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Nous sommes tous des Marina…

http://2750706154216257222-a-1802744773732722657-s-sites.googlegroups.com/site/poemesanimes/organisateurs/PierreDemers.jpg?attachauth=ANoY7coZNTYAq6s4tX4pLR6-muF153aMYi5125PPk3ILkf0Kcf3mxNjq3Bb2wVhnNnhyN3g28X9HFYlpDlXcE6mG0Mwzx4n5Ga7wL4vESo-0-fMC4myji6jL9et3UYzygpgWMtNUrGQwHWr_zeUJuelNuXeTsuxr1yNqrSCtY_NrQxmyftpr14a6GiDxbACmWNKZ0leNtuS21RCKt_oZWQJsMLoBxQp8PgqLvUQkOfFNCVeaoYkCIRw%3D&attredirects=0Le cinéaste Pierre Demers dégaine à nouveau sa caméra. Il nous écrit quelques mots à propos de la démolition très prochaine de l'édifice qui abritait la Bouquinerie Jacques-Cartier, qui lui a inspiré un nouveau coup de gueule filmique de la série acide Nous sommes tous des…, où il s'intéressera cette fois à la conseillère municipale de Saguenay, Marina Larouche, responsable de la protection du patrimoine de Saguenay.

«J'ai commencé le tournage de Nous sommes tous des Marina…, aujourd'hui, la mort dans l'âme de voir mourir la Bouquinerie Jacques-Cartier. (…) Décidément, la Ville de Saguenay entretient sa réputation de capitale culturelle en plein capotage.

Que faire pour sauver la Bouquinerie Jacques-Cartier? Lundi matin, se coucher devant la grue des démolisseurs? Intervenir une fois au conseil municipal pour interpeller la responsable de la conservation du patrimoine de ville Saguenay? Prier pour qu'il arrive un miracle?

Moi, je filme tout ça pour le moment.»

Et c'est signé: «Pierre Demers, cinéaste enragé»