Dans un article de la Presse, publié sur le WEB, on apprend que Jeff Rubin, qui a été 20 ans à la tête de la CIBC, prévoit une crise majeure: un choc pétrolier (le baril de pétrole pourrait transiger à plus de 200$ d'ici 2012).
«Le monde sera de plus en plus petit, explique-t-il. Nous nous rapprocherons de nos communautés. Les identités régionales redeviendront importantes. Les industries du passé renaîtront de leurs cendres. L'économie de service sera remplacée par une économie de manufactures, de production.» (Cyberpresse)
Étrangement, ce qu'on présente ici comme les conséquences dramatiques d'une crise sans précédent ont plutôt l'écho d'une solution dans ma tête. Et, dans ma tête toujours, ce n'est pas si tragique.