Notre réalisateur préféré de séries B Deluxe est de retour.
Comme à chaque fois que je me tape un de ses films, je me rends compte qu'il est un peu trop obsédé par les images violentes. À croire que l'histoire n'est qu'un prétexte pour mettre en scène ses fantasmes.
OK, 'The Black Dahlia' est intéressant et mystérieux. Mais aussi pas mal complexe. Tellement en fait qu'on peut en venir à soupçonner, en se grattant la tempe, que c'est dû à un mauvais scénario. (Personnellement, j'ai retenu le nom du scénariste, quand j'ai découvert qu'il a aussi commis le 'War of the Worlds' de Spielberg. 0 sur 2).
Mais c'est à la fin de ce nouveau film que tout s'effondre. Du théâtre d'été ! Sans doute que ça passe mieux dans le livre, mais ici, c'est ridicule. Il ne manque que les 'rires en canne'.
… ou encore qu'à la toute fin, l'un des personnages principaux se réveille d'un mauvais rêve qui a duré 2 heures.