Plusieurs albums plus tard (jamais trop tard), The Divine Comedy, et son leader Neil Hannon, fait enfin son entrée nord-américaine avec Fin de siècle, un album aux arrangements réellement somptueux, magnifiques, avec cuivres, cordes, sonorités intrigantes (voir le vieux synthé de Thrillseeker), mais avec aussi des ambitions mélodiques bien assumées qui n’enlèvent rien aux longues plages quasi instrumentales (superbe Eric The Gardener). Ceux qui ont apprécié le Costello/Bacharach devraient se procurer cette Fin de siècle tragique et remarquable.
Guide albums
The Divine Comedy
Fin de siècle
Setanta/Sony, 1998