On l’a vu au Festival de Victo en 1994, alors qu’il présentait ses Sports et Percussions avec ses deux frères percussionnistes (comme lui!), mais on pourrait aussi voir Albert Marcoeur et sa bande au Festival des musiques progressives de Montréal, où ses instrumentations recherchées trouveraient bien leur place, ou aux FrancoFolies, où ses textes déjantés relèveraient un peu le niveau général. Avec sa voix nerveuse qui déclame des textes poético-absurdes, je suppose que l’on adore ou que l’on déteste, surtout avec la musique lourde et légère à la fois qu’il y colle (avec, ici, un quatuor à cordes, des cuivres, guitares, claviers et, les frères aidant, beaucoup de percu). Avec l’arrivée du froid, c’est idéal pour se décongestionner les neurones.
Guide albums
Albert Marcoeur
Travaux pratiques
Label Frères, 2008