Nouveau chouchou de la presse britannique, la jeune formation londonienne débarque avec un premier album plutôt impressionnant, bien que peu original. Les initiés reconnaîtront un peu des Chameleons UK, Mighty Lemon Drops ou encore Echo & The Bunnymen dans la musique des White Lies (certains entendent du Tears For Fears et Joy Division mais on se demande bien où ils sont allés piger ça). Si les influences brit-pop ou de musique alternative des années 80 sont plus qu’évidentes sur ce To Lose My Life, force est d’admettre que les gamins affichent une maturité étonnante et ont le tour pour pondre des chansons bien ficelées. Avec le temps, on souhaite que la bande se débarrasse de ses références évidentes et trouve sa propre voie.
Guide albums
White Lies
To Lose My Life
Fiction, 2009