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Retirer l’arme de l’agente Stéfanie Trudeau

Muter l’agente Stéfanie Trudeau (matricule 728) à un poste administratif n’est pas suffisant, pour l’instant.

La congédier serait long, et c’est peut-être excessif comme mesure, selon les informations dont nous disposons actuellement.  Certes, l’agente Trudeau a déjà reçu une sentence disciplinaire de cinq jours de suspension pour avoir fait preuve d’agressivité envers des membres du personnel de l’hôpital Ste-Justine (La décision en appel de la Cour du Québec est est  ici ). Mais en droit du travail, on fait rarement le saut drastique d’une suspension au congédiement.

La faire soigner serait laborieux.  (Quoi que mes clients font des ateliers de gestion de la colère en prison pour des comportement bien moins graves et c’est étonnamment efficace).

La faire condamner par une cour criminelle sera tout aussi long et laborieux, même si les dernières voies de faits qu’elle a commises sont filmées et que l’acte sera donc facile à prouver.

La seule mesure qui soit non seulement impérative mais urgente,

c’est de retirer l’arme de l’agente Stéfanie Trudeau.

 

C’est  impératif et urgent non seulement pour assurer la protection du public, mais pour ne pas miner la confiance de la population envers le système de sécurité publique et de justice en général.