Tout le monde le dit et Fredric Gary Comeau le prouve: une vraie bonne chanson n’a besoin que d’une guitare et une voix. Sur son premier album autoproduit Comeau ne va pas plus loin que ça et n’en a pas besoin. Ses onze chansons très douces – et très influencées par le grand Leonard Cohen – nous parlent beaucoup de voyage et, contrairement à ce qu’il dit lui-même, pas de danger qu’on s’endorme: son propos est vraiment trop intéressant pour ça. Comeau sera au Jailhouse, ce samedi 30, vers 16 h. Le meilleur endroit pour un apéro ce week-end.
Guide albums
Fredric Gary Comeau
Another Broken Lullaby
Local/Select, 1999