La discographie de Steven Wilson est un joyeux mélange d’éditions spéciales, de tirages limités, de collaborations diverses et de projets sortis sous pseudonymes… Pas étonnant de le voir sortir ce «disque intérimaire» qui contient quatre pièces originellement prévues pour son quatrième enregistrement en studio (Hand. Cannot. Erase.), une qui était prévue pour son troisième et une version enregistrée en concert de Don’t Hate Me, de son groupe Porcupine Tree. Des sessions de Hand. Cannot. Erase., la pièce Vermillioncore sort du lot par son côté jazz metal, avec Nick Beggs qui tient une ligne de basse d’enfer. Wilson a le fond de tiroir généreux, et cet EP offre largement de quoi patienter jusqu’au prochain!
À Montréal le 2 mars (Théâtre St-Denis) pour un concert offrant l’intégrale de Hand. Cannot. Erase.