«Un calypso éco-anxieux relatant une version quasi-biblique de l’Apocalypse sur une musique tropicale graduellement chaotique» : c’est de cette manière que Louis-Philippe Gingras nous présente Apocalypso . À ses côtés, une généreuse section de cuivres (Rémi Cormier, Al Mclean, Mario Allard, Matthieu Van Vilet) donne encore plus d’éclat à cet irrésistible pastiche avoué du genre musical antillais. Erik Evans de Canailles cosigne le texte.
Apocalypso met la table pour Tropicale Apocalypse, un troisième album pour le moins éclaté que Gingras qualifie de «trip exploratoire qui se garroche un peu partout : calypso, punk rock, free jazz avec des passages sonores au Brésil, à Cuba et en Afrique». Deux spectacles de lancement ont été annoncés dans son Abitibi natale : le 15 novembre au Petit Théâtre du Vieux-Noranda et le 16 novembre à la Salle Félix-Leclerc de Val-d’Or.