En ouvrant l’album avec The Day That the Earth Stalled, une bombe hardcore punk de 1:26 minutes, le groupe californien démontre que malgré 30 ans au compteur, il n’a pas fini de nous chauffer les oreilles. Même si, dans l’ensemble, The Dissent of Man est plus rock que punk – le groupe se donne même des airs alt country dans Won’t Somebody -, Bad Religion ne manque pas de souffle dans The Resist Stance, Meeting of the Minds, Ad Hominem et Avalon. Le tout couronné de l’une des meilleures performances du chanteur Greg Graffin. Le 15 octobre au Métropolis avec Bouncing Souls et Off With Their Heads
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Bad Religion
The Dissent of Man
Epitaph Records, 2010