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Les Louanges signe sa complainte du phoque en Alaska
Catherine Genest
Photo : Les Louanges (Crédit: La Piscine Mon Amour)
Il est parti faire tourner des ballons sur son nez à Paris, à Austin, aux quatre coins du Québec. Le succès, c’est de notoriété publique, vient souvent avec un lourd prix à payer. Mais est-ce que ça vaut la peine de laisser ceux qu’on aime pour partir en tournée?
Vincent Roberge, alias Les Louanges, a choisi de foncer sans demi-mesure et c’est précisément ce qu’il raconte dans ce morceau langoureux à souhait, mais tellement crève-cœur en même temps. Une chanson d’une rare lucidité qu’il avait, par ailleurs, entonnée à son passage au Festival d’été de Québec en juillet dernier.
Sérieusement pressenti pour le Félix de la Révélation de l’année au prochain Gala de l’ADISQ, l’auteur-compositeur-interprète de Lévis ne s’assoit pas sur ses lauriers. Loin de là! Le 27 septembre prochain, il fera paraître un EP (intitulé Expansion Pack) sous l’étiquette de disques Bonsound.
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// À lire aussi: notre entrevue avec Les Louanges