N'expliquons pas le délai, n'excusons pas l'inconstance, ne justifions pas le silence. Contentons-nous de replonger les yeux fermés dans les intrigues bloguales, malgré les appréhensions que peut susciter un tel retour. Reprendre d'assaut le mur de la culture, le graffiter à grands coups de billets doux, de billets fous. Voilà que ça revient, le verbe qui se délie, le plaisir se recoud. Mais il demeurera encore du décousu, du rapiéçage à faire. Voilà qu'encore je m'excuse à l'avance de mes dérives… Il y a des matins comme ça.