Le boulevard Saint-Paul, à Chicoutimi, est une triste métaphore de la situation démographique de la région. Deux voies pour venir, trois voies pour partir. On ne s'en sort pas.
Ou si, on s'en sort. Un peu trop.
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1 commentaire
Pendant plusieurs années, la seule façon qu’on a trouvé pour coloniser les régions, comme on disait à l’époque (le terme colon n’était ni une insulte, ni un préjugé négatif), c’était d’inviter les usines, surtout américaines, à s’implanter chez nous. Mais comme le niveau de vue des gens des régions du Québec s’améliore, il a fallu s’installer dans les paus où les gouvernements encourage le mépris des travailleurs manuels.
Malheureusement, les gouvernements semblent avoir oublié d’attirer dans les régions les entreprises de services, là où les jeunes ayant eu la chance d’étudier au cégep et à l’université pourrait travailler. Ces jeunes quittent donc les régions pour s’installer dans les grands centres.
Est-il trop tard pour ramener ces jeunes dans leur région, surtout s’ils en ont le goût? Cela prend beaucoup de courage pour démarrer une entreprise. Nous ne devons plus compter sur les entreprises étrangères, mais ne compter que sur nous-mêmes.
Pendant plusieurs années, la seule façon qu’on a trouvé pour coloniser les régions, comme on disait à l’époque (le terme colon n’était ni une insulte, ni un préjugé négatif), c’était d’inviter les usines, surtout américaines, à s’implanter chez nous. Mais comme le niveau de vue des gens des régions du Québec s’améliore, il a fallu s’installer dans les paus où les gouvernements encourage le mépris des travailleurs manuels.
Malheureusement, les gouvernements semblent avoir oublié d’attirer dans les régions les entreprises de services, là où les jeunes ayant eu la chance d’étudier au cégep et à l’université pourrait travailler. Ces jeunes quittent donc les régions pour s’installer dans les grands centres.
Est-il trop tard pour ramener ces jeunes dans leur région, surtout s’ils en ont le goût? Cela prend beaucoup de courage pour démarrer une entreprise. Nous ne devons plus compter sur les entreprises étrangères, mais ne compter que sur nous-mêmes.