Hubert Lenoir dévoile son générique de fin

Après avoir vécu à fond de train pendant presque deux ans, Hubert Lenoir s’apprête à peser sur le frein et dévoile ce qu’il présente, d’emblée, comme un «générique de fin». Le temps d’un vidéoclip récapitulatif pour la pièce instrumentale Cent-treizième rue, le célèbre Beauportois prend le temps de présenter celles et ceux qui l’ont supporté tout au long de sa folle ascension. Du nombre: Noémie D. Leclerc (sa gérante et surtout l’auteure du roman Darlène), Anatole, Lou-Adriane Cassidy, Vincent Gagnon, Cédric Martel (dit Broco), Pierre-Emmanuel Beaudoin, André Larue et le réalisateur lui-même, Gabriel Lapointe en l’occurrence.

Un segment décalé, empreint d’une esthétique post-internet modelée sous la typo Comic Sans MS, succède à la musique. Le doublage blasé et las, très pince-sans-rire, est assuré par nul autre que l’humoriste et flûtiste de renommée Arnaud Soly.

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