ni pour vous ni pour JSB. De plus ne n’aurais jamais voulu ainsi offenser ni JSB, ni vous et ni moi ;-).
Voila pour la mise au point.
En attendant Duchesneau, je persiste à croire que Duchesneau en acceptant de passer à TLMP a voulu lui aussi passer un message à Charest : n’essayez pas de me tasser ni de me tordre un bras.
Mais, comme la majorité des humains, Duchesneau a deux bras. J’ai bien peur qu’il se soit fait tordre l’autre bras, le deuxième, car le voila qu’il a déjà commencé à édulcorer ses propres propos en proposant (Ça fait beaucoup de « pro » ) une enquête à huis-clos, autant dire secrète. J’ai bien l’impression que si Duchesneau était un de ces gros camions de la construction on entendrait le BIP-BIP-BIP annonçant que le poids-lourd a déjà commencé à reculer. À moins que son jeu aie fonctionné et qu’il a eut ce qu’il demandait. Ça me semble cousu de fils blancs. Enfin, On verra bien !
«La politique a sa source dans la perversité plus que dans la grandeur de l’esprit humain.»
[Voltaire]
Au fond, et cela peu importe de quel côté on regarde, tout va au mieux cahin-caha…
Et puis, comme si cet état de choses n’était pas assez pour ébranler les plus stoïques, toute tentative de redressement de quoi que ce soit passe obligatoirement par un incontournable souque-à-la-corde duquel personne n’est jamais ressorti gagnant.
En ce moment, ici, c’est le rapport Duchesneau qui retient momentanément notre attention. Où cela nous mènera-t-il en bout de ligne? À un autre souque-à-la-corde, bien sûr. Sans gagnant possible, car cela irait à l’encontre de l’Ordre des choses, tel que cela a toujours été le cas depuis le Début des Temps…
Peu importe qu’il y en ait qui crient Victoire! – s’illusionnant avoir gagné – alors que, de fait, il ne s’agirait que d’un bref répit dans un interminable souque-à-la-corde.
Toute victoire ne saurait au mieux qu’être très momentanée et partielle. Rien, nulle part, ne peut être totalement éradiqué ad vitam eternam. Et là, je précise que depuis les tout premiers mots de cette intervention de ma part, je fais allusion à tout ce qui se passe depuis des millénaires sur cette planète. Pas seulement ici, à l’heure actuelle.
Jetez simplement un coup d’oeil du côté de nos voisins américains. Qu’une petite lueur de bon sens se pointe, voilà les créationistes qui accourent au galop. Et ça se tiraille sans répit au Congrès et au Sénat dans un débat oiseux interminable. Jusqu’au prochain débat qui pourra alors se faire entre progressistes éclairés et rétrogrades butés. Et ainsi de suite sans fin. Que des enfilades de souque-à-la-corde d’où aucun gagnant ne sortira jamais.
Partout à travers le monde, les matchs nuls de souque-à-la-corde occupent une grosse portion des populations. Et tous les domaines possibles et imaginables s’adonnent à ce tiraillement se terminant invariablement avec des participants tous couverts de boue. Mais sans vainqueur définitif.
Mais revenons ici en terminant. Quelqu’un croit-il sincèrement qu’il soit possible, grâce à une enquête publique ou autrement, de régler une fois pour toute les problèmes soulevés par M. Duchesneau? Pour toujours, toujours?
Si oui, faudrait nous expliquer car cela fait des milliers d’années que le Monde attend qu’une solution définitive se présente enfin!
M Drouin.
Si vous désiriez porter un macaron en l’honneur de M Baribeau et M Cormier, au lieu d’écrire leurs noms de famille , pour signer le vôtre vous n’aviez qu’à mettre votre petit bonhomme jaune et y ajouter les noms de famille de M Baribeau et Cormier.
De plus comme vous n’aimez pas les fausses identités, vous avez par le fait même pris des identités en signant;
Denis Baribeau Drouin
Denis Cormier Drouin.
Je suis certaine que si ces 2 blogueurs avaient signé JS Drouin Baribeau ou
Alain Drouin Cormier que vous auriez rouspété
En ce qui concerne M Duchesneau , avant de spéculer sur ses intentions ou interventions, il faudrait attendre un peu me semble.
Déjà les hypothèses qui fusent.
On dit souvent qu’on est chialeux les québécois , on l’est !
M Drouin.
Nul n’est à l’abri d’une suspension .Ce pourrait être votre tour: donner au suivant.
Vous ridiculisez bien des blogueurs .Y compris moi -même .
Je m’attends à une belle citation de votre part ..
Vous disiez dans un texte que les citations appuyaient vos écrits en les renforçant.
Moi je vous réponds: se remonter pour mieux abaisser les autres.
Elle vient de mon petit cerveau ou comme vous pourriez l’écrire car je vous devance * cervelet.
Les Québécois sont chialeux ? Je n’en crois rien. En tout cas, pas plus que les autres. Alors pour ce qui est du cas Duchesneau, le dossier est suffisamment pour qu’on puisse émettre quelques hypothèses.
@Claire Thibaudeau
C’est extraordinaire comment vous interprétez mal mes intentions. Même si quelquefois je suis satirique, jamais je n’ai voulu mépriser ces deux honnêtes et intelligents penseurs que sont Baribeau et Cormier.
J’ai bien essayé d’inscrire les noms de Baribeau et de Cormier dans un petit bonhomme sourire mais rien n’y fit. Je n’y suis jamais parvenu. Si vous avez la recette, faites-la moi parvenir Mme Thibaudeau.
Pour ce qui est de prendre leurs identités, je ne vois pas comment vous pouvez penser cela. Chaque fois que j’ai utilisé la formule que vous me reprochez, j’ai justement utilisé la formule au complet :
«Denis Baribeau Drouin ou
Denis Cormier Drouin.» (Vous aviez omis le « ou »)
Je n’aurais jamais pensé que quelqu’un aurait pu y voir là une volonté d’usurpation d’identités. Si tel avait été le cas le processus aurait été très grossier et j’espère que vous me pensez assez intelligent pour que je ne l’eusse pas utilisé.
Si j’avais informé la communauté de ce blogue que j’en étais suspendu et que ces deux personnages avaient utilisé le même processus que le mien, j’aurais été flatté de constater qu’il y avait au moins 2 personnes pour souligner à tous qu’un honnête blogueur avait été suspendu alors que d’autres imbéciles continuent à y sévir. Voilà ce que j’aurais pensé Mme Thibaudeau.
Pour ce qui est de votre cerveau je n’ai pas l’intention de l’analyser mais si vous voulez bien le faire à ma place, je vous croirai sur parole. En passant, si ma mémoire est bonne le cervelet traite plus la motricité que la pensée ou la réflexion. Peut-être avez-vous voulu dire «cervolent», là le jeu de mot eut été intéressant.
«Les gens sont trop bien élevés, les méchants peuvent s’en donner à cœur joie.»
[Dan Powell]
M Drouin
Vous vous trouvez satirique , moi je vous trouve sarcastique.
Et comme votre citation à l’égard de M Baribeau : donner à manger à un cochon etc je n’aime pas la vulgarité .
Vous avez toujours le petit mot pour reprendre .Mon cervelet n’avait pas vu le ou .Faut croire que J,ai le cerveau lent.
Le vôtre est au cer veau .
Vous avez raison de trouver M Cormier et M Baribeau intelligents.
Voici un témoignage de Patrick Lagacé ayant trait à certains rouages de l’État québécois manquant aux règles les plus élémentaires d’une saine démocratie :
http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/patrick-lagace/201109/23/01-4450915-bonjour-la-police-politique.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B40_chroniqueurs_373561_accueil_POS2
RÉVOLTANT !!!
Peut-être que ça sert vos ambitions, intérêts, vues, etc, etc, 😉
«L’humour est une disposition d’esprit qui fait qu’on exprime avec gravité des choses frivoles et avec légèreté des choses sérieuses.»
[Alfred Capus]
Une facette de vos interventions m’intéresse depuis fort longtemps, Monsieur Drouin. Et cela, bien indépendamment de nos vues respectives.
Ainsi, vous nous servez souvent des citations très intéressantes. D’où les cherchez-vous?
Pour ma part, à l’âge de 16 ans (en 1968), j’ai acheté un petit «Livre de poche» intitulé «Le Petit Philosophe de Poche» (Textes réunis par Gabriel Pomerand) que je garde depuis précieusement à portée de main, aujourd’hui à côté de mon ordinateur, et d’un Petit Robert et d’un Bescherelle.
Vous, quel est donc le recueil de citations duquel vous puisez?
Ce serait de votre part très aimable de me l’indiquer!
@Claude Perrier
Ma source des citations :
http://www.evene.fr/citations/
Et plusieurs heures de lecture très intéressantes.
Mise en garde :
«Se méfier des penseurs dont l’esprit ne fonctionne qu’à partir d’une citation.»
[Emil Michel Cioran]
😉
Un gros merci, Monsieur Drouin!
J’ai lu plus haut une attaque tout à fait démagogique contre Mme Marois, écrite par une femme en plus. Elle se moque de la richesse de Mme Marois (Richesse due à son mari) mais jamais elle s’en prend à Legault qui est encore plus riche que la famille Marois, grâce à la vente à des intérêts étrangers « AirTransat » qui *fonctionne* principalement en anglais et respecte moins bien les francophones maintenant. Mme Marois a fait une grosse erreur dans le cas de la loi 204 mais elle a fait aussi de bons coups et je suis sûr qu’elle réalisera la Commission d’enquête sur les 3 « C » une fois au pouvoir. Je crois aussi qu’elle fera comme G.-É. Lapalme au besoin.
@Paul Verreault
Je ne sais pas de qui vous parlez ni à quel commentaire vous faites référence. Mais nous savons fort bien qu’une qualité chez les hommes devient un défaut chez une femme. On sait aussi que cette duplicité peut aussi être très bien le fait d’une autre femme.
En général au Québec nous sommes méfiant envers les gens fortunés. Vieille séquelle du jansénisme de d’autres générations ….
«La religion est la maladie honteuse de l’humanité. La politique en est le cancer.»
[Henry de Montherlant]
A force de s’en laver les mains, les libéraux doivent avoir les mains les plus propres en ville. Parole de rital
Les ministres libéraux vont-ils troqués leurs limousines pour des fourgons cellulaitres menottes au poing? C’est ce que nous saurons la semaine prochaine.
Enquêtes dans la construction : Dutil soupçonne une tentative de déstabilisation
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Politique/2011/09/25/001-dutil-industrie-lettre.shtml
Duchesneau à TLMP en disant que comme pour les motards, la justice viendra à bout de la collusion cela n’est pas sans faire penser que sa présence à Radio Canada n’est pas pour déplaire à ses patrons du gouvernement. Et qu’une enquête dans le huis clos en plus pourrait faire le travail…
Quoi! Pour faire apparaître concrètement la toile d’araignée des réseaux de l’ingénierie, des compagnies de construction, de la transparence du ministère des transports devant la domination des milieux privés mafieux ou pas? Une enquête publique à travers les silences d’individus intéressés et compromis est essentiellement seule susceptible de dévoiler les connexions qui déterminent que les partenariats publics privés ont ouvert la voie au démantèlement du ministère des transports et que les libéraux en cela sont les principaux responsables.
La connexion des pouvoirs entre le gouvernement et les services policiers ne doit jamais être déduite comme faible.
Le milieu du droit en recourant aux avocats de la défense dans l’obligation de protéger les victimes dans de nombreux pays contre les abus de gouvernement corrompus protégés par des polices peu dérangeantes rappelle que l’objectivité entre le pouvoir gouvernemental et le milieu policier est toujours incertaine.
C’est évident que nous sommes aux prises avec un immense système de collusion et de corruption qui touche tous les niveaux des politiciens, des plus petites organisations aux plus importantes.
D’où vient qu’aucun député du PLQ n’ait le courage de demander au gouvernement de mettre en place tous les moyens demandés pour faire la lumière sur la situation, y compris une commission d’enquête publique.
Il est impossible de penser que tous les députés du parti au pouvoir, en gardant le lourd silence dans lequel ils s’enferment, traduisent la volonté de leurs concitoyens.
Nous devons donc reconnaître que TOUS LES DÉPUTÉS LIBÉRAUX SONT COMPLICES de cette volonté évidente de cacher la vérité aux citoyens.
Leur silence ne peut s’expliquer que par les avantages que les DÉPUTÉS DU PLQ ont à garder le silence. Tous ces personnages, des ministres au simples députés sont donc tous aussi pourris les uns que les autres et ils n’ont aucun sens moral.
J’irai jusqu’à me demander si le PLQ ne serait pas lui-même une organisation criminelle. Leur remarquable unité à appuyer le refus de leur chef à mettre sur pied une commission d’enquête publique dont le mandat et la portée serait déterminée par une résolution unanime de l’assemblée nationale, ou à défaut par un groupe d’experts indépendants du gouvernement, est une puissante incitation à le déduire. On connait bien la loi de l’omerta des organisations criminelles.
«La différence qu’il y a entre les oiseaux et les hommes politiques, c’est que de temps en temps les oiseaux s’arrêtent de voler !»
[Coluche]
A M Verreault
Pauline Marois n’a pas à mon avis la capacité d’être chef du parti québécois.Parti difficile à gérer .Pauline a fait beaucoup pour le parti oui mais plusieurs hommes et femmes la contestent dans ses fonctions.
Ben contente pour elle qu’elle aie de l’argent.Je ne suis pas mysogine ni homophobe : ce fut le cas de M Boisclair qu’on traitait de tapette…
Le parti québécois est divisé entre autre dû au leadearship de Pauline.
François Legault n’est pas mon candidat non plus même s’il est financièrement autonome.
M Drouin vous me surprenez vraiment , vous saviez très bien qui avait écrit.
Pauline M veut e^tre première ministre.Point final .
S’il y en a qui veulent poser des questions à M. Legault au sujet de son penchant pour son accord avec M. Duchesneau sur la commission sur la construction, par 3 juges, à huis clos, ils pourront le faire directement, à la période de questions, à la fin de l’exposé de M. Legault, dans sa tournée de la CAQ, qui sera à Longueuil, cette semaine, mercredi le 28 septembre à 19 H à la Place Desaulniers, 1023 Boul Taschereau.
Question à poser À Duchesneau : quels sont les médias qui selon vous ont tenté de vous déstabiliser ?
Y a-t-il des journalistes qui ont une réponse à cette question. Si j’avais les bandes ou accès aux copies de journaux, la réponse serait évidente. Où sont nos grands reporters, nos journalistes d’enquête ?
«La petitesse nous rassure, car elle exige peut, mais il n’en est pas ainsi de la grandeur, qui exige beaucoup.»
[André Pronovost]
Je crois que M. Lapierre s’est senti visé, sans être nommé. Entendu à Radio-Canada, ce matin.
Toute enquête policière dérange, peu importe le policier.
M. Lapierre n’est pas une 100 watts. On s’en apperçoit très bien chez Laflaque où il donne toute sa mesure.
Attendons la fin des audiences de mardi. On aura tout le temps d’ergotter. 🙂
M. Drouin, cet André Pronovost que vous nous servez de temps à autre, est-ce le André Pronovost qui jouait pour Détroit et qui était si embêtant pour les Glorieux de l’époque?
🙂
André Pronovost
Ecrivain québécois
André Pronovost est né à Saint-Vincent-de-Paul, Québec, en 1941.
«La peur n’a de fin que quand on l’assume.»
[André Pronovost]
Nous nageons en plein surréalisme et il va bientôt falloir que des dramaturges brillants ressuscitent le théâtre de l’absurde et, éventuellement, le théâtre de la cruauté. Cela fait de nombreuses lunes que les Québécois réclament, de manière probablement majoritaire, une commission d’enquête publique et transparente.
Que Jean Charest appuie Jacques Duchesneau n’a rien d’étonnant. L’ex-policier, homme probablement très honnête, propose à ses maîtres ou parrains une commission qui se tiendrait à huis clos. J’entends jusqu’ici, dans mon humble logement, le rire tonitruant de Jean Charest.
Et je bouche mes pauvres oreilles bien «maganées» par les intempéries du temps.
JSB
M. Gingras, M. Jean Lapierre est pas mal plus qu’une 100 watts, si on juge le nombre d’émissions, à la radio et à la télé, où il est invité.
M. Lapierre est très bien caricaturé à Gérad D. Laflaque parce qu’il est très imagé et plein d’intérêt et de gros bon sens, autrement, personne ne le voudrait.
J’ai déjà assisté à une réunion publique il y a quelques années. Ça s’est passé à Ste-Rose (Laval) .Puis dix minutes avant qu’elle se termine, Jean Lapierre s’est pointé et il est resté un gros cinq minutes.
Or le lendemain M. Lapierre, dans un média, a fait un compte-rendu fort détaillé de cette réunion. On aurait juré qu’il avait passé la soirée avec nous.
Conclusion, ce n’est pas son intelligence qui semble causer un problème. C’est son honnêteté intellectuelle. Après cet épisode je n’ai jamais plus écouté Lapierre de la même façon sauf à Laflaque.
«Le léopard ne se déplace pas sans ses taches.»
[Proverbe nigritien]