Mariana Mazza annonce son premier one-woman show Femme ta gueule
Scène

Mariana Mazza annonce son premier one-woman show Femme ta gueule

L’humoriste de 25 ans Mariana Mazza vient tout juste d’annoncer qu’elle donnera des représentations de son tout premier one-woman show.

Judicieusement intitulé Femme ta gueule, le premier spectacle solo de la finaliste 2013 d’En route vers mon premier gala s’arrêtera un peu partout au Québec : Montréal (au Théâtre St-Denis) du 9 au 12 novembre 2016, puis ensuite Québec (le 15), Brossard, Trois-Rivières, Magog, St-Hyacinthe, Laval, Gatineau, St-Eustache, St-Jean-sur-Richelieu, Joliette, Rosemère et Saguenay.

Les dates précises ont été dévoilées sur la page Facebook de l’humoriste. Quelques spectacles auront lieu avant la grande rentrée montréalaise, selon son site officiel.

Reconnue pour son franc-parler et, justement, sa grande gueule, Mariana Mazza roule sa bosse depuis 3-4 ans sur la scène humoristique québécoise. Après avoir fait ses armes au Zoofest, elle a écrit la websérie Le Frigidaire (en plus d’y tenir le personnage principal), puis s’est fait connaître d’un plus large public grâce à En route vers mon premier gala.

Depuis plusieurs mois, elle arpente également les routes du Québec avec sa compère Virginie Fortin dans le cadre d’un two-women-show qui recueille un certain succès.

Sur sa page Facebook, l’humoriste montréalaise aux origines libano-urugayennes a envoyé un message à ses fans, dans lequel elle semble (et c’est le moins qu’on puisse dire) fort excitée : «(…) À l’université, les profs me détestaient de couper leur long speech de 3h00 parce que j’avais une question et qu’à l’université TU ES SUPPOSÉ TOUT COMPRENDRE! À la bibliothèque, je respirais et on me sortait. Le chauffeur d’autobus faisait semblant d’être sourd. Pis mes voisins dorment avec des bouchons. On m’a souvent dit qu’avec le temps j’allais me calmer et apprendre à écouter plutôt qu’à parler. Et bien non. C’est pour ça que j’ai décidé d’écrire 1h30 de MOI QUI PARLE SANS ARRÊT.»

MazzaREAL

À lire : notre entrevue avec le duo Mazza-Fortin.