Un nouveau solo de Louise Lecavalier en première au FTA
Si tout se passe bien, la 14e édition du Festival TransAmériques (FTA) aura lieu du 20 mai au 3 juin 2020 à Montréal.
Le Festival TransAmériques (ou FTA pour les initiés) vient de dévoiler sa programmation en pleine quarantaine et les changements climatiques sont au cœur de la direction artistique. En plus des pièces présentées en salle, l’artiste américain Lars Jan s’amène à la Place des Festivals avec Holoscenes, une sculpture mouvante qu’il trimbale partout dans le monde depuis plus d’une demi-décennie, un aquarium surdimensionné viendra titiller l’écoanxiété des Montréalais du 26 au 30 mai.
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Les premières nord-américaines pullulent dans la brochure, à commencer par celle de Elenit, une proposition du déroutant Euripides Laskaridis. Remarqué à son passage en 2018, le Grec nous offre une autre conte burlesque, bizarroïde et onirique. Du 20 au 23 mai au Théâtre Jean-Duceppe.
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Marie Brassard, celle à qui on doit notamment la mise en scène de La fureur de ce que je pense, profite du FTA pour lever le voile sur Violence. Présenté à l’Usine C et en collaboration avec le Centre Phi, ce spectacle s’impose comme un conte surréaliste d’inspiration japonaise. Les représentations auront lieu du 30 mai au 2 juin.
Du 21 au 27 mai, Louise Lecavalier étrennera une toute nouvelle chorégraphie à l’Usine C. «Un solo fougueux», écrit-on dans le communiqué. Une affirmation que personne ne pourrait vraiment remettre en doute. Cette femme-là est une force de la nature.
Sinon, en vrac, le FTA accueillera aussi la première québécoise d’une création d’Alain Platel (les ballets c de la b), une création toute neuve de Manuel Roque, P.O.R.N. de Christian Lapointe et Nadia Ross. Du côté du Théâtre Prospero, le podcast / spectacle Aalaapi aura droit à un autre tour de piste. Avis à celles et ceux qui l’auraient raté la première fois.