Les incontournables de la rentrée en humour
Julien Lacroix
Premières les 23 et 24 septembre au Monument-National (Montréal)
et les 1 et 2 octobre à la salle Albert-Rousseau (Québec)
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Si les capsules web sont maintenant devenues un passage obligé pour tout jeune humoriste, c’est en grande partie grâce à Julien Lacroix, l’un des premiers à avoir exploré ce médium avec autant de folie et de créativité. Mais c’est sur scène que le jeune homme verbomoteur de 26 ans est à son meilleur. Improvisateur dans l’âme, il présente maintenant son premier one-man-show, Jusqu’ici tout va bien, fruit de plusieurs mois de rodage partout en province.
Simon Gouache
Premières le 8 octobre au MTelus (Montréal)
et le 16 octobre au Grand Théâtre (Québec)
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En mars dernier, Simon Gouache avait à peine terminé les représentations de son premier one-man-show qu’il présentait déjà une version bien rodée d’Une belle soirée. Dans ce deuxième spectacle, l’humoriste montréalais réfléchit aux nouveaux défis qui composent sa vie depuis son éclosion tardive il y a quelques années, notamment propulsée par son numéro sur le crossfit, qui a fait un tabac sur le net.
Rosalie Vaillancourt
Premières les 12 et 13 novembre au Théâtre Maisonneuve (Montréal)
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Présenté dans une version embryonnaire au Zoofest 2018, le premier spectacle de Rosalie Vaillancourt, intitulé Enfant roi, mêle «folie, fraîcheur et manipulation émotive». Celle qui cultive avec excentricité son personnage de «fille naïve un peu trash» présente un one-woman-show néo-burlesque (c’est elle-même qui le dit) à l’humour grinçant.
Yannick De Martino
Premières les 8 et 9 novembre au Théâtre du Petit Champlain (Québec)
et le 20 novembre au Club Soda (Montréal)
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Huit ans après sa victoire au concours En route vers mon premier gala, Yannick De Martino se lance enfin avec un premier one-man-show, génialement nommé Les dalmatiens sont énormes en campagne. Fort d’un humour tellement terre-à-terre qu’il en devient absurde, le jeune trentenaire se pose d’innombrables questions sur le sens de la vie et les apparences, «assumant que les questions sont éternelles et les réponses temporaires».
