Louis-Jean Cormier s’en prend aux gérants d’estrade
Ça faisait, mine de rien, presque une demi-décennie que «le All Mighty Cormier» (comme l’a déjà surnommé Les Louanges) ne nous avait pas fait cadeau d’une nouvelle chanson. On avait hâte.
Intitulé Je me moi, le premier extrait de son troisième album solo à naître aborde un thème des plus postmodernes: celui des gérants d’estrade, aux Joe connaissants et autres haters qui sévissent sur internet.
On pourrait, à ce stade, difficilement imaginer des paroles plus en phase notre ère numérique.
Je trouve le temps de tuer, moi, travailleur autonome
Je lance des bombes du bout des doigts sans que personne ne me nomme
D’ailleurs je me sers du nom de quelqu’un d’autre comme bouclier humain
Tous les lâches qui ne se fâchent jamais ne valent rien.
Le prochain album de Louis-Jean Cormier sortira le mars 2020.
Des dates de spectacles sont déjà annoncées :
Les 27 et 28 mars 2020
à St-Eustache (Centre d’art La Petite Église)
Le 18 avril 2020
à Trois-Rivières (Salle Anaïs-Allard-Rousseau)
Le 29 avril 2020
à Jonquière (Salle Pierrette-Gaudreault)
Le 30 avril 2020
à Alma (Boîte à bleuets)
Le 14 mai 2020
à Ottawa (CNA)
Le 22 mai 2020
à Montréal (MTelus)
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Le 3 octobre 2020
à Sherbrooke (Théâtre Granada)
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Le 6 novembre
à Québec (Grand théâtre de Québec)
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