Comment décririez-vous, en quelques mots, la philosophie du Sultan?
Il s’agit d’un restaurant spécialisé dans la cuisine méditerranéenne – le seul sur la rue Saint-Jean. J’aimerais qu’il permette à un maximum de personnes de découvrir ce style de cuisine, beaucoup moins exploité à Québec qu’à Montréal.
Quelle est votre plus grande qualité en tant qu’entrepreneur?
La qualité du service. C’est d’ailleurs, je crois, ce qui m’a permis de progresser jusqu’à l’acquisition du Sultan.
Votre plus vilain défaut?
Des défauts, moi? (Rires)… La timidité!
Qu’est-ce qui vous préoccupe quant à l’avenir du restaurant?
C’est difficile pour moi de répondre après si peu de temps en tant que propriétaire. Je veux toutefois accorder la plus grande attention à la qualité des produits offerts, au service mais aussi à la propreté des lieux. La concurrence ne m’inquiète pas vraiment; j’avais déjà fait le tour du quartier avant d’acquérir le Sultan et j’ai pu constater que nous étions peu nombreux à préparer ce type de cuisine. Le milieu est aussi très réceptif: 90 % de ma clientèle est constituée de Québécois.
Quelles sont vos aspirations professionnelles?
Encore une fois, c’est difficile de répondre si rapidement, mais j’aimerais beaucoup développer le menu en créant de nouveaux mets, de nouvelles assiettes.
Quelle serait votre devise pour le restaurant?
Essayer d’en donner le plus possible au client – autant sur le plan de la nourriture que du service.
Si vous n’étiez pas en affaires, quel métier auriez-vous aimé exercer?
Oh, plusieurs! Je ne peux pas répondre avec certitude, mais certainement une carrière dans le domaine de l’administration.
Et en dehors du travail, vos passe-temps?
Le sport, définitivement! Particulièrement le soccer, que je pratique de temps en temps.
Le Sultan, 467, rue Saint-Jean, 525-9449