La révélation de l’année Philippe Brach sera à Waterloo avec Peter Henry Phillips

Alors que le premier a été sacré révélation de l’année au dernier Gala de l’ADISQ, le deuxième vient tout juste de faire paraître The Origin, un premier album prometteur.

Musicien aguerri, Pierre-Philippe Côté (alias Peter Henry Phillips) s’est mis à nu pour ce premier disque en anglais qui «rayonne d’un éclatant amour, presque trop grand, pour la beauté de la vie», selon ce que mentionnait notre collaborateur Dominic Tardif en septembre dernier.

De son côté, Philippe Brach est sur un nuage depuis la parution de son deuxième album Portraits de famine, réalisé par Louis-Jean Cormier et encensé par la critique.

«Y a des tounes qui sont ultra-personnelles sur l’album et y en a d’autres que ce sont des trucs que j’ai pas vécus, c’est plus fictif, c’est plus dans le narratif. Je m’empêche pas d’aller à un endroit parce que les 14 autres tounes vont ailleurs. Ça devient un peu disparate. Fait que, t’sais, un esti de move de jambon de vedge que je trouve le fun, c’est de prendre un mot comme « portrait », qui fait que tu peux câlisser n’importe quoi sur l’album et les journalistes vont gober ça comme c’est pas probable», avait-il confié à notre journaliste Catherine Genest, également en septembre dernier.