C’est sous l’égide de Madonna, Maverick Recording, que le populaire D.J. et remixeur Oakenfold nous présente Bunkka, le premier véritable album de trucs vraiment à lui (exception faite de la soporifique bande sonore du film Swordfish), un événement majeur pour celui qui aura fait de la house et de la trance, des styles musicaux immensément populaires en Angleterre. Sans être génial sur toute la ligne, Bunkka (sur lequel Oakenfold ne chante aucun des 12 titres…) propose un mariage homogamique de rock, de hip-hop et de techno sous toutes leurs formes. Le résultat est parfaitement pop, on croit parfois entendre la guitare de U2, la voix de Bjork, un rappeur qu’on aime bien… Pour s’exprimer en termes de vendeur de disques: "Meilleur que les derniers de Moby et de Timo Maas, mais aussi bon que le dernier de Fatboy Slim."
Guide albums
Paul Oakenfold
Bunkka
Warner Music, 2002
