Karnak montre avec une évidente exubérance que ce n’est pas parce qu’on vient du Brésil qu’on fait nécessairement de la musique brésilienne. Bien sûr, la base est souvent là, dans Martim Parangola, dans l’intro percussive d’Espinho Na Roseira. Mais il y a plus: de l’opéra, de la cornemuse, des chants de gorge, du reggae, du funk, des influences nord-africaines, etc. Un musique du monde qui rassemble tout le monde sur une toute petite planète. Le 3 juillet, à 19 h 30, sur Bleury, dans le cadre du FIJM.
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Karnak
Karnak
Tinder/Koch, 1998