Our Lady Peace
Burn Burn

Quatre ans après Healthy in Paranoid Times, le groupe torontois propose un septième disque qui manque cruellement de direction musicale. Par exemple, si Our Lady Peace avait inclus Time Bomb et The Right Stuff (qui se retrouvent dans la version de luxe, intitulée Burn Burn Burn et comprenant des images tournées en coulisses et des clips) dans la version standard du disque, tout en enlevant les ennuyantes Signs of Life et Paper Moon, on aurait déjà eu l’impression de moins perdre son temps en écoutant Burn Burn. Il faut néanmoins reconnaître que si la formation n’a pris aucun risque, elle est encore capable de livrer des morceaux rassembleurs, tels Dreamland, Monkey Brains et The End Is Where We Begin.