Le concrétisation du concept de Patrick Simard attire les passants à la Place de Part-Dieu. Photo: Marie-Josée Hardy |
La première rencontre officieuse entre les représentants de toutes les délégations a lieu au beau milieu du centre d'achats très passant de Place Part-Dieu. Là, un dromadaire, dans un désert de foule, fait parler de lui. Les gens s'arrêtent tout près, touchent la bête de papier mâché, fière mascotte du sommet des Caravanes.
Des francophones de tous les milieux croisent la langue – au sens figuré – dans un chassé croisé linguistique de cultures qui se reconnaissent par leur appartenance à la francophonie. Des rencontres vire langue qui font beaucoup parler.
«Quand ils m'ont offert de me joindre à la caravane, me raconte Patrick Simard, je ne comprenais pas pourquoi. J'avais juste conçu le concept de l'affiche.» Ce fut donc une très belle surprise pour lui, comme pour toute la délégation québécoise, de voir concrétisée cette caravane, à mi-chemin entre le dromadaire et la roulotte, qu'il avait imaginée pour l'occasion.