Périls du locataire

Périls du locataire

Vivre en location fournit de belles libertés. On regarde les autres se farcir les corvées d’entretien et on jouit d’une paresseuse irresponsabilité envers les lieux. Jusqu’à ce que le lave-vaisselle crève ses eaux sur la tête du locataire du dessous.

La triste réalité est que les locataires sont responsables des dommages causés à l’immeuble et même des incidents aux visiteurs des lieux. Un dégât d’eau ou une surtension due à un appareil électrique défectueux peut se transformer en une facture cauchemardesque.

Mais ces ennuis semblent encore moindres en comparaison d’une perte totale de ses biens par le feu ou le vol. Les gens croient qu’ils ne possèdent pas d’objets de valeur, mais c’est en imaginant devoir tout remplacer du jour au lendemain que l’on saisit les vrais chiffres en jeu, la différence entre être assuré ou pas. Acheter ses avoirs une fois c’est bien assez, non ?

Une police d’assurance vous immunise contre ses tracas pour un coût modeste qu’il faut considérer. Pour la protection minimale, on peut choisir les risques désignés (comme feu et vol) ou prendre une assurance tous risques, qui couvre les imprévus mais aussi les pertes hors du logis. Oublier ses lunettes au bistro ou perdre des objets en voyage sont des protections avantageuses qui peuvent être incluses. Les dégâts accidentels causés par votre chien Whisky qui angoisse facilement ou fiston qui se découvre l’âme artistique sur un meuble hérité des ancêtres sont des couvertures qui peuvent aussi être comprises.

Pour avoir la conscience tranquille, il faut faire l’inventaire de ses biens, s’assurer d’avoir une couverture adéquate et un montant de franchise avec lequel on est à l’aise. Et ce n’est vraiment pas compliqué, les compagnies d’assurance misent sur leur service à la clientèle grâce auquel vous parlerez à un humain, un vrai (pas une boîte vocale!) qui saura vous faciliter la tâche.