L’Assommoir Vieux Sainte-Julie : un nouveau lieu pour bien boire et bien manger
Une troisième succursale de L’Assommoir a récemment ouvert ses portes à Sainte-Julie, dans une ancienne école du Vieux Sainte-Julie. C’est un peu plus de 10 ans après l’ouverture du premier Assommoir, rue Bernard, que ce troisième-né fait son entrée dans le giron de L’Assommoir.
Installé sur l’une des plus vieilles rue de Sainte-Julie, à l’angle de la rue Principale, L’Assommoir Vieux Sainte-Julie continue la mission dont il s’est investi dans le Mile-End et le Vieux-Montréal, soit partager son authenticité, tout en s’imprégnant de la vie de son quartier d’accueil. Ce lieu de rassemblement saura plaire autant aux familles en début de soirée qu’aux habitués des sorties dans de bons restos et de bars de qualité, en solo, en duo ou entre amis.
Ce restaurant, très orienté vers l’option « bar », fera le bonheur des amateurs de cocktails avec une carte en rassemblant plus de 250. Les barmans-mixologues sauront mettre leurs connaissances en la matière à profit pour faire découvrir des élixirs originaux et des alcools méconnus ou classiques. Une sélection de vins d’importations privées est aussi proposée aux visiteurs. De plus, à chaque semaine, le sommelier-caviste sélectionne et renouvelle la carte des vins en fonction des arrivages et des nouveautés.
Côté plats et produits à déguster dans l’assiette, des saveurs franches et des produits locaux viendront combler les appétits des plus voraces : tartares, ceviches, tapas, grillades et plateaux à partager sont offerts sur la carte et continuent de faire le succès de L’Assommoir.
La petite histoire de L’Assommoir d’hier à aujourd’hui
En 1840, l’écrivain Émile Zola publie le roman « L’Assommoir », terme faisant référence aux lieux où artistes et intellectuels de l’époque se rencontrent pour casser la croûte et boire la goutte, et qui devient le théâtre d’un ballet magique de conversations entre personnages de toutes origines et de tous âges. En 2004, le premier Assommoir moderne ouvre ses portes, sur la rue Bernard, inspiré de ce roman, mais aussi des expériences du fondateur Emmanuel Lopes, ainsi que de son partenaire des premières heures Victor Charlebois. Suite au succès de L’Assommoir Bernard, rapidement s’impose l’idée d’ouvrir un second lieu de convivialité, L’Assommoir Notre-Dame. En 2014, après 10 ans de travail, L’Assommoir agrandit la famille et passe le pont pour ouvrir L’Assommoir Vieux Sainte-Julie pour terminer les festivités du 10e anniversaire en beauté.
Situé au 611 Saint-Joseph, au coin de la rue Principale, Vieux Sainte-Julie
Nous avons eu une très mauvaise expérience à ce restaurant mais il importe de nuancer les propos;
1. Le problème majeur se situait au niveau de la gestion en cuisine : nous étions un groupe de plus de 20 personnes (réservation depuis quelques semaines pour l’anniversaire d’une amie).
Brièvement et approximativement : nous sommes arrivés à 18h50, chaque drink commandé a pris près de 30 minutes à être servi. Nous avons commandé nos plats un peu avant 20h (les dernières entrées ont été servies vers 21h30 et les derniers plats principaux à près de 22h40).
Conscients de l’attente et du mécontentement de certains convives, un « shooter » fruité nous a été servi entre les deux services.
2. Le service de notre serveuse était impeccable. Bravo à Jade et ses collègues. Malgré une ambiance de travail discutable, ils ont su garder le sourire, se montrer compréhensifs et tenter de nous expliquer la situation.
3. La nourriture était correcte, sans plus (à noter que nous avions un menu de groupe). Connaissant la cuisine des restaurants de Montréal sur les rue Notre-Dame et Bernard, je vous assure que ce n’était aucunement à la hauteur de nos attentes. Les commentaires récoltés concernent les entrées de soupe à l’oignon (trop salé et croutons presque brûlés), tartare de saumon (trop fort au goût de fruits – mangue), calmars et les plats principaux de tartare de boeuf (température pièce et peu relevé), hamburger de poulet (poulet très sec, sauce ordinaire), saumon au sésame et entrecôte (cuisson Ok, mais viande trop tenace).
4. Le local du restaurant est super et la terrasse semble agréable.
Finalement, il importe aussi de dire qu’après certains échanges polis, le gérant a accepté d’appliquer un rabais sur notre facture que nous avons jugé adéquat.
Malheureusement, nous n’y retournerons pas, malgré que nous soyons persuadé que ça aurait été bien différent si nous n’avions pas été un groupe.