Salaire minimum à 15$: des textes à relire
Société

Salaire minimum à 15$: des textes à relire

Le débat sur le salaire minimum prend de l’ampleur ces jours-ci. Aujourd’hui, à Montréal, se tient une manifestation pour la hausse à 15$ à laquelle prennent part plusieurs groupes sociaux, notamment des élus de Québec solidaire et le Collectif pour un Québec sans pauvreté.

Afin de mieux comprendre les divers arguments du débat, nous vous invitons à relire certains textes publiés cette année.


normand-baillargeon-1La chronique de Normand Baillargeon: Ce fascinant débat sur le salaire minimum

Fixer par législation le salaire minimum est donc, en fait, une très mauvaise et aussi paradoxale affaire, parce qu’elle nous rappelle qu’en matière de politiques publiques, la morale et les bons sentiments sont de bien mauvais guides.

Lire la chronique de Normand Baillargeon


alexandre-tailleferLa chronique d’Alexandre Taillefer: #15$MINIMUM

Parce que, ne nous leurrons pas, un salaire de 30 000$ annuellement n’est pas une panacée. Il n’entraînera pas une augmentation importante de la thésaurisation. Une grande majorité de ces augmentations seront dépensées dans nos commerces et remises au gouvernement en taxe de vente.

Relire la chronique d’Alexandre Taillefer


En avril dernier, sur le site de Radio-Canada, Gérald Fillion faisait le point sur cette question en donnant la réplique à Pierre Fortin.

Relire le texte de Gérald Fillion (Radio-Canada)


Toujours sur le site de Radio-Canada, Johanne Lapierre signait hier un texte sur le salaire minimum assorti d’une carte interactive:  Où le salaire minimum est-il le plus élevé au Canada? La réponse en carte

Lire l’article de Johanne Lapierre


Pierre Fortin signait par ailleurs en 2007 un texte dans L’actualité sur la question du salaire minimum. Bien que cet article date un peu, il recoupe encore plusieurs éléments du débat actuel.

Relire le texte de Pierre Fortin (L’actualité)


Vous avez d’autres textes à relire sur la question? N’hésitez pas à les ajouter dans les commentaires.