La première comparaison qui vient à l’esprit à l’écoute des 10 brûlots contenus dans ce deuxième album est avec le défunt groupe canadien Cursed en raison de la présence du chanteur Chris Colohan au micro. Cela dit, le hardcore hargneux, parfois très sombre, parfois énergique, pour ne pas dire joyeux de Sect, est indissociable de ce que les musiciens du super groupe formé en 2015 ont fait dans le passé. Au lieu d’explorer de nouveaux styles, Colohan, les guitaristes James Chang (Undying) et Scott Crouse (Earth Crisis), le bassiste Steve Hart (Day of Suffering) et le batteur Andy Hurley (Racetraitor, Fall Out Boy) embrassent leurs origines sur No Cure for Death. Ils n’inventent rien, mais si vous aimez leurs autres formations, vous aimerez Sect.
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