Reçu ce matin, un communiqué où il est question d'une nouvelle tentative pour que soit présenté un débat entre le maire sortant, Jean Tremblay, et son adversaire Michel Potvin, devant la communauté universitaire, le 21 octobre, à 11h30.
Le Mouvement des associations générales étudantes de l'Université du Québec à Chicoutimi propose de donner 1000$ à un organisme (à but non lucratif et à visée sociale) choisi par les deux prétendants à la mairie. «Si la démocratie n’est pas un argument, si le
respect de l’autre n’est pas une raison de débattre, si l’habilité de
communication et de défendre son opinion n’est pas un enjeu… peut être que la
charité en sera un pour débattre» espère la présidente du MAGE-UQAC, Rachel Schroeder-Tabah.
Non, mais de quoi je me mèle? La charité n’a rien à voir là-dedans et c’est avoir une courte vue que de penser que des incitatifs philanthropiques vont y changer quelque chose. Mme Schroeder-Tabah devrait plutôt s’adresser à Chantal Lacroix!(vous savez, Donnez au suivant!)
En fait, le nerf de la guerre c’est débattre quoi? Qu’y a-t-il de si important à débattre à Saguenay? Rien qui ne justifie qu’il y ait des partis d’opposition qui ne font que s’opposer, sans jamais présenter un programme. Il est plutôt facile de réfuter un maire en place qui livre ses arguments; amener des solutions novatrices, intéressantes et profitables pour la majorité n’est l’apanage de quelques uns. Mais débattre de quoi? Des trottoirs, de l’éclairage et des projets d’avenir? Pas besoin d’un débat pour ça, ce sont des affaires courantes.
Saguenay se donne trop d’importance et si les étudiants de l’université ont du temps libre et bien qu’ils en profitent donc pour aller voter, de préférence en dehors des heures de cours…