Je n’ai pas besoin de préciser ce que je pense de l’organisme SOS Clown, ce que j’ai déjà fait par le biais d’une chronique (Si cela existe). Toutefois, je ne peux passer sous silence une anecdote qui me met en scène et qui touche de près l’équipe d’amusants docteurs mise sur pied par Josée Gagnon.
Le 19 février dernier, alors que j’étais au CHUL, à Québec, avec mon plus jeune fils, c’était jour de mon anniversaire. Deux clowns à sarraus se sont avancés dans la chambre en chantant une berceuse calme et rassurante. Tour à tour, ils se sont penchés sur notre petite voisine d’à peine cinq mois, puis sur mon fils, et ils les ont séduits. La sincérité de leur attitude, leur approche plus que professionnelle, tout me rappelait ce que je savais de SOS Clown.
Quelques minutes plus tard, alors que j’avais dû quitter la chambre, on y avait comploté (la douce Madame Lucie, infirmière de mon fils, ma conjointe, mes beaux-parents et les fameux docteurs drolatiques) une drôle de surprise. À peine étais-je de retour dans la chambre qu’on me chantait un mémorable "Bonne fête, pout! pout!"
Tout ceci pour dire que plus tard, lorsque les deux amusants personnages ont su que nous provenions de Chicoutimi, ils m’ont tout de suite parlé de SOS Clown, qualifié d’exemple, voire d’inspiration. Comme quoi il s’agit d’un organisme qui mérite notre support…