Rod Stewart
When We Were the New Boys

C’est bête, mais c’est comme ça: il arrive un moment dans la carrière d’un artiste où le public préfère ses vieilles chansons à ses nouvelles. Dommage pour Rod The Mod, qui vient de signer ici son album le plus rock depuis Long Player, des Faces (1971). J’exagère à peine. Soit, il y a bien au fil de When We Were the New Boys quelques ballades non comestibles, mais que voulez-vous, on ne se refait pas. Cependant, les reprises de Cigarettes and Alcohol, d’Oasis, et de Rocks, de Primal Scream, prouvent que Rod peut encore chanter avec ses tripes. Mais, à part pour les fans qui iront le voir au Centre Molson le 24, cela compte-t-il?