Igloofest 2018 : un sprint final de grande envergure
Trois dernières soirées bien chargées attendent les festivaliers à Igloofest.
Olivier Boisvert-Magnen
Photo : Black Tiger Sex Machine
Le festival hivernal situé sur le quai Jacques-Cartier à Montréal amorce son long week-end en lion ce jeudi 1er février. Alors que la scène Vidéotron vibrera aux rythmes pesants des maîtres hip-hop internationaux DJ Esco (le DJ des tournées de Future) et Boi-1da (l’architecte du son de Drake) ainsi que des sensations rap québécoises Lou Phelps, Husser et VNCE Carter, la scène Sapporo accueillera le trio electro trash montréalais Black Tiger Sex Machine et le producteur Apashe, reconnu pour ses sons à la fois décapants et accrocheurs.
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Ce vendredi, c’est la techno qui sera à l’honneur avec les Montréalais Pulses, Cassandria Daiva et dB, ingénieur et mixeur reconnu pour ses expérimentations minimalistes. Sur la grande scène, la house progressive du duo britannique Sasha & John Digweed et de l’artiste montréalais Tone Depth se compléteront à merveille.
Pour clôturer l’évènement, place aux Français Worakls, N’To et Joachim Pastor, trois artistes signés sous Hungry Music, étiquette techno basée à Aix-en-Provence. Sur la scène Vidéotron, trois DJs canadiens se partageront la scène : Mike Laz, Jaclyn Kendall et Just B.
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