Le Britannique Jim Noir poursuit ses relectures de la pop 60’s de brillante façon sur ce deuxième album. Si les références sont plus qu’évidentes, des Beach Boys aux Beatles, en passant par le Pink Floyd de Syd Barrett, Gainsbourg, Bowie et la pop psychédélique américaine, on ne parlera tout de même pas de pastiche. À la manière d’un Beta Band ou des Bees, voire Air quand ces derniers évitent les somnifères, Jim Noir alimente légèrement sa pop d’éléments électroniques quand il ne choisit pas de rester fidèle au son de ses influences. Ça donne au final un album magique et rafraîchissant, rempli de petites perles qu’on ne se lasse pas d’écouter.
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Jim Noir
Jim Noir
Barsuk, 2008