Paru en 2000 et en rupture de stock jusqu’à tout récemment, le deuxième album des Chiens, La Nuit dérobée, n’a pas connu de succès commercial, mais a influencé une génération d’auteurs-compositeurs d’ici (les Dumas, Vallières, Perreau). Il a surtout permis à son compositeur, Éric Goulet, d’acquérir une notoriété qui le suit encore aujourd’hui. Pourquoi? Parce que La Nuit dérobée est un fichu de beau disque: viscéral, mélancolique, planant. Le compagnon parfait d’une peine d’amour. Il vous prend par les tripes, vous chamboule le coeur, et met en veille votre cerveau absorbé l’émotion brute du CD. Ce disque n’aurait jamais dû être retiré du marché, mais plutôt enseigné à tous les Star Académiciens de la province.
25 % de textes sincères et raffinés
20 % de doux piano et guitares acoustiques
20 % de guitares électriques traînantes, texturées
25 % du spleen qui fera la beauté de Monsieur Mono
10 % de distorsion sur les pistes de voix